Escroc
est avec nous depuis le 3 juin 2013 ❤️
Oups.
On dirait que quelqu'un ici aime garder ses petits secrets, comme si de par hasard il y avait quelque chose à cacher...
Désolé, ô lectrice de passage, cher lecteur égaré, pas de révélation sensationnelle pour le moment sur ce profil.
Repassez plus tard ?
8 commentaires
Partenariat Microsoft – Éducation nationale : premier recours avant les tribunaux
Le 01/02/2016Le 01/02/2016 à 14h 59
A part faire un coup de com et dépenser du pognon dans le vide je vois vraiment pas comment ils pensent aboutir à quelque chose.
Rappel d’un marché public:
Contrat entre un entité publique et un ou des prestataires/partenaires privés.
Le contrat respecte le code des marchés publique qui décrit les différentes procédures et les seuils existant (ce code est continuellement mis à jour).
La base des marchés public se fonde sur les principes de liberté d’accès à la commande publique,
d’égalité de traitement des candidats et de transparence des procédures.
Ce code permet d’assurer la transparence de la commande publique
et la bonne utilisation des deniers publics.
En gros pour faire très simple pour attribuer un marché à un candidat on doit mettre en concurrence des prestataires. Selon un ratio entre technicité (ration annoncé dans un document du marché :le règlement de la consultation) on décide d’attribuer le marché à celui qui à la meilleure note.
Ici deux choses à préciser pour ce cas là:
Impossible de proposer la même chose que Microsoft en utilisant du libre pour 0€.
Le libre malheureusement pour une entité publique ou privé c’est certes pinuts à acquérir mais ça revient vite 3 bras et demi …et les bijoux de famille à intégrer, maintenir et former les utilisateurs.
Éducation : des élus s’inquiètent du coût des tablettes promises par Hollande
Le 25/11/2014Le 25/11/2014 à 09h 27
Cher monsieur, avant de présenter votre avis sur l’opération menée au sein du Conseil Général des bouches du Rhône, encore faudrait il présenter l’ensemble des solutions informatique qui sont proposées aux collégiens de ce département.
Oui, les élèves de 4ième ont l’opportunités d’obtenir gratuitement un ordinateur portable avec une assurance vol + garantie de 3 ans. Outil qu’ils n’ont plus l’autorisation d’amener sur collège pour éviter tous problèmes d’agression physique en cas de tentative de vol.
Mais il ne faut pas oublier que chaque collège publique de votre département est équipé à minima d’un ordinateur fixe pour 5 élèves, de classe mobile, de dizaines de vidéoprojecteurs et d’un ensemble réseau serveur LAN, WAN, adapté pour interconnecter près de 100 000 utilisateurs.
Votre département met un ensemble de moyens pour la réussite de vos enfants. Moyens qui ne se résument pas au simple don d’un équipement informatique.
Certes pour que ce type de projet fonctionne, apprentissage et accompagnement aux usages sont primordials. L’éducation nationale fait son possible pour évoluer en ce sens. Mais il est clair que les professeurs n’ont pas tous la même affinité avec les outils de l’ère numérique. Ce genre d’opération prend du temps.
Après plus de 11 années l’opération mené au sein de votre collectivité porte ces fruits. Les usages évoluent: dématérialisation du cahier de texte, des bulletins trimestriels, alertes d’absences des élèves par sms/mail, cours et qcm proposés en flash, démat de certains cours, ateliers divers sur les nouvelles technologies, ….
Maintenant pour en revenir au sujet principal:
Est-ce à l’état et aux collectivités territoriales de mettre à disposition de sa population les outils lui permettant de gérer au mieux son futur?
Je vous laisse répondre à cette question.
Concernant le prix de l’opération et qui fournira les équipements:
De par la quantité commandée le coût unitaire ne sera certainement pas celui du public. A 150-200 €uros vous aurez probablement une tablette 150-200 € prix public avec assurance vol/casse (3ans) + garantie (3ans) + livraison. De plus les commandes publiques sont régies par le code des marchés publique. Il n’est normalement pas possible de faire n’importe quoi. Et au vue de la taille et de l’importance du marché, nul doute que les journalistes (dont ceux de Next Inpact) mettront leur nez averti dedans.
Cordialement,
Un acteur de la numérisation des établissements scolaire
Projet de loi sur l’École : le gouvernement ne donne plus la priorité au libre
Le 03/06/2013Le 03/06/2013 à 09h 10
Le 03/06/2013 à 08h 45
Le 03/06/2013 à 08h 33
Le 03/06/2013 à 08h 30
Le 03/06/2013 à 08h 10
Question ….
MS met il un pistolet sur la tempe de l’utilisateur?
Ou l’utilisateur est il effrayé de passer sur du libre car pour y trouver de l’accompagnement il faut déjà se sentir à l’aise avec l’informatique?
…
Ce qui grâce au développement de l’informatique dans le système éducatif sera permis à la longue.
Moi je suis optimiste au vue des progrès opéré par le système éducatif…. des progrès lent c’est sur mais de réels progrès qui permettent aux personnels enseignant et aux étudiants d’avoir plus d’aisance dans l’apprentissage de l’informatique.
Le 03/06/2013 à 08h 00
Personnellement je travaille dans ce domaine … et une licence éducation microsoft coute 10 fois moins que pour le grand publique. Le support sur du libre (s’il existe : ce qui n’est pas souvent le cas) coute parfois plus de 10 fois plus.
Sachant que le licensing n’est pas forcément le poste le plus couteux dans un système informatique…. le choix de ne pas forcer à tous prix le libre est tout a fait normal… du moins au point de vue système d’exploitation.
Après concernant le software, traitement de texte …. tout est question d’accompagnement et de volonté.
Donc pour résumer:
Il est bien de ne pas forcer le libre pour les Os: le coût de revient à la longue est aussi raisonnable que du libre dans le domaine édu (mais plus facilement maintenable sans accompagnement au changement).
Pour les soft: seul l’accompagnement au changement représente un coût important, la maintenance représentant un moindre coût sur Os Microsoft.
Si celui ci est géré pas le personnel enseignant…. donc pourquoi pas