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Flambu

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7 commentaires

Le 10/11/2016 à 12h 24

Sur Solus je n’ai rien eu à activer. Après peut-être que les devs d’Ubuntu Budgie Remix  ont fait un paramétrage spécifique, mais ça paraît bizarre…







millman42 a écrit :



Non il est aussi “lourd” que gnome 3.





En terme de mémoire, pas du tout. Une session Gnome 3 me prend 1 Go de mémoire, alors qu’une session Budgie m’occupe 500 Mo. En terme de consommation électrique ce n’est pas la même chose non plus, ma batterie dure plus longtemps avec Budgie qu’avec Gnome 3. Et l’expérience est globalement bien plus fluide : j’ai un portable avec un Intel Celeron 2955U à 1.4 GHz, pas un foudre de guerre, et Gnome 3 n’est pas vraiment fluide (notamment le shell avec la recherche).


Le 09/11/2016 à 23h 18

J’utilise Solus Project sur mon portable depuis deux semaines maintenant et je confirme qu’il y a bien une liste des fenêtres ouvertes, de façon assez classique d’ailleurs : une barre des tâches avec des icônes de lancement rapide et / ou celles des applis ouvertes, qui sont soulignés quand l’appli est ouverte. Comme Windows, en fait, avec la miniature de fenêtre en moins.



En gros, pour résumé, Budgie est un environnement :





  •  Basé sur Gnome, pas seulement du point de vue des bibliothèques mais aussi des fonctionnalités. Le panneau de configuration par exemple est celui de Gnome 3, ce qui offre d’emblée pas mal de fonctionnalités qu’on trouve rarement sur un nouvel environnement.

  • L’environnement est plus léger en mémoire que Gnome 3 ou KDE 45 (environ 500 Mo pour Solus Project en fonctionnement normal avec Wifi, sans appli ouverte). Niveau batterie je me retrouve au niveau de Xubuntu. Bien mieux qu’Ubuntu, mais moins bien que Lubuntu (donc LXDE).

  • Une ergonomie standard avec un menu de démarrage, une barre des tâches et de notification, toussa… Le contrepied de Gnome 3, comme Cinnamon ou Mate. On trouve du coup très facilement ses repères, on est sur du archi classique, mais c’est voulu ainsi.

  • Le compositeur et les animations de fenêtre en standard via les composants Gnome, (effets d’ouverture de fenêtre, de minimisation, transparence, etc.) ce qui rend le tout fluide et assez agréable à l’oeil.

  • Pas des masses de plugin ou personnalisation. Le thème d’icône et la décoration des fenêtre peuvent être changés facilement, le thème GTK non.

  • Une bonne partie des réglages (icônes, police, fond d’écran, paramétrage des notifications, …) accessibles sur un panneau qui se déroule sur la droite du bureau en accès direct. Assez pratique à l’usage.



    Pour ma part ça correspond pile poil à ce que je cherchais, car j’ai une machine peu puissante mais je voulais tout de même un environnement qui soit à la page. C’est con mais le compositeur, les animations légères et tout le toutim ben ça sert à rien mais c’est agréable.



    Voilà, je sais pas ce que ça donne sur une base Ubuntu, mais Solus Project se débrouille pas mal.

Le 04/09/2016 à 20h 19

Tu peux “caster” assez facillement de ton smartphone ou de ton PC vers un Raspberry Pi connecté à un écran avec RaspberryCast (lien GitHub). Les instructions d’installation sont sur le site, un bête script .sh à lancer. Normalement chrome devrait détecter RaspberryCast comme un device Google Cast, et roule !

 

Sinon pour “caster” vers ton PC là je ne sais pas… Bon courage :)

Le 15/09/2014 à 11h 08







picatrix a écrit :



y a-t-il une définition de “terrorisme” ?



parce qu’il est facile pour tout un chacun de baptiser “terrorisme” ce qui le gêne et de demander (conformément à l’article 6) la fermeture du site en question.



Puis-je qualifier concurrent dont la politique commerciale “agressive” me “fait peur”, de terroriste ?



