Mais voilà, comment savoir pourquoi un article est publié, qui le sponsorise, qui est intervenu dans sa création, qui a décidé de son contenu, et si les personnes qui apparaissent dans une vidéo sont là pour nous informer en donnant leur avis, ou s’il s’agit d’acteurs à la solde d’une démarche commerciale ?
Je ne vois aucune utilité pratique ou théorique à cette question (tout comme le sujet entier d’ailleurs). La question et le sujet présupposent sans démonstration d’aucune sorte, et donc pose par principe paternaliste typiquement français, qu’il existe des « conflits d’intérêts » sous-jacents, systématiques et permanents à même de tromper le pauv’ consommateur pris pour un ignare et un irresponsable, et qu’au final une démarche commerciale serait plus à blâmer que tout autre type de démarche, idéologique, de propagande, politique, religieuse, sectaire, etc.
On reconnait bien là le biais anti-marché primaire véhiculé par la clique pro-étatique.
Je voudrais mentionner le fait que dans un cadre commercial (déclaré ou non), ce qu’on appelle à tort « conflit d’intérêt » n’est qu’une « recherche d’intérêt », et que tant que l’information proposée n’a pas été prouvée comme fausse ou erronée, elle est supposée vraie qu’elle que soit son auteur, son format, etc.
Plus généralement, toute personne est à la recherche de son intérêt, ce qui implique que toute interaction entre personnes est un conflit d’intérêt potentiel. Il n’y a donc aucune raison valable à limiter l’expression « conflit d’intérêt » au seul cadre commercial. Enfin l’expression n’ayant aucune valeur discriminative, elle n’a donc aucun sens non plus.
La question à se poser serait plutôt : quelle est la valeur de l’information proposée ? Mais accepter cette question est reconnaitre implicitement que seuls les lecteurs/consommateurs sont à même de répondre.
Évidemment pour le législateur et ses sbires aux ordres, ce serait reconnaitre leur totale inutilité en la matière, ce qui est contraire à leur intérêt bien compris et donc totalement inacceptable. Autrement dit, dans le doute, légiférons, on aura au moins l’impression d’exister.
Voilà donc comment on se retrouve avec une loi inutile et non appliquée réglant un pseudo-problème inexistant. Comme l’a si bien dit Marx :
“La politique, c’est l’art de chercher les problèmes, de les trouver, de les sous-évaluer et ensuite d’appliquer de manière inadéquate les mauvais remèdes.”
Indépendamment de ton idéologie que je ne partage absolument pas tu me fais penser à l’acteur Fabrice Luchini que je trouve exaspérant…
Tu poses une question à Luchini et quelle que soit la question, quand il a fini de répondre tu as eu le droit à des citations de Nietzsche, Deleuze, Rimbaud, Céline et j’en passe…
Que des noms qu’il est très gratifiant de citer (question de point de vue pour certain) mais au final tu n’as aucune idée de ce que pense Mr Luchini, à se demander s’il est capable de penser par lui-même… " />
Neuf fois sur dix une réponse de Luchini commence par “Comme dirait untel, bla bla, bla”…
Qu’on le veuille ou pas ça ressemble fort à de l’étalage de “culture”…
Et oui, avec ta manie de citer en permanence plein de monde tu me fais penser à lui… " />
1/ Je vais te répondre de manière récursive : pour paraphraser Newton, j’espère voir plus loin en m’appuyant sur les épaules des géants, et je ne vois donc pas l’intérêt de réinventer la roue quand elle est parfaitement adaptée au problème.
2/ Toutefois voilà ma position officielle sur le sujet, que je te livre en me citant :
Les gens normaux s’occupent du temps qu’il fait, les gens bêtes parlent des personnes et les gens intelligents discutent des idées.
Cela permet à chacun de se situer.
3/ Pour conclure, il vaut mieux étaler sa culture que le reste. Reprocher à quelqu’un son savoir, sa culture, sa science ou son érudition est dans la tendance actuelle du nivellement par le bas vers la pensée unique.
Le
04/12/2015 à
16h
35
ActionFighter a écrit :
Parce qu’elle essaie de pointer un paradoxe qui n’existe que si l’on adhère au postulat d’une idéologie différente, et que le paradoxe se renverse suivant le camp choisi.
