Les municipalités PS et RPR/UMP en alternance avaient déjà fait le travail de la dette grenobloise avant les Verts/Parti de gauche. Et ce n’est pas le contrat avec JCDecaux qui aurait changer quelque chose à l’affaire " />
Le
26/12/2017 à
11h
14
Pour l’anecdote personnelle : depuis que le gestionnaire de l’immeuble a installé une plaque “Pas de pub SVP” située à raz de l’ouverture de la boîte aux lettres (en remplacement des étiquettes qui étaient collées au bord de la boîte), je n’ai plus ce type de problème de “messagerie non-adressée” malencontreusement insérée dans ma BAL.
Le
26/12/2017 à
11h
08
“Bref. Je ne traîne jamais en centre-ville.”
Le
26/12/2017 à
11h
02
La publicité urbaine sert à financer le mobilier urbain (abribus, toilettes publiques, bancs publics, etc), la municipalité récoltant un pourcentage sur la publicité vendue et le prestatataire du support (JCDecaux, Clear Channel, etc) proposant l’installation et la maintenance de ce mobilier urbain.
Le
26/12/2017 à
10h
57
Pendant ce temps à Grenoble…
« C’est acté. Grenoble va devenir la première ville européenne à avoir dit non à JCDecaux, leader mondial de l’affichage. Tout le mobilier urbain pour l’information va ainsi être démonté par la multinationale à partir du mois de janvier 2015. Soit 227 sucettes (120 x 176 cm), 64 panneaux (8 m²), 15 panneaux (2 m²) sur kiosques et 20 colonnes Morris. Un coup de balai qui devrait quelque peu changer le visage de la cité.
[…]
Développer l’affichage libre
Plan lumière oblige, ce n’est donc pas à Grenoble que JCDecaux installera ses nouveaux panneaux publicitaires numériques. Un premier pas dans le respect du 40ème engagement de la municipalité verte visant à réduire la pollution lumineuse en ville.
« Les responsables publics traditionnels ont pris du retard sur les nouvelles aspirations des habitants, sur les nouvelles façons de vivre et d’échanger, affirme le maire Eric Piolle. Alors que la réalité a évolué depuis longtemps, ils maintiennent en vie les vestiges des Trente Glorieuses et de la société de consommation : affichage publicitaire, grandes surfaces, grands projets inutiles… »
[…]
Et Éric Piolle d’ajouter : « Il est temps d’aller de l’avant, et de faire émerger une ville plus douce et plus créative. Une ville pensée à hauteur d’enfant. Une ville moins agressive et moins stressante, au service de notre créativité et de notre identité. Libérer l’espace public de Grenoble de l’affichage publicitaire est un pas dans cette direction. »
Bientôt des hommes-sandwich ?
Comment le commerce va-t-il réagir à Grenoble ? Verra-t-on un jour sur les trottoirs le retour des hommes-sandwich ? Grenoble convaincra-t-elle d’autres villes de l’agglomération ? Fera-t-elle des émules ailleurs ? Difficile à dire. Quoi qu’il en soit, tous les yeux sont pour l’heure rivés sur la capitale des Alpes, qui devient la nouvelle ville-laboratoire sans pub.
Car São Paulo qui faisait jusqu’alors figure d’exception n’a finalement résisté que cinq ans avant de succomber aux sirènes de la publicité. Depuis 2011, le retour de l’affichage publicitaire dans l’espace public s’était opéré très progressivement. Mais cette année, la ville a clairement cédé aux avances juteuses de JCDecaux… »
Si je partage la même opinion que toi, c’est que je milite en concertation avec toi pour la même cause ?
Il y a quand même une différence entre :
l’expression d’une opinion identique,
un acte militant semblable à x ou à y,
un complot/concertation d’action avec x ou avec y.
Le
26/12/2017 à
13h
24
Évidemment, puisqu’il s’agit d’un article du “blog de l’équipe” de Next inpact : Next INpactLe lien est en pied de page. Et dans l’image d’en-tête de l’article est écrit “annonce” en jaune orangé : jaune foncé = accès libre, brève – à ne pas confondre avec jaune clair = bon plan " />
Le
26/12/2017 à
13h
13
En tout cas, je n’ai pas trouvé de citation où E Plenel aurait dit en substance que “Charlie Hebdo est le bras armé de Manuel Valls” ou qu’il y a collusion ou conspiration islamophobe. Il a seulement comparé une partie de “la gauche” à la “droite identitaire”, et ça n’a pas plu à ce petit monde plus ou moins anti-fasciste.
