Okki
est avec nous depuis le 11 novembre 2009 ❤️
Linuxien depuis 1996, actuellement sous Fedora avec l'environnement de bureau GNOME.
I ❤️ systemd, Flatpak, PipeWire, Wayland… et toutes les nouveautés qui font hérisser le poil des grincheux (sauf si ça vient de Canonical 😝)
1318 commentaires
Fleur Pellerin peu inspirée par les licences libres pour les photos de musées
13/08/2015
Le 14/08/2015 à 17h 12
Le 14/08/2015 à 10h 23
Pour en revenir à l’article initial, on comptait justement sur les musées, qui possèdent les œuvres originales et sont les plus à même de produire des reproductions numériques fidèles, de haute qualité et sous licence libre, qui puissent être réutilisables légalement et gratuitement par Wikipédia, des livres sur l’art, des manuels scolaires ou n’importe quel citoyen avec des idées.
D’autres pays ou musées l’ont fait. Je vous invite d’ailleurs à lire l’article Le syndrome de la Laitière jaune, où l’on apprend qu’énormément de versions de ce tableau ont beau circuler sur le net, la colorimétrie n’est jamais bonne. Le musée qui possède l’œuvre a donc décidé de publier lui-même une version fidèle, en haute résolution et sous licence libre, qu’il considère comme étant le meilleur moyen de contrer la prolifération des reproductions de mauvaise qualité.
Le 14/08/2015 à 09h 23
Le 14/08/2015 à 08h 18
Le 13/08/2015 à 16h 57
Quand tu fais une photocopie, tu n’indiques pas la marque de la photocopieuse et le nom du propriétaire de la machine. Dans le cas de photographies d’œuvres en deux dimensions, il faut bien se dire qu’il ne doit pas y avoir la moindre originalité, que la photo doit être la plus fidèle possible à l’œuvre photographiée.
À partir de là, qu’elle soit prise par Pierre, Paul ou Jacques, le résultat est censé être identique. Il n’y a donc aucun raison d’indiquer le nom du photographe, et encore moins de créer de nouveaux droits dessus, comme ça semble être malheureusement le cas aujourd’hui.
Si un tableau est dans le domaine public, alors sa reproduction fidèle devrait l’être aussi.
Le 13/08/2015 à 16h 19
Je suis d’accord avec toi, mais ça ne fonctionne qu’avec les œuvres en deux dimensions (tableaux, dessins…). Puisque effectivement, c’est assimilable à une bête photocopie. Par contre, pour les œuvres en trois dimensions (statues…), tu peux les photographier sous différents angles, distances, cadrages, jeux de lumière… ce qui créera autant de photographies différentes.
Flopée de correctifs pour OS X, iOS, iTunes et support de Windows 10 pour Boot Camp
14/08/2015
Le 14/08/2015 à 08h 35
la fiche de description montre en fait des dizaines de vulnérabilités colmatées
Ça me fera toujours autant halluciner que les correctifs soient prêts, mais que l’éditeur décide d’attendre une date fixe pour tout balancer d’un coup.
Je préfère largement la méthode libre, où chaque correctif sort quand il est prêt, histoire de ne pas être bêtement et inutilement exposé à des failles pendant une période indéterminée.
LibreOffice 5.0 : un grand ménage et de nombreuses améliorations
05/08/2015
Le 06/08/2015 à 19h 07
Le 06/08/2015 à 16h 27
Il faut voir s’il s’agit de logiciels libres ou uniquement de logiciels commerciaux. Dans le second cas, le détenteur du brevet peut effectivement autoriser d’autres parties à s’en servir contre rétribution. Ce qu’un logiciel libre téléchargeable gratuitement ne pourra pas se permettre.
