C’est élémentaire mais pas très vendeur. En tout cas au début quand il faut attirer les entreprises.
L’entreprise vient sur FB pour avoir des “J’aime”, FB les lui donne par tous les moyens possibles. Maintenant qu’une page FB fait partie des prérequis de la communication, le discours n’est plus “venez chez nous et vous verrez que vous toucherez plus de monde que prévu” mais plutôt “maintenant que tout le monde est chez nous (et ne peut plus en sortir), on souhaite être au plus proche de la réalité”.
En soi ça reste une bonne démarche de séduction des entreprises, FB insiste sur la fiabilité de ses compteurs et l’entreprise ça aime le sérieux (en tout cas la forme).
“Deux brutes qui marchent vont plus loin qu’un intellectuel qui pense.”
Le
24/02/2015 à
14h
33
ActionFighter a écrit :
On rentre dans la contrefaçon lorsque l’on se fait des sous sur une œuvre sans en payer les droits.
Ce qui est le cas de Disney qui ne paie aucun droits aux frères Grimm. J’attends donc qu’on foute en taule ce Mickey qui sévit depuis des années sans être inquiété.
Utiliser une oeuvre en payant des droits… sur une oeuvre gratuite ?
Les contes des frères Grimms utilisés par Disney sont libre de droit.
Disney utilise le droit d’auteur pour empêcher que la patte graphique Disney ne soit utilisé gratuitement par d’autre.
Cela permet d’éviter que Blanche-Neige serve à de la propagande néo-nazi tout comme cela évite à une association de l’utiliser pour faire une campagne sur la maltraitance des enfants.
Le
24/02/2015 à
14h
28
La loi incrimine au titre du délit de contrefaçon :
- «toute reproduction, représentation ou diffusion, par
quelque moyen que ce soit, d’une œuvre de l’esprit en violation des
droits de l’auteur, tels qu’ils sont définis et réglementés par la loi »
(CPI, art. L. 335-3).
- «le débit [acte de diffusion, notamment par vente, de marchandises contrefaisantes], l’exportation et l’importation des ouvrages “contrefaisants” » (CPI, art. L. 335.2 al. 3).
205 commentaires
Facebook veut donner plus de sens aux mentions « J’aime » d’une page
06/03/2015
Le 06/03/2015 à 08h 48
C’est élémentaire mais pas très vendeur. En tout cas au début quand il faut attirer les entreprises.
L’entreprise vient sur FB pour avoir des “J’aime”, FB les lui donne par tous les moyens possibles. Maintenant qu’une page FB fait partie des prérequis de la communication, le discours n’est plus “venez chez nous et vous verrez que vous toucherez plus de monde que prévu” mais plutôt “maintenant que tout le monde est chez nous (et ne peut plus en sortir), on souhaite être au plus proche de la réalité”.
En soi ça reste une bonne démarche de séduction des entreprises, FB insiste sur la fiabilité de ses compteurs et l’entreprise ça aime le sérieux (en tout cas la forme).
Droit d’auteur : la France étend son lobbying contre le rapport Reda
24/02/2015
Le 24/02/2015 à 15h 33
Je propose d’aller dans les bureaux des ayants droit et brûler chacun des contrats. Faire de même avec le double du contrat.
Ca devrait suffire pour invalider la plupart des rentes.
Le 24/02/2015 à 14h 46
Sorry :)
J’ai l’impression qu’on est tous d’accord pour dire qu’il y a un problème.
Un rappel sur la loi concernant le droit d’auteur
Et comme l’a dit un fameux personnage :
“Deux brutes qui marchent vont plus loin qu’un intellectuel qui pense.”
Le 24/02/2015 à 14h 33
Le 24/02/2015 à 14h 28
La loi incrimine au titre du délit de contrefaçon :
- «toute reproduction, représentation ou diffusion, par
quelque moyen que ce soit, d’une œuvre de l’esprit en violation des
droits de l’auteur, tels qu’ils sont définis et réglementés par la loi »
(CPI, art. L. 335-3).
- «le débit [acte de diffusion, notamment par vente, de marchandises contrefaisantes], l’exportation et l’importation des ouvrages “contrefaisants” » (CPI, art. L. 335.2 al. 3).