pulsar68
est avec nous depuis le 3 septembre 2008 ❤️
Oups.
On dirait que quelqu'un ici aime garder ses petits secrets, comme si de par hasard il y avait quelque chose à cacher...
Désolé, ô lectrice de passage, cher lecteur égaré, pas de révélation sensationnelle pour le moment sur ce profil.
Repassez plus tard ?
18 commentaires
LibreOffice 5.0 continue son ménage et joue la continuité
Le 25/05/2015Le 26/05/2015 à 11h 39
Oui, “puis d’abord c’est celui qui dit qui est”.
(on peut aller loin comme ça)
Le 26/05/2015 à 11h 34
Le 26/05/2015 à 09h 23
Le 26/05/2015 à 08h 32
Le 26/05/2015 à 08h 15
Les enfants devront savoir utiliser une tablette avant leur entrée en CP
Le 26/03/2015Le 27/03/2015 à 18h 04
Le 27/03/2015 à 13h 35
Ce qui est d’une tristesse absolue, c’est de voir s’opposer 2 groupes :
Je pense faire partie du 1er groupe. Je ne suis en rien contre les tablettes ou tout autre support numérique. Mais je crois qu’il faut remettre les choses dans l’ordre. Pour ma part, que ce soit un ordinateur, une tablette, un smartphone… ça ne reste et ne doit rester qu’un outil au service de l’humain. Trop précipiter l’utilisation de ce genre de matos n’apporte rien à l’apprentissage pour l’avenir. J’estime qu’un enfant ne sera pas plus à l’aise et surtout pas plus compétent avec un outil numérique si on le lui met dans la main dès le plus jeune âge.
À ceux qui n’arrête pas de prétendre que c’est idiot de s’opposer aux tablettes en maternelle car leurs propres enfants savent très bien en utiliser une, ils confirment ainsi par eux-même l’inutilité de la chose. Et je ne vois pas l’apport pour la vie professionnelle : vous a-t-appris à l’école à utiliser un traitement de texte ? à utiliser un tableur ? Et pourtant, vous les utilisez très souvent au taf, si ce n’est tous les jours.
Je pense qu’il ne faut pas inverser l’apprentissage du b-a-ba et les usages qui en découlent. Il y a une grande différence entre utiliser une tablette sans savoir lire/compter et utiliser une tablette quand on sait lire/compter, quand on comprend qu’un objet numérique n’est qu’un outil parmi d’autres. Si mes gamins savent écrire, compter, dessiner sans tablette, ils sauront le faire avec. Je ne suis pas sûr de l’inverse. Regarder les dégâts des correcteurs orthographiques : conçu pour épauler les gens dans leurs rédactions, c’est devenu le requis pour avoir un minimum de fautes d’orthographes et de grammaires. “On s’en fout puisque le logiciel me dit où je me trompe”. Idem pour la calculatrice : au début c’était tout de même pratique d’avoir la valeur des cosinus et autres racines sans se coller les tables ou règles à calculer. Aujourd’hui, rares sont les collégiens et lycéens qui ne vont pas utiliser leurs calculatrices même pour un simple addition. On fabrique ainsi des générations de nouilles.
Introduire les tablettes trop tôt dans la scolarité aura un effet similaire. Je ne cherche pas à empêche l’acquisition d’une culture numérique (ô combien importante), mais on sait bien que l’enseignement ne suivra pas, non pas par manque de compétences des profs (c’est trop facile de se cacher derrière cet argument) mais tout simplement devant la trop grande inégalité des traitements qui en découleront nécessairement.
Étant moi-même un drogué de l’informatique, j’ai surtout compris où sont les pièges dans l’utilisation du tout numérique, comment naissent les dépendances. Mes propres constats m’ont fait me poser beaucoup de questions car au-delà de l’émerveillement qu’on peut avoir en observant son gamin utiliser un objet numérique qu’on n’a nous-même découvert qu’à l’âge adulte, il faut bien comprendre ce qu’implique le choix de le laisser faire joujou avec.
Je vais prendre un exemple personnel : j’ai 3 enfants dont l’aînée vient d’avoir 7 ans. Je me suis toujours refusé à mettre dans les mains de ma fille une souris et la placer devant un écran trop tôt. J’ai préféré qu’elle s’éclate avec des puzzles, des Lego, des dessins (avec de vrais crayons), des livres… On me rétorquera que l’un n’empêche pas l’autre. Je répondrai alors oui, mais avec quelle implication, quelle proportion de temps ? En remettant à plus tard l’usage du numérique, j’ai surtout souhaité qu’elle (et maintenant un de ses frères) puisse appréhender l’apport du numérique, sans remettre en question le reste et c’est là que réside le point clé. À trop vite vouloir plonger les enfants dans le numérique, on a toute les peines du monde à leur faire comprendre la mesure de cet outil face à tout le reste.