Le 06/08/2015 à 15h 32
Le 06/08/2015 à 12h 58
Le 06/08/2015 à 12h 42
Le 05/08/2015 à 22h 48
Le 05/08/2015 à 20h 40
Le 05/08/2015 à 20h 28
LibreOffice, et de loin. De par leurs licences respectives, LibreOffice peut récupérer toutes les améliorations apportées à OpenOffice, mais l’inverse n’est pas vrai. Ensuite, la communauté a clairement choisi LibreOffice, qui bénéficie donc du plus grand nombre de contributeurs.
* LibreOffice vs Apache OpenOffice
* The road to LibreOffice 5.0
Puis bon, pour moi, OpenOffice est clairement un projet qui se refuse à mourir et qui ne représente au final qu’un gaspillage de ressources. Ça serait bien plus productif qu’IBM et la fondation Apache se décident enfin à basculer définitivement sur LibreOffice.
Le 05/08/2015 à 18h 40
C’est la nouvelle du jour. GNU/Linux ça ne fonctionne pas. Et c’est bien pour ça que la majorité des serveurs de par le monde utilisent ce système, et que des géants comme Google, Facebook, Intel ou Samsung y contribuent.
Avant Windows, il y avait MS-Dos. Et le projet GNU ne fournissait qu’un ensemble d’outils. La toute première version du noyau Linux, alors inutilisable au quotidien, a été publiée en 1991. Et ce n’est que plus tard encore qu’on a vu apparaître les premières distributions GNU/Linux.
L’argument de la gratuité est surtout mise en avant par les windowsiens, ainsi que les entreprises et administrations qui cherchent à faire des économies ou jouer la carte de la menace de passer au libre pour faire baisser le prix des licences lors de négociations.
Rechercher un clone gratuit de Windows n’a aucun intérêt et ne correspond absolument pas à GNU/Linux. À la limite, pour ça, il existe le projet ReactOS. L’intérêt de Linux et de son écosystème, c’est bel et bien d’être libre, d’être respectueux de la vie privée et des utilisateurs, d’offrir le choix, d’être bidouillable à l’envi, de pouvoir adapter le code à ses besoins, de pouvoir contribuer et s’investir dans les projets qui nous intéressent…
Pour l’audio, la référence c’est désormais PulseAudio (avec Alsa pour la partie bas niveau, mais l’utilisateur n’a pas à s’en préoccuper).
Pour les environnements de bureau, je trouve ça très bien qu’il y ai du choix. Franchement, ça m’ennuierait qu’il n’y ai qu’une seule marque de voitures ou de quoi que ce soit d’autre. Et personnellement, je trouve au contraire qu’il existe de très bons bureaux tels que GNOME, Cinnamon ou Pantheon (bien qu’encore très jeune).
Le problème, ça serait plutôt que la majorité des gens refusent de faire l’effort de s’intéresser aux offres concurrentes de ce qu’on leur a imposé avec leur machine. Et si par chance ils veulent bien jeter un œil à GNU/Linux, ça ne sera généralement qu’au travers d’Ubuntu et Unity…
Le 05/08/2015 à 17h 35
Le 05/08/2015 à 17h 10
Ton post contient tellement d’inepties, que je ne sais par où commencer.
Tu ne dois pas fréquenter les bons forums. Il existe des sites comme stackexchange.com qui fournissent des réponses incroyablement précises.
Niveau documentation, des distributions commerciales comme Red Hat fournissent une documentation particulièrement complète à leurs clients (et niveau communautaire, le wiki anglophone d’Arch est particulièrement complet). Et puisque t’as payé pour du support, en cas de soucis, ce n’est pas démerde-toi tout seul, puisque tu bénéficies d’un interlocuteur clairement identifié.
Après, si tu choisis une distribution communautaire, oui, il faudra faire avec la communauté. Mais ce n’est en rien une obligation.
En ce qui concerne le nivellement par le bas, on trouve effectivement des distributions à destination des débutants (typiquement Ubuntu), dont les forums sont le reflet de leurs utilisateurs. Maintenant, on trouve également des distributions beaucoup plus techniques (genre Arch ou Gentoo), avec des utilisateurs nettement plus pointus. Et là, j’aurais plus tendance à penser que le niveau est clairement supérieur à ce que l’on peut trouver sous Windows.
