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24 commentaires

e-Commerce : un futur droit de rétractation salué par la FEVAD, critiqué par l’UFC

Le 21/04/2018 à 19h 45

Je basais mon propos sur le contenu de l’article, où il est bien mentionné : « Il pourra déprécier le bien s’il a été utilisé plus que nécessaire, puisque le droit de rétractation est un droit à l’essai ». On parle donc bien de “droit à l’essai” et pas uniquement d’adéquation entre la couleur d’une photo et celle de l’objet reçu.

D’ailleurs, ils parlent ensuite de dépréciation si l’objet a été utilisé “plus que nécessaire”. Mais bon, pour moi “plus que nécessaire”, ça ne veut rien dire dans le sens où dans 99% des cas te auras toutes les peines du monde pour justifier qu’en effet tu entres dans ce cas, ainsi que la valeur de la dépréciation que tu appliqueras.
Par exemple un emballage défait, c’est déjà une dépréciation de l’objet puisqu’il n’est plus “neuf” : le prochain acheteur verra bien que le carton a déjà été ouvert, que les protections ne sont pas bien remises… Le vendeur devra éventuellement refaire ça proprement (donc temps passé = argent perdu). Et là on est toujours dans un cas “normal” sans abus de la part du client. Je ne parle pas non plus d’un objet essayé (type mixeur, arbre à chat, produit Hi-Tech etc) où l’usage peut rendre le produit sale et difficilement lavable (surtout si le client ne l’a pas fait correctement et que ça a séché plusieurs jours).

Je comprends le délai de rétractation pour de la vente au porte-à-porte où comme dit Radithor, il peut y avoir des pratiques assez discutables, des closes mal comprises ou inconnues, de pressions pour signer.
Mais pour un site de e-commerce, tu es seul devant ton PC, personne ne peut te forcer à cliquer avant de lire, et je trouve que tu es même dans des meilleures conditions pour réfléchir (pas de vendeur devant toi, temps pour lire le contrat sans que quelqu’un s’impatiente pour que tu le signes, etc) que pour une vente en magasin. D’où le fait que je trouve le droit à la rétractation beaucoup trop large pour le moment.

Pour moi, le droit à la rétractation devrait porter comme tu le dis sur une différence entre l’objet réel et la fiche de l’article (ex: couleur, fonctionnalités manquantes etc), et donc où le vendeur a fait une “faute” en n’indiquant pas les bonnes infos. Mais pas un retour libre et sans même besoin de justification valable comme c’est le cas maintenant, et encore moins pendant 14 jours…


Le 20/04/2018 à 19h 14

Personnellement, je ne trouve que le droit de rétractation est TROP permissif actuellement et ouvre la porte à beaucoup trop d’abus.

En effet, d’un côté on a la vente en magasin physique, où il n’y a aucun délai de rétractation une fois l’achat effectué : Visiblement, la loi considère que le fait de voir le produit en magasin est suffisant pour se faire une idée avant d’acheter. Pas question donc d’essayer le produit en condition réelle avant l’achat.

Pourtant, cette logique est beaucoup moins claire pour un site de e-commerce, où là vous avez une période de 14 jours pour “tester” le produit. Pourquoi 14 jours ? Qui a besoin de 14 jours pour vérifier que le produit correspond bien à l’idée qu’on s’en était fait ?
De même, à ma connaissance, il n’y a pas de limitation claire à ce qu’est un essai. En magasin, comme dit plus haut, ça consiste en général à voir l’article réel, éventuellement à le manipuler… Rarement à le brancher et encore moins à l’utiliser en condition réelle.
Pour le e-commerce, où se limite l’essai? Moi je n’en ai aucune idée.
Est-ce qu’un client a le droit par exemple d’utiliser un mixeur une fois, et de le retourner vaguement nettoyé, avec les protections en polystyrène abimées, les plastiques partiellement arrachés ou manquants, simplement parce que “finalement j’en veux un plus puissant” ou “finalement j’en ai pas besoin” ? Et qui couvre la dépréciation dû à l’ouverture de l’emballage et les traces d’usage ?
De même, si le client commande un article très spécifique donc difficile à revendre et/ou à stocker (s’il est particulièrement encombrant) ? Qui couvre les frais de ports si c’est un article très lourd (par exemple 100kg, encombrant et devant donc être envoyé par un transporteur privé à un coût supérieur à 50€) ? Tout ça parce que le client “a changé d’avis”…
Et je ne parle pas des vrais abus, où les personnes commandent des objets pour les utiliser pendant une courte période et les retourner. Allez prouver que la personne l’a fait en sachant très bien qu’il allait le retourner…

Bref, je trouve que si sur le principe il est bien de protéger le consommateur, il faudrait aussi penser un peu au professionnel et trouver un juste milieu où à la fois le consommateur est protégé, mais où il a aussi des responsabilités et des devoirs à respecter pour limiter les abus.
Actuellement, je trouve qu’il n’y a pas assez de garde-fous, d’où les abus réguliers.

