votre avatar

clemsfr

est avec nous depuis le 7 juin 2011 ❤️

Bio

Oups.
On dirait que quelqu'un ici aime garder ses petits secrets, comme si de par hasard il y avait quelque chose à cacher...
Désolé, ô lectrice de passage, cher lecteur égaré, pas de révélation sensationnelle pour le moment sur ce profil.
Repassez plus tard ?

228 commentaires

Mise à jour vers Windows 8 : analyse des DVD et de l'outil de téléchargement

Le 26/10/2012 à 18h 25






von-block a écrit :

Tu me fait marrer avec ton script.

Tu n’as vraiment pas compris comment ça fonctionne.



Oh que si, je sais parfaitement comment cela peut fonctionner ;)

Par contre, toi tu comptes un peu trop sur la générosité de microsoft.

Potentiellement, ils peuvent invalider tes clefs quand ils le voudront, par contre il ne faudra pas compter sur eux pour rembourser.



Le 26/10/2012 à 17h 21






juninho69 a écrit :

Moi ce qui m’épate c’est le fait que Microsoft ne fasse pas de vérification sur l’achat d’un PC pour la MàJ .
Ils sont tombés sur la tête ou quoi ?



Je pense surtout qu’ils ne veulent pas encombrer le standard pour les galères liées aux gens qui ne savent pas lire…

Ils vont attendre un peu, balancer un script, mettre un mode on annule tout si x supérieur à Z et hop dans l’os les pirates. Et peut être qu’ils seront assez vache pour faire le coup lors de l’augmentation des prix.



Le 26/10/2012 à 16h 41






Mig6r a écrit :

Et je vois mal Microsoft vérifié toutes les demandes une à une, ca leur reviendrait surement plus cher qu’autre chose



Ils vont faire tourner un script et puis voila. Tu crois quand même pas que pour un traitement de masse c’est un humain qui s’y colle ?



Le 26/10/2012 à 16h 38






fumoffu a écrit :

On est entièrement d’accord, si crosoft te demande la facture de l’achat tu l’a dans l’os, c’est le jeu ma pov lucette!



Ils ont déjà tout, ces renseignements sont déjà validés lors du programme d’éligibilité, ils ne doivent pas avoir fait tourner le fichier pendant les premières maj histoire de ne pas avoir gérer trop de truc à la release.

D’autant qu’il est bien spécifié qu’il faut valider le code promo sur la machine que l’on veut MAJ (même si on a le droit d’installer en complète sur une autre partition).

Donc ils ont tout y compris le détail matériel du pc choisit pour le programme.



Le 26/10/2012 à 16h 31






fumoffu a écrit :

Ouai mais le code promotionnel tu l’as sans problème!



Sauf que c’est pas le tien, et t’es pas à l’abri d’une grosse merde



Le 26/10/2012 à 16h 27






fumoffu a écrit :

Non tu paye 15 € même sur une vieille brouette sous xp, le soft vérifie rien du tout…




Seulement si tu as un code promotionnel ! Si tu ne l’a pas tu payes :
Mise à jour Windows 8 Pro (Depuis XP, Vista ou 7) par téléchargement : 29,99 €

C’est fou ca.



Le 26/10/2012 à 16h 23






von-block a écrit :

C’est ce que je dis



Et bien tu dis des bêtises, car je ne l’ai pas installé sur le pc neuf mais sur un autre assemblé et qui était sur ma version complète de windows 7 achetée au tarif promotionnel.

Donc j’ai un portable avec seven à 15 € (oem pour parler vulgairement) et maintenant un pc en windows 8.

Je l’aurais payée comme tu dis le même prix que toi, seulement si je l’avais installée sur le PC nouvellement acheté.



Le 26/10/2012 à 16h 15






von-block a écrit :

héhéhé

Le tarif est le même pour tous. Pas seulement pour ceux acheté récemment



Qu’est ce que tu me racontes ? Le tarif est à 30 €, je paye 15 €.

Sous-total 29,99 €
Promotion -15,00 €
VAT 2,39 €
Total 14,99 €



Le 26/10/2012 à 16h 03

Tout semble se dérouler de la même façon avec le code promotionnel pour les pc achetés récemment sous windows 7 excepté le tarif à 15 €


Selon la Hadopi, jusqu'à 20 % d’audience en plus grâce au label PUR

Le 23/10/2012 à 06h 27

Encore une estimation au doigt mouillé


[MàJ] Pascal Rogard défend l’exception culturelle et sa bio Wikipedia

Le 18/10/2012 à 06h 14

Pour avoir envie de le baffer, il suffit de regarder sa photo qu’il a lui-même choisie pour illustrer son compte twitter.