Aujourd’hui mon aînée navigue sans aucun problème dans l’arborescence (volontairement cadrée) de sa session sous Archlinux, sait qu’elle doit lancer un navigateur pour aller sur Internet, sait taper elle-même les mots clés nécessaires sur Youtube. Elle sait de la même manière s’en sortir avec la session Windows de sa grand-mère. Tout ça s’est fait en temps voulu, en mettant le doigt sur les bons éléments, en lui faisant comprendre qu’il est plus facile de savoir lire ce qu’il y a sous l’icône que de bêtement faire confiance à l’image de l’icône ou sa position dans la fenêtre. Si je lui avais mis une tablette entre les mains en maternelle, elle aurait sans nul doute cherché à reproduire son usage tablette sur l’ordinateur et l’apprentissage aurait été plus difficile.
On cherche trop souvent à cacher la complexité d’un objet numérique derrière une facilité de façade. On empêche les gens de se poser les bonnes questions. On ne vit plus que dans la spontanéité, sans prendre le temps de réflexion. C’est encore plus vrai avec les enfants qui sont littéralement noyés dans le numérique entre les consoles, les tablettes, smartphones, ordinateurs… Et quand on voit le bordel, par exemple, sur Facebook, c’est qu’on a mis entre les mains de générations de jeunes non avertis un outil à la base très intéressant, mais encore fallait-il être éduqué sur les implications de son utilisation.
Bref, on pourrait en disserter des heures et j’attends déjà les raccourcis moqueurs qui ne manqueront pas en guise de réponse.
Ariane 6 validée par l’ESA : « ce lanceur, nous l’avons rêvé, l’Europe va le faire »
Le 03/12/2014Le 04/12/2014 à 10h 47
Il y a un point que je connais moins : SpaceX affiche clairement ses ambitions d’avoir un lanceur également “human-rated”. On peut donc imaginer que les choix techniques sont fait en ce sens (dont la motorisation).
Ariane n’a en revanche pas communiqué en ce sens (où alors ça m’a échappé).
Le 04/12/2014 à 10h 41
Oui, j’avais vu que SpaceX avait testé le ré-allumage moteur sur Falcon 9, d’où mon commentaire.
Ce que tu évoques pour la survie d’Ariane signifiera que c’est le contribuable que va payer, et très très cher, ce qui n’est pas acquis étant donné le contexte économique plus global. M’enfin, c’est bien possible que ça se fasse comme ça malgré tout.
Et comme tu le soulignes toi aussi, Ariane “essaiera” de faire aussi bien en 2020 ce que SpaceX fait déjà aujourd’hui. Le chemin est long jusqu’en 2020, et c’est une date “au mieux” : les autres n’attendront pas.
Le 04/12/2014 à 10h 06
Ah, ça fait du bien d’avoir ce genre de commentaire.
On pourrait également aborder l’histoire de la propulsion.
À ce stade, il convient donc de rester très prudent : Ariane Espace se devait de proposer une alternative face à des acteurs comme SpaceX. Mais je trouve que c’est bien tard : le 1er vol d’Ariane 6 est prévu pour 2020 et ce genre de programme n’est jamais en avance par rapport aux premières dates généralement avancées. Croyez bien que sur la même période, SpaceX va poursuivre ses développements et cette boîte ne souffre pas des lourdeurs des entreprises quasi étatiques dont la gouvernance est gérée par plusieurs pays qui doivent s’entendre. De plus, les choix techniques devront tout de même démontrer qu’ils sont opportuns. Se baser sur l’histoire d’Ariane pour conclure est beaucoup trop rapide. Il existe aussi un scénario du pire : à supposer que dans l’intervalle Ariane Espace survive, il ne faudra pas qu’Ariane 6 soit un échec, sinon ça signerait l’arrêt de mort des ambitions du lanceur européen. Et la survie d’ici Ariane 6 ne sera pas facile.
Hier dans La Tribune, on apprenait que Airbus Defense & Space était en train de négocier un lancement de satellite européen avec SpaceX. En dehors des cris de traîtrise auxquels on a toujours droit dans ces cas-là, il faut tout de même admettre que le choix est pertinent en terme de coût/calendrier.
Borderlands 2 débarque enfin sur Linux via Steam
Le 01/10/2014Le 01/10/2014 à 07h 37
Ça marche aussi très bien sur Arch.
EDIT : mouais, un poil tard
NAS Synology : nouvelles mises à jour de sécurité pour les DSM 4.3 et 5.0
Le 27/08/2014Le 27/08/2014 à 10h 11
Bac 2014 : des détecteurs de téléphones portables dans chaque académie
Le 12/06/2014Le 12/06/2014 à 21h 32
Le 12/06/2014 à 21h 17
Le 12/06/2014 à 19h 45
Le 12/06/2014 à 19h 42
Le 12/06/2014 à 19h 36
Le 12/06/2014 à 19h 14