Non, il n’y a pas zéro assistance. Encore une fois, tu peux payer pour.
Pour les énormes erreurs structurales, je serais curieux de savoir lesquelles. Il est toujours facile de balancer ce genre d’accusation sans le début d’une piste, sans la moindre source…
Si les modifications de fond prennent des années, ce n’est pas parce que tout le monde te saute dessus, mais par un manque de moyens. Tout le monde ne prend pas du support auprès de distributions commerciales ou d’entreprises qui contribuent à LibreOffice ou tel autre projet libre. Moins d’argent signifie moins de développeurs, d’ergonomes, de rédacteurs pour la documentation…
Je trouve la hiérarchie des systèmes de fichiers Unix particulièrement bien pensée. Le fait que t’ai été formaté dès le départ aux choix de Microsoft ne signifie nullement que c’était ce qu’il y avait de mieux. Le fait qu’ils aient d’ailleurs déplacé les données personnelles qui étaient autrefois dans un sous-répertoire système me fait d’ailleurs penser le contraire.
Et pour finir, si Microsoft domine le marché, c’est uniquement dû au fait qu’ils sont arrivés les premiers. Comme le signale le prix Nobel d’économie Paul Krugman, « les premiers arrivés sur le marché sont avantagés ». S’en est suivi la vente liée, ainsi que l’enfermement des utilisateurs dans des formats et protocoles propriétaires, ce qui finit par créer un cercle vicieux de dépendance.
Sans parler de leur fameuse stratégie du Embrace, extend and extinguish…
Le 05/08/2015 à 16h 11
Les réserves de la DISIC sur le contrat Open Bar entre Microsoft et les ministères sociaux
28/07/2015
Le 28/07/2015 à 11h 23
OpenSSL : nouvelle mise à jour pour une faille critique
09/07/2015
Le 11/07/2015 à 19h 01
En parlant d’OpenBSD, suite à l’intégration d’OpenSSH dans Windows 10, Microsoft a décidé de devenir le tout premier Gold contributor de l’OpenBSD Foundation ;)
Sinon, pour BoringSSL ou LibreSSL, on verra si ça donne quelque chose de bien un jour, mais pour le moment, ce ne sont que des forks, de la division de moyens…
Pour le moment, si on a enfin pu attribuer des moyens financiers à OpenSSL et à d’autres projets cruciaux, c’est avant tout grâce à la Linux Foundation et à sa Core Infrastructure Initiative.
La prochaine version de Steam OS s’appuiera sur Debian 8.1
26/06/2015
Le 30/06/2015 à 19h 52
Le 29/06/2015 à 16h 53
Dans le domaine des nouvelles technologies, ce n’est vraiment pas évident de prédire l’avenir. Quelques années en arrière, Microsoft était persuadé de l’échec des smartphones. Tout comme on pensait que Windows serait à tout jamais hégémonique. Alors qu’à l’arrivée, les sites web sont désormais majoritairement consultés sur mobile, ce sont les jeux mobiles qui se vendent le plus au détriment des consoles, et les OS majoritaires sont désormais iOS et Android.
Dans d’autres domaines, Chrome est devenu le navigateur le plus utilisé en très peu de temps, et certains protocoles autrefois hégémoniques comme MSN, ont laissé place à des outsiders comme WhatsApp, Facebook et compagnie.
Demain, on peut donc très bien voir apparaître un nouvel acteur ou un nouvel usage qui chambouleront le marché PC tel qu’on le connaît aujourd’hui.
Voir peut être de nouvelles lois. Quand l’Europe a imposé le « ballot screen » qui offrait le choix du navigateur web au grand public, ça a énormément changé la situation. On peut donc rêver qu’un jour, ils fassent de même pour les systèmes d’exploitation.
