jcdr
est avec nous depuis le 22 novembre 2009 ❤️
Oups.
On dirait que quelqu'un ici aime garder ses petits secrets, comme si de par hasard il y avait quelque chose à cacher...
Désolé, ô lectrice de passage, cher lecteur égaré, pas de révélation sensationnelle pour le moment sur ce profil.
Repassez plus tard ?
56 commentaires
Des horloges accumulent du retard en Europe… à cause du réseau électrique
Le 08/03/2018Le 08/03/2018 à 15h 12
Le 08/03/2018 à 10h 09
L’écart du temps synchrone du réseau électrique européen se calcule par comparaison avec l’heure mondiale (heure UTC), qui est définie sur la base d’horloges atomiques ultraprécises.
Cet écart du temps synchrone est compensé en permanence. S’il est de plus de 20 secondes, la fréquence est corrigée dans le réseau. Pour équilibrer l’écart du temps, la fréquence habituelle de 50 Hz (Europe) est modifiée comme suit:
https://www.swissgrid.ch/swissgrid/fr/home/experts/topics/frequency.html
« Fake News » : le numérique, pierre angulaire de la future loi contre les fausses nouvelles
Le 05/03/2018Le 07/03/2018 à 15h 19
Le 07/03/2018 à 13h 40
Le 06/03/2018 à 10h 57
SpaceX : récupération loupée de la coiffe, prémices du réseau Internet mondial Starlink
Le 23/02/2018Le 23/02/2018 à 14h 52
Failles Meltdown/Spectre : Intel prépare des mises à jour avec ses partenaires pour le 9 janvier
Le 03/01/2018Le 08/01/2018 à 18h 46
Pour la petite histoire, il y a de plus en plus de spécialistes qui soupçonnent ouvertement Intel d’avoir volontairement lié Spectre à Meltdown pour tenter d’en atténuer les conséquences médiatiques. Dernier en date: le leader en OpenBSD https://www.itwire.com/security/81338-handling-of-cpu-bug-disclosure-incredibly-…
Le 06/01/2018 à 13h 06
Le 05/01/2018 à 23h 48
Google détaille trois failles, qui ont leur site dédié : après Intel, ARM confirme être touché
Le 04/01/2018Le 06/01/2018 à 14h 41
Le 05/01/2018 à 21h 40
Le 05/01/2018 à 19h 39
Le 05/01/2018 à 18h 11
Le 05/01/2018 à 17h 32
Le 05/01/2018 à 15h 46
Le 05/01/2018 à 14h 59
Windows 10 : une énorme build 17063 pour Noël, la Timeline disponible
Le 20/12/2017Le 20/12/2017 à 19h 05
Toujours pas de support utilisable de mDNS… Bientôt n’importe quel système embarqué à moins de 2$ sait faire du mDNS sans le moindre problème, mais après plus d’une décennie de développement ça ne semble pas encore à la portée de Microsoft…
Emmanuel Macron élu Président de la République
Le 07/05/2017Le 08/05/2017 à 14h 57
Le fait d’élire un président avec trop de pouvoir est un problème quelque soit le scrutin choisi, car il ne peux pas représenter toutes les orientations politiques de la population. Il faut plusieurs personnes, diversifiées, à la tête de l’état pour éviter le schéma majorité contre opposition. Travailler ensemble à la recherche de compromis est la seule solution pour éviter d’amplifier les conflits.
En remplaçant le poste de président tout-puissant par un collège de ministres qui ne peuvent faire que de l’exécutif, et en obligeant l’acceptation par le peuple des modifications législatives proposées par le parlement, là il y aura de gros changements..
Le 08/05/2017 à 11h 23
Le 08/05/2017 à 11h 10
Le 08/05/2017 à 09h 42
Vous faites une confusion entre les volontés des partis et celles des régions linguistiques. Vous trouverez des volontés politiques similaires dans toutes les langues. Si les proportions sont légèrement différentes, elles n’apparaissent généralement que lors de votations difficiles à départager.
Les cantons Suisses, les alémaniques en premiers, n’aiment pas transférer les tâches à la confédération. Quand à la souveraineté Suisse, elle appartient au peuple uniquement grâce à la démocratie direct, un outil des plus puissants pour forcer les politiciens à travailler correctement.
