Et bien tu as la preuve que non, Météo France n’est pas totalement financé par de l’argent publique. Même si l’agence accomplit une mission régalienne, elle dépend pour une partie de ses activités de financements extérieurs. La fourniture de ses archives au grand public ne faisant pas partie de ses missions régaliennes, Météo France en fait payer l’accès. C’est la même chose pour l’IGN, qui fait payer ses cartes.
Si tu es estimes qu’il s’agit d’une mission de service public, dans ce cas il va falloir augmenter les financements publics pour Météo France, mais j’ai cru comprendre que tu étais contre les impôts.
Tu y trouves librement toutes les données que tu veux sur les stations.
Les données climatologiques peuvent être obtenues, mais avec un accès payant. Mais puisque tu es si motivé, ça ne te dérangera pas de payer…
Le
03/04/2018 à
16h
00
Le principe ce n’est pas de refuser aux garçons de venir, c’est d’inciter plus de filles à venir.
Tout le problème depuis quelques années, c’est de montrer aux filles qu’elles peuvent faire de la science « dure » (le problème n’est pas limité à l’informatique), et que ce n’est pas que des filières pour garçon. Il n’est pas normal que plus de la moitié des bacheliers S soient des filles, mais qu’on n’en retrouve que 25 % en prépa scientifique. C’est là-dessus qu’il faut jouer, en incitant plus de filles à continuer à faire des sciences.
L’autorité ne milite pas contre les restrictions d’usage des données, elle affirme que les futures contraintes de protection des données risque d’affaiblir les positions des petits acteurs français face aux gros sillos américains. Cette affirmation me semble tout à fait justifiée. Comme le dit l’article, c’est une approche purement économique, et non pas éthique. Ça tombe bien c’est ce qu’on attend de l’autorité de la concurrence.
C’est ensuite qu’on se pose la question de la balance entre économie et éthique ou morale. L’UE a choisi de pencher en faveur des droits des citoyens, les USA sont plutôt du côté de l’économie.
À propos des traqueurs des GAFAM, je ne pensais pas que tu étais en train de les évoquer.
D’ailleurs, il me semble que ce comportement sera définitivement illégal avec le RGPD.
Le
09/03/2018 à
22h
02
Ce n’est pas à l’autorité de la concurrence de se préoccuper de la protection des données : ce n’est pas son rôle. Elle doit vérifier que la concurrence existe bien (donc un point de vue purement économique), et l’étude ici résumée m’a l’air bien faite, avec des interrogations sur le poids excessif de Google et de Facebook. Demander à l’autorité de la concurrence de s’occuper des données personnelles est aussi absurde que de demander à la CNIL de s’occuper de la neutralité du Net (même si les évolutions dans un autre domaine peuvent impacter).
Enfin, tu profites indirectement des données que tu fournis en pouvant utiliser gratuitement Google, Facebook et autres services en ligne.
Oui enfin, combien d’année avant que les soucis lié au tabac soient vraiment communiqué en masse? Les mobiles sont encore à l’état embryonnaire en comparaison. Même s’il y a eu des études scientifique pointant les soucis du tabac dans les années 50-60, ça a facilement été noyé dans la masse et ignoré. Les soucis du tabac, c’est que récemment qu’une réelle prise de conscience a été faite et que des démarches sanitaires ont été prises.
Les problèmes du tabac ont été connus très tôt par la communauté scientifique. Cependant les lobbys industriels ont fait pression et ont retardé les premières mesures anti-tabac efficaces jusqu’aux années 1990. Leur stratégie n’était pas de faire pression pour faire disparaître les résultats embêtants, mais plus de créer artificiellement un débat scientifique, de manière à donner l’illusion de l’absence de consensus sur la dangerosité du tabac. Cet article donne quelques moyens utilisés à l’époque : Le Monde
La même stratégie de noyer le poisson a aussi été utilisée pour l’amiante, et plus récemment pour le réchauffement climatique.
Dans le cas des téléphones portables il n’y a quasiment pas de débat, donc s’ils ont des effets néfastes, ce sont des effets vraiment minuscules.
Le
10/03/2018 à
00h
36
OlivierJ a écrit :
Les ondes n’ont des effets prouvés qu’à partir des UV, et ce depuis très longtemps. Les ondes de fréquence inférieure aux UV n’ont pas d’effet ionisant sur les cellules, on ne saurait pas en l’état expliquer un effet néfaste.
Histoire de pinailler un peu, je nuancerais un peu ces propos. Les rayonnements au-delà des UV sont bien évidemment dangereux. Mais il me semble que les rayonnements radio très intense peuvent aussi avoir des effets autres que thermiques. Après, on parle de radars militaires ou de champ de plusieurs Tesla, qu’on ne croise pas tous les jours.