Oui oui, je suis un doux rêveur ;)
Le 28/06/2015 à 20h 21
Le 28/06/2015 à 06h 07
On est d’accord, les Netbooks sous Linux furent un gros échec. Néanmoins, il y a certains points à prendre en compte. Pour commencer, ils sont sortis en janvier 2008. Il y a huit ans de ça, le support matériel, les environnements de bureau, le nombre d’applications disponibles… n’avaient rien à voir avec la situation actuelle.
Ensuite, plutôt que d’opter pour la distribution qui avait le vent en poupe, Ubuntu, qui faisait de gros efforts pour simplifier l’utilisation de Linux, qui avait déjà une communauté conséquente… ils avaient préféré opter pour Xandros, projet foireux du moment, qui tentait de déguiser un environnement Linux comme si c’était un bureau Windows, qui installait et configurait Wine par défaut pour faire croire que l’on pouvait faire tourner toutes les applications Windows, et dont la finition du projet était loin d’égaler ce qu’on trouvait sur d’autres distributions.
Ce fut pour moi une grosse erreur. Et pour achever le tableau, il n’y a eu aucune communication pour expliquer les avantages de Linux et du libre, aucun accompagnement des utilisateurs. Au final, ça donne surtout l’impression de constructeurs qui n’avaient pas envie de payer la licence Windows et comptaient augmenter leurs marges en refilant du Linux.
D’autant plus d’hommage qu’en étant plus honnête, en jouant correctement le jeu et en s’investissant dans le libre (contribution financière ou de développeurs à l’environnement de bureau utilisé, par exemple), ça aurait pu avoir bien plus de succès.
Pour le reste de ton post, on voit clairement que t’es pro-Microsoft et que Windows 10 s’annonce comme la huitième merveille du monde. Ce n’est donc pas la peine de revenir sur cette partie ;)
Le 27/06/2015 à 17h 23
Il y a deux mois, Ubuntu indiquait avoir 25 millions d’utilisateurs (« Today we count over 25 million users and the numbers keep growing rapidly »)
Faut se dire qu’autant en Occident, on a du mal à trouver des machines avec Linux pré-installé, autant Ubuntu s’est associé avec Dell et HP pour commercialiser des machines avec Ubuntu pré-installé dans 1500 points de vente en Chine, 850 en Inde, 500 en Amérique du Sud… Et depuis peu, ils se sont également attaqués à la Russie et au Royaume-Uni.
Ensuite, il y a toutes les entreprises qui utilisent Red Hat / CentOS, et tous ceux qui préfèrent telle ou telle autre distribution.
Licencié pour avoir utilisé un logiciel Adobe piraté
25/06/2015
Le 29/06/2015 à 10h 13
Oui, sous Linux c’est généralement automatique. Par contre, effectivement, c’est plutôt rare que les sites web soient également traduits.
Le 29/06/2015 à 09h 47
Ne connaissant pas du tout Windows, je ne sais pas comment s’effectue le choix de la langue sur ce système, si c’est automatique ou s’il faut effectuer le bon choix dans les préférences. Mais sous Linux, ils sont tous en français.
Le 26/06/2015 à 09h 10
Quelques années en arrière, il n’y avait quasiment que GIMP. C’était la référence en terme de logiciel libre. Depuis, de nombreux projets, parfois plus spécialisés, ont fait leur apparition. Par exemple, niveau photographie, pour le workflow et le traitement d’images raw, il est désormais préférable de passer par darktable, digiKam ou RawTherapee.
Ensuite, en terme de communauté ou de développement actif, les références se situent désormais plutôt du côté de Krita ou Blender. Ils arrivent plus facilement à rassembler leurs utilisateurs et réussir des campagnes de financement participatif régulières, ce qui leur permet de pouvoir employer des développeurs à temps plein, et donc de progresser plus vite.
En comparaison, on a parfois l’impression que GIMP fait du surplace. Il faut donc espérer que la situation puisse s’améliorer avec la sortie prochaine de la version 2.10 et le passage à GEGL, qui est amené à être utilisé par bien d’autres projets, ce qui facilitera le travail collaboratif.