Donc, je rectifie pour être plus précis, cela ne l’invalide pas, mais ça limite quand même sacrément sa portée, puisqu’il ne faut pas être anarchiste de gauche pour valider les postulats de départ.
On en revient au problème de partir de la conclusion (l’idéologie) pour déterminer si le reste est valable : ce n’est pas une méthode pour raisonner convenablement.
Le
04/12/2015 à
16h
29
ActionFighter a écrit :
La première, sensée pointer un paradoxe chez l’anarchisme de gauche.
Et en quoi consiste cette invalidation inapparente ?
Le
04/12/2015 à
16h
23
ActionFighter a écrit :
" />
On est d’accord. Mais du coup, ça invalide ta citation.
Tu as des dons de contradictions que manifestement je n’ai pas. Tu parles de quelle citation ?
Le
04/12/2015 à
15h
52
ActionFighter a écrit :
Si l’on prend la position inverse, si, puisque comment maintenir un droit de propriété qui n’est pas naturel sans état ?
Étant donné que les droits ont été « définis » à l’origine pour justement se prémunir et ne plus dépendre de l’État omnipotent, soutenir que leur existence et leur continuité ne serait pas possible sans lui est intenable et va à contre-courant des faits historiques. Tu devrais apprécier la suivante :
“L’anarchie est la reconquête de l’individu, c’est la liberté du développement de l’individu, dans un sens normal et harmonique. On peut la définir d’un mot : l’utilisation spontanée de toutes les énergies humaines, criminellement gaspillées par l’État.”
Octave Mirbeau, 1893. Préface de « La Société mourante et l’anarchie » (de Jean Grave)
Le
04/12/2015 à
15h
01
ActionFighter a écrit :
Ce qui est bien avec cette phrase, c’est qu’elle peut servir des deux côtés du mouvement anarchiste " />
Certes, mais à la différence près que rien ne laisse penser qu’il y ait un problème de paradoxe dans la position « pro-droits » !
ActionFighter a écrit :
Selon la théorie anarchiste gauchiste, ce n’est pas la suppression d’un droit naturel, mais d’un droit organisé par une structure non légitime. Ça retire l’épine du pied.
Les droits naturels ne dérivent pas de l’existence ou de l’organisation d’une structure quelconque mais d’une réflexion philosophique et morale exigeante. À l’origine leur naturalité était seulement pensée en terme de nature humaine, mais des auteurs plus récents ont des arguments convaincants qu’on peut la concevoir comme dérivant empiriquement de l’état de la Nature elle-même. Mais on a déjà eu cette discussion précédemment, donc inutile de ressasser.
Le
04/12/2015 à
14h
10
ActionFighter a écrit :
Non, ce n’est pas un contre-sens, puisque dans l’anarchisme de gauche, la propriété ne fait partie de l’état naturel.
Et on en revient à la dichotomie évoquée précédemment sur la naturalité de la propriété.
La citation convient donc très bien aux libéraux pro-propriété, mais n’a aucune validité pour les anarchistes de gauche " />
Je ne suis pas particulièrement convaincue qu’une suppression des droits (décidée par qui, par quels moyens, etc) ne ferait pas revenir au galop le carcan étatique que les anarchistes exècrent d’une même voix. Les anarchistes « de gauche » ne fournissent pas de réponse cohérente/pertinente à ce sujet. Difficile d’avancer sur ce chemin avec une telle épine dans le pied.
Le
04/12/2015 à
14h
02
ActionFighter a écrit :
… puisque le postulat de départ de la démonstration fait déjà l’objet d’une différence d’appréciation selon le courant auquel on appartient.
Se servir d’a priori irrationnels et injustifiables pour déterminer les caractéristiques d’un postulat est une démarche intellectuellement intenable : il vaut mieux laisser cela aux politiques.
Le
04/12/2015 à
13h
53
ActionFighter a écrit :
Pas d’accord. Ta citation, pour pointer le paradoxe, fait fi de l’auto-régulation, puisqu’il suppose qu’un état est nécessaire au maintient de l’ordre naturel.
La citation ne dit et ne prescrit rien de tel, au contraire. Elle soutient en fait que l’ordre naturel (le capitalisme) reprendra sa place quand la fiction appelée « État » ne sera plus là pour le perturber. Tu sembles faire un contre-sens.