Mais bon, encore une fois c’est un avis personnel. Pas taper SVP :)


Voiture autonome de niveau 5 : Lyft ouvre un centre de recherche à Berlin

Le 04/02/2018 à 18h 14

Je pense aussi que ce sera le proprio qui paiera : OK l’accident ne sera pas de sa faute, mais en tant que propriétaire il sera la personne couverte par l’assurance et les dégâts causés via son véhicule.

Je ne pense pas que ça mènera à des dérives au niveau des constructeurs, car il y aura forcément des genres d’homologation à obtenir avant de mettre en circulation ce genre de véhicule. Et si il s’avère qu’un véhicule est dangereux, forcément le constructeur se fera retirer son homologation pour ce modèle et ne pourra plus vendre ses voitures dans le pays concerné (voir dans d’autres pays, lorsque la nouvelle se répandra).

Après c’est sûr que les tests liés à l’homologation devront être très complets afin de s’assurer du comportement du véhicule dans toutes situations possibles du quotidien, et je pense en effet qu’il y a encore un gros travail à faire avant qu’un véhicule totalement autonome soit prêt à être utilisé par le grand publique.

Pour moi, la plus grande question n’est pas “qui sera responsable en cas d’accident”, mais plutôt quelle sera la réaction choisie en cas d’accident incontournable (ex:les freins lâchent, et la voiture doit décider entre écraser le ou les piéton, ou se détourner et risquer la vie des occupants de la voiture). Dans ce type de situation, un humain n’a pas le temps de faire un choix raisonné : ce sont ses réflexes qui définiront sa réaction sans avoir vraiment le temps de penser aux conséquences ou aux choix dont il dispose. Pour une voiture autonome, ce sera différent : elle pourra en quelques millisecondes prendre en compte différents facteurs et agir en conséquence.
Mais qui achètera une voiture qui préfèrera sauver des passant innocents plutôt que son unique passager ? Et à l’inverse, est-ce morale de privilégier la vie d’une seule personne qui est le propriétaire de la voiture plutôt que la vie de plusieurs personnes ? Et si les familles de ces personnes attaquaient le choix défini par le constructeur dans ce type de scénario ?

Ca me semble beaucoup plus complexe à gérer que la simple question de l’assurance,et pourtant il faudra bien que la voiture gère ce type de scénario :)


Ubuntu 17.10 disponible en version finale : la grande bascule vers GNOME Shell

Le 19/10/2017 à 19h 18






OlivierJ a écrit :

J’insiste, “expérience utilisateur”, c’est un anglicisme, c’est juste une traduction littérale de l’anglais.
On n’employait pas ce terme il y a 3 ans par exemple, pour le service client. D’ailleurs quand on a besoin du service client, on ne fait pas une expérience, ce n’est pas expérimental. Le SAV fait partie de la qualité de service, tout simplement, ou de l’agrément de la marque (et on peut trouver d’autres formulations plus précises).


Juste pour pinailler : “expérience utilisateur” n’est pas un anglicisme. Un anglicisme est un mot (ou expression) de la langue anglaise introduit dans une autre langue. Ici le terme “expérience utilisateur” n’est pas un mot utilisé tel quel en Anglais. Ce que tu veux dire c’est que c’est une traduction littérale malvenue.
 
Et concernant le terme “expérience”, je ne partage pas ton point de vue. Un mot peut avoir plusieurs sens : le mot expérience ne signifie pas seulement “essai” ou “test” (comme une expérience scientifique) mais aussi “Pratique
de quelque chose, de quelqu’un, épreuve de quelque chose, dont
découlent un savoir, une connaissance, une habitude ; connaissance tirée
de cette pratique”. Par exemple “un conducteur sans expérience”, ou “j’ai beaucoup d’expérience dans ce domaine”. Et dans ce cas, “expérience utilisateur” a tout son sens : ça représente ce que l’utilisateur retient de son utilisation du produit ou du support. :)



Microsoft 365 colle Windows et Office dans les abonnements pour entreprises

Le 10/07/2017 à 18h 05

Comparer Office 365 à une licence de la suite Office n’a pas beaucoup de sens.