Le
26/12/2017 à
13h
07
“Acte 2 : Edwy Plenel répond en évoquant « une guerre aux musulmans »
Interrogé sur franceinfo le jour-même de la publication de l’hebdo, le patron de Mediapart développe ses idées. Argumente. Et va cette fois beaucoup plus loin : « La une de Charlie Hebdo fait partie d’une campagne plus générale que l’actuelle direction de Charlie Hebdo épouse… Monsieur Valls et d’autres, parmi lesquels ceux qui suivent Monsieur Valls, une gauche égarée, une gauche qui ne sait plus où elle est, alliée à une droite voire à une extrême droite identitaire, trouvent n’importe quel prétexte, n’importe quelle calomnie pour en revenir à leur obsession : la guerre aux musulmans, la diabolisation de tout ce qui concerne l’islam et les musulmans. »
« Guerre aux musulmans », le terme est lâché. Il va créer deux camps irréconciliables.”
L’autre est un investigateur qui dénonce les petits travers du pouvoir politique en n’hésitant pas à faire la publicité de ses “scoops”.
Les polémiques de boutiquiers de presse, ça n’a jamais grandi la presse (mais ça fait la publicité de l’organe de presse en question dans le tout Paris).
Le
26/12/2017 à
12h
56
Indépendant par rapport à quoi ?
Dans l’absolu, rien ni personne n’est indépendant (à part peut-être la neutralité de la diplomatie suisse, la neutralité d’internet - encore que la première l’est par rapport aux conflits qui ne concernent pas directement les intérêts suisses, et la seconde l’est par rapport aux opérateurs d’infrastructures)
Nauséabond par rapport à quoi ?
Si un organe de presse ne convient pas à tes opinions personnelles, change de lectures ou prend du recul ou élargit tes opinions.
La Fondation Mozilla et sa filiale commerciale Mozilla corp «qui s’occupe du développement et du marketing du navigateur Mozilla Firefox.» vivent en partie de la publicité. Il m’est donc avis que la publicité intrusive et invasive ne soit pas la préoccupation de Mozilla, seulement que Mozilla souhaite un navigateur qui se démarque de Google Chrome.
Pas sûr que l’apparente rapidité de l’engin soit la solution à sa popularité (est-ce une condition sine qua non?).
Perso au lieu de perdre mon temps et ma salive à prêcher dans le désert je préfère profiter de ce qu’il y a sur la table, en espérant ne pas passer comem d’habitude une partie la soirée à dépanner les PCs/tablettes/smartphones de toute la famille
[Quand tu prêches dans le désert] depuis trop longtemps
Tu t’demandes à qui ça sert toutes les règles un peu truquées
Du jeu qu’on veut te faire jouer
Les yeux bandés.
Les gens disent que les poètes finissent tous trafiquants d’armes
On est 50 millions de poètes, c’est ça qui doit faire notre charme
Sur une lune de Saturne mon perroquet sonne l’alarme
C’est drôle mais tout le monde s’en fout
Vendredi tombant nul part, y a Robinson solitaire
Qui m’a dit : “ j’trouve plus mon île, vous n’auriez pas vu la mer ”
Max (ou aumax) me fait penser aux multi-services numériques de Google, de La Poste ou plus récemment de Orange. Rien de rassurant… Est-ce l’avenir de la banque ?
Moi, je trouve ça marrant, on se dirait chez les Anonymous ou dans la résistance à l’occupation d’une puissance malveillante.
Ceci-dit, le positionnement politique de La Quadrature du Net me semble plus socialiste ou libérale (au sens anarchiste) que mes propres opinions me l’autorisent " />
Le
21/12/2017 à
01h
33
Ça me fait penser que j’avais un compte sur fdn2.org pour faire des dons à ces groupes de pression et associations d’hack-tivistes (Framasoft, La Quadrature du Net, l’April, etc).
D’ailleurs, d’après le baromètre du numérique 2017 de l’Arcep (pdf), les diplômés de l’enseignement supérieur (dont font partie la plupart des députés) se sentent compétents à l’usage des ordinateurs, tablettes et smartphones.
C’est clair que l’agrégation des fréquences de la LTE Advanced est un avantage non-négligeable en faveur de meilleurs débits : si une fréquence sature à un moment donné, ça impactera moins la bande passante disponible sur le terminal de l’utilisateur (débits plus stables).
l’architecture réseau: la structure physique du réseau (distance entre les antennes, les différents équipements qui structurent le réseau, etc)
Donc grosso modo (et si j’ai bien compris), la Non-Standalone 5G est une norme qui utilisera les fréquences de la 5G sur les équipements de la 4G. Ce qui permettra de vendre dès 2019 des smartphones 4G rebadgés 5G car ils fonctionnent avec les antennes de la 5G.
Le
21/12/2017 à
15h
59
Paraît-il que la “vraie” 4G était à l’origine ce qu’on appelle aujourd’hui en France la 4G+ LTE Advanced (un peu comme ce qui est dit dans l’article ci-dessus à propos de la dénomination 5G qui s’appuiera sur l’architecture du réseau 4G existant dans les premiers temps).