Le
04/12/2015 à
13h
39
MuadJC a écrit :
Le Votant (tout simplement^^) Isaac Asimov
Évidement Multivac est l’ordinateur qui tire au sort.
WikipediaJe l’ai lu en fait, mais sous le titre d’origine du maître (dans les Histoires de demain).
Le
04/12/2015 à
13h
34
ActionFighter a écrit :
De plus, ma réponse sera peu ou prou la même. A savoir que si l’on retire le principe d’auto-régulation, on retire le principe de l’ordre naturel, et on oublie tous les discours sur la justice sociale basée sur la charité.
Sans faire du scientisme aveugle, ce principe est quand même le fondement explicatif d’à peu près tout ce qui nous entoure, nous-même les humains inclus. Il n’y a aucune justification rationnelle à le « retirer » sauf à compromettre toute chance de comprendre notre environnement (au sens large) et donc d’évoluer.
ActionFighter a écrit :
En gros, adhérer à ce discours discrédite effectivement l’anarchisme anti-propriété, mais une également une des thèses de ceux qui ont fondé le libéralisme, pour n’accréditer finalement que l’école autrichienne et autres courants partisans d’un État purement régalien.
Je ne vois pas quelle « thèse du libéralisme est discréditée » en pointant le paradoxe de l’anarchisme « de gauche ». Les positions libérales sont cohérentes et se suffisent à elles-mêmes.
Le
04/12/2015 à
12h
01
Je vois que tu n’a rien de sensé à répondre à cette citation qui, il faut bien le reconnaitre, touche là où ça fait mal. " />
Le
04/12/2015 à
10h
58
On peut faire la même dans l’autre sens et cela fonctionne aussi bien :
korager a écrit :
arrêtez de dire/écrire que l’UMP/FN/etc est de/la droite !!!
En le disant/écrivant, vous aidez l”UMP/FN/etc à continuer d’enfumer les gens : ce parti est devenu, depuis pas mal de temps, un parti de gauche et n’a donc plus rien à voir avec la droite !!!
Le
04/12/2015 à
10h
56
MuadJC a écrit :
Je ne pense pas que tu parles de cette nouvelle, mais il y en a une ou on tire au sort l’électeur.
Le seul.
Celui dont je parlais est « Loterie Solaire » de P. K. Dick, mais je serais intéressé par le nom et l’auteur de ta nouvelle.
Le
04/12/2015 à
08h
20
Reznor26 a écrit :
(par rapport au dernier paragraphe) J’admire sincèrement ta capacité de résistance et de projection, mais j’avoue que la mienne commence à faiblir dangereusement d’année en année. Quand je parle du vote FN, au moins au second tour, je sais bien à quel point ça ne correspond pas à mes aspirations et à quel point je me fais enfler par le système. Mais je n’arrive plus à encadrer le PS et l’UMP, ça devient quasiment de l’urticaire !
Ton message me fait réfléchir, et me conforte dans le fait de ne pas céder aux sirènes lors des premiers tours. De continuer à voter avec conviction, peu importe le résultat. Mais au second, je ne peux décemment plus voter PS ou UMP. Ça me débecte, ça ne correspond objectivement plus à rien. Le FN m’offre, malgré lui j’ai envie de dire, l’occasion d’un bras d’honneur. C’est dérisoire, mais dans l’isoloir le choix est extrêmement limité. Il ne faut pas être naïf, on est encore loin de faire passer le FN à un second tour d’une élection présidentielle, même avec le poids qu’il prend. Il y aura toujours un “front républicain” pour lui barrer la route. C’est pourquoi mon bulletin me semble utile. Simplement pour faire gonfler le “contre” sans prendre de risque pour autant. Si la situation devenait beaucoup plus urgente et engageante, je réviserais bien sûr cette position.
En attendant, je rêve que ton constat soit vrai, que l’utopie reprenne la place qui lui est due. Mais putain, ça devient tellement difficile d’y croire depuis quelques temps.
Je ne veux pas faire de paternalisme primaire, mais si j’en crois mon propre parcours et celui de bien d’autres, tu es assez avancé dans ta réflexion pour aboutir aux conclusions logiques qui s’imposent.
