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Ryback

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1 commentaires

Le 19/01/2015 à 17h 32

Bonsoir,Votre commentaire m’interpelle en ce sens que samedi soir, chez Laurent Ruquier, Michel Onfray a tenté d’expliquer cela, en disant comment le Prophète s’était historiquement réellement comporté, comment le Coran contient à la fois l’Amour que prône les Musulmans, mais aussi les appels aux meurtres et à la guerre sainte, dont se servent les islamistes, selon qu’on applique les écrits de la Mecque ou de Médine.C’était très intéressant pour comprendre comment tous peuvent se revendiquer du même texte ! Malheureusement, il fut constamment coupé dans son propos, par un Aymeric Caron, toujours plus bobo, bisounours, bien-pensant que jamais, le traitant d’islamaphobe et limite d’incompétent, car ne parlant pas l’arabe, il ne pouvait prétendre saisir toutes les nuances du texte coranique… et tellement d’autres inepties que c’en était pathétique !!! Et Léa Salamé, qui m’a beaucoup déçu sur ce coup, d’ajouter pour seul contre-argument, “et dans la bible, n’y a t-il pas de violence ?”…



Il s’avère donc aujourd’hui, que la phrase de Jean-Michel Wyl, “Chercher à comprendre, c’est commencer à désobéir”, prend tout son sens quand Aymeric Caron “Brocolis” (ceux qui on vu l’émission riront bien) s’auto-érige, sous l’œil amusé de son boss, en censeur à l’encontre de Michel Onfray, pourtant comme lui, très ancré à gauche.



On voit donc le prolongement de ce “politiquement correct” dans les textes autorisant la censure administrative, qui interdiront in fine, tous débats toutes discussions, comme celle-ci, sous peine aussitôt d’être taxés d’anti…tout et n’importe quoi, et même d’être pénalement punis !… Textes élaborés par les mêmes qui, il y a quelques temps et dans le même contexte, criaient au loup, en dénonçant une loi liberticide… “Etonnant non !!”, comme disait le regretté Pierre Desproges…



Et de me souvenir des cours de Libertés Publiques, en Droit, il y a 22 ans, bien avant Internet donc, qui disaient en substance, que quand un Etat “soi-disant démocratique” commence à surveiller les paroles et actes de ses concitoyens, on bascule dans le totalitarisme… Cela nous pend au nez !Bien à vous,