De toute façon, il me semblait que le téléchargement n’est pas illégal en soi. C’est d’ailleurs toute la difficulté des ayants-droits pour étendre Hadopi au direct download. Donc pas vraiment besoin de se poser la question de la licéité de la source.
De plus, il n’y a pas de grande différence technique entre le streaming (tu télécharges et tu diffuse bloc par bloc) et le télchargement (tu télécharge et tu diffuse tout d’un coup). Tant qu’il n’y a pas de contournement de DRM, faire l’un est aussi légal que l’autre (raisonnement validé par la commission Copie privée). Après, des outils tels que youtube-dl peuvent très bien contourner les conditions d’utilisations des différents services, qui peuvent en représailles prendre des mesures de rétorsion (mais pas juridique, en tout cas en France)
Je ne vois rien qui réfute mes arguments étayés par des investigations détaillées et des publications de scientifiques, seulement les mêmes idioties consensuelles de l’orthodoxie climastrologique. Ce qui justifie ton 1er § cela dit (“n’étant spécialiste du domaine, je n’ai pas les compétences suffisantes pour jauger finement de la qualité des différents arguments.”). Régurgiter l’opinion de tel ou tel n’est pas avoir un esprit critique, c’est faire le lemming.
Avoir un esprit critique requiert de remettre en question tes croyances. Cela demande des efforts et du courage. Beaucoup en manque et préfère la solution de facilité de “suivre le mouvement”.
Parce que évidemment toi tu es capable d’aller lire les rapports du GIEC et d’aller critiquer finement leurs modèles. Visiblement non, puisque tu t’appuies sur les affirmations de Laframboise (elle-même journaliste).
J’attends également tes sources scientifiques. Tu ne nous en a pas vraiment donné. (de vraies sources, j’entends)
Personne n’est capable d’être un expert dans tous les domaines. La climatologie n’est pas mon domaine d’expertise (j’en ai d’autre), donc je ne suis pas capable d’aller analyser les travaux du GIEC. Je pense que toi non plus tu n’en es pas capable. Donc je décide de faire confiance à d’autres experts, suffisamment reconnu par d’autres (en général par leurs pairs, et par des experts de discipline différentes) pour m’expliquer tout ce dont j’ai besoin.
La démonstration du dernier théorème de Fermat doit être compréhensible par une centaine de personnes dans le monde à tout casser, et ni toi ni moi ne sommes capables d’en comprendre ne serais-ce que le principe. Pour autant, affirmerais-tu que le théorème de Fermat-Wiles est une idiotie consensuelle de l’orthodoxie mathématologique, et que croire aux mathématiciens qui ont accepté la preuve de Wiles, c’est faire le lemming ?
Le
13/02/2018 à
00h
01
Bon, c’est parti. Je suis désolé, je mets des liens vers de la presse grand public (mais de qualité), car n’étant spécialiste du domaine, je n’ai pas les compétences suffisantes pour jauger finement de la qualité des différents arguments. En revanche, j’ai utilisé mon esprit critique pour estimer mes sources fiables, car globalement reconnues pour leur qualité, et que leur conclusion se recoupent.
tmtisfree a écrit :
Mon “début d’inflexion” correspond en fait à l’entrée dans le vif de la discussion : on part de généralités pour aboutir à des sujets plus spécifiques. (C’est en général là que tout le monde prend la fuite.)
Le rapport reprend certaines publications scientifiques, pas toutes, loin de là, et rajoute entre 1⁄3 et 2⁄3 de littérature grise comme le démontre le livre mis en lien mais visiblement pas lu.
Effectivement, c’est un scandale. Le GIEC utilise d’autres sources que les revues scientifique, sur des sujets où il n’y a justement pas d’études. Et uniquement pour des illustrations sur les impact que pourrait avoir le réchauffement. Bref, ça remet pas en cause sa conclusion principale du réchauffement climatique dû à l’homme basée elle seulement sur de « vraies études ».
tmtisfree a écrit :
Le rapport est très contesté (sinon on ne serait pas là et il n’y aurait pas autant de sceptiques)
Ah bon ? Qui le conteste ? À part quelques illuminés dans ton genre ou des scientifiques comme Allègre reconnu dans un domaine et qui utilise leur statut pour essayer de se donner une légitimé dans un tout autre domaine ?
