Borée
est avec nous depuis le 31 octobre 2009 ❤️
Oups.
On dirait que quelqu'un ici aime garder ses petits secrets, comme si de par hasard il y avait quelque chose à cacher...
Désolé, ô lectrice de passage, cher lecteur égaré, pas de révélation sensationnelle pour le moment sur ce profil.
Repassez plus tard ?
180 commentaires
Malgré l’annonce de sa mort, le MP3 est encore bel et bien vivant
Le 18/05/2017Le 21/05/2017 à 13h 06
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Le 21/05/2017 à 12h 43
Le 21/05/2017 à 12h 17
Le 21/05/2017 à 11h 47
Le 21/05/2017 à 09h 51
Le 19/05/2017 à 11h 59
Il s’agissait du MP3Pro. Le format ne doublait pas le poids, mais annonçait une réduction de moitié pour une qualité égale (équation très optimiste).
Thomson avait de son côté et en 2009 mis au point le MP3-HD, qui n’avait rien à voir avec de la HD, mais avec le lossless. Il s’agissait d’un encodage MP3 standard, avec création de données de correction qui permettaient au décodeur de regénérer l’original sans perte. Des formats lossless tels que WavPack et OptimFrog proposent cette articulation “lossy + données de correction” depuis plus longtemps encore. Mais avec le MP3HD les données de correction figuraient dans les tags ID3 (ce qui était très original, et permettait de n’avoir qu’un volumineux fichier au lieu de deux plus réduits). L’intérêt du format ? Cela permettait d’avoir un seul encodage, lisible sans perte sous certaines conditions (décodeur adapté), lisible quasi partout ailleurs (il s’agit d’une base MP3).
https://en.wikipedia.org/wiki/Mp3HD
Le 18/05/2017 à 19h 58
@EricB
LAME s’est massivement développé à la fin des années 90 et durant les années 2000, à une époque où les brevets en rapport avec le format était actifs. La fin de la protection intellectuelle ne devrait en toute logique pas avoir d’incidence sur le développement du format, puisque les brevets n’ont jusque là jamais constitué un obstacle.
On peut d’ailleurs constater que l’âge d’or des formats avec pertes est révolu. Il y a 15 ans, il ne se passait pas un mois sans que sorte une nouvelle version de LAME MP3, d’Ogg Vorbis ou l’un de ses forks, de Musepack, de Nero AAC. Il y avait une forte attente : ceux qui rêvaient de transparence à 64 kbps pour stocker toujours plus sur des supports exigus, et ceux qui rêvaient de transparence sur les signaux les plus critiques avec des encodages compris entre 180 et 250 kbps.
Au fil des ans, la mémoire flash a gonflé alors que les prix se sont effondrés. La recherche des petits débits n’intéresse désormais plus le grand public. Les audiophiles intranquilles ont quant à eux basculé vers le lossless. Les développements en audio ne suscitent plus beaucoup d’intérêt, d’autant plus qu’un certain cap franchi, il devient difficile d’obtenir des gains de qualité qui n’entraînent pas occasionnellement des régressions.
Il suffit de comparer l’intérêt que suscitaient le MP3Pro ou l’arrivée de Vorbis au début des années 2000, à la très faible visibilité d’Opus qui semble pourtant être le format le plus avancé du moment, et qui en plus d’être libre a été intégré à des standards industriels. Il a tout pour plaire. Mais même les technophiles s’en fichent d’avoir un encodeur qui offre à 80 kbps une qualité comparable à un AAC à 100 kbps ou qu’un MP3 à 128. Alors les autres…
Le 18/05/2017 à 19h 37
Le 18/05/2017 à 13h 09
Fraunhofer sort une connerie, et une partie de la toile la répète obligeant l’autre à la démentir " />
Évidemment que l’expiration d’un brevet n’entraîne pas la disparition du produit concerné. Il suffit d’aller en pharmacie et de voir la longue liste des génériques. On utilise toujours et encore la roue, le papier, le couteau et la fourchette (enfin pas tout le monde). Bref, le syllogisme est tellement con que même les arguments de bon sens donnent l’impression d’être tartes.
Vivaldi 1.8 revoit sa gestion de l’historique et propose une foule d’informations
Le 29/03/2017Le 29/03/2017 à 15h 41
Question légitime alors.
Originellement en tous cas, la société était située dans le nord de l’Europe :
https://www.crunchbase.com/organization/vivaldi#/entity
Vivaldi is headquartered in Oslo, Norway, with a development office in Reykjavik, Iceland.