Le 08/05/2017 à 09h 18
Comme exposé dans mon premier message, la politique sans aucune frustration est une utopie, mais un bon système permet d’évoluer avec un minimum de frustration. Bien sûr que le système politique Suisse est perfectible (de même que le système politique Français).
La politique Suisse force aux compromis, y compris avec les Suisse Romands, qui sont représentés dans toutes les instances de l’état, y compris la plus haute, et votent sur tout les objets. Sur bien des sujets il y a mois de différences entres les langues qu’entre les idées. La preuve est que la plupart des partis importants sont actifs en plusieurs langues.
Le 07/05/2017 à 23h 20
Une histoire différente n’est pas un argument suffisant pour refuser une analyse. Les choses n’ont pas toujours été ce que’elles sont aujourd’hui, et quoi qu’il en soit, elles seront un jour différentes. Si il y a bien une constante dans cette élection, c’est bien l’appel au changement (mais lequel ?). Un changement s’inscrit dans l’histoire, il n’y a pas de contradiction entre les deux termes.
Le 07/05/2017 à 22h 50
Comment ne pas frustrer en parlant de politique ? Dans l’absolu, je ne pense pas que ce soit totalement possible, mais chacun peu reconnaître une gradation dans les débats. Un bon système politique est celui qui permet de trouver un maximum de solutions consensuelles, avec pour résultat le minimum de frustrations. Cela requière en premier lieu que la très grande majorité des citoyens se sentent représentés malgré leur différences d’opinons sur les nombreux sujets qui occupent un pays. Un président à lui tout seul ne peux pas y arriver en dehors de situation de crises très graves qui réunis une majorité sur un minimum de questions. En dehors de ces situations, un président incarne un pouvoir trop centralisé pour permettre des débats autre que “majorité” contre “opposition”, aussi vide que soit ces termes actuellement en France.
Je vis en Suisse, dont la constitution de 1848 est en partie inspiré de la constitution Française et des USA, alors des exemples enviés de modernisme politique. Quelques cantons ont à l’époque insisté pour que la tête de l’état soit un collège de plusieurs partis, un système traditionnel qui fonctionne bien pour eux. Semble-t-il une bonne idée, qui pourrait inspirer la France en retour.
Numérique : le programme d’Emmanuel Macron face à celui de Marine Le Pen
Le 24/04/2017Le 24/04/2017 à 14h 40
En même temps sans consensus je vois pas comment 4 forces politiques qui se partagent aux environs de 20% des citoyens vont pouvoir trouver des solutions. Car le fait de forcer à voter pour un candidat de second choix n’enlève en rien la frustration de ne pas se sentir représenté. J’ai entendu sur une TV Française que l’équipe de Macron travaillent à créer un programme politique pour répondre point par point à celui de Le Pen. Ça sent la bricole à plein nez pour juste optimiser une élection, comme si les promesses passées n’ont soudain plus aucune validité. Si un tel comportement est admis, il n’y a aucune raison pour qu’il ne se répète pas une fois l’élection terminée.
Le 24/04/2017 à 12h 12
En tant que Suisse je ne peux que souhaiter que les citoyens Français obtiennent le plus rapidement possible une représentation multipartisme proportionnelle et un vote direct de la population sur les modifications de la constitution. Seule façon à mon sens de mettre fin à l’affligeant et désolant spectacle médiatique digne du plus mauvais programme de télé-réalité qui n’a jamais existé. Jamais vu autant de négations et de trahisons par autant de “responsables” politique (ceux qui prétendre être des exemples) en aussi peu de temps. Quand le système est au delà de sa limite, il faut adapter le système. A entendre les médias Français on dirait que c’est le système qui vote pour lui-même à la place des citoyens. Invraisemblable…
ARM présente DynamIQ, flexibilité et intelligence artificielle sont les maitres-mots
Le 22/03/2017Le 23/03/2017 à 15h 01
Le terme Ai est de plus en plus régulièrement utilisé de façon très générique car c’est le buzz word à la mode en ce moment et probablement pour toute la prochaine décade. La conséquence est que chaque acteur du marché cherche à dire qu’il a quelque chose à offrir dans le domaine de l’AI. ARM ne coupe par à cette constatation. Il faut toutefois remarquer qu’il y a un réel engouement pour créer des applications qui permettent de dire qu’elles “apprennent” en terme de marketing même si techniquement le moyen mis en oeuvre est très éloigné de la point de la recherche en matière d’AI.