En effet, la suite office est un pack de logiciels (Word, Excel, …) alors qu’Office 365 est beaucoup plus que ça. Selon les plans, ça inclue non seulement la suite Office (ou pas, ça dépends), une licence Exchange Online, Lync Online, SharePoint Online etc.

Quand tu dis “Un rapide calcul montre qu’il faut environ 2 ans pour que l’abonnement à
Office365 coûte plus cher que l’achat de licences OEM avec les machines”, as tu compté le coût d’un serveur Exchange local (licence + matériel) + un serveur Lync + un serveur SharePoint, sans parler d’un AD local, la maintenance et les mises à jour de tout ça, la redondance pour limiter les coupures ?

Je doute que tu puisses te payer tout ça en 2 ans. Après si tu ne veux que le pack Office, en effet Office 365 n’est pas forcément une solution adaptée… Et encore. Car là encore, une licence OEM est limitée à un poste. Une licence Office 365 te permet d’installer Office sur 5 appareils du même utilisateur (ex: une tablette, un ordinateur portable, un PC de bureau, ton PC personnel, et ta machine de tests). Le tout pour le même prix. Avec une licence OEM, il te faudra plusieurs licences si tu veux installer Office sur tes différents ordinateurs. Là encore, je ne pense pas que ta comparaison prenne ça en compte.

Et je ne parle pas de la migration aux nouvelles versions, ça certains préfèrent rester sur une même version, d’autres préfèrent profiter des nouveautés…

Cela dit, je ne suis pas un fervent admirateur d’Office 365 qui a ses qualités et ses défauts, mais je trouve que ta comparaison est très hâtive et donne une image erronée de ce qu’est Office 365&nbsp; <img data-src=" />


Sous l'oeil de la Hadopi, l’appétit des 8-14 ans pour « la fast culture »

Le 02/06/2017 à 18h 55

En effet, je n’utilisais pas la culture comme une excuse pour télécharger. Je disais que leur enquête est bidon, et qu’il est évident que les gens cherchent le moyen le plus simple d’accéder à ce qu’ils souhaitent.
Donc tant qu’il n’y aura pas d’offre légale digne de ce nom, qu’ils arrêtent leur hypocrisie consistant à dire “bouh ils téléchargent, c’est illégal”, alors qu’ils ne font rien pour proposer une alternative légale. <img data-src=" />


Le 02/06/2017 à 15h 51






gavroche69 a écrit :

Par contre revendiquer le côté culturel de la chose ça m’amuse un peu, je doute que la culture soit l’objectif principal des “pirates”… <img data-src=" />



Je ne dis pas qu’on pirate des films dans le but de se forger une culture générale : J’ai regroupé les livres, les films, la musique etc sous la mention “contenu culturel” (même si pour certains, on pourrait se demander si c’est vraiment le cas !), pour dire que les gens cherchent à accéder à ce type de contenu le plus facilement possible. <img data-src=" />



Le 02/06/2017 à 07h 45

Toute cette histoire me semble vraiment ridicule : On fait des analyses bidons pour avancer des conclusions déjà connues, et justifier des mesures de répression débiles, au lieu de se poser les vraies questions.

License globale ou non, le fait est que même si je paye un abonnement pour Deezer ou Spotify, je n’ai pas accès à tous les albums parce que certains artistes ou maisons d’édition refusent ce type de distribution de contenu.
Alors comment faire pour rester dans la légalité, si on veut pouvoir écouter cet album sur son MP3?
Et je ne parle même pas des films et de la chronologie des médias, qui empêchent certains producteurs qui pourraient choisir de proposer leur films en streaming parallèlement à sa parution au cinéma de le proposer en France.

A quand une étude qui conclue que le système actuel est complètement dépassé, et qu’il faut légiférer afin d’avoir de vraies alternative légales proposant un contenu exhaustif à un prix raisonnable ?
Tant qu’on n’aura pas ça, faire la chasse aux pratiques illégales ne sera qu’une vaste blague d’une hypocrisie sans nom, visant à conserver un système dépassé n’ayant aucun avenir.

Alors oui messieurs dames de la HADOPI, les gens (enfants ou non) utilisent de plus en plus Internet pour trouver du contenu culturel facile d’accès, et le consomment là où ils se trouvent, que ce soit par le biais d’une offre légale ou non. Faites le nécessaire pour qu’il soit disponible légalement et dans de bonnes conditions, et après on parlera des méchants pirates qui osent le consommer illégalement.