Le 26/06/2015 à 08h 55
Le 26/06/2015 à 08h 18
Le 26/06/2015 à 06h 30
Le 26/06/2015 à 01h 06
Le 26/06/2015 à 00h 46
Le 26/06/2015 à 00h 30
Le 25/06/2015 à 13h 01
J’imagine que tu connais déjà et que t’as sûrement déjà du tester par le passé, mais la dernière version d’Inkscape a fait un énorme pas en avant. Ça vaudrait le coup d’y rejeter un oeil.
Sinon, dans le dessin bitmap, Krita réussi tous les ans ses campagnes de financement participatif, ce qui lui permet de progresser rapidement, avec pas mal d’avantages à faire valoir.
Le 25/06/2015 à 12h 56
Je viens de tomber sur ce document. À la fin, il y a une partie Audit logiciel, ce que dit la loi. De ce que je comprends, tout dépend des logiciels et des contrats de licence. Oracle a sûrement du obliger ses clients à accepter de se soumettre à des audits. Mais ça me paraîtrait étonnant que ce soit le cas de tous les éditeurs.
Je peux me tromper, mais j’imagine que ça concerne surtout les applications métier particulièrement onéreuses, pour lesquels ça peut valoir le coup de mandater un cabinet d’audit qui enverrai des gens sur place pour vérifier la conformité du parc.
Encore une raison de préférer le logiciel libre " />
Le 25/06/2015 à 12h 44
La BSA a réellement le droit de mener de tels contrôles ?
Le noyau Linux 4.1 inaugure le chiffrement pour Ext4
24/06/2015
Le 25/06/2015 à 00h 19
Il y a comme de l’écho " />
Le 24/06/2015 à 22h 28
Richard Hughes et Red Hat ont également mis en place une infrastructure pour que les constructeurs puissent mettre en ligne leurs firmwares, et que du côté utilisateur, on puisse ensuite faire la mise à jour comme pour n’importe quelle autre application, directement depuis la logithèque (c’est censé fonctionner avec GNOME Software dans la prochaine Fedora 23, et j’imagine qu’il en sera de même pour Muon sous KDE et compagnie).
Mageia 5 enfin disponible en version finale, avec le support de l’UEFI
22/06/2015
Le 23/06/2015 à 08h 36
On peut plus ou moins installer n’importe quel environnement sur n’importe quelle distro (exception faite d’Unity, dont Canonical patch les différentes bibliothèques sous-jacentes dans tous les sens), mais ça n’en fera pas une bonne intégration pour autant.
Est-ce qu’il y a les bonnes applications par défaut ? Et les bonnes versions ? Selon les applications GNOME, Ubuntu a par exemple longtemps proposé un mix pouvant aller jusqu’à plusieurs versions de retard. Dans la dernière Ubuntu GNOME que j’ai testé, un certain nombre d’applications officielles (Horloges, Logiciels, Machines, Musique, Photos, Web…) étaient également manquantes.
On peut également citer le choix du thème (GTK+, icônes…). J’ai déjà croisé certaines distributions proposer GNOME par défaut, mais avec un autre thème que l’officiel, Adwaita, qui pouvait contenir certains bugs d’affichage. Toujours sur la question du thème, si on prend le cas de Fedora, ils ont créé une version d’Adwaita pour les applications Qt, histoire qu’elles s’intègrent mieux dans l’environnement GNOME. Ça ne sera pas forcément repris par les autres distributions.
Donc oui, dans l’ensemble ça fonctionne, mais quand tu n’y apporte pas un soin tout particulier, il peut y avoir tout plein de petits détails gênants qui font que ça ne sera pas parfait. Et comme les moyens humains ne sont pas extensibles, en général ils se concentrent bien sur un environnement en particulier, et pour les autres, ça fait plus office d’offre de seconde classe.
