lodam
est avec nous depuis le 1 novembre 2017 ❤️
Oups.
On dirait que quelqu'un ici aime garder ses petits secrets, comme si de par hasard il y avait quelque chose à cacher...
Désolé, ô lectrice de passage, cher lecteur égaré, pas de révélation sensationnelle pour le moment sur ce profil.
Repassez plus tard ?
1 commentaires
Obsolescence programmée, Epson, Apple : interview de Me Meunier, avocat de l’association HOP
Le 29/12/2017Le 29/12/2017 à 17h 40
Dites moi si j’ai bon, mais voici ce que je comprends des points de vue antagonistes :
Pour le consommateur, la marque semble alors artificiellement plus compétitive que les autres marque en raison de la plus grande quantité d’encre inscrite sur l’emballage. Le consommateur passera à la caisse tous les 20 mL (par ex.) au lieu de 23 mL (par ex.) pour sa cartouche de 25 mL.
En fait, il faudrait savoir comment le consommateur choisit sa marque : en fonction du nb de mL falsifiable (point de vue n°1) ou à partir d’un mode de calcul standardisé de nb de pages imprimable (pdv 2, pas sûr que ça existe) ?
La méthode de calcul se baserait sur une quantité identique d’encre projetée pour une même page, un nombre identique d’allumage de
l’imprimante avec nettoyage des têtes d’impression, sur une assiette de calcul excluant le volume perdu pour des raisons techniques, etc.
Je ne sais pas si ce mode calcul standardisé existe mais il faudrait dans l’idéal que le nombre de pages qui en est déduit soit visible au moment de l’achat (point de vue n°2).