Néanmoins tu t’accroches encore à des restes de peurs qui n’ont pas lieu d’être pour conclure dans le sens qu’on attend de toi (« mon bulletin me semble utile. »). Le regretté Coluche (un partisan méconnu du capitalisme) a eu ce bon mot à ce sujet :
“Si voter ça servait à quelque chose, il y a longtemps que ça serait interdit.”
Coluche
Le dernier stade de ta réflexion devrait arriver à une solution rapide (théorie du choix public) :
“Much of the resistance to public choice is a function of the fact that it strips away the romantic notions about the political process that makes it so appealing to many. Consider the moral satisfaction that many realize from voting for noble-sounding government programs or for politicians who support them, despite (or because of) their high cost. That moral satisfaction depends on voters’ belief that their votes represent their willingness to sacrifice personally to promote virtuous objectives. But the messages people receive from public choice are that (1) their votes do not represent a meaningful sacrifice since their individual votes have no noticeable influence on whether or not the programs they vote for are enacted, (2) those with the most influence on the details and implementation of the noble-sounding programs that are enacted will use their influence to promote their own interests by undermining the achievement of the noble objectives intended, and (3) many of the programs they vote for will end up harming the very people who were intended to be helped no matter how the programs are designed and implemented. If a person accepts these conclusions, there is not much left in the act of voting, or the political process in general, to feel particularly virtuous about.”
J.R. Clark and Dwight Lee, 2013 The Impact of The Calculus of Consent in “Public Choice, Past and Present: The Legacy of James M. Buchanan and Gordon Tullock”.
Le
04/12/2015 à
07h
59
ActionFighter a écrit :
Je suis d’accord avec ça. Mais du coup, ça invalide ta citation. Si les systèmes sociaux s’organisent très bien tous seul, aucune raison que la fin du droit de propriété ne puisse pas être décrétée et perdurer.
C’était une paraphrase, mais j’ai retrouvé la citation exacte qui rend justice à son auteur :
“Les anarchistes de « gauche » sont pris dans un paradoxe, car ils désirent lutter simultanément contre le capitalisme, ce qu’ils font habituellement, et contre l’État. Mais dans un monde sans État, ils ne peuvent empêcher le développement des droits de propriété privée ni la liberté contractuelle de fonder l’ordre social.”
Bertrand Lemennicier
Une fin décrétée par qui ? À quelle échelle ? Et la faire perdurer avec quels moyens ? Ta position relève de la pensée magique si tu ne précises pas les modalités opérationnelles. À ce propos, je t’invite à (re)lire les aventures économico-politiques des premiers colons américains (Pilgrims) et pourquoi ils ont maintenant une fête qui s’appellent « Thanksgiving ». Les USA sont devenus ce qu’ils sont en à peine 400 ans parce que leur système est basé sur le respect des droits (de moins en moins cela dit, à mesure qu’ils sombrent avec nous dans le puits sans-fond de la social-démocratie).
Le
03/12/2015 à
22h
24
ActionFighter a écrit :
La solution n’est pas exempte de travers, je suis d’accord, mais je pense que si l’on peut orienter le débat vers les idées plutôt que vers des clashs de personnalités, les gens réfléchiront peut-être un peu plus avant de se laisser avoir.
Le système actuel de parti unique est trop vicieusement pourri pour admettre un débat d’idée : je parle de vraies idées, pas des niaiseries politiciennes qui sont un affront permanent à l’intelligence.
ActionFighter a écrit :
Je trouve l’idée intéressante aussi, pour le coup vraiment démocratique. Mais avant de faire passer ça…
Elle a un nom, stochocratie, et elle est même encore utilisée de nos jours.
Le bouquin de SF basé sur ce principe est évidemment Loterie solaire de P. K. Dick.
Le
03/12/2015 à
22h
05
ActionFighter a écrit :
Les libéraux n’ont pas un droit de propriété sur l’anarchisme " />
Sur la même rhétorique que ce monsieur, on valide les théories du chaos qui consistent à dire que l’ordre ne pourra être maintenu sans état pour le faire.
1/ Certes, mais il vaut tout de même mieux baser sa réflexion sur des éléments logiques et empiriques dans un cadre théorique cohérent : on évite les mauvaises surprises paradoxales !