Et la société semble insrite en Islande : https://www.rsk.is/fyrirtaekjaskra/leit/kennitala/4509131380
Le 29/03/2017 à 15h 29
https://vivaldi.com/team/
Vu qu’ils et elles viennent tous de Norvège et d’Islande, je doute que la société soit américaine
Spotify teste une offre « haute fidélité », entre 15 et 20 dollars par mois
Le 02/03/2017Le 03/03/2017 à 04h 46
En relisant l’article et en suivant les sources citées, je note aussi que vous écrivez :
Un prix test, mais peu de détailsPar qualité « sans perte », la société peut entendre plusieurs choses, la plus probable étant une qualité CD (16 bits et 44,1 kHz).
Alors que les captures d’écran du site Spotify ne laissent pas vraiment planer de doute :
https://cdn0.vox-cdn.com/thumbor/usQ_0qb6WwYxotkzj4sTpd3oAVM=/1000x0/filters:no_upscale()/cdn0.vox-cdn.com/uploads/chorus_asset/file/8073563/HiFi.png
site : http://www.theverge.com/2017/3/1/14776780/spotify-hi-fi-preparing-launch-lossles…
Spotify indique explicitement « Lossless CD quality audio ». Ce qui veut dire 16 bit 44100 Hz en PCM (compressé avec un encodeur au choix et crypté par la suite). Les plates-formes reçoivent des fichiers sans compression (sans perte en tous cas) qu’ils convertissent eux-même. Spotify n’a pas d’effort particulier à faire pour obtenir une bibliothèque lossless, puisqu’ils l’ont déjà. Ils doivent juste renégocier les droits et adapter les logiciels. Et bien sûr communiquer pour convaincre.
Le 02/03/2017 à 20h 36
Le 02/03/2017 à 14h 07
Ça ne sonne pas comme du bullshit marketing. Ç’en est :)
Le format ne m’intéresse pas à titre personnel. Ceci dit, un engouement d’ampleur pour l’irrationnel est tout à fait possible (voir le marché du vinyle par exemple). Le MQA apporte la prétendue haute-résolution dans un contexte de lecture en flux à bande passante limitée. Il y a plein de gogo mélomanes. Les sites de streaming aiment tout le monde, y compris les gogo. Donc il y a moyen de ratisser du monde en proposant un truc qui n’améliore le son que pour ceux qui y croient. Et en plus on peut leur faire payer plus, bien plus que ce qui est nécessaire pour financer le surcoût en bande passante.
Le tour de force du MQA, c’est d’offrir une reconstruction avec pertes des données les moins audibles et de vendre ça comme le graal sonore. A lire les forums audio/idiophiles comme computeraudiophile.com, une partie du public adhère.
Le 02/03/2017 à 13h 42
Tu penses sérieusement que les internautes n’ont pas davantage entendu parler de FLAC (format existant depuis 15 ans, devenu même compatible nativement avec Windows 10, lisible nativement sur Android, utilisé par tous les sites marchands qui vendent du lossless) que du MQA (format qui a un an environ, propriétaire, et dont la carrière commerciale a débuté il y a quelques semaines) ? Ou tu parles peut-être du FLAC HR ?
Le 02/03/2017 à 12h 45
Votre article omet de mentionner une piste : le MQA.
Le MQA est un format audio développé par la société Meridian. Grosso modo, il s’agit un noyau FLAC 24 bit 48 KHz auquel s’ajoute des données non-audionumériques qui permettent à un décodeur de sortir du 24 bit 192 KHz. En gros, c’est un format lossless avec une extension lossy pour les données situées en dehors du spectre audible. Auquel s’ajoute un filtrage qui rend l’opération plus complexe. L’avantage sur le lossless 24⁄192, c’est évidemment le gain d’espace. Parfait pour un service de streaming, qui peut vendre du “meilleur-que-le-cd” à plus de gens. En plus, et c’est un gros avantage, un fichier MQA peut être lu sur l’importe quel logiciel ou matériel décodant le FLAC (il lira du 48 KHz/24 bit avec une qualité équivalent à peu près à du 48⁄18 bit)
Le MQA est un format audio qui s’est imposé chez Tidal depuis deux ou trois semaines. Le service annonce 30000 albums (ou titres, à vérifier) rapidement.
C’est un format qui fait polémique. Des audio/idiophiles le trouvent excellent alors que d’autres trouvent que le format n’apporte rien. Le spectre des DRM refait surface (le format est propriétaire, mais n’importe quel décodeur FLAC reste en capacité de lire le noyau qui reste d’excellente facture).