On le voit tout cultureux, l’air satisfait et suffisant, assis en face d’une cheminée que l’on pourrait presque situer dans un palais doré.

https://twimg0-a.akamaihd.net/profile_images/1107862891/image.jpg

Ce type est un mélange de BHL et de Joffrin.


Accord Free/Orange, emploi, subvention : les mesures du gouvernement

Le 10/10/2012 à 08h 53






carbier a écrit :

Des voix ?
Car tu crois réellement que la majorité des Français est prête à se passer de boutique physique pour l’achat, le SAV et le suivi de leur téléphone ?

Ce que j’adore c’est que certains croient que tout le monde ressemble à un lecteur moyen de PCI

Concernant le principe des subventions, bien entendu qu’ils ne vont pas l’abandonner, ils vont juste le réformer… avec par exemple obligation d’un forfait moins cher à la fin de la période d’engagement + mise en avant du cout réel du téléphone etc. etc.



La subvention n’a aucun rapport avec le fait d’avoir ou non des boutiques physiques… L’un n’empêche pas l’autre.

Super, comme cela les opérateurs de toute façon n’en voudront plus.





Le 10/10/2012 à 08h 49






brazomyna a écrit :

Il est d’autant plus ridicule que l’argent économisé sur son forfait, le consommateur ne va pas s’employer à l’enterrer au fond de son jardin, mais le réutilisera de toute façon pour acheter autre chose, tout autant soumis à la TVA.



Pas démontré. personnellement 20 € économisé sur un abonnement canal se transforme en achat nourriture (gosse en +) ce n’est pas le même taux de tva. En période de crise les gens privilégient d’autres postes de dépense.



Le 10/10/2012 à 06h 19

Pour les subventions, je l’avais prévu. Comme indiqué, cela bloque les rentrées fiscales du gouvernement. Forfait cher = TVA

Cependant, ils auront bien du mal à contourner les difficultés, d’une part dans la rédaction même d’une loi, d’autre part les associations de consommateurs vont se battre. Si free gagne son procès le 412 ce qui semble devenir une certitude, il sera plus que de difficile de revenir ensuite sur les acquis de cette victoire sans que cela ne coute des voix…




Free vs SFR : « un crédit peut prendre de nombreuses formes » selon la juge

Le 09/10/2012 à 12h 59






linkin623 a écrit :

Au pire on peut parler d’une ristourne, mais moins essayons de ne pas reprendre le vocabulaire des marketeux, c’est le meilleur moyen de ne pas parler de la réalité.



Absolument, les marketteux sont souvent vexés de se faire rappeler qu’une pratique commerciale “inventée” est obligatoirement encadrée par un texte de loi déjà existant. [le vide juridique étant un terme journaliste qui n’existe pas devant un tribunal]

Cela peut faire mal aux fesses surtout quand on n’en prévoit pas correctement les effets ;)



Le 09/10/2012 à 10h 31






herderien a écrit :

ce n’est pas le seul service que j’ai cité dans mon exemple, c’est un package, ce package offre pour une somme par mois, entre autre, la possibilité de changer de portable tous les N mois, et ce en fonction du niveau de service qu’on paie par abonnement.

et je penses que le fait qu’on puisse rompre le contrat avant son terme de manière “facilitée” ne va pas dans le sens du crédit.

après de toute façon, c’est pas pour rien qu’il y a des juges pour interpréter la loi, et la loi est faite pour être interprétée.
d’ailleurs ces derniers ont par ailleurs des convictions et / ou une histoire personelle qui fait que suivant le juge la décision peut varier très fortement…



J’ai juste envie de répondre “lol”



Le 09/10/2012 à 10h 15

“De toute façon ça ne change rien. Dès lors qu’un opérateur mensualise le remboursement d’un téléphone avec le paiement du forfait. C’est un crédit. Et si c’est un crédit ils se doivent de respecter toutes les règles qui vont avec, comme la vérification de la capacité de remboursement par exemple, ou l’affichage du taux d’intérets.”


Dans tous les cas une facilité de payement est un crédit. C’est toujours un crédit.