Ma compréhension de ce que ARM tente de communiquer est qu’ils projettent que la phase apprentissage des applications avec de l’AI va se faire majoritairement dans le cloud et que la partie utilisation post-apprentissage va se faire majoritairement sur des smartphones. ARM ne le fait pas par hasard, mais sur la demande de ses principaux clients et investisseurs. Tip: ARM a été racheté par le Japonais SoftBank qui est très actif dans la recherche en matière de robot en contact avec les humains.
Le 23/03/2017 à 14h 48
Oui, l’architecture big.LITTLE est très efficace. Aucune autre architecture n’arrive à l’heure actuelle à faire mieux en terme de modulation de la consommation en fonction de la vitesse de traitement. C’est du reste en se basant sur ce succès que ARM va plus loin aujourd’hui avec DynamIQ: le constat est le suivant: pour certain produits, le rapport idéal des coeurs big et des coeurs little n’est pas de 1:1 comme c’était le cas par défaut actuellement.
Pour comprendre pourquoi un coeur little consomme bien moins q’un coeur big, il faut constater que pour avoir des performances de pointes, il faut non seulement augmenter la fréquence et donc la tension, mais aussi beaucoup de traitement en parallèle (pipeline, etc…) de mémoire caches (L1, L2) et de prédiction de branchement performante, ce qui utilise beaucoup de transistors. Avec un coeur big il y a beaucoup plus de transistors qui commutent pour un même code et aussi beaucoup plus de transistors en tout qui ont une consommation même si il ne commutent pas. Donc on ne peut pas augmenter efficacement les performances d’un coeur little en augmentant sa fréquence et sa tension, et on ne peut pas efficacement diminuer la consommation d’un coeur big en diminuant sa fréquence et sa tension. D’où l’avantage d’utiliser deux coeus qui ont chacun une optimisation différente. Cela permet d’être rapide ou basse consommation suivant le besoin à chaque instant. C’est très utile pour un smarphone qui doit consommer peu la majorité du tempe et fournir un traitement le plus rapide possible quand l’utilisateur attend un résultat.
Toute la beauté de cette architecture est que la commutation entre un coeur big et un coeur little est transparente pour les applications qui n’ont pas besoin d’accélération spécifique car le jeu d’instruction de base est identique. C’est donc comme commuter d’un coeur à l’autre dans un système multicoeur symétrique. DynamIQ semble justement améliorer encore la vitesse de commutation.
Le 23/03/2017 à 14h 02
2) AMD est le créateur et propriétaire du jeux d’instruction x86 64 bits qui le licencie à Intel. Intel a ainsi été forcé de négocier l’accord totalement symétrique d’échange de licence x86 32 bits avec AMD également en 2009: https://en.wikipedia.org/wiki/X86-64#Licensing_issues . Les deux entreprises sont donc depuis à égalité sur ce point.
Microsoft propose GVFS, un système de fichiers open source accélérant les opérations Git
Le 06/02/2017Le 08/02/2017 à 22h 26
Le 07/02/2017 à 10h 49
Le 07/02/2017 à 01h 25
Le 06/02/2017 à 23h 48
C’est même bien plus qu’une simple conviction: c’est confirmé par un développeur de MIcrosoft:
 http://www.zdnet.com/article/anonymous-msft-developer-admits-linux-is-faster-tha…
Cela dit, dans le cas de Git c’est pas vraiment difficile à constater tant l’architecture de Git est optimisée pour Linux.
La page suivante  https://blogs.msdn.microsoft.com/bharry/2017/02/03/scaling-git-and-some-back-sto… est très intéressante et montre bien que GVFS est une couche qui permet d’éviter au maximum l’utilisation du système de fichier local qui dans leur cas est NTFS. Et ce au prix de devoir être connecté au serveur à chaque fois d’un nouveau fichier est lu.