On vous répond sur l'évolution de Next INpact, à la recherche d'un nouvel équilibre

Le 15/04/2017 à 17h 30






Ectoplasm a écrit :

&nbsp;
Si tu arrives à m’expliquer l’intérêt de conserver une personne qui ne rapporte rien au site, pas un kopeck, je prend.
Au delà bien entendu de la volonté de faire plaisir à tout le monde ?
Et potentiellement, cela pourrait venir phagocyter des abonnements :/


Facile : Fidéliser les visiteurs, qui sont des clients potentiels. Pour citer mon exempl , si je n’avais pas connu le site en gratuit, je ne me serais probablement
jamais abonné : C’est en prenant l’habitude de venir sur ce site qui me semble avoir du contenu plus pertinant que les autres, que j’ai décidé finalement de m’habonner. Et je pense que beaucoup de monde est dans mon cas. Tu payes quand tu es convaincu que ça vaut le coup (coût ^^). Sinon tu vas voir ailleurs.
Donc c’est une forme d’un investissement qui en effet ne “rapporte rien” à court terme, mais aide à avoir de nouveaux abonnés à plus long terme.

Plus généralement, je pense qu’il est utile de faire quelque chose pour les visiteurs occasionnels plutôt que de leur dire (implicitement) “allez voir ailleur si vous ne voulez pas vous abonner”.

Après ce n’est que mon point de vue, tu as le droit de ne pas le partager <img data-src=" />



Le 12/04/2017 à 21h 04

Je ne dis pas le contraire, même si je ne vis pas en France donc ta comparaison tombe à l’eau pour mon cas précis - Mais bien entendu je vois ce que tu veux dire.

D’autre part, je n’aime pas trop comparer les choses de cette façon. Je pourrai te dire que tu peux trouver un hébergement web pour 2€/mois alors que ça consomme des ressources (électricité, maintenance, bande passante) et que donc 5€ pour des articles c’est cher alors que le même contenu est lu par des milliers de personnes.
Ou encore on pourrait se lancer dans une estimation du coût réel d’un article (salaire du rédacteur, local, charges, frais de fonctionnement du site, etc), du nombre de lecteurs, et tenter de définir un coût raisonnable, mais ça ne serait que du vent puisqu’on ne connait pas tout ça, et de toutes façons ce n’est pas nous qui allons décider de ça.
Je pourrai aussi répondre si je devais payer 5€ pour chaque site que je consulte régulièrement, mon salaire serait très fortement diminué.
Mais au final c’est un débat assez inutile - chaque personne dépense son argent comme il l’entend, avec ou sans justification valable. <img data-src=" />
Et tu peux vois que je suis abonné (depuis des années), donc je ne suis pas contre payer pour soutenir la presse indépendante.
&nbsp;
Mon commentaire se basait plutôt sur le prix de l’abonnement - 5€/mois, et du nombre d’article Premium par mois (je ne le connais pas précisément, mais je pense qu’il y a environ 5 articles Premium par jour ouvré, soit une centaine par mois).
A 50 centimes l’article, ça veut dire qu’il devient plus intéressant de prendre un abonnement si on lit plus de 10 articles premium par mois (soit 10% des articles Premium publiés ou un article tous les 3 jours), ce qui ne me semble pas si déraisonnable que ça, même si c’est à peine plus que le prix d’un café. <img data-src=" />

Après comme dit dans mon commentaire, ça n’est que mon opinion personnelle, je ne détiens pas la vérité universelle. Je ne fais que partager ma vision de la chose :)


Le 12/04/2017 à 19h 55

Je comprends ce que tu veux dire et je suis partiellement d’accord. Cependant, quand on parle de CPM, on parle de 20€ pour 1000 VISITEURS ayant visualisé la page.
Concernant le micropaiement, même à 10 centimes l’accès à l’article, tu n’auras clairement pas 100€/1000 visiteurs. Au mieux tu en auras 20 et encore ça me semble vraiment utopique (taux de conversion de 20% des visiteurs), probablement 10 ou moins.

Donc il faut trouver un juste milieu en tenant compte de ça. Personellement, je trouverai raisonnable d’avoir un coût entre 30 et 60 centimes. Après ça commencerait à faire beaucoup pour un article unique.
Mais je suppose que chaque personne a sa vision, et peut-être que je suis radin :)


Le 12/04/2017 à 18h 23

Oui tu as raison, c’est sûr que dans tous les cas, il y aura des râleurs.
&nbsp;Mais personnellement je trouve ça plus respectueux des visiteurs irréguliers de continuer de leur proposer du contenu gratuit contre déblocage des publcité NXi (après tout il faut bien payer le rédacteur!) plutôt que de leur demander de s’abonner (ce qu’ils ne feront pas, s’ils ne viennent pas souvent).

