Le SILL, la plupart des administrations s’en battent le coquillard avec une patte d’anguille.
Les DSI sont dirigées par des administratifs qui viennent parfois du privé, où l’on a l’habitude d’acheter le service ou le logiciel à coup de gros chèques, le but étant de pouvoir se reposer sur un prestataire sur lequel on pourra taper en cas de problème. Et je ne parle même pas des problèmes de copinage ; un appel d’offre, ça peut se préparer pour favoriser un candidat. La plupart des logiciels libres utilisées ont été introduit par les utilisateurs, pas par les directions.
Cela dit, le SILL est très intéressant pour 1) trouver de nouveaux logiciels, 2) appuyer des choix.
Que certaines administrations se battent le coquillard du SILL je ne peux le nier mais pas toutes.
Par contre j’ai croisé très peu d’administratif/privé dans les DSI des ministères. Ils viennent majoritairement des « grands corps (IPEF, X-télécom, …) . C’est sans doute moins vrais pour ceux des EP/agences.
De mon expérience, les logiciels libres ont été introduit par les informaticiens et peu à peu repris par les DSI. Les « vrais » utilisateurs (non informaticien donc) réclament encore pour la plupart du MS office and Co.
Le
22/12/2015 à
10h
26
L’absence de recommandation ne veut pas dire que les administrations ne mettront pas de bloqueurs de pub. Elles devront juste le choisir elles-même.
2 commentaires
L’État renouvelle son socle interministériel de logiciels libres
22/12/2015
Le 22/12/2015 à 11h 57
Le 22/12/2015 à 10h 26
L’absence de recommandation ne veut pas dire que les administrations ne mettront pas de bloqueurs de pub. Elles devront juste le choisir elles-même.