Le 06/02/2017 à 16h 20
Une partie du problème de Git sous Windows vient justement de WIndows qui est beaucoup plus lent que Linux pour les opérations les plus courantes de Git. Ce n’est pas un hasard: quand il y développé Git, LinusTorvalds cherchait le maximum de performances et comme il est plus que bien placé pour savoir ce qui va vite sous Linux, il y basé l’architecture de Git spécifiquement pour Linux (au point d’en abuser avec quelques trucs comme l’attribut de montage ‘noatime’). Donc forcément ça ne va pas aussi vit sur Windows qui déjà à la base a un problème de performance avec les grosses opérations sur les systèmes de fichier.
Le code d’un noyau Linux prend actuellement environ 800Mo avec environ 60’000 fichiers et même sur mon vieux AMD A10-7850K il ne faut que 0.5 secondes pour faire un git status ou un git diff sur tout le code. A priori même avec un code délirant de 270Go ça ne devrait pas prendre tellement plus de 3 minutes. Délirant car ça semble difficile de croire qu’il ne soit pas possible d’organiser autant de données dans de multiples sous-projets, une possibilité qui est maintenant très bien supportée par Git. Il doit y avoir un sérieux problème historique d’organisation des données…
Finalement il faut rappeler ici que Git a pour but principale de pouvoir fonctionner de façon totalement décentralisée, ce qui implique une copie complète locale du dépôt. Il y a quelques possibilités pour augmenter les performances en limitant le transfert initial, mais cela peut demander des transferts ultérieurs. La proposition de Microsoft semble miser beaucoup sur cette technique mais la conséquence est qu’il faut certainement un lien constant avec un serveur central.
Renseignement, judiciaire : Belgique et Suisse se mettent à l’heure du numérique
Le 26/09/2016Le 27/09/2016 à 09h 24
Je crois que je me suis trompé de destinataire. Désolé.
Le 27/09/2016 à 09h 16
“Le problème avec la démocratie c’est que tu laisses aussi les cons voter” Ca sent bon l’élitisme à la Française là…
Et qui s’octroie le droit de décider qui est con ou pas ? Une autre façon d’envisager les choses est d’admettre que tu ne connais pas tout sur tout les aspects de la vie de tout tes compatriotes. Je doute que quelqu’un possède des compétences d’expert dans absolument tout les domaines possibles en même temps. Il y a donc très certainement toujours la possibilité que quelqu’un d’autre puisse légitimement vous traiter de con sur un sujet.
“Rien ne sert d’avoir raison, si on a raison tout seul”.
Le 26/09/2016 à 22h 28
Dans le cas où c’était moi le destinataire.
Oui je pense que le système politique Suisse a des avantages et que d’autres pays pourraient aussi tirer des avantages en adoptant certaines de ses caractéristiques. Il est certainement perfectible, tout comme la monarchie républicaine…
Je ne saisis pas l’argument des “dommages collatéraux” à propos de l’interdiction des minarets. La culture d’un pays est un sujet hautement sensible au cas où les positions politiques montantes un peu partout ne vous inquiètent pas. A un moment il est préférable de forcer le débat politique plutôt que d’attendre des frustrations encore plus grandes et une crise encore plus grave.
Concernant le système italien de référendum, imaginez son existence dans la situation politique actuelle de la France ou très schématiquement il y a potentiellement 3 partis qui se disputent le pouvoir avec des parts comparables. Bien qu’i y aura forcément qu’un seul présidant au terme du processus électoral, fondamentalement il a environ les 2⁄3 de la population qui ne voulaient pas de lui au départ. Il risque fort d’avoir 2⁄3 de désaveux sur les objets attaquables par référendum, juste à cause de l’émotion résiduelle de l’élection. C’est pour cela que je pense qu’il est utile de parler d’un système multi-partis.
Le 26/09/2016 à 21h 31
Oui le référendum est binaire et c’est bien pour cela que ce n’est qu’une pierre à l’édifice. Un bon référendum qui passe au 2⁄3 ou plus c’est d’abord le résultat d’un bon compromis négocié entre les principaux partis. De ce point de vue c’est le système gouvernemental binaire de type majorité/opposition qui bloque le plus la négociation d’un compromis acceptable. Un décret est encore pire, avec le potentiel de concentrer un maximum de frustration récupérée plus tard pour attaquer la majorité.