Le
21/12/2017 à
15h
37
En fait, ce qui distingue la 4G de la 5G, ce sont surtout les autorisations de fréquences (différentes selon les licences que l’État accorde aux opérateurs privés pour exploiter le spectre de fréquences disponible) et les débits théoriques permis, plutôt que la norme de l’architecture réseau et de distribution des données (même si ça compte aussi). Tout ça est plutôt flou et plutôt du ressort du marketing.
Ça me fait penser à l’internet fixe : on sait que le Haut-Débit se situe entre 512 Kb/s et 30Mb/s et le THD se situe au-delà de 30 Mb/s. Mais on ne sait pas si on parle de réseau mobile, satellite, DSL, DOCSIS/FttLA-B, ou FttH.
Le
21/12/2017 à
15h
25
C’est comme les versions de Firefox qui s’incrémentent plus rapidement ou comme les classifications énergétiques A++, A+, A, B, C, D, E… C’est seulement une question d’échelle.
UMTS, HSPA, HSPA+, DC-HSPA+, LTE, LTE Advanced,... cherchez où commence la 4G et où se termine la 3G+ là-dedans ?
« Les sigles 3G+, H+ ou DC peuvent également être utilisés par les
opérateurs, cependant, leurs définitions, notamment en ce qui concerne
les débits pouvant être atteints, peuvent différer selon les opérateurs. »
Au moins, Orianne Garcia n’est pas un gourou comme Eric Schmidt ou Laurent Alexandre.
(en ce qui me concerne, en ce moment, j’ai un problème avec les gens qui m’expliquent la vie et qui veulent absolument m’entrainer dans leurs délires pseudo-physiocratiques ou pseudo-cartésiens, mais ça me passera)
J’essaie de partager cette brève sur facebook mais Facebook me refuse mes commentaires au motif qu’il s’agit d’un contenu indésirable. D’ailleurs, sauf erreur de ma part, cette brève n’apparaît pas sur la page Facebook de Next Inpact.
Donc je pense que je vais bientôt fermer à nouveau mon compte Facebook, car l’hypocrisie a ses limites.
LeCode APE ne préjuge en rien de l’activité réelle de l’entreprise : arrêtsurimages.net (société Loubiana) est enregistrée sous Programmation informatique(6201Z), alors que nextinpact.com (Inpact Mediagroup) est enregristrée sous Édition de journaux(5813Z).
Le
21/12/2017 à
10h
31
« Nommé uberPOP, il ne s’agit pas à proprement parler d’un simple système de co-voiturage, puisqu’il est tout de même demandé aux conducteurs certains standards, par exemple, ils doivent fournir une bouteille d’eau
au « client ». Il ne s'agit pas non plus d'un système classique de taxi ou même de VTC, puisque le véhicule peut très bien être une simple citadine classique, et non une berline ou toute autre voiture plus luxueuse.
[…]
Le service n’est pas gratuit et coûte 4 euros minimums, puis 35 centimes la minute et 80 centimes le kilomètre, ce qui peut être très économique selon les parcours. Le prix minimum pour un VTC est de 8 euros avec Uber, et même de 12 euros avec une berline. Sur une courte distance, la différence peut donc être importante. »
« Définition du covoiturage […]l’utilisation en commun d’un véhicule terrestre à moteur par un conducteur et un ou plusieurs passagers, effectuée à titre non onéreux, excepté le partage des frais, dans le cadre d’un déplacement que le conducteur effectue pour son propre compte. »
Il y a une “subtilité” entre fixer les prix des chauffeurs en leur disant qu’ils peuvent mettre du beurre dans les épinards, et établir une commission de mise en relation en incitant les chauffeurs qui partent en vacances ou qui utilisent leur voiture pour rejoindre leur lieu de travail à partager leur trajet pour faire des économies. Si pour toi, c’est subtil, alors je m’incline.
Le
21/12/2017 à
02h
04
Faut-il rappeler que le service UberPOP se fait passer pour du covoiturage alors qu’il s’agit d’une prestation de transport.
Jusqu’à preuve du contraire :
BlaBlaCar est un intermédiaire (tiers de confiance, mise en relation) qui reste autorisé dans le secteur du covoiturage.
les autres services de Uber sont reconnus comme respectant la réglementation et sont autorisés.
Ça prouve bien que UberPOP est une offre commerciale qui mélange covoiturage (partage des frais d’un trajet) et service de transport (prestation de service).
Le “Secrétaire d’État auprès du Premier ministre, chargé du Numérique” a sûrement voulu une équipe disruptive des institutions, utilisant les “méthodes agiles”. Mal lui en a pris : l’institution de l’Hôtel de Matignon aime les “révolutions” douces et lentes.
Le
20/12/2017 à
07h
29
C’est bien ce que j’écrivais précédemment : pour faire court et direct, elle dérangeait l’exécutif. D’ailleurs,“polémiste”, c’est une insulte ?