Bien sûr ça ne financera pas les dossiers et articles de fond, mais ceux-là sont déjà Premium donc ce sont les membres abonnés qui les financent.

Mais bien entendu, ce n’est que mon humble avis. Je comprends que ce n’est pas une situation simple à gérer. :)


Le 12/04/2017 à 18h 17






bugmenot a écrit :

Le choix est respectable.
&nbsp;
Je préfère le principe de la cagnotte qui permet de débloquer les articles ‘verrouillés’ qui nous intéressent :
Vous êtes à ~17 articles/jour (soit 70/mois) ça fait à la louche 0,20€/article.
Exemple, je mets 3 ou 4 € en cagnotte et au fil de mes lectures, &nbsp;débloque à 20 centimes les articles qui m’intéressent. C’est moins cher pour les lecteurs, mais ça vous en apporte beaucoup plus, qui n’ont du coup pas l’impression de jeter de l’argent par la fenêtre parce que “pas le temps de rentabiliser un abo en lisant tout”. Et vous restez sur le même tarif que les abonnés actuels, la granularité en plus.
&nbsp;


C’est vrai que la cagnotte me semble une bonne idée aussi. Ca évite de payer 5€/mois si tu ne veux lire que 2 ou 3 articles premium par mois, et ça vous permet tout de même de rentabliliser leur lecture …



Le 12/04/2017 à 18h 12






abitbool a écrit :

Ma vision…




  • #LeBrief pour pouvoir avoir toutes les infos importantes sans que ça vous prennent trop de temps

  • Des news complètes pour les sujets qui le méritent

  • Des articles de fond, tests, dossiers, de plus en plus présent avec le temps gagné à ne pas faire des articles pour avoir suffisamment de pages vues…


    Ca me semble bien aussi: un système rapide pour se tenir informé en quelques lignes, des news plus conséquentes sur les sujets plus complets, et le contenu premium pour mes dossiers et autres contenus vraiment poussés.
    La question, c’est quel accès pour les news complètes? Gratuit ou payant? :)



Le 12/04/2017 à 18h 04






David_L a écrit :

Il y a le mail et le flux RSS complet qui répondent à ce besoin non ?&nbsp;


Je ne sais pas <img data-src=" />
J’utilise Firefox avec un onglet dans ma bookmark toolbar pour voir les actus. Et donc je ne vois que les titres. Mais il y a peut-être des alternatives que je ne connais pas :)
&nbsp;
&nbsp;&nbsp;


David_L a écrit :

Pour la publicité elle est déjà en place, mais comme dit, ça peut être
un complément au modèle, pas un élément fondamental, notamment du fait
des bloqueurs ou de nos propres choix <img data-src=" />


C’est pour ça que je parlais de conditionner la lecture de ces articles à la désactivation des bloqueurs (faire un peu comme pour les abonnements : une partie visible, et une partie cachée si un bloqueur est actif).&nbsp;
Enfin c’est qu’une idée hein… <img data-src=" />

J’avais aussi lu un commentaire qui parlait d’ajouter pour les membres inscrits (non-premium bien entendu) un bouton “lire l’article complet”. Et bien entendu limiter son utilisation à par exemple 5 ou 10 articles par mois.
Ca pourrait être un bon moyen de contenter les lecteurs irréguliers, au lieu qu’ils soient tentés d’aller voir ailleurs…
&nbsp;
&nbsp;


David_L a écrit :

Pour Linux on le fait déjà, notamment un papier sur Ubuntu 17.04 qui
arrive pour demain par exemple. Pour le conseil d’achat, on se tâte
encore sur le format, mais on y pense (pour tout un tas de raison,
notamment le papier qui peut être un bon complément ).


&nbsp;Super pour les conseils d’achat !
&nbsp;Et pour Linux oui vous en faites (surtout sur Ubuntu), mais il me semble qu’il y a beaucoup beaucoup plus de news sur Windows (par exemple la Creative Update) que sur Linux (nouveau noyau, nouvelle distro montante, mises à jour majeure de KDE/Gnome etc).
Après je me doute qu’il y a plus de personnes intéressées par la Créative Update de Windows que de la mise à jour du noyau de Linux <img data-src=" />

En tous cas merci de votre transparence et de votre sens du dialogue !
&nbsp;



Le 12/04/2017 à 15h 48

Article intéressant.