En Suisse il n’y a pas réellement d’opposition car le gouvernement est multi-partis jusqu’au plus haut niveau de l’état. Bien que cela n’enlève pas par magie les débats animés, force est de constater que c’est tout de même assez efficace pour augmenter la rationalité des débats. Le fait que les parlementaires soient élus directement pas le peuple chaque 4 ans contribue également à maintenir une certaine pression pour trouver des compromis. Le système politique Suisse, l’histoire l’a montré jusqu’ici, sanctionne assez efficacement les politiciens qui ne jouent pas le jeu de la négociation du compromis.
Le 26/09/2016 à 21h 02
Ma compréhension du référendum abrogatif en Italie est qu’il correspond au référendum facultatif en Suisse, c’est-à-dire qu’il permet d’annuler une décision de modification de loi. Donc il semble que l’on soit d’accord là dessus.
Pour les modifications de la constitution Suisse (sujet du vote de cet article) le référendum est le même mais il est obligatoire. La différence entre les deux est assez minime en pratique car le parlement sait qu’il risque un référendum facultatif si il tente de faire passer n’importe quoi. Dans les deux cas le parlement est parfois désavoué par le peuple, donc là aussi la différence est minime en pratique.
Franchement quand je vote je ne prête pas trop attention que quel type de référendum il s’agit. L’essentiel est que le parlement ne puisse pas se déconnecter de la volonté du peuple et que le peuple ne puisse pas se déconnecter des décisions politiques à prendre, qu’elles soient trivial ou difficiles.
Le 26/09/2016 à 20h 42
La tendance à la dérive des médias manipulés par des lobbys existe partout. L’utilité d’un bon système politique est justement de pourvoir y apporter un équilibre (les fiances ne sont pas infinie) avec l’avis de la population. Même une bonne décision n’en sera finalement pas une si la population ne l’accepte pas. Voter souvent sur les objets permet d’augmenter substantiellement l’approbation de la population à de bonnes décisions.
Le 26/09/2016 à 20h 20
En Suisse ça fonctionne depuis 1848 avec des résultats plutôt encourageant.
Cela dit je suis d’accord pour dire que les référendums (obligatoire et facultatifs) ne sont pas suffisant pour une bonne stabilité. Un autre outil est l’initiative populaire permettent de forcer une votation sur un sujet qui n’aurait pas été traité. Mais je pense que c’est surtout le principe du conseil fédéral multi-partis qui et intéressant car il permet à une grande partie de la population de se sentir représenté jusqu’au plus haut niveau de l’état. Cela modère le trop courant système binaire majorité/opposition source de beaucoup de frustration selon moi.
Le 26/09/2016 à 19h 49
Et bien voilà un exemple typique d’analyse très réducteur.
La Suisse doit augmenter sa participation dans la recherche internationale d’information sur la sécurité dans la situation actuelle (en particulier chez nos amis Français). C’est aussi à ce titre que la loi a été acceptée.
Pour l’AVS ce n’est que du bon sens pour maintenir un équilibre dans les finances. Ce n’est pas en asphyxiant ceux qui bossent que les retraités vont virent mieux. Le ratio entre le nombre d’emploi et le nombre de retraité ne cesse de diminuer et il est parfaitement clair que cela va continuer au moins plusieurs dizaines d’années. Il faut trouvez d’autres solutions. C’est un des grands chantiers au parlement et il y aura d’autres proposition dans le futur à ce sujet.
En ce qui concerne l’écologie, le défaut de la proposition était dans l’impossibilité de quantifier ses conséquences économiques, et ça c’est un point toujours très débattus en Suisse. Cela ne fait pas des Suisse est anti-écologistes pour autant. Il n’y a pas longtemps, les Suisses ont votés une loi très contraignante d’aménagement du territoire pour limiter entre autre les constructions en zone rurales https://www.admin.ch/opc/fr/classified-compilation/19790171/index.html
Il faut interpréter ces résultat de votation dans un contexte de temps plus long. Pour ma part je préfère un système politique qui ajuste sa constitution et ses lois en continu plutôt que d’attendre une crise ingérable.