Effectivement, les conclusions du GIEC soulèvent des débats dans la communauté scientifique. C’est le fonctionnement de la science que d’essayer d’améliorer ce qui a déjà été fait. Mais quasiment personne d’à peu près sérieux ne remet en cause les grandes lignes des travaux du GIEC. Les débats sont toujours sur des détails du type « tel paramètre dans tel modèle n’aurait-il pas été plus pertinent » ou « on fait telle approximation, est-on sûre qu’elle vraiment valable ».
pour qui se donne la peine de chercher un peu : il y a même les rapports du NIPCC pour conclure le contraire du GIEC à partir des mêmes publications scientifiques que le GIEC mais enrichies de celles “oubliées” par le GIEC.
Effectivement, c’est édifiant. L’un des principaux pourvoyeurs de fonds du NIPCC est l’industrie pétrolière. Pas du tout de conflits d’intérêts… Personellement, entre une science produite publique menée comme en France par des chercheurs qui ne peuvent pas être virés et qui font leur recherche en relative indépendance, et une recherche financée par des industriels qui attendent un retour sur investissement, je fais plus confiance à la première.
tmtisfree a écrit :
Ce qui me préoccupe surtout est le dévoiement de la Science (le sujet de l’article) par les méthodes post-modernistes (de pseudo-consensus) qui ont remplacé l’esprit critique et le scepticisme. Et après on vient me reprocher mon manque d’esprit critique. " />
Moi, ce qui me préoccupe surtout sont ceux qui sous un couvert pseudo-scientifique tentent sciemment de désinformer, en affirmant des contres-vérités allant à l’encontre de toutes les vérités scientifiques communément admises.
Le
12/02/2018 à
15h
39
Il y a La recherche ou Pour la Science (version française de American Scientist). Ce sont de bonnes revues de vulgarisation, mais il faut être plus concentré que pour lire Science et Vie.
Quand à la charge sans fil de 40W, j’ai effectivement des doutes sur mon envie de travailler 10h par jour sur un bureau qui rayonne à ce point.
Principe: tout rayonnement émis fini bien par être absorbé par quelque chose.
La question est justement de savoir à quel point ces sources rayonnent. S’il n’y a aucun rayonnement, à moins d’être au contact, on ne se prend pas les 40 W. Et sans rayonnement, il n’y a pas de perte d’énergie, le rendement est de 100%.
Bon en pratique, avec des champs oscillants pour avoir de l’induction, il y aura forcément du rayonnement. Toute la difficulté pour ces solutions sans contacts « proches » est de limiter au maximum le rayonnement.
Par contre pour la recharge à 25m, j’ai effectivement beaucoup de doutes sur l’efficacité…
Il s’agit juste de mettre au niveau les obligations (dont les taxes) des utilisateurs des plateformes de celles des professionnels. Il ne s’agit pas seulement de taxer, mais d’éviter une concurrence déloyale entre les loueurs d’airbnb et les hôtels et autres professionnels.
Heureusement que le fisc a accès aux comptes de Lactalis, pour s’assurer que l’entreprise paie bien ses impôts.
Mais ce n’est pas la même chose que publier ses comptes, que n’importe qui (pas forcément soumis au secret professionnel) pourrait consulter. Et sur ce point, Lactalis ne respecte pas ses obligations. Impossible de savoir les bénéfices ou le CA de l’entreprise.
Le PDG à l’époque n’est plus le même qu’aujourd’hui, il s’agissait de Travis Kalanick qui a démissionné en juin. Donc il n’est pas trop surprenant que le PDG actuel n’ait pas été mis au courant immédiatement dès son entrée en fonction.
116 commentaires
Soutenir Next INpact et Kimetrak : à minuit, ce sera fini
17/05/2018
Le 05/04/2018 à 10h 12
Il y a juste quelque chose que je ne comprends pas, il n’est pas possible de profiter du taux de TVA presse ou livre ?
Intelligence artificielle : des propositions de Cédric Villani au discours d’Emmanuel Macron
03/04/2018
Le 03/04/2018 à 19h 47
Et bien tu as la preuve que non, Météo France n’est pas totalement financé par de l’argent publique. Même si l’agence accomplit une mission régalienne, elle dépend pour une partie de ses activités de financements extérieurs. La fourniture de ses archives au grand public ne faisant pas partie de ses missions régaliennes, Météo France en fait payer l’accès. C’est la même chose pour l’IGN, qui fait payer ses cartes.
Si tu es estimes qu’il s’agit d’une mission de service public, dans ce cas il va falloir augmenter les financements publics pour Météo France, mais j’ai cru comprendre que tu étais contre les impôts.
Le 03/04/2018 à 18h 28
https://donneespubliques.meteofrance.fr/
Tu y trouves librement toutes les données que tu veux sur les stations.