Le
20/12/2017 à
07h
23
L’audiovisuel, le journalisme sont des métiers fortement INpactés par le numérique. Et Youtube, Netflix, c’est de la TV. Je suis d’accord dans le fait qu’il existe des entreprises disruptives qui bousculent ces métiers, mais si vous croyez que Youtube ou Netflix (ce sont des exemples) vont supprimer le broadcasting, vous vous mettez le doigt dans l’oeil : la diffusion audiovisuel, c’est la principale source de revenus des FAI et opérateurs télécoms.
Pour ce qui est du statut d'universitaire, un prof de lycée est un universitaire puisque le baccalauréat est le premier grade universitaire -- je n'ai pas fait sa biographie complète (shame on me), mais il n'est pas inconcevable qu'avec un diplôme universitaire, elle ait enseigné un ou deux ans ou rédigé quelques rapports ou mémoires de ci, de là. C'était aussi une forme de plaisanterie pour relever le débat ici, sinon on lit que des esprits chagrins qui critiquent tous seuls et c'est très triste (surtout à quelques jours de Noël - un peu de rêve bordel!)
Le
19/12/2017 à
20h
53
tpeg5stan a écrit :
C’est effectivement problématique pour la neutralité du bazar si ses membres sont nommés par le gouvernement…
« Ses membres sont nommés par arrêté du Premier ministre, sur proposition du ministre chargé du numérique, pour une durée de deux ans. »
Conseil National du NumériqueThéoriquement, les personnalités membres de l’équipe sont donc un choix du Premier ministre.
Le
19/12/2017 à
20h
32
Universitaire en Droit international et en marketing audiovisuel et actuellement journaliste TV (d’après sa fiche Wikipedia), elle entrait sûrement dans les 3 catégories en même temps (économique, académique, concernée par les effets du numérique).
Ça me rappelle ma propre expérience du MVNO Prixtel à l’époque de son forfait “Modulo” avec 5 ou 6 paliers tarifaires qui s’adaptait à la consommation du mois en cours. Une fois, j’ai voulu profiter de la connexion 3G parce que ma connexion ADSL était en panne. Pendant 4 jours j’ai donc consommé des données dans des proportions inhabituelles. À la moitié de la consommation du dernier palier (qui était de 3Go), j’ai reçu un SMS m’avertissant que ma consommation avait atteint 1,7 Go. J’ai trouvé ça correct de la part de Prixtel jusqu’au moment où je me suis aperçu que mon “abus” de bande passante n’était pas du goût de mon opérateur qui m’avait bridé ma connexion de manière drastique.
En somme, les opérateurs vantent leurs offres mobile et laissent leurs clients dans le flou total en ce qui concerne l’utilisation réelle du réseau. En fait, un utilisateur peut être bridé n’importe quand dans ses usages sans aucune alerte ou information. C’est un peu le même problème avec les cartes bancaires et leurs plafonds: la solution des conseillers bancaires, c’est de proposer une carte plus chère avec des plafonds plus confortables, ils ne savent même pas eux-même comment fonctionne une CB. Chez les opérateurs mobile, la solution, c’est un forfait pro (comme quoi la priorisation des données est bien une réalité).
Le
19/12/2017 à
13h
13
Il n’y a rien de moral ou de juridique dans cette relation à la presse, seulement un journaliste qui n’a pas la réponse demandée.
Aux lecteurs de se faire une opinion (libre-arbitre).
Le
19/12/2017 à
13h
05
Alors, d’après toi, parce qu’on commet une faute ou une erreur, on n’a pas le droit de parler des fautes et des erreurs d’autrui ?
S’il fallait être blanc comme neige pour parler des sujets qui fâchent, il n’y aurait pas de journalisme en ce bas monde (et ce serait dommage pour tout le monde).
Le
19/12/2017 à
13h
03
C’était une façon de dire que l’opérateur se protège dans les conditions générales et que, le jour où ça sature, ce ne sera pas de son ressort mais de celui qui se situe à l’autre bout de son infrastructure (mais ça, tout le monde s’en fout).
Le
19/12/2017 à
12h
58
" /> Comme d’hab’ : de l’illimité limité. Rien de nouveau sous le soleil des Tel’co’.
7412 commentaires
L’expérimentation des pubs sur les trottoirs suspendue à Bordeaux et Nantes
09/01/2018
Le 26/12/2017 à 13h 38
Les municipalités PS et RPR/UMP en alternance avaient déjà fait le travail de la dette grenobloise avant les Verts/Parti de gauche. Et ce n’est pas le contrat avec JCDecaux qui aurait changer quelque chose à l’affaire " />
Le 26/12/2017 à 11h 14
Pour l’anecdote personnelle : depuis que le gestionnaire de l’immeuble a installé une plaque “Pas de pub SVP” située à raz de l’ouverture de la boîte aux lettres (en remplacement des étiquettes qui étaient collées au bord de la boîte), je n’ai plus ce type de problème de “messagerie non-adressée” malencontreusement insérée dans ma BAL.
Le 26/12/2017 à 11h 08
“Bref. Je ne traîne jamais en centre-ville.”