Le 26/09/2016 à 19h 14
Alors couvrez la France et l’Europe de minaret, ça semble vraiment une super bonne idée actuellement…
Le 26/09/2016 à 18h 41
Critique un peu facile.
Le parlement Suisse est composé de deux chambres (une en proportion de la population des cantons, l’autre avec deux parlementaires par cantons) qui doivent se mettre d’accord sur tous les objets. Tout les parlementaires sont élus directement par le peuple chaque 4 ans. Ils représentes donc un large spectre des sensibilités de la population, ce qui est démontré par la diversité des partis qui y sont représentés. Ce qui est intéressant dans le système politique Suisse c’est que l’on peu observer que même un parlement élu directement est parfois désavoué par le peuple qui vote sur toutes les propositions de modification de la constitution ou qui peux annuler des décisions par référendum. Ceci montre combien un contrôle direct par leur peuple est indispensable pour que la politique ne se déconnecte pas des réalités ressenties par la population, ceci pour éviter que les frustrations, et donc les émotions, prennent le dessus.
En conclusion, je pense justement qu’une démocratie direct permet de diminuer les frustrations dans la population et donc de diminuer les réactions émotionnelles.
Le 26/09/2016 à 18h 21
J’ai lu la proposition de loi avant de voter oui. Un autre aspect de ces modifications est de crédibiliser la Suisse vis-à-vis des autres pays en matière de recherche d’informations à l’échelle international.
Le 26/09/2016 à 18h 07
En suisse c’est plutôt les politiciens qui ont peur des décisions des citoyens via les votations. Du coup le parlement (élu directement pas le peuple) passe parfois beaucoup de temps pour proposer des modifications acceptables.
Le 26/09/2016 à 17h 58
Si il est vrai qu’un haut taux de participation est rassurant pour crédibiliser le résultat d’une votation, cela ne change pas forcément le résultat de la votation.
L’auteur de l’article indique ses sources avec détails:  https://www.admin.ch/ch/f/pore/va/20160925/det607.html
Suivant les contons les taux de participation à cette question varie entre environ 33.0% à Glaris et 61.7% à Schaffhouse (presque le double car le vote y est obligatoire jusqu’à 65 ans), alors que les résultats dans ces deux contons sont très similaires à tout les autres contons.
NAND mirroring : 100 dollars de matériel ont suffi à déverrouiller un iPhone 5c
Le 23/09/2016Le 23/09/2016 à 12h 09
https://theintercept.com/surveillance-catalogue/cellbrite/
“Will suck every last byte of data out of a seized cellphone”
Et ce n’est certainement pas le dernier modèle de cet outil.
Logitech lance deux souris « silencieuses » et une multi-terminaux
Le 31/08/2016Le 31/08/2016 à 23h 37
L’analyse dans l’article est un peu sévère. Dans mon bureau la souris est de loin ce qui fait le plus de bruit et ça fait des années que j’espérai un produit comme celui-là. A quand le tour du clavier.
AMD creuse encore ses pertes, en attendant un rebond
Le 20/01/2016Le 22/01/2016 à 18h 45
Si ca continue, c’est Nvidia qui va racheter AMD, ou plus exactement en prendre le contrôle par un financement et en changement des dirigeants. Ce n’est pas si impossible que ça: à l’époque où AMD voulait faire l’acquisition de compétences GPU, Nvidia était leur premier choix et ATI seulement le plan B. Mais le directeur de Nvidia avait exigé en gros d’avoir le control sur AMD, ce qui lui a été refusé. Nvidia a un intérêt très fort pour obtenir des licences x86 et x86-64. Le nom AMD risque cependant de rester car c’est sous ce nom qu’à été rédigé l’accord de licence avec Intel et qu’il se termine en cas de vente d’AMD.
Imaginez un concurrent d’Intel qui arrive à faire des CPU aussi performant que AMD et Nvidia combinés arrivent à faire… Cela pourrait complètement changer la dynamique du marché, qui est plus que amorphe depuis des années.