Le problème majeur, stratégique, des wearables, réalité augmentée et autres réalités virtuelles, quels qu’ils soient, lunette, montre, bracelet est l’interface.
Comment communiquer, comment “expliquer” a son “gadget” ce que l’on veut ?
Tant qu’on en restera au bon vieux “manuel” le fait de devoir toucher un dispositif de plus en plus petit, quand ce n’est pas le tenir en main (smartphone) le manipuler (smartphone, gglass) etc. on n’avancera pas.
Il existe une solution révolutionnaire : l’interface comportemental.
Ce dispositif repose sur le fait que toutes nos intentions, nos préférences, ce que nous voulons (faire, entendre, etc) se matérialisent sous la forme de séquences de micro mouvement de la tête.
Et que l’on peut décrypter ces préférences et intentions en mesurant ces séquences de micro- mouvements et en les interprétant avec l’algorithme approprié.
Le dispositif dont le prototype s’appelait Percipio et aujourd’hui Diadem, ne nécessite aucune manipulation, même pas de geste particulier.
C’est le comportement naturel qui est le “input data”.
Tout le monde peut s’en servir même les aveugles. Indépendant d’un sens particulier (la vue pour les lunettes ou le smartphone) il “ouvre” n’importe quel terminal en “output” et y place le contenu exactement adapté a l’utilisateur en temps réel.
Bref, il “sent” ce que vous voulez, comme vous le voulez, quand vous le voulez sans sortir les mains des poches.
1 commentaires
Montres connectées : face à un marché morose, Motorola arrête les frais
02/12/2016
Le 05/12/2016 à 11h 13
Le problème majeur, stratégique, des wearables, réalité augmentée et autres réalités virtuelles, quels qu’ils soient, lunette, montre, bracelet est l’interface.
Comment communiquer, comment “expliquer” a son “gadget” ce que l’on veut ?
Tant qu’on en restera au bon vieux “manuel” le fait de devoir toucher un dispositif de plus en plus petit, quand ce n’est pas le tenir en main (smartphone) le manipuler (smartphone, gglass) etc. on n’avancera pas.
Il existe une solution révolutionnaire : l’interface comportemental.
Ce dispositif repose sur le fait que toutes nos intentions, nos préférences, ce que nous voulons (faire, entendre, etc) se matérialisent sous la forme de séquences de micro mouvement de la tête.
Et que l’on peut décrypter ces préférences et intentions en mesurant ces séquences de micro- mouvements et en les interprétant avec l’algorithme approprié.
Le dispositif dont le prototype s’appelait Percipio et aujourd’hui Diadem, ne nécessite aucune manipulation, même pas de geste particulier.
C’est le comportement naturel qui est le “input data”.
Tout le monde peut s’en servir même les aveugles. Indépendant d’un sens particulier (la vue pour les lunettes ou le smartphone) il “ouvre” n’importe quel terminal en “output” et y place le contenu exactement adapté a l’utilisateur en temps réel.
Bref, il “sent” ce que vous voulez, comme vous le voulez, quand vous le voulez sans sortir les mains des poches.