Le 26/12/2017 à 11h 02
La publicité urbaine sert à financer le mobilier urbain (abribus, toilettes publiques, bancs publics, etc), la municipalité récoltant un pourcentage sur la publicité vendue et le prestatataire du support (JCDecaux, Clear Channel, etc) proposant l’installation et la maintenance de ce mobilier urbain.
Le 26/12/2017 à 10h 57
Pendant ce temps à Grenoble…
« C’est acté. Grenoble va devenir la première ville européenne à avoir dit non à JCDecaux, leader mondial de l’affichage. Tout le mobilier urbain pour l’information va ainsi être démonté par la multinationale à partir du mois de janvier 2015. Soit 227 sucettes (120 x 176 cm), 64 panneaux (8 m²), 15 panneaux (2 m²) sur kiosques et 20 colonnes Morris. Un coup de balai qui devrait quelque peu changer le visage de la cité.
[…]
Développer l’affichage libre
Plan lumière oblige, ce n’est donc pas à Grenoble que JCDecaux installera ses nouveaux panneaux publicitaires numériques. Un premier pas dans le respect du 40ème engagement de la municipalité verte visant à réduire la pollution lumineuse en ville.
« Les responsables publics traditionnels ont pris du retard sur les nouvelles aspirations des habitants, sur les nouvelles façons de vivre et d’échanger, affirme le maire Eric Piolle. Alors que la réalité a évolué depuis longtemps, ils maintiennent en vie les vestiges des Trente Glorieuses et de la société de consommation : affichage publicitaire, grandes surfaces, grands projets inutiles… »
[…]
Et Éric Piolle d’ajouter : « Il est temps d’aller de l’avant, et de faire émerger une ville plus douce et plus créative. Une ville pensée à hauteur d’enfant. Une ville moins agressive et moins stressante, au service de notre créativité et de notre identité. Libérer l’espace public de Grenoble de l’affichage publicitaire est un pas dans cette direction. »
Bientôt des hommes-sandwich ?
Comment le commerce va-t-il réagir à Grenoble ? Verra-t-on un jour sur les trottoirs le retour des hommes-sandwich ? Grenoble convaincra-t-elle d’autres villes de l’agglomération ? Fera-t-elle des émules ailleurs ? Difficile à dire. Quoi qu’il en soit, tous les yeux sont pour l’heure rivés sur la capitale des Alpes, qui devient la nouvelle ville-laboratoire sans pub.
Car São Paulo qui faisait jusqu’alors figure d’exception n’a finalement résisté que cinq ans avant de succomber aux sirènes de la publicité. Depuis 2011, le retour de l’affichage publicitaire dans l’espace public s’était opéré très progressivement. Mais cette année, la ville a clairement cédé aux avances juteuses de JCDecaux… »
Publicité : grand nettoyage à Grenoble- placegrenet.fr - par VM - le 23/11/2014
Entreprise ou particulier, encore quelques heures pour soutenir Next INpact via le don défiscalisé
31/12/2018
Le 26/12/2017 à 13h 29
Si je partage la même opinion que toi, c’est que je milite en concertation avec toi pour la même cause ?
Il y a quand même une différence entre :
Le 26/12/2017 à 13h 24
Évidemment, puisqu’il s’agit d’un article du “blog de l’équipe” de Next inpact : Next INpactLe lien est en pied de page. Et dans l’image d’en-tête de l’article est écrit “annonce” en jaune orangé : jaune foncé = accès libre, brève – à ne pas confondre avec jaune clair = bon plan " />
Le 26/12/2017 à 13h 13
En tout cas, je n’ai pas trouvé de citation où E Plenel aurait dit en substance que “Charlie Hebdo est le bras armé de Manuel Valls” ou qu’il y a collusion ou conspiration islamophobe. Il a seulement comparé une partie de “la gauche” à la “droite identitaire”, et ça n’a pas plu à ce petit monde plus ou moins anti-fasciste.
Le 26/12/2017 à 13h 07
“Acte 2 : Edwy Plenel répond en évoquant « une guerre aux musulmans »
Interrogé sur franceinfo le jour-même de la publication de l’hebdo, le patron de Mediapart développe ses idées. Argumente. Et va cette fois beaucoup plus loin : « La une de Charlie Hebdo fait partie d’une campagne plus générale que l’actuelle direction de Charlie Hebdo épouse… Monsieur Valls et d’autres, parmi lesquels ceux qui suivent Monsieur Valls, une gauche égarée, une gauche qui ne sait plus où elle est, alliée à une droite voire à une extrême droite identitaire, trouvent n’importe quel prétexte, n’importe quelle calomnie pour en revenir à leur obsession : la guerre aux musulmans, la diabolisation de tout ce qui concerne l’islam et les musulmans. »
« Guerre aux musulmans », le terme est lâché. Il va créer deux camps irréconciliables.”