Concernant #LeBrief, ma principale critique est qu’on ne peut pas utiliser le
flux RSS pour survoler les titres et voir en un coup d’œil s’il y a des choses
qui m’intéressent. On doit obligatoirement ouvrir la page, et la dérouler à la
recherche d’un truc qui nous intéresse.
La seconde est que pour certaines actualités, on reste un
peu sur sa faim. Ce format se prête bien à des informations vraiment succinctes
et ne nécessitant réellement aucun détail (type AMD adapte ses pilotes à la Creators
Update), mais moins à d’autres où une analyse, même succincte, serait la
bienvenue.

Concernant le financement, je reste convaincu qu’une
publicité un peu plus invasive (type animée, mais sans tracking ni pop-up ou
autoplay) ne serait pas si gênant. Et pourquoi pas imposer la désactivation des
bloqueurs de pubs. Après tout, il vous faut bien rentabiliser les articles
gratuits, et c’est justement ce qui permettrait d’en garder un nombre
relativement élevé.

Pour terminer, j’espère trouver plus de contenu orienté non
pas sur la politique ou l’Europe, mais sur Linux, les mises à jour importantes
(pas que Windows&nbsp;!), les nouveaux jeux, le hardware (comparatif des
nouveaux produits par rapport aux actuels), des conseils d’achat (comment
choisir sa config) etc.

En tous cas il y a un truc qu’on ne pourra pas vous enlever&nbsp;:
votre contenu est de qualité&nbsp;et mérite un soutien de la communauté !&nbsp;😊Bonne continuation!


Windows Vista : vie et mort d'un système mal aimé

Le 12/04/2017 à 18h 32

Oups, double post (petits problèmes de validation du formulaire ^^)

Mis à part ça, je pensais que le “meilleur Windows” après Windows 7 était justement XP, pas 2000.


Le 12/04/2017 à 18h 32

Merci pour cet article. J’ai appris des choses sur Vista (vaut mieux tard que jamais !)


Next INpact devient accessible sur abonnement et repense son modèle économique

Le 03/04/2017 à 21h 14

A mon tour de partager mon avis :-)

Pour être honnête, je suis plutôt sceptique concernant votre décision, même si je suis membre premium depuis quelques années (3 il me semble), et si j’ai reconduit mon abonnement récemment.

&nbsp;
Je pense en effet qu’il faut différencier deux types de contenus :

1/ Il y a d’un côté des articles dont le but principal est de relayer une information. Je parle ici d’articles relativement courts, trouvable un peu partout sur Internet, et où il n’y a pas vraiment matière à faire une analyse détaillée. Par exemple : « Une nouvelle faille a été découverte », « Microsoft a annoncé que la diffusion de la Creators Update débutera à telle date », « Intel annonce un nouveau processeur », « Microsoft ferme Codeplex », etc

Ce type de news a bien entendu utile (pour se tenir informé de l’actualité informatique et des nouveautés), mais je trouve injustifié de demander de payer 5€/mois pour ça. A mon humble avis, il devrait rester gratuit, et servir de vitrine pour recruter de nouveaux abonnés.
Concernant son financement, je n’aurai rien contre le fait d’y inclure par exemple une bannière publicitaire (même animée), et de n’autoriser sa consultation qu’à la condition que la publicité n’est pas bloquée – Un contenu de qualité, même succinct, doit bien être financé d’une façon ou d’une autre, et je préfère avoir une publicité au milieu d’un article intéressant et impartial que de devoir payer pour y avoir accès.
&nbsp;
2/ D’un autre côté, il y a des articles beaucoup plus longs, proposant des analyses, des tests, ou du contenu unique. Ici, il n’est plus question de « simplement » relayer une information existante, mais bien d’apporter une réelle plus-value grâce à votre expertise.
Par exemple, une analyse détaillée des points forts et des points faibles des processeurs Ryzen par rapport à la concurrence - pas juste un benchmark, mais un dossier qui permettrait au lecteur de mieux comprendre les qualités et les lacunes de ce nouveau processeur (comparatif pour une utilisation en gaming, en édition vidéo, en terme d’autonomie sur un ordi portable, en terme de consommation énergétique, …), d’expliquer dans quels cas de figure les processeurs iCore encore à privilégier malgré leur prix, …
Un deuxième exemple : une analyse d’un procès entre deux sociétés comme Zenimax et Occulus VR, expliquant les arguments de chacun, retraçant l’affaire et expliquant ses tenants et ses aboutissants.
Un dernier exemple pour la route : un dossier expliquant comment ses composants pour un PC équilibré et correspondant à ses besoins. Là ce n’est plus vraiment de l’actualité, mais ça reste de l’information utile, qui peut se périmer, et qui représente une réelle plus-value.