Cependant, il est possible de ne pas avoir respecter les obligations que tu cites quand on fait partie de la liste des exclusions cités dans Article L311-1 alinéa 4.

Ce qui n’est pas le cas d’une prestation de service avec fourniture d’un téléphone.

La “subvention’ est un terme commercial qui n’existe pas dans le code de la consommation. Donc comme il faut caser la subvention quelque part, elle correspond à une “facilité de payement” strictement encadrée par la loi.

reste que le législateur pourrait légiférer et tenter de sauver les meubles pour ces opérateurs mais cela invaliderait de toute façon les pratiques actuelles.







Le 09/10/2012 à 09h 30






herderien a écrit :

et si le service fourni en continu était la possibilité de changer de portable a tarif préférentiel tous les N mois ?



J’ai déjà répondu à cela un peu plus haut. Pour que cela fonctionne, il faudrait -céder- tous les mois un nouveau portable. 12 mois = 12 portables.

-Ou- respecter la réglementation en matière de crédit (information sur le cout du crédit, durée, taux, délai de rétractation, vérification de la capacité financière de l’emprunteur).







Le 09/10/2012 à 09h 14

Ce sont les prêts aux banques qui rapportent le plus ;) Quelqu’un qui à de l’argent peut se voir approché par sa banque pour lui prêter de l’argent pendant quelques mois. Les taux sont plus favorables.

Les banques ne communiquent que trés rarement directement sur les comptes à termes via des prospectus (ou alors le plan est foireux) car elles veulent pouvoir négocier et cacher les manques de trésorerie.


Le 09/10/2012 à 08h 46

”- l’obligation d’étudier la capacité de remboursement.

Pour l’instant, le fait d’avoir une carte bancaire, un rib et de ne pas apparaître sur “préventel” est suffisant.

Il faudra rajouter à ces critères : de ne pas dépasser les 30% d’endettement + absence de FICP “

Oulalala, c’est bien plus que cela… Les établissements financiers font du scoring. Les critères sont bien plus larges.


Le 09/10/2012 à 08h 33






Tim-timmy a écrit :

donc non, eux se réfugient derrière la “à l’exception des contrats conclus en vue de la fourniture d’une prestation continue “.



Ah voila, maintenant tu as lu et tu comprends que leur seul espoir réside là. Mais non, ce n’est pas qu’une prestation mais aussi la vente d’un bien.

Ils tentent de se réfugier comme tu dis dans ce trou là mais il est bien trop petit pour faire rentrer toute l’autruche.

“à l’exception des contrats conclus en vue de la fourniture d’une prestation continue ou à exécution successive de services ou de biens de même nature et aux termes desquels l’emprunteur en règle le coût par paiements échelonnés pendant toute la durée de la fourniture”

Biens de même nature. Ou exécution successives de services. Donc il faudrait tous les mois pour que cela puisse éventuellement fonctionner, fournir un nouveau portable + le service.

Cela fonctionne pour un abonnement UGC, pour un abonnement à un club de gym avec un engagement de 12 mois, un abonnement canal +. Ces abonnements là sont en réalité des facilités de payement dont le coût est étalée sur une période minimale d’engagement (annualisé) . Mais comme il s’agit d’une exécution successive du même service cela passe dans la liste des exclusions. Tout montant dont le payement est reporté ou fractionné est in fine un crédit. reste à savoir si il peut figurer dans la liste des exclusions.






Le 09/10/2012 à 08h 01






Tim-timmy a écrit :

oui/non … ils disaient que le forfait était le service uniquement, )



Ne pas poster, si vous ne comprenez pas l’article du code de la consommation cité plus haut.




Le 09/10/2012 à 07h 31






mononokehime a écrit :

N’est ce pas également la faute des consommateurs qui ne sont pas capables de comparer par eux même ?, il est tout de meme évident qu’a un moment donné, si on paye le mobile 1€ mais que derrière l’abonnement coute 70€ il y a un problème, pourtant ça n’empêche pas ce genre de forfait de se vendre.



Actuellement pratiquement toutes les organisations, institutions veulent durcir la réglementation pour lutter contre le crédit révolving ou déguisé. Les consommateurs sont toujours des moutons incapables de résister à certaines offres, je veux, je veux, je veux. Il s’achète à crédit un portable à 1000 € sans avoir les capacités financières d’en assumer le coût. Et il recommence dans la foulée avec un autre article avec un autre crédit.