Ouest France
Les polémiques de boutiquiers de presse, ça n’a jamais grandi la presse (mais ça fait la publicité de l’organe de presse en question dans le tout Paris).
Le 26/12/2017 à 12h 56
Dans l’absolu, rien ni personne n’est indépendant (à part peut-être la neutralité de la diplomatie suisse, la neutralité d’internet - encore que la première l’est par rapport aux conflits qui ne concernent pas directement les intérêts suisses, et la seconde l’est par rapport aux opérateurs d’infrastructures)
Si un organe de presse ne convient pas à tes opinions personnelles, change de lectures ou prend du recul ou élargit tes opinions.
Tailing : Firefox 57 retarde les trackers pour accélérer les pages, une bonne approche ?
26/12/2017
Le 26/12/2017 à 10h 22
La Fondation Mozilla et sa filiale commerciale Mozilla corp «qui s’occupe du développement et du marketing du navigateur Mozilla Firefox.» vivent en partie de la publicité. Il m’est donc avis que la publicité intrusive et invasive ne soit pas la préoccupation de Mozilla, seulement que Mozilla souhaite un navigateur qui se démarque de Google Chrome.
Pas sûr que l’apparente rapidité de l’engin soit la solution à sa popularité (est-ce une condition sine qua non?).
La Défense assure que la loi Renseignement est bien compatible avec le droit européen
26/12/2017
Le 26/12/2017 à 09h 35
Un jour, le grand public se rendra compte qu’une loi votée peut ne pas être appliquée (on peut rêver). C’est d’ailleurs le cas de nombreuses lois.
Repas des fêtes de fin d’année : et si on en profitait pour parler sécurité et vie privée ?
31/12/2017
Le 26/12/2017 à 09h 09
Comparatif de 16 banques en ligne, laquelle choisir ?
21/12/2017
Le 25/12/2017 à 18h 06
Max (ou aumax) me fait penser aux multi-services numériques de Google, de La Poste ou plus récemment de Orange. Rien de rassurant… Est-ce l’avenir de la banque ?
La Quadrature du Net prolonge sa campagne de soutien, bouclée seulement à 52 %
19/12/2017
Le 23/12/2017 à 07h 55
Le 21/12/2017 à 01h 33
Ça me fait penser que j’avais un compte sur fdn2.org pour faire des dons à ces groupes de pression et associations d’hack-tivistes (Framasoft, La Quadrature du Net, l’April, etc).
Haven : une application Android de surveillance, respectueuse de votre vie privée
22/12/2017
Le 22/12/2017 à 19h 25
Grâce à Edward Snowden, devenez l’espion de vous-même " />
Demain tous développeurs ? Apprenez déjà à bidouiller vos premières applications
22/12/2017
Le 22/12/2017 à 19h 11
Aurélie Jean sort de ce corps !
Plus sérieusement, le néophyte que je suis pourrait être INtéressé par ce dossier. À voir si la motivation me gagne…
Les députés s’apprêtent à recevoir des tablettes, en remplacement des amendements papier
22/12/2017
Le 22/12/2017 à 15h 57
Lessilver surfersexistent aussi.
" />
D’ailleurs, d’après le baromètre du numérique 2017 de l’Arcep (pdf), les diplômés de l’enseignement supérieur (dont font partie la plupart des députés) se sentent compétents à l’usage des ordinateurs, tablettes et smartphones.
La 3GPP valide la « Non-Standalone 5G »… qui exploite les réseaux 4G
21/12/2017
Le 22/12/2017 à 11h 45
C’est clair que l’agrégation des fréquences de la LTE Advanced est un avantage non-négligeable en faveur de meilleurs débits : si une fréquence sature à un moment donné, ça impactera moins la bande passante disponible sur le terminal de l’utilisateur (débits plus stables).
Le 21/12/2017 à 18h 00
Donc grosso modo (et si j’ai bien compris), la Non-Standalone 5G est une norme qui utilisera les fréquences de la 5G sur les équipements de la 4G. Ce qui permettra de vendre dès 2019 des smartphones 4G rebadgés 5G car ils fonctionnent avec les antennes de la 5G.
Le 21/12/2017 à 15h 59
Paraît-il que la “vraie” 4G était à l’origine ce qu’on appelle aujourd’hui en France la 4G+ LTE Advanced (un peu comme ce qui est dit dans l’article ci-dessus à propos de la dénomination 5G qui s’appuiera sur l’architecture du réseau 4G existant dans les premiers temps).
Le 21/12/2017 à 15h 37
En fait, ce qui distingue la 4G de la 5G, ce sont surtout les autorisations de fréquences (différentes selon les licences que l’État accorde aux opérateurs privés pour exploiter le spectre de fréquences disponible) et les débits théoriques permis, plutôt que la norme de l’architecture réseau et de distribution des données (même si ça compte aussi). Tout ça est plutôt flou et plutôt du ressort du marketing.