Ce type de contenu est vraiment intéressant, et on est très loin du fait de simplement relayer de l’information. C’est là que votre indépendance vous permet de faire des comparatifs plus impartiaux, que votre expertise est mise en valeur, et c’est ce genre de contenu qui justifie de devoir payer un abonnement pour pouvoir en profiter.


En conclusion, je trouve vraiment dommage de vouloir se focaliser sur l’offre payante. Je trouve que le fait de se baser sur un financement hybride (la publicité pour les articles relayant des informations et un abonnement pour les contenus plus poussés) représentait justement une réelle force.

En tous cas j’espère que votre choix ne signera pas votre arrêt de mort long terme, car ce serait vraiment dommage…

Ce pavé m’a pris plus d’une heure à rédiger, mais j’espère qu’il est suffisamment organisé et argumenté pour expliciter mon point de vue… :)


Retour sur la suppression du vote électronique pour les élections législatives 2017

Le 12/03/2017 à 20h 30

Oui, c’est sûr que c’est plus compliqué que ça n’y parait. Et à tous
les niveaux.

Pour l’anecdote, j’avais une entreprise Française (j’étais
Webmaster indépendant pour des clients Français uniquement), et j’avais
choisi de garder mon entreprise en France (ma seule source de revenus),
même après mon départ à l’étranger.
Malheureusement, même si légalement parlant, j’étais considéré par la loi comme fiscalement résidant en France (ma source principale de revenus étant Française), ma feuille d’impots indiquait “non-résident”. Et après plusieurs entretiens avec les serices “compétents” qui se rejettaient la balle, la conclusion a été “mais pourquoi vous gardez votre entreprise en France, si vous n’y résidez plus”???

Mais en règle général, je dirai qu’être Français, ce n’est pas une question de lieu de résidence. C’est une nationalité. Et je ne peux pas accepter que quelqu’un dise “tu ne vis plus en France, alors tu n’as pas ton mot à dire”. Même si je ne vis pas en France, je suis soumis aux décisions de mon pays.
&nbsp;Qu’est-ce qui se passera si la France quitte l’Europe ? Si le FN gagne les élections législatives ? Si une loi passe me faisant payer mes impôts en France (alors que je les paye déjà dans mon pays de résidance - double taxation?) ? Si les relations diplomatiques entre la France et le pays où je réside se dégradent ? Un changement quelconque (TVA, droits d’importation, droit de résider en Europe tout en ayant une société Française) qui pourrait impacter mon activité actuelle ? Les décisions prises au niveau national ont rarement un impact limité dans le temps. Donc si je rentre, même dans 30 ans, ces décisons auront changé mon pays, et je devrai m’y conformer. Alors pourquoi n’aurais-je pas voix au chapitre quand au choix de notre président ?

Pourquoi y a-t-il un député des Français de l’étranger, des ambassadeurs, des ambassades, des écoles Françaises, des instituts Français etc à travers le monde, si tout cela n’avait aucune importance pour la France ? Je ne dit pas que Madame Michu ne devrait pas avoir le droit de vote. Si elle est Française, elle y a droit et je respecte cela. Mais je ne vois aucune raison pour laquelle on me retirerait ce droit alors que j’ai toujours une carte d’identité Française. Etre non-résidant, ce n’est pas un crime, et nos droits sont préservés tout comme nos devoirs. Si un jour on me retirait le droit de vote, j’aurai le choix entre rentrer en France, ou changer de nationalité et renier mon pays…

Pour terminer, si on considère qu’il faut résider en France pour pouvoir voter, donnons le droit de vote aux étrangers résidant en France. On ne peux pas dire en même temps me dire “tu n’as pas à voter car tu ne vis pas dans le pays”, et à un étranger “ok toi tu y résides, mais tu n’as pas à donner ton avis non plus car tu n’as pas la nationnalité”. Il faut choisir :)


Le 11/03/2017 à 20h 52

@Vachalay

Loin de moi l’idée d’enfoncer le clou, mais je suis aussi expatrié et ton message initial m’a fait bondir de ma chaise.

