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lodam

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1 commentaires

Le 29/12/2017 à 17h 40

Dites moi si j’ai bon, mais voici ce que je comprends des points de vue antagonistes :





  1. Le constructeur triche en bridant inutilement la quantité d’encre utilisable, d’où une augmentation artificielle du chiffre d’affaire et des bénéfices qui dépendent du nombre de mL effectif / cartouches vendues.



    Pour le consommateur, la marque semble alors artificiellement plus compétitive que les autres marque en raison de la plus grande quantité d’encre inscrite sur l’emballage. Le consommateur passera à la caisse tous les 20 mL (par ex.) au lieu de 23 mL (par ex.) pour sa cartouche de 25 mL.

                                  

  2. Le constructeur n’a pas intérêt à brider inutilement la quantité d’encre car le consommateur sait objectivement à partir d’un mode de calcul standardisé du nb de page imprimables, d’enquêtes d’associations de consommateurs, par sa propre expérience, etc, combien de pages il peut imprimer avec une cartouche en vente. Le consommateur se fiche alors du nb de mL. Le constructeur n’a pas intérêt à tricher car il apparaitrait pour le consommateur moins compétitif que ses concurrents.



    En fait, il faudrait savoir comment le consommateur choisit sa marque : en fonction du nb de mL  falsifiable (point de vue n°1) ou à partir d’un mode de calcul standardisé de nb de pages imprimable (pdv 2, pas sûr que ça existe) ?



    La méthode de calcul se baserait sur une quantité identique d’encre  projetée pour une même page, un nombre identique d’allumage de

    l’imprimante avec nettoyage des têtes d’impression, sur une assiette de calcul excluant le volume perdu pour des raisons techniques, etc.

    Je ne sais pas si ce mode calcul standardisé existe mais il faudrait dans l’idéal que le nombre de pages qui en est déduit soit visible au moment de l’achat (point de vue n°2).