Les données climatologiques peuvent être obtenues, mais avec un accès payant. Mais puisque tu es si motivé, ça ne te dérangera pas de payer…
Le 03/04/2018 à 16h 00
Le principe ce n’est pas de refuser aux garçons de venir, c’est d’inciter plus de filles à venir.
Tout le problème depuis quelques années, c’est de montrer aux filles qu’elles peuvent faire de la science « dure » (le problème n’est pas limité à l’informatique), et que ce n’est pas que des filières pour garçon. Il n’est pas normal que plus de la moitié des bacheliers S soient des filles, mais qu’on n’en retrouve que 25 % en prépa scientifique. C’est là-dessus qu’il faut jouer, en incitant plus de filles à continuer à faire des sciences.
Face à Facebook et Google, l’Autorité de la concurrence veut rééquilibrer le marché publicitaire
09/03/2018
Le 10/03/2018 à 11h 59
L’autorité ne milite pas contre les restrictions d’usage des données, elle affirme que les futures contraintes de protection des données risque d’affaiblir les positions des petits acteurs français face aux gros sillos américains. Cette affirmation me semble tout à fait justifiée. Comme le dit l’article, c’est une approche purement économique, et non pas éthique. Ça tombe bien c’est ce qu’on attend de l’autorité de la concurrence.
C’est ensuite qu’on se pose la question de la balance entre économie et éthique ou morale. L’UE a choisi de pencher en faveur des droits des citoyens, les USA sont plutôt du côté de l’économie.
À propos des traqueurs des GAFAM, je ne pensais pas que tu étais en train de les évoquer.
D’ailleurs, il me semble que ce comportement sera définitivement illégal avec le RGPD.
Le 09/03/2018 à 22h 02
Ce n’est pas à l’autorité de la concurrence de se préoccuper de la protection des données : ce n’est pas son rôle. Elle doit vérifier que la concurrence existe bien (donc un point de vue purement économique), et l’étude ici résumée m’a l’air bien faite, avec des interrogations sur le poids excessif de Google et de Facebook. Demander à l’autorité de la concurrence de s’occuper des données personnelles est aussi absurde que de demander à la CNIL de s’occuper de la neutralité du Net (même si les évolutions dans un autre domaine peuvent impacter).
Enfin, tu profites indirectement des données que tu fournis en pouvant utiliser gratuitement Google, Facebook et autres services en ligne.
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Le 09/03/2018 à 22h 20
De toute façon, il me semblait que le téléchargement n’est pas illégal en soi. C’est d’ailleurs toute la difficulté des ayants-droits pour étendre Hadopi au direct download. Donc pas vraiment besoin de se poser la question de la licéité de la source.
De plus, il n’y a pas de grande différence technique entre le streaming (tu télécharges et tu diffuse bloc par bloc) et le télchargement (tu télécharge et tu diffuse tout d’un coup). Tant qu’il n’y a pas de contournement de DRM, faire l’un est aussi légal que l’autre (raisonnement validé par la commission Copie privée). Après, des outils tels que youtube-dl peuvent très bien contourner les conditions d’utilisations des différents services, qui peuvent en représailles prendre des mesures de rétorsion (mais pas juridique, en tout cas en France)
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Le 13/02/2018 à 00h 01
Bon, c’est parti. Je suis désolé, je mets des liens vers de la presse grand public (mais de qualité), car n’étant spécialiste du domaine, je n’ai pas les compétences suffisantes pour jauger finement de la qualité des différents arguments. En revanche, j’ai utilisé mon esprit critique pour estimer mes sources fiables, car globalement reconnues pour leur qualité, et que leur conclusion se recoupent.
Le 12/02/2018 à 15h 39
Il y a La recherche ou Pour la Science (version française de American Scientist). Ce sont de bonnes revues de vulgarisation, mais il faut être plus concentré que pour lire Science et Vie.
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Le 17/01/2018 à 13h 23
Heureusement que le fisc a accès aux comptes de Lactalis, pour s’assurer que l’entreprise paie bien ses impôts.
Mais ce n’est pas la même chose que publier ses comptes, que n’importe qui (pas forcément soumis au secret professionnel) pourrait consulter. Et sur ce point, Lactalis ne respecte pas ses obligations. Impossible de savoir les bénéfices ou le CA de l’entreprise.
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Le 22/11/2017 à 14h 19
Le PDG à l’époque n’est plus le même qu’aujourd’hui, il s’agissait de Travis Kalanick qui a démissionné en juin. Donc il n’est pas trop surprenant que le PDG actuel n’ait pas été mis au courant immédiatement dès son entrée en fonction.