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hugoroy

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4 commentaires

Le 29/11/2022 à 15h 16

Petite précision ultérieure sur la précision:



Dans cette procédure de sanction, l’autorité irlandaise (DPC) agit en tant qu’autorité “chef de file” et donc le périmètre en est bien européen et non, seulement, irlandais. Toute les autorités nationales de protection des données européennes (comme la CNIL) ont pu avoir leur mot à dire et, en cas de désaccords avec la DPC par exemple sur le montant de l’amende, chacune pouvait faire appel à l’EDPB afin d’aligner tout le monde sur la décision à rendre.



Donc c’est assez correct de dire que c’est “l’Europe” ça a en tout cas plus de sens que de dire: “l’Irlande”

Le 25/10/2016 à 11h 58

La loi vise les “Aéronefs circulant sans personne à bord” et “opérés par un télépilote”



L’aéronef est défini au L6100-1 du code des transports :



“Est dénommé aéronef pour l’application du présent code, tout appareil capable de s’élever ou de circuler dans les airs.”

Le 12/12/2014 à 13h 26

Non, la CJUE ici part  d’un cas particulier pour interpréter une exception à un principe de base. La dite exception ne s’applique que pour les personnes physiques. Donc l’interprétation de l’exception ne peut pas s’appliquer pour ce qui est de la vidéosurveillance qui procède de l’État, l’État n’étant pas une personne physique.



Toute la décision de la CJUE est à propos de cette exception, il n’y a aucun travail de définition de la vidéosurveillance, ni de la nature du traitement qui est effectué par la Cour dans cette décision.

Le 11/12/2014 à 16h 58

Étonnant de faire ce rapprochement ! En effet, la décision de la CJUE concerne une exception prévue pour les personnes physiques. Bref, la décision n’a rien à voir avec ce que veut faire l’État ou une collectivité ou un magasin en terme de vidéosurveillance de la voie publique.



https://hroy.eu/posts/whatsGoingOnWithDataP/