On n’en a pas beaucoup entendu parler en France, faute d’offres commerciales. Si Meridian signe avec Spotify, cela pourrait changer la donne. Mais c’est une simple hypothèse, qui manquait dans votre article.
Qobuz revoit son interface sur macOS et Windows, mais il reste du travail
Le 16/02/2017Le 19/02/2017 à 12h 17
Alité et en repos de force, je décide d’opter pour un abonnement Qobuz me permettant d’écouter sur tablette et téléphone (javais jusqu’à récemment un abonnement dit basique, depuis disparu de l’offre tarifaire).
En moins de quatre heures, l’application a planté une demi douzaine de fois. Sur ma tablette, si je bascule de l’application à Opera, me flux s’interrompt. Sur mon téléphone, il arrive fréquemment que la lecture s’arrête à la fin d’une piste, sans daigner passer automatiquement à la suivante. L’enchaînement gapless ne fonctionne nulle part bien que l’option soit cochée. À plusieurs reprises les éléments de la playlist restent vide. Testé sur deux appareils mobiles et même constat : une application mal finie, non testée, qui ne permet pas d’utiliser convenablement un service qui coûte entre 100 et 250 euros par an.
Je pose la question : sont ils totalement à court de moyens et impuissants chez Qobuz, ou totalement irresponsables ? Ils sortent une nouvelle application, les sites d’info leur font un peu de pub, cela draine de nouveaux clients, bref c’est une excellente opportunité qui ne demande pour être opérante qu’une application convaincante. Au lieu de quoi, ils publient sur leur store un machin encore largement buggé, qui ne peut que convaincre de ne pas aller au bout des quinze jours gratuits. Qobuz a bien cinq ans, pas cinq semaines ni cinq mois. Si dans ce laps de temps ils ne parviennent à faire mettre au point une application finalisée, qu’ils fassent comme leur grande sœur Abeille Musique : mettre la clé sous la porte.
Une partie des programmes de Canal+ à la demande passe enfin… à la HD (720p)
Le 09/02/2017Le 09/02/2017 à 15h 33
et sans point d’exclamation
Le 09/02/2017 à 15h 33
Pas entre crochets, mais entre parenthèses :
http://www.cnrtl.fr/lexicographie/sic
Dell transforme son XPS 13 en un hybride 2-en-1, vendu dès 999 dollars
Le 03/01/2017Le 03/01/2017 à 08h 21
Exit par contre le lecteur de cartes SD plein format qui ne prend désormais en charge que les microSD.
Maintenant, un laptop de 13,3 pouces est devenu trop petit pour caser un emplacement pour cartes SD…
Zenbo : le robot compagnon d’ASUS sera en vente le 1er janvier à Taiwan
Le 22/12/2016Le 22/12/2016 à 10h 21
Ils ont fini par faire un petit, les deux là :
https://s-media-cache-ak0.pinimg.com/originals/59/48/29/594829834fe3437c3ff7e423…
Netflix mise sur H.264 AVCHi et VP9 pour améliorer la qualité des vidéos sur mobile
Le 09/12/2016Le 09/12/2016 à 13h 32
Le 09/12/2016 à 11h 16
Il était sans doute temps d’opter pour le profil High, qui existe depuis les débuts du format. Je pensais même que c’était déjà le cas, avec tout le blabla autour du thème Netflix optimise l’encodage…
http://techblog.netflix.com/2015/12/per-title-encode-optimization.html
En gros, la société commence à peine à utiliser ce que les internautes trouvent depuis près de dix ans sur la toile. À ce rythme, l’HEVC pourrait être adopté à l’horizon 2028
Livres indisponibles : les différents scénarios pour faire revivre ReLire
Le 25/11/2016Le 25/11/2016 à 13h 43
On parle, pour une immense majorité d’ouvrages, des titres qui ne sont plus exploités dans le commerce (hors-occasion), et qui ont peu de chances de l’être encore. Et lorsqu’ils le redeviendront, il s’agira très vraisemblablement d’un petit tirage qui mettra des lustres à s’écouler ou simplement par finir au pilon.
Je rappelle que pour ces ouvrages, l’auteur n’a strictement aucun droit d’exploitation : ce droit, il l’a cédé auprès d’un éditeur qui depuis a cessé de commercialiser son travail. Dans le meilleur des cas, il peut récupérer ces droits d’exploitations auprès d’un tribunal qui peut constater le défaut d’exploitation ou de valorisation de l’œuvre qu’il est censé exploiter.