2/ C’est ronflant, mais c’est erroné mathématiquement (les équations sont déterministes), c’est un contre-sens en physique (chaos ~= ordre), c’est inexistant dans la nature (exemples des systèmes adaptatifs complexes, des phénomènes d’émergence, etc), et aussi faux conceptuellement que sémantiquement : l’anarchie n’a rien à voir avec l’ordre, et des systèmes sociaux s’organisent très bien sans Kommadantur.
Le
03/12/2015 à
21h
35
Reznor26 a écrit :
1/ Mauvaise foi.
2/ Mais justement, je suis sûr que le pape a un avis sur cette question dans son for intérieur… " />
Plus sérieusement, ok et merci pour ta réponse.
Tu n’es pas excusé pour autant. " />
Le
03/12/2015 à
21h
34
ActionFighter a écrit :
S’il n’y aucun changement dans la représentation médiatique, l’impact sera minime. Mais en appliquant des règles pour favoriser un minimum de diversification dans les personnes représentant médiatiquement le programme par l’intermédiaire du temps de parole, ça pourrait en avoir un significatif.
Une représentation médiatique choisie par qui ? Des règles établies par qui ? On en revient toujours au même : celui qui s’accapare les moyens d’exercer du pouvoir n’a aucune raison de les rendre.
Si on veut un système vraiment démocratique, la seule règle objective et donc valable est celle du (jeu de) hasard (il y avait un bon bouquin de SF sur ce sujet).
Le
03/12/2015 à
21h
29
MasterDav a écrit :
Non mais cherches pas, il essaye d’accuser le FN (souverainiste) de libéralisme (anti-souverainisme) en te prenant pour prétexte.
Pire, pour rigoler on pourrait lui rétorquer que le libéralisme n’est qu’un autre nom de l’anarchisme.
Où comment bloquer l’anarcho-extremogaucho-antifa dans une boucle infinie…
1/ Je ne sais pas si c’est le cas, mais si c’est vrai c’est risible.
2/ Ou comme le dit l’économiste Pascal Salin :
“Le libéral est un anarchiste qui défend la propriété.”
Pascal Salin
3/ Je ne sais plus qui l’a déjà dit, mais pour paraphraser, l’anarchisme de « gauche » est un paradoxe non soluble : dans un monde sans État, personne ne pourra empêcher le droit de propriété et de co-contracter de se développer et donc, impossible d’empêcher le capitalisme d’émerger naturellement.
Le
03/12/2015 à
21h
20
ActionFighter a écrit :
Il faudrait voter pour des programmes, et non pour des personnalités.
Ce qui, si tu réfléchit 2 sec. revient exactement au même.
Le
03/12/2015 à
21h
18
Reznor26 a écrit :
1/ Personne ici, et en premier lieu pas toi, ne peut ignorer que c’est ton crédo sur toutes les news à tendance politique. Il faudrait vraiment être de mauvaise foi pour le contester. Mais peu importe, ce n’était pas une attaque personnelle et servait simplement à amener la question.
2/ L’idée, c’était plus de savoir si une position aussi puriste et intransigeante était soluble dans la réalité. Et qu’à défaut de “meilleur” un “moins pire” avait le moindre espoir. Je vois donc que non. Dont acte.
1/ Il y a des manières plus habiles pour « amener la question » que de l’introduire par une erreur volontaire.
2/ Je ne vote plus depuis des années, alors me demander de choisir un parti politique est comme d’interroger le pape sur sa position amoureuse préférée.
Le
03/12/2015 à
20h
40
Reznor26 a écrit :
Par curiosité, et puisque tu te vantes d’être une espèce de référence du libéralisme ici, c’est quoi le parti le plus proche de ce que tu prônes dans l’élection présidentielle française ?
1/ Je suis curieuse de savoir où je me suis « vant(ée) d’être une espèce de référence du libéralisme ».
2/ Si tu avais la moindre idée de ce qu’est le libéralisme, tu saurais que ta question a peu/pas de sens. Un libéral qui va au bout de ses idées ne peut que conclure raisonnablement qu’à la nuisance irréfragable des partis politiques. Comme l’a si bien dit Simone Weil :
“L’usage même des mots de démocratie et de république oblige à examiner avec une attention extrême les deux problèmes que voici :
Comment donner en fait aux hommes qui composent le peuple de France la possibilité d’exprimer parfois un jugement sur les grands problèmes de la vie publique ?