Ça me fait penser à l’internet fixe : on sait que le Haut-Débit se situe entre 512 Kb/s et 30Mb/s et le THD se situe au-delà de 30 Mb/s. Mais on ne sait pas si on parle de réseau mobile, satellite, DSL, DOCSIS/FttLA-B, ou FttH.
Le 21/12/2017 à 15h 25
C’est comme les versions de Firefox qui s’incrémentent plus rapidement ou comme les classifications énergétiques A++, A+, A, B, C, D, E… C’est seulement une question d’échelle.
Le 21/12/2017 à 09h 33
Mercatique, quand tu nous tiens !
Eric Schmidt cèdera la tête d’Alphabet en janvier 2018
22/12/2017
Le 22/12/2017 à 11h 21
Au moins, Orianne Garcia n’est pas un gourou comme Eric Schmidt ou Laurent Alexandre.
(en ce qui me concerne, en ce moment, j’ai un problème avec les gens qui m’expliquent la vie et qui veulent absolument m’entrainer dans leurs délires pseudo-physiocratiques ou pseudo-cartésiens, mais ça me passera)
Le 22/12/2017 à 11h 11
« Y a un ‘blème ?
Les Trois Frères
Lutte contre les fausses informations et le phishing : Facebook améliore ses outils
21/12/2017
Le 21/12/2017 à 18h 40
J’essaie de partager cette brève sur facebook mais Facebook me refuse mes commentaires au motif qu’il s’agit d’un contenu indésirable. D’ailleurs, sauf erreur de ma part, cette brève n’apparaît pas sur la page Facebook de Next Inpact.
Donc je pense que je vais bientôt fermer à nouveau mon compte Facebook, car l’hypocrisie a ses limites.
La justice européenne assimile UberPop à un service de transports
20/12/2017
Le 21/12/2017 à 10h 44
LeCode APE ne préjuge en rien de l’activité réelle de l’entreprise : arrêtsurimages.net (société Loubiana) est enregistrée sous Programmation informatique(6201Z), alors que nextinpact.com (Inpact Mediagroup) est enregristrée sous Édition de journaux(5813Z).
Le 21/12/2017 à 10h 31
« Nommé uberPOP, il ne s’agit pas à proprement parler d’un simple système de co-voiturage, puisqu’il est tout de même demandé aux conducteurs certains standards, par exemple, ils doivent fournir une bouteille d’eau
[…]
Le service n’est pas gratuit et coûte 4 euros minimums, puis 35 centimes la minute et 80 centimes le kilomètre, ce qui peut être très économique selon les parcours. Le prix minimum pour un VTC est de 8 euros avec Uber, et même de 12 euros avec une berline. Sur une courte distance, la différence peut donc être importante. »
Uber souhaite changer les particuliers en taxis, à partir de 4 € - Next inpact - 05/02/2014
« Définition du covoiturage […]l’utilisation en commun d’un véhicule terrestre à moteur par un conducteur et un ou plusieurs passagers, effectuée à titre non onéreux, excepté le partage des frais, dans le cadre d’un déplacement que le conducteur effectue pour son propre compte. »
République Française
UberPOP: c’est quoi et pourquoi on l’interdit?- L’Express - 15/12/2014
Il y a une “subtilité” entre fixer les prix des chauffeurs en leur disant qu’ils peuvent mettre du beurre dans les épinards, et établir une commission de mise en relation en incitant les chauffeurs qui partent en vacances ou qui utilisent leur voiture pour rejoindre leur lieu de travail à partager leur trajet pour faire des économies. Si pour toi, c’est subtil, alors je m’incline.
Le 21/12/2017 à 02h 04
Faut-il rappeler que le service UberPOP se fait passer pour du covoiturage alors qu’il s’agit d’une prestation de transport.
Jusqu’à preuve du contraire :
Ça prouve bien que UberPOP est une offre commerciale qui mélange covoiturage (partage des frais d’un trajet) et service de transport (prestation de service).
#LeBrief prend des vacances
21/12/2017
Le 21/12/2017 à 09h 49
Bonnes Fêtes de fin d’année !
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Concernant le CES de Las Vegas, j’espère qu’on retrouvera les équipes de la French Tech, de La Poste (bouton connecté) comme l’année dernière " />
(Nokia/HMD Global et Blackberry/Alcatel/TCL semblent avoir disparu" />)
Analysons OneDrive, le service de stockage en ligne de Microsoft
20/12/2017
Le 20/12/2017 à 20h 12
Le 20/12/2017 à 20h 07
Iliad et NJJ (Xavier Niel) s’unissent pour croquer 64,5 % de l’opérateur irlandais eir
20/12/2017
Le 20/12/2017 à 14h 24
De petits territoires, des opérateurs historiques à l’agonie, des cibles faciles pour étendre son empire européen à peu de frais.