Oui, je suis expatrié, oui, je ne vis pas en France. Mais ça ne m’empêche pas d’être Français et d’avoir des droits (et pas seulement des devoirs). En vivant à l’étanger, tu représente ton pays : Beaucoup de personnes s’intéressent à ton pays, ta vision de son président actuel, ses décisions internationnales (surtout si elles ont été relayées par la presse locale), à tes différences culturelles. Ca semble bête, mais même si c’est à une très petite échelle, chaque Français vivant à l’étranger contribue à l’image internationnale de son pays.
Ne crois pas que le fait que quitter la France fait que tu oublies ou te détaches de ton pays. Tout le monde te voit non pas comme “l’étranger”, mais bien comme “le Français”, et n’hésite pas à te comparer au stéréotype qu’ils ont (ce qui permet aussi de faire évoluer les mentalités petit à petit ).
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D’autre part, tu peux être expatrié et être fiscalement domicilié en France (voirhttps://www.impots.gouv.fr/portail/non-resident-de-france pour le détail des conditions), et donc payer des impots même si tu ne bénéficie pas de son système de santé, de ses infrastructures, etc.

Plus encore, l’expatriation n’est pas à vie. Tu peux choisir de quitter ton pays quelques années pour de multiples raison, puis y revenir. Pourquoi le fait de ne pas y vivre voudrait dire que je n’ai pas mon mot à dire, alors que je subirai les conséquences de ces votes une fois de retour en France voir avant (certaines décisions ont un impact internationnal, comme mentionné par Zebulon84)?

Enfin, quelque soit l’endroit où je suis dans le monde, je pense que je m’intéresse plus à la politique Française que Madame Michue. Vivre hors de France n’est pas un crime, donc pourquoi voudrais-tu me priver de mon droit de vote ?

Cela dit, je ne te blâme pas personnellement - Je comprends que beaucoup de personnes voient les expatriés un peu comme des exilés fiscaux recherchant à fuir les impôts Français, et c’est justement l’intérêt de confronter ses opinions. :)


Plus de 28 000 bases MongoDB ont été effacées contre rançon

Le 10/01/2017 à 09h 14






jackjack2 a écrit :

Ça devrait être considéré comme une faute grave, même sans accès malicieux


C’est clair. Faudrait demander aux devs “Quand vous garez votre voiture dans un parking privé, je suppose que vous ne la verrouillez pas non plus, hein? Après tout, c’est pas accessible depuis l’extérieur, donc ça craint rien :-)”



Le 10/01/2017 à 08h 46

Petite erreur de type : “Le danger s’accroit pour les bases MongoDB qui seraient mal configurées”.

D’un côté c’est triste de voir que certains “admin” n’ont strictement aucune notion de sécurité. Une BDD accessible à distance sans aucune identification, c’est un peu comme laisser une voiture avec les clés sur le contact et les portes ouvertes…


Fin des frais d'itinérance : pressée, la Commission européenne cherche à tout prix une solution

Le 08/12/2016 à 19h 40

Sans intérêt &gt; Je pense que le problème est que si tu résides en
France, tu utilises le réseau d’un opérateur Français, même si ton
contrat est avec un opérateur Bulgare. D’où un tarif de gros entre les
opérateurs pour compenser l’usage de cet opérateur Français qui n’a
aucune raison de te laisser utiliser son réseau gratuitement (imagine
pour une destination touristique, si 80% des personnes utilisant le
réseau sont étrangères, qui paierait pour leur consommation et le trafic qu’ils engendrent dans ce pays?).

D’autre part, imaginons que l’opérateur Bulgare te propose par
exemple un contrat illimité à 10€/mois, et que tu l’utilises uniquement
depuis la France. Il va devoir payer le prix de gros pour tes 500 minutes de
communications mensuelles, tes 100 SMS et tes 3Go de trafic Internet. A 0.005€ le Mo, 0.035€/minute et 0.01€/SMS, l’opérateur Bulgare devrait payer… 33€. Il serait donc largement déficitaire, et serait obligé de monter ses prix. Or, en motant ses prix, que diraient ses clients Bulgares et leurs 300€ de salaire?

Enfin, il y aurait une forme de concurrence déloyale, car tu mettrais en concurrence des opérateurs étrangers avec ceux nationaux. Comme le coût de la vie et les salaires varient fortement d’un pays à l’autre, et que dans ce cas il n’y aurait même pas de TVA puisque tu n’achèterais rien en France (tu ne ferais qu’utiliser un produit étranger), comment un opérateur Français pourrait proposer des tarifs comparable à un opérateur Bulgare, où les salaires sont 4 fois plus bas qu’en France? ^^

Bref, ça n’est pas si simple que ça en a l’air!