Maintenant, ce n’est qu’un avis personnel ;)
Le 23/06/2015 à 05h 11
Suivez en direct la conférence Google I/O
28/05/2015
Le 28/05/2015 à 23h 22
mouais, bof. En ce qui me concerne, je préfère un milliard de fois un vrai texte accompagné de quelques illustrations bien choisies, plutôt qu’un live blog qui va publier quinze mille photos pour faire du remplissage, avec une ou deux phrases à la con une fois de temps en temps.
Puis quand tu réagis à chaud, en direct, tu ne peux pas prendre le temps de la réflexion, de proposer une analyse, de retrouver des sources…
S’ils roulaient sur l’or, ça aurait pu être proposé en plus. Mais comme ce n’est pas le cas, je préfère qu’ils mettent leurs ressources sur autre chose, de plus intéressant.
Fedora 22 apporte un lot conséquent de nouveautés et introduit Wayland
27/05/2015
Le 28/05/2015 à 10h 02
En même temps, il y a quelques temps j’avais lu un article à ce sujet sur Gaming on Linux, qui semblait dire que la méthode de calcul de Valve était plutôt obscure. Du genre, si tu fais tes premières parties sous Windows, et qu’ensuite tu continues sous Linux, ça ne comptabilisera que Windows.
Sinon, rien à voir, mais je viens de lire qu’ils venaient de remplacer le logo Tux par celui de SteamOS. Comme ça les gens ne sauront plus que ça fonctionne sous Linux, et ils se contenteront de jouer sur leur SteamBox.
Le 28/05/2015 à 09h 05
Pour commencer, Fedora, clairement, c’est GNOME. Il existe d’autres spins pour faire plaisir, mais Fedora a toujours été pro-GNOME, ce sont de gros contributeurs au projet, et tous leurs efforts sont concentrés sur ce dernier.
J’avais écrit un article qui récapitulait un peu toutes les nouveautés, et Fedora Magazine vient d’en publier un autre en mettant le focus sur certaines d’entre elles.
En ce qui concerne GCC, de ce que j’ai compris, ils ont préféré y aller doucement. Pour cette version, ils ont gardé l’ancienne ABI, et il n’y a pas eu recompilation de l’ensemble des paquets (d’ailleurs, à ce propos, Fedora 22 contient toujours de vieux paquets fc21, mais c’est normal). Je ne pense donc pas qu’il y ai de gros changements à ce niveau. Ça se verra sans doute plus dans la version suivante.
Pour DNF, j’ai cru comprendre qu’il était nettement plus rapide et léger (gestion des dépendances, consommation mémoire…). C’est toujours bon à prendre ;)
Finalement, d’un point de vue purement technique, cette version était plutôt légère en nouveautés. Plus stable, mieux peaufiné, quelques nouveautés bienvenues, comme le centre de notifications de GNOME (on notera d’ailleurs que pour les longues tâches dans le terminal, seul Fedora bénéficie des notifications. Même chose pour la transparence). À mon avis, ceux qui ne souhaitent pas mettre à jour à chaque version, devraient opter pour cette version.
Avec Fedora 23 et le passage à Wayland, et Fedora 24 et l’arrivée des applications sandboxées, ainsi que la gestion atomique des mises à jour (qui, normalement, devraient permettre de pouvoir faire machine arrière à tout moment en cas de problème, permettant au système de faire face à toute mise à jour foireuses), il y aura plus de nouveautés conséquentes (et sûrement des essuyages de plâtre à prévoir).
Si tu lis l’anglais, je te conseil ce billet de blog de Paul Frields (le manager de la Fedora Engineering team).
Puis terminons sur une petite vidéo promo ;)
Le 28/05/2015 à 07h 56
Ça a de toute façon toujours été un faux argument, cette histoire de choix. On a cinquante constructeurs automobiles et quinze mille modèles différents. Même chose pour les téléviseurs, les smartphones, l’électro-ménager, la presse féminine, le prêt-à-porter ou tout ce que vous voulez. Ça n’empêche pas les gens de choisir et de prendre ce qui leur plaît.