Le 20/12/2017 à 13h 53
Ceci-dit, NJJ Capital est propriétaire également de Monaco Telecom. Monaco, l’Irlande… Je dis ça…
Bandes-annonces : Jumanji, Wonder, Ocean’s 8, Annihilation et… Casse-Noisette
19/12/2017
Le 20/12/2017 à 10h 59
Édouard Philipperessemble étrangement à Vandal Savage(DC’s Legends of Tomorrow), non ? Je dis ça…
Le 19/12/2017 à 17h 21
Sandra Bullock et Anne Hathaway " />
Démission collective au Conseil national du numérique
19/12/2017
Le 20/12/2017 à 08h 43
Je suis bien d’accord " />
Le “Secrétaire d’État auprès du Premier ministre, chargé du Numérique” a sûrement voulu une équipe disruptive des institutions, utilisant les “méthodes agiles”. Mal lui en a pris : l’institution de l’Hôtel de Matignon aime les “révolutions” douces et lentes.
Le 20/12/2017 à 07h 29
C’est bien ce que j’écrivais précédemment : pour faire court et direct, elle dérangeait l’exécutif. D’ailleurs,“polémiste”, c’est une insulte ?
Le 20/12/2017 à 07h 23
L’audiovisuel, le journalisme sont des métiers fortement INpactés par le numérique. Et Youtube, Netflix, c’est de la TV. Je suis d’accord dans le fait qu’il existe des entreprises disruptives qui bousculent ces métiers, mais si vous croyez que Youtube ou Netflix (ce sont des exemples) vont supprimer le broadcasting, vous vous mettez le doigt dans l’oeil : la diffusion audiovisuel, c’est la principale source de revenus des FAI et opérateurs télécoms.
Le 19/12/2017 à 20h 53
Le 19/12/2017 à 20h 32
Universitaire en Droit international et en marketing audiovisuel et actuellement journaliste TV (d’après sa fiche Wikipedia), elle entrait sûrement dans les 3 catégories en même temps (économique, académique, concernée par les effets du numérique).
Fort heureusement, ce “mouton à cinp pattes” a été éliminé de l’équipe afin d’éviter une erreur systémique de la Matrice étatique.
Le 19/12/2017 à 20h 19
Cette équipe du CNNum ressemblait étrangement à A-Team (L’Agence tous Risques) ou à DC’s Legends of Tomorrow.
C’est dommage, les débats du CNNum n’auraient pas manqué de piquant.
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4G Box : Bouygues Télécom officialise une limite à 200 Go, ses réponses à nos questions
22/01/2018
Le 19/12/2017 à 18h 14
Analyse intéressante.
Ça me rappelle ma propre expérience du MVNO Prixtel à l’époque de son forfait “Modulo” avec 5 ou 6 paliers tarifaires qui s’adaptait à la consommation du mois en cours. Une fois, j’ai voulu profiter de la connexion 3G parce que ma connexion ADSL était en panne. Pendant 4 jours j’ai donc consommé des données dans des proportions inhabituelles. À la moitié de la consommation du dernier palier (qui était de 3Go), j’ai reçu un SMS m’avertissant que ma consommation avait atteint 1,7 Go. J’ai trouvé ça correct de la part de Prixtel jusqu’au moment où je me suis aperçu que mon “abus” de bande passante n’était pas du goût de mon opérateur qui m’avait bridé ma connexion de manière drastique.
En somme, les opérateurs vantent leurs offres mobile et laissent leurs clients dans le flou total en ce qui concerne l’utilisation réelle du réseau. En fait, un utilisateur peut être bridé n’importe quand dans ses usages sans aucune alerte ou information. C’est un peu le même problème avec les cartes bancaires et leurs plafonds: la solution des conseillers bancaires, c’est de proposer une carte plus chère avec des plafonds plus confortables, ils ne savent même pas eux-même comment fonctionne une CB. Chez les opérateurs mobile, la solution, c’est un forfait pro (comme quoi la priorisation des données est bien une réalité).
Le 19/12/2017 à 13h 13
Il n’y a rien de moral ou de juridique dans cette relation à la presse, seulement un journaliste qui n’a pas la réponse demandée.
Aux lecteurs de se faire une opinion (libre-arbitre).
Le 19/12/2017 à 13h 05
Alors, d’après toi, parce qu’on commet une faute ou une erreur, on n’a pas le droit de parler des fautes et des erreurs d’autrui ?
S’il fallait être blanc comme neige pour parler des sujets qui fâchent, il n’y aurait pas de journalisme en ce bas monde (et ce serait dommage pour tout le monde).
Le 19/12/2017 à 13h 03
C’était une façon de dire que l’opérateur se protège dans les conditions générales et que, le jour où ça sature, ce ne sera pas de son ressort mais de celui qui se situe à l’autre bout de son infrastructure (mais ça, tout le monde s’en fout).
Le 19/12/2017 à 12h 58
" /> Comme d’hab’ : de l’illimité limité. Rien de nouveau sous le soleil des Tel’co’.
Le 19/12/2017 à 12h 56
la rancune est tenace, dirait-on.