Avant ReLire, les auteurs en question ne gagnaient rien du tout après épuisement du titre (sauf rares exceptions liées à un retirage). Avec ReLire, ils pouvaient bénéficier d’une micro-compensation.
À mon sens l’entorse faire par ReLire au droit d’auteur était une excellente chose : pour tous les lecteurs potentiels, pour une immense majorité d’auteurs au travail jusqu’alors inexploité, pour tous ceux qui n’auront pas à faire je ne sais combien de bornes pour accéder à une bibliothèque universitaire et accéder aux titres convoités.
Il ne faut pas perdre de vue l’essentiel : si ces titres sont sortis du commerce, c’est qu’ils ne se vendaient (quasiment) plus. En les remettant en ligne, ils ne se vendront pas davantage. S’il y a préjudice pour les auteurs, il se chiffrera en dizaine d’euros à l’année (pour les mieux lotis).
Pebble : le firmware 4.3 introduit Kickstart et se concentre sur le rythme cardiaque
Le 24/11/2016Le 24/11/2016 à 10h 11
Rythme ou fréquence cardiaque ?
Généralement, les capteurs mesurent la fréquence cardiaque : le nombre de battements dans un temps donné (généralement une minute). Le rythme cardiaque est différent : c’est une mesure la régularité. Mon cœur peut battre à 60 battements par minute (c’est sa fréquence) mais s’il fait ses 60 battements en dix secondes et cesse de pomper les 50 secondes suivantes, c’est de l’arythmie. Dans les deux cas, la fréquence cardiaque est identique, mais dans l’un la personne va bien et dans l’autre elle tombe dans les vapes.
La confusion est courante, mais je me permets de vous la faire remonter :)
Ebooks : l’avocat général de la CJUE juge le taux fort de TVA « actuellement » justifié
Le 12/09/2016Le 14/09/2016 à 07h 07
Le 12/09/2016 à 12h 46
Le 12/09/2016 à 12h 43
Le 12/09/2016 à 12h 27
Le 12/09/2016 à 11h 43
Ton raisonnement se tient, sauf que la TVA différenciée concerne le livre numérique en général, et non le livre numérique avec gestion des droits de lecture (DRM).
N’oublie pas d’étendre ton raisonnement à la différence entre livre et ebook sans DRM. Eux non plus ne sont pas les mêmes produits. Mon livre physique n’existe qu’en une copie, alors que mon ebook sans DRM peut-être prêté, revendu, donné sans que j’ai à me séparer de lui. Si je veux trois copie d’un roman pour les mettre dans trois endroits différents (maison, bureau, logement de vacances), je dois acheter trois fois un exemplaire physique alors que l’électronique m’en dispense. En ce sens, le livre numérique devient déjà un service, DRM ou non.
LG annonce son V20 : deux écrans, trois caméras, Quad DAC et Android 7.0
Le 07/09/2016Le 07/09/2016 à 17h 24
Merci pour l’adresse pas très précise. Head-fi, c’est le forum sur lequel on trouve des internautes publiant des tests très sérieux. Du genre celui-ci :
http://www.head-fi.org/t/817872/testing-changes-that-could-affect-audio-performa…
En résumé : deux fichiers identiques peuvent sonner différemment selon qu’ils aient été copiés l’un avec l’explorateur de Windows, l’autre avec un autre logiciel. Et le mec qui avance ça a fait un test ABX : il a nommé un fichier A, un autre B, un troisième X et a écouté tout ça à la suite… un test ABX " />
Le 07/09/2016 à 16h 41
Le 07/09/2016 à 11h 05
« Cela devrait permettre non seulement de délivrer un son de meilleure qualité […] mais aussi de supporter nativement des formats de compression sans perte comme le FLAC, le DSD, l’AIFF et l’ALAC. »
FLAC et ALAC sont des formats de compression sans perte des données PCM. AIFF est du simple PCM (l’équivalent d’Apple des fichiers WAV), encore qu’il existe comme pour le WAV des modes de compressions avec pertes. DSD est un format radicalement différent du PCM, codé sur un bit.
Le DSD connait deux formats: DSF et DFF qui ne sont pas compressés. L’un des deux peut être compressé sans perte au format DST, et à l’heure actuelle aucun baladeur compatible DSD ne décode ce format DST (c’est un gouffre à ressources sur PC).
Je récapitule :
— formats compressés = FLAC et ALAC
— Formats sans compression : AIFF (PCM) et DSD.