Ben là, ça sera pareil. Suffira de faire des pubs à la con ou de mettre de jolies images qui mettent en valeur ton produit. Tant que ça reste compatible et que tu peux utiliser tes applications sur l’une ou l’autre, ce n’est pas plus important que ça.
Le 28/05/2015 à 07h 35
Je ne suis pas d’accord. D’avoir deux serveurs d’affichage, divise d’autant les efforts. Ce qui signifie un développement moins rapide des deux projets, moins de fonctionnalités, de corrections de bugs…
Ensuite, ça ne se limite pas au serveur d’affichage. Il faut également que les toolkits (Qt, Gtk+…) soient compatibles. Ce qui signifie du travail en plus (implémenter le support, puis gérer sa maintenance). Même chose pour les pilotes de cartes graphiques, qui doivent également être compatibles. Aussi bien de la part des drivers propriétaires gérés par de grandes entreprises, que des drivers libres, dont le faible nombre de développeurs auraient sans doute préféré consacrer leurs efforts à autre chose. Même chose également du côté des applications qui n’utiliseront pas les principaux toolkits, comme ça peut être le cas de lecteurs vidéo en ligne de commande (mplayer / mpv), qui devront développer et maintenir des plugins de sortie pour les deux serveurs. Et ainsi de suite.
Au final, je pense sincèrement que leur but, c’est de voir les développeurs développer, non plus des applications Linux, mais des applications Ubuntu. Quand tu commences à coder avec l’Ubuntu SDK (Mir, Unity… et encore, ils ont finalement échoué avec upstart, malgré toutes leurs pressions pour tenter de faire plier Debian quand ils ont eu à se prononcer sur le passage ou non à systemd), et sachant que les technologies propres à Ubuntu ne sont utilisées nulle part ailleurs (on se demande bien pourquoi), ça va clairement dans ce sens.
Le 28/05/2015 à 07h 22
Ou leur logithèque rien que pour eux, ou Launchpad qu’ils ont mis un temps fou à libérer (et qui est toujours aussi merdique), ou l’obligation de leur céder tous les droits quand on contribue à leurs projets, ou le fait qu’ils ne contribuent quasiment jamais rien aux projets upstream, ou la dernière affaire avec l’Ubuntu Community Council, ou le fait d’être atteint du syndrome NIH (bazaar, upstart, mir, unity, lxd, snappy…), ou le fait de vouloir imposer un rythme de sortie à tous les projets pour que ça coïncide le plus avec ce qui arrange Ubuntu, ou le fait d’avoir abandonné GNOME pour inventer un énième truc foireux plutôt que d’améliorer ce qui aurait eu besoin de l’être…
Ubuntu, ça a été bien durant quelques années, puis maintenant, sorti du fait qu’ils soient quasiment les seuls à proposer une version LTS, je ne vois plus trop ce qu’ils ont pour eux. C’est le degré zéro de l’innovation. Ça fait plusieurs années qu’il n’y a strictement rien de nouveau sur leur version desktop, tous les développements étant concentrés sur le cloud ou leur délire de téléphonie mobile.
Le 27/05/2015 à 23h 36
Mauvais environnement, changer environnement " />
GNOME est traduit en français à 99% (doit rester trois chaînes obscures perdues on ne sait où), et la documentation à 80%.
Maintenant, comme l’a signalé DotNerk, il ne faut pas hésiter à s’investir ;)
Le 27/05/2015 à 22h 43
En parlant de ça, n’ayant aucun handicap et ne connaissant absolument pas Windows, je pourrais difficilement comparer les deux offres, mais par défaut et gratuitement, à entendre cette personne, Linux semble bien plus accessible que Windows.
Récemment, je lisais également sur LinuxFR qu’une entreprise française se lançait dans la vente de machines sous Linux à destination de personnes ayant un handicap.