Quand je vois le comportement de certains avec leurs enfants mal habillés privés d’aides aux devoirs, d’activités extrascolaires, j’ai envie de les faire placer sous tutelle.







Le 09/10/2012 à 07h 19

A noter que ce n’est pas le modèle de la subvention qui est en soit interdit, ce qui est interdit c’est de ne pas respecter les obligations liés à l’information sur le cout du crédit, bref toute la réglementation en matière de crédit sur la protection et l’information du consommateur….

Mais il est un fait que commercialement, ce modèle ne saurait perdurer si le consommateur était informé correctement.


Le 09/10/2012 à 07h 14






patos a écrit :

Ca s’appelle une subvention car c’est une ristourne à titre commercial pour pérenniser le client.

Vu le nombre de boites qui pratique ça, en dehors du mobile, autant supprimer le commerce tout de suite…



Relire mon commentaire plus haut. Toute facilité de payement accordée est un crédit. Le code de la consommation englobe largement par sa définition du crédit le modèle de la subvention d’un mobile comme étant une facilité de payement donc un crédit.

C’est totalement irrésistible. Et la juge le sait “Ce à quoi la juge Édith Merle a répondu : « un crédit peut prendre de nombreuses formes ».”



Le 09/10/2012 à 07h 06

Extrait d’un commentaire déjà posté pour piqure de rappel pour les bases juridiques de la définition du crédit.

“Tout mode de payement qui permet un règlement différé ou étalé est un crédit. Comme le montant du forfait est calculé sur cette acquisition (mutualisé ou non) pour une durée minimale cela correspond de fait à un crédit. Le fait qu’une prestation de service y soit -accolée- n’y fait pas obstacle :

Le crédit est ainsi définit :
« Article L311-1?

« 4° Opération ou contrat de crédit, une opération ou un contrat par lequel un prêteur consent ou s’engage à consentir à l’emprunteur un crédit sous la forme d’un délai de paiement, d’un prêt, y compris sous forme de découvert ou de toute autre -facilité de paiement similaire-,

à l’exception des contrats conclus en vue de la fourniture d’une prestation continue ou à exécution successive de services ou de biens de même nature et aux termes desquels l’emprunteur en règle le coût par paiements échelonnés pendant toute la durée de la fourniture ; »

Il ne s’agit pas de la fourniture unique d’une prestation de service mais de la prestation d’un service accolé à la fourniture d’un bien dont le coût « nu » est indiqué. Le fait que le coût nu du téléphone « sans engagement » soit indiqué suffit à caractériser l’offre de crédit puisque de fait l’offre avec engagement correspond à une facilité de payement octroyée (vous ne payez pas immédiatement le prix nu et vous rentrez en possession du bien).”


Le 09/10/2012 à 07h 03






Pr. Thibault a écrit :

Soyons sérieux deux minutes, si Free gagne cette manche il est évident que SFR ira en appel, et si Free gagne à nouveau en appel il est évident que SFR ira en cassation, les enjeux sont tellement importants… Bref, si vous espérez une révolution dans les pratiques des opérateurs historiques, ce sera probablement pas avant quelques années, à supposer que Free l’emporte au final ce qui est loin d’être sûr.




Si free gagne en première instance pour ce motif, cela stoppera net ces pratiques commerciales.

Pour deux raisons. La première c’est que cela ferait prendre un trop grand risque pour les contrats en cours qui risqueraient l’annulation.

La seconde, c’est que de toute façon la décision serait très probablement assortie de l’exécution provisoire nonobstant appel.



Pour la justice, les Freebox sont renouvelées sous réserve de disponibilité

Le 31/08/2012 à 06h 46






Platoona a écrit :

L’attente de décembre 2010 à mars 2011, c’est aussi Fukushima ?



Platoona, je suis d’accord sur le fait qu’il y a certainement beaucoup à dire sur l’application de la loi.

Un point, il n’était visiblement pas juriste et il n’a pas demandé malgré une communication tardive des pièces, un report et ses arguments donnés oralement pour y répondre étaient visiblement insuffisants.

En travaillant un tout petit peu l’argumentaire… Il ne faut pas oublier qu’un juge n’a aucune obligation même si il le peut de soulever un moyen qui ne lui a pas été formulé ou incorrectement.