Je trouve au passage la formulation quelque peu maladroite. À vous, lire, le quadruple DAC permet autant d’améliorer en théorie le son que de lire du FLAC et les autres formats. Or ce n’est pas le cas. FLAC nécessite très peu de ressources pour être lu (le format demande moins de ressources que du simple MP3) : http://www.rockbox.org/wiki/CodecPerformanceComparison…et le plus petit des processeurs audio dispose des ressources nécessaires pour y arriver :)
Firefox 51 gèrera nativement le codec audio FLAC
Le 05/09/2016Le 05/09/2016 à 16h 47
Le 05/09/2016 à 12h 06
Le 05/09/2016 à 11h 20
Le 05/09/2016 à 11h 17
Netflix : des revenus en hausse malgré des recrutements en pause
Le 19/07/2016Le 19/07/2016 à 14h 28
Qui, “ils” ?
Le 19/07/2016 à 13h 52
Le 19/07/2016 à 12h 15
Un des freins au renouvellement continu de l’enthousiasme et du recrutement est aussi la faible extension du catalogue. Je m’étais abonné le jour de la sortie de Netflix en France (sept. 2014). C’était sympa mais quand même assez décevant, surtout côté films. Mais c’était le début, et l’entreprise promettait une croissance rapide du catalogue. Je me désabonne l’été suivant (faute de temps pour profiter de l’abonnement, et aussi par déception devant un catalogue toujours aussi terne). Cette semaine j’ai repris un abo (avec de nouveau un mois gratuit, c’est étonnant). Et force est de constater que le catalogue de films me semble toujours bien exigu. Pratiquement deux ans après les promesses du lancement, non tenues à mon sens.
L’intérêt pour Netflix me semble du coup porté par les séries, surtout que l’entreprise produit les siennes. La visualisation avec génériques coupés est vraiment agréable. Mais bon, c’est chronophage, et on peut attendre autre chose d’un site de VOD qu’une avalanche de productions formatées pour la TV.
Amazon : une nouvelle Kindle plus fine, pour le même prix
Le 23/06/2016Le 25/06/2016 à 21h 31
Les critiques adressées à la Kindle, sur ce topic en particulier mais ailleurs en général, ne concernent pas la maniabilité, la légèreté, la stabilité ou l’autonomie. Les critiques se cristallisent autour de l’écosystème propriétaire (vente de fichiers protégés, sans interopérabilité possible sur la plupart des liseuses d’autres marques, sauf celles où l’application Kindle peut être installée) et du refus obstiné d’Amazon de supporter l’ePub.
Je n’ai pas de Kindle, mais j’avoue que l’argument des formats me concerne peu. Je ne vois pas comment je pourrais utiliser une liseuse sans travailler a minima les métadonnées, et pour cela j’utilise Calibre. À partir de là, tout devient transparent. Il me serait même possible d’acheter sur Amazon et de lire sur Kobo.
L’ePub me semble préférable, car il est un standard de l’IDPF. Ceci dit, le format n’est pas universel (puisque les Kindle, liseuses majoritaires sur les gros marchés, ne le supporte pas). Et l’universalité est perdue avec la mise en place des DRM : les DRM sont propriétaires. Il y a ceux d’Adobe (les plus répandus), ceux de Kobo, ceux d’Apple, et les derniers nés de Care. Pour résumé, l’ePub est un format qui aspire à l’universalité et dont les DRM prennent le chemin inverse. Compte tenu de cette situation, je ne suis guère enclin à soutenir aveuglément ce format :)
Le 23/06/2016 à 14h 09
Le 23/06/2016 à 13h 47
Le renouvellement semble en effet plus lent que d’autres produits.
Par contre, la concurrence des liseuses pour la lecture ne vient pas tant des tablettes que des smartphones, dont l’usage devient d’autant plus concurrentiel que la diagonale de base frôle désormais celle des écrans eInk. Je pense que dans le métro tu verras plus de smartphone que de liseuses ;)
http://www.sne.fr/wp-content/uploads/2016/03/02-Barometre-usages-livre-numerique…
Le 23/06/2016 à 13h 41
Avec ma H2O (écran 1440×1080, 265ppp de 6,8 pouces), je trouve l’expérience peu satisfaisante. Mais d’autres utilisateurs ont déjà exprimé leur satisfaction.