Un bonnet rouge est-il un “terroriste” ?



Les agriculteurs qui tentent de bloquer l’arrivée des 1000 vaches escortées par les forces de l’ordre sont-ils des terroristes ?



Julien Coupat est-il un terroriste ?



etc …







C’est bien là la question. Et la définition dépend de qui la fixe.



Il arrive que la définition dépende fortement de des personnes en place au pouvoir, ou pouvant y accéder. Donc, pour nous, de la représentativité qu’ont nos “dirigeants” et dans la confiance qu’on leur accorde pour donner à “terrorisme” une définition acceptable.


Le 15/09/2014 à 08h 54

J’ai l’impression que la question est une fois de plus celle de la chaîne de valeur.



Sans remettre en question la qualité de Qobuz, ni le boulot qu’il y a derrière, il faut identifier quelle partie n’est pas amenée à disparaître. Même question chez Deezer d’ailleurs.



Le streaming apporte pour le moment quelque chose : l’écoute à la volée est bien pratique pour découvrir des artistes / titres. Mais on est dans une valeur ajoutée technique, et il n’est pas dit que les solutions de partage décentralisées type Bittorrent ne permettent pas bientôt aux artistes de se diffuser eux-même en streaming.



Faire découvrir, mettre en avant pourrait être une valeur ajoutée, même par rapport aux algos actuels. Les forums le font aussi, ou les blogueurs, voire les magazines spécialisés, mais la recherche prends tout de même du temps. Les deux sites le font un peu aussi, mais peut-être pas suffisamment pour que les gens ait l’impression de payer pour cela.



Là où je rejoins le patron de Qobuz, c’est qu’en proposant des offres liées, Orange / Deezer confirment ce que la mise à disposition “illégale” de musique avait initié : que le rôle de distributeur, et, par ricochet de producteur, n’a pas de valeur marchande.



Si l’on poursuit dans cette logique, on en arrivera à la même problématique que pour la presse payante face aux blogs, forums et journaux gratuits: l’information existe, il y aura toujours des passionnés pour en partager, d’ailleurs, mais journaliste c’est du temps et des compétences. Si l’on souhaite sortir des dépêches et des copier/coller, il faut des contenus qui ont de la valeur côté offre, et ré-apprendre à payer pour cela côté…citoyen (j’aime pas le mot consommateur).



Aujourd’hui, on en est pas encore là, côté offre comme côté amateur de musique. Qobuz va devoir prendre son mal en patience…

Le 28/08/2014 à 14h 25

Si la traduction est exacte, je trouve que ça ressemble à une retranscription plus “affective” (on aime les joueurs, les vrais) d’un revirement marketing.



En clair, les anciens non-joueurs convertis au jeu vidéo avec la Wii ont, en moyenne, un temps de renouvellement de la console / des jeux plus long que les joueurs traditionnels. Leurs jeux ne se finissent pas aussi vite, ils n’achètent pas 10 jeux du même genre sous prétexte d’amélioration graphique ou nouveaux niveaux, etc. Pire (pour Nintendo), il n’investissent pas dans une nouvelle console pour suivre les sorties de jeux / les évolutions graphiques.



Sans compter que les Smartphones sont passés par là (les deux cibles marketing se croisent, en bonne partie, je pense).



Et, apparemment, ces nouveaux joueurs n’évoluent pas non plus vers les comportement d’achat des joueurs traditionnels console. Nintendo est donc dans une impasse, un plantage dû à une erreur de stratégie. Et pour rattraper ça…bah bon courage ^^”

Le 11/06/2014 à 15h 59

Développer l’internet mobile et poursuivre les investissements

Proposer de nouvelles offres technologiques […] à des prix très agressifs

S’engager encore plus fortement au service des clients



A part pratiquer des tarifs plus agressifs, il ne s’agit en rien d’un “repositionnement de l’entreprise”. Ils licencient en gardant le même périmètre d’activité, les mêmes clients cibles…comme le font la plupart des grosses boutiques en ce moment.



Je plains ceux qui se feront licencier…et je plains aussi ceux qui vont rester ^^”