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jobajobi

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5 commentaires

Le 06/09/2014 à 11h 22







Loup a écrit :



Il suffit ensuite de s’identifier normalement même sans être client B&You







J’ai peut-être mal compris mais il me semble qu’en France l’appli n’est utilisable que par les anciens utilisateurs de MySMS et les clients B&You, ie Pas ne nouveau compte possible si on est pas B&You.


Le 01/09/2014 à 17h 39







jun a écrit :



Aujourd’hui la taille du marché est fluctuante, d’un mois sur l’autre. Un acteur du marché pourra pousser son investissement en espérant gagner plus, soit en produisant plus de titre, soit en produisant des plus grosse production.







Bien vu. Effectivement je n’avais pas pensé à cette difficulté supplémentaire. Il y en a donc 3 d’identifiées :







  • évaluer le montant total.

  • définir un prélèvement juste.

  • définir une répartition juste.







    Il y en a surement d’autres bien sûr.



    Nous avons des universités et des chercheurs en économie, ne peuvent-ils pas utiliser leurs méninges pour pondre une nouvelle théorie qui répondrait à ces problèmes ? Un peu d’innovation n’est-elle vraiment pas possible ? Le modèle de L’offre et la demande pour efficace qu’il soit, est-il un modèle indépassable ? Le summum de ce que l’intelligence humaine peut produire ?







    jun a écrit :



    en laissant l’offre et la demande réguler la redistribution du fond, sans autre flicage que l’acte de paiement.







    J’ai 2 réserves :



  • Dans le domaine culturel l’offre est infinie (bien immatériel), la demande ne l’étant pas, toujours les maths ;), ça ne peut pas fonctionner tout seul. Il faut justement un flicage fort (voir démesuré) pour maintenir la rareté artificielle et lutter contre le partage non contrôlé (aussi dénommé piratage).

  • Je continue de trouver qu’il est dommage de limiter une ressource infinie. Tout le monde n’a pas les moyens de consommer à la hauteur de sa soif de culture. On peut considérer que c’est anodin, mais le même raisonnement peut s’appliquer pour les médicaments. Dans certains pays des personnes n’ont pas accès aux médicaments dont-ils ont besoin, essentiellement parce qu’on n’arrive pas à dépasser le système de l’offre et de la demande qui nécessite une limitation artificielle de l’offre pour être viable.











    Jed08 a écrit :



    La question que je pose, c’est plutôt l’inverse : combien faudra-t-il payer par mois pour que tout le contenu culturel téléchargé dans le cadre de la licence globale ne génère pas de perte par rapport au modèle actuel ?







    A l’heure actuelle on ne sait pas faire, mais la réponse que tu cherches me semble être : la même somme que tu payes actuellement pour tes biens culturels (Modulo la remarque de jun) ;) Mathématiquement du moins.


Le 01/09/2014 à 14h 36







Jed08 a écrit :



Sinon, pour une licence globale, en se basant sur les chiffres de l’INSEE, en 2011 il y avait un peu moins de 27,5M de ménages (arrondissons à 30M pour 2014), et en prenant une participation à 20€/mois (ce qui est pas rien), on se retrouve donc avec une “cagnotte” maximal de 600M à redistribué parmis tous les acteurs/ayant droit de la culture numérisée en France, ce qui comprend les films, les séries, la musique, les livres, les DVD de pièces de théatres/spectacles/concert et (à négocier) les jeux vidéo.

Je sais pas pourquoi, mais j’ai l’impression que au final, ça fait peu.







Bonjour,



Nous consacrons tous x euros/mois à la culture pour de la consommation à l’acte. Si nous dépensions tous la même somme x dans le cadre d’une licence globale nous bénéficierions tous d’un accès illimité pour le même prix sans baisse de revenus pour les producteurs. C’est des maths.



Donc dépensons nous actuellement en moyenne plus de 20 euros / mois ? Telle est finalement la question que tu poses.



La difficulté est de déterminer la contribution de chacun d’un côté, et la répartition des recettes de l’autre.



Ce n’est pas facile, mais ça vaudrait quand même le coup de se creuser la tête et de faire preuve de créativité, plutôt que de déclarer péremptoirement que c’est impossible (mathématiquement c’est possible, et apparemment économiquement sans doute aussi puisque c’est le modèle des netflix et autres).


Le 07/11/2013 à 08h 46







Taomon a écrit :



Outre l’inutilité de la Hadopi qui n’est plus a démontrer, je suis quand même stupéfait de voir qu’il y ait encore tant de gens qui se fassent “prendre” par Hadopi ? Cela veut dire en gros qu’il y a encore un bon paquet de gens qui téléchargent sur la mule ? Vous me direz, tant qu’ils s’occupent de ceux là, la Hadopi fout la paix aux autres (ceux qui ont tout compris) <img data-src=" />







Si je puis me permettre il me semble que la Hadopi est avant tout une entreprise d’intimidation.



Crois-tu qu’il est réaliste/possible de couper internet à plus d’1 millions de personnes ?

Crois-tu qu’il est réaliste/possible de faire payer une amende de plus de 200 euros à plus d’1 millions de personnes ?



as-tu un doute sur la réponse ? Combien de sanctions après 3 ans d’existence d’Hadopi ? Ce serait un suicide politique, même sous une dictature.



Vu sous l’angle de l’intimidation, changer ses habitudes de téléchargement avant même d’avoir reçu le premier avertissement, c’est déjà s’est fait prendre par hadopi ;)



ceux qui ont tout compris ne sont peut être pas ceux que l’on croit ;)



En théorie si personne ne changeaient ses habitudes il ne se passerait rien à la fin : plus d’un million de personne en phase 3 et après ?



Dans la pratique, il suffit de se mettre au vert pendant six mois pour annuler le premier mail et de nouveau d’ignorer Hadopi jusqu’au prochain premier mail.



Les tentatives pour s’opposer à la mutualisation du financement de la culture et maintenir l’ancien système sont probablement vouées à l’échec.



Il y aurait pu y avoir une mutualisation organisé par le public (licence globable), il semble qu’il y aura un mutualisation privée (netflix et autres).



L’industrie culturel survivra avec ou sans hadopi.



Qui s’est mis à acheter dvd/cd comme dans l’ancien temps de peur d’Hadopi ? Ce serait le seul chiffre intéressant à connaitre. Je crois que tout le monde a une petite idée de la réponse.


Le 25/07/2013 à 12h 02







julroy67 a écrit :



Pour les impatients comme moi, avec un bon adb sideload depuis le recovery on peut utiliser le zip d’OTA pour le Nexus 4.







Merci julroy67 !



La vrai nouveauté c’est le nom des chansons qui s’affiche sur mon autoradio bluetooth, donc il y avait vraiment urgence ;)



J’ai eu un peu peur quand le nexus 4 est resté bloqué en recovery car impossibilité de me connecter avec adb dans ce mode. On ne peut plus éteindre le tel, et comme on ne peut pas enlever la batterie c’est bien galère.



Si vous faites la manip avant de cliquer sur sideload dans le recovery faites bien gaffe que adb reconnait votre tel dans ce mode (ça peut marcher en normal et pas en recovery).



Pour adb j’ai trouvé la solution là :http://forum.xda-developers.com/showthread.php?t=2148061



(solution de sunny4691)

(sous W8 64 il faut rebooter avec signature des drivers désactivée)



à part le nom des chansons je n’ai rien remarqué de bien nouveau pour le moment.



Voila bref merci.