J’orienterai les personnes vers des diagonales plus grandes, à condition que l’écran reste très défini (ce qui exclu la Cybook Ocean). Une liseuse pas trop exotique serait la Pocketbook Inkpad (8’, 1600×1200), dont le seul inconvéniant éventuel serait l’absence de support des formats CBR/CBZ (conversion en ePub par Calibre possible en revanche). Il existe des liseuses de plus grandes tailles, mais les marques sont peu distribuées en France (jette un oeil aux liseuses de marque Onyx).
Le 23/06/2016 à 13h 14
Dès 2010 la société eInk a mis sur le marché des dalles eInk Triton permettant l’affichage couleur. Deux liseuses couleurs ont vu le jour :
Une Pocketbook :
http://www.pocketbook-int.com/fr/products/pocketbook-color-lux
Une autre de marque très marginale, la Ectaco Jetbook Color :
https://en.wikipedia.org/wiki/Ectaco_jetBook#JetBook_Color
Deux produits, deux fiasco. La couleur ne suffit pas. Il faut encore que les couleurs soient bonnes et plaisantes, ce qui est très loin d’être acquis. Tous les écrans rétro-éclairés ont l’avantage d’offrir des couleurs vives et éclatantes. Ça a d’ailleurs toujours été l’avantage des dispositives (rétro-éclairées) sur le tirage papier, et ça continuera à l’être entre des écrans LCD/OLED et des écrans à technologies d’affichage qui nécessitent une lumière incidente. En d’autres termes, les écrans passifs couleurs vont forcément décevoir plein de gens, qui préféreront les tablettes, ce qui limite le marché potentiel, et fragilise l’éclosion de ces technologies.
On peut encore ajouter les lenteurs de l’eInk et la rémanence qui reste encore d’actualité. Même si des dalles parvenaient à sortir en offrant de belles couleurs saturées, beaucoup trouveraient ces dispositifs lents et manquant de polyvalence. En plus d’être chers.
@en réponse à crysalide et jacklejack :
certaines liseuses permettent d’ajouter des polices de son choix. Entre autres, PocketBook et Kobo. Un simple copier/coller suffit. Pour les malvoyants qui auraient besoin de très gros caractères, prévoir des liseuses de grandes tailles pour pouvoir au moins afficher un mot par ligne. Onyx fait de bonnes liseuses 9”, et ces derniers mois plusieurs liseuses 13” ont vu le jour.
Le 23/06/2016 à 11h 35
Une des nouveautés techniques que ne mentionne pas l’article est l’arrivée du Bluetooth, qui permet la transcription vocale (text to speech) sur cet appareil. En conséquence, cette nouvelle liseuse double sa quantité de RAM pour rendre possible cette fonction.
Le 23/06/2016 à 11h 14
Le 23/06/2016 à 10h 03
À ce prix, tu as sans doute pris une Paperwhite 3. Avec ta commande, tu auras un écran bien plus défini (300ppp vs 167ppp), au fond plus blanc, meilleur contraste, et en plus un éclairage frontal.
Le Creative Cloud d’Adobe gagne encore du terrain
Le 22/06/2016Le 22/06/2016 à 12h 53
SFR : derrière les hausses et l’option Presse au prorata mystère se cache parfois une TVA négative
Le 20/05/2016Le 20/05/2016 à 17h 18
Petit truc : j’ai appelé Numericable/SFR pour obtenir des clarifications sur la double augmentation de tarifs (1,19 il y a quelques mois, et 1 € ce mois-ci). Je partais d’un abo iStart à 25 euros. Après la récitation d’usage de mon interlocutrice (SFR a amélioré son service patati patata) et lui rétorquant que de mon côté je n’avais rien noté excepté SFR presse, elle m’a passé le service commercial.
L’interlocuteur, après avoir vérifié mon identité, a relevé la double hausse, et m’a proposé trois euros de remise pendant un an (contre engagement) en précisant que je devais les recontacter dans douze mois pour la prolonger. Il a quand même essayé de me fourguer un abo mobile, mais le moyen imparable de clouer le bec à tout commercial est de leur dire que vous payer 3,99 € par mois en illimité avec 50 GO de 4G " />
En ce qui me concerne, mon abo est très avantageux (100Mbps) et mes goûts m’éloignent de la télévision. Me réengager ne me dérange en rien, tous les concurrents ne pouvant que me proposer de l’ADSL là où je vis, et donc un débit trois à quatre fois moindre dans le meilleur des cas, je n’envisage pas de changer de formule.
Donc si parmi vous certains comptent ne pas changer de fournisseur, un appel téléphonique de quelques minutes devrait vous permettre de faire diminuer la facture.