Comment empêcher, au moment où le peuple est interrogé, qu’il circule à travers lui aucune espèce de passion collective ?
Si on ne pense pas à ces deux points, il est inutile de parler de légitimité républicaine.
Des solutions ne sont pas faciles à concevoir. Mais il est évident, après examen attentif, que toute solution impliquerait d’abord la suppression des partis politiques.”
Simone Weil
Le
03/12/2015 à
19h
31
Quaz.R a écrit :
un peu de culture sur le libéralisme ne ferait pas de mal à certains.
On a pourtant toutes les billes pour se renseigner à notre époque:
Le lecteur intéressé se rendra vite compte que sarkozy/hollande et toute la clique énarchique depuis des dizaines d’années sont assez éloignés des principes libéraux.
En bonus un petit graphique pour s’y retrouver dans le paysage politique actuel.
(qui mériterai cela dit d’être mis à jour suite aux récents évènements).
Aborder le libéralisme ici (ou plus généralement en France) est comme essayer de faire comprendre l’utilité d’une pince mon-seigneur à du poulet en cage : ils sont trop occupé à s’empiffrer pour se rendre compte de ce qui les attend.
Ah !!! les joies et l’enchantement toujours renouvelés du crapitalisme de connivence. On le pratique au grand jour maintenant que tous ces beaux ronds de cuir vivant aux frais du moutontribuable et sapés comme des PDGs ont subi leur hontectomie obligatoire lors de leur passage à l’ENA.
Méfie toi, à Monaco, il y a des taxes aussi, tu vas te faire piller également ! " />
Si tu relis plus haut, tu verras que Monaco était un exemple de pays « sans barrière et sans abattoir » tel qu’on supposait que cela n’existait pas et dont on m’a demandé un exemple : cela n’implique aucunement que Monaco est parfait ou que c’est mon choix de prédilection pour émigrer.
Je conclurais pour écrire que, tant qu’à me faire piller, autant choisir combien et par qui.
Le
03/12/2015 à
18h
40
Pochi a écrit :
Non mais c’est marrant de parler de liberté et tout quand le cas précis de Monaco ne doit concerner qu’une très faible fraction de la population Française (moins de 5% à vu de nez). Ne parle pas de liberté ou je ne sais quoi pour te donner des grands airs. Parle de fiscalité avantageuse (et oui ça fait mesquin mais assume).
Être libre d’utiliser sa propriété est la première des libertés. Il n’y a rien de mesquin à éviter de se faire piller.
Le
01/12/2015 à
10h
55
Pochi a écrit :
45, il faut attendre 5 ans de residence a Monaco avant de ne plus payer d’impôts en France. Et franchement, si tu payes 10 k€ d’impôts (dès le début de ta carrière en plus…) tu dois gagner suffisamment de thunes pour ne pas être à 10 k€ prêt par an non plus… Mais bon, t’as des problèmes de riches, on peut pas comprendre " />
Certes, à budget constant. Si je choisis de me « contenter » d’une superficie moindre (ce n’est qu’une résidence secondaire), 40 ans seront bien suffisant.
Je pense que tu as compris la logique de la réflexion générale, et que de pinailler sur les détails en l’omettant ne conduit nulle part. Ce n’est pas comme si ceux qui vivaient à Monaco n’avaient pas eu cette réflexion il y a longtemps déjà pour vivre à ~20k au Km². Je sais bien qu’on apprend plus grand chose à l’école de nos jours, mais savoir estimer un ordre de grandeur aide bien parfois. " />
Le
01/12/2015 à
10h
47
MadLluks a écrit :
Je n’ai pas remis en cause ton calcul, juste que tu te bases sur “dixit toi plus haut”, ce qui veut dire que tu n’es pas allez vérifier ça (pourtant accessible) dans un texte de lois. Ce qui veut également de dire que tu bases ton raisonnement sur une source dont tu n’es même pas sûr. Si on extrapole un peu, cela pourrais laisser croire que tout ce que tu dis est basé sur des ouïe-dires que tu n’as jamais vérifier, remettant en cause la base même de ton argumentation.
Je pars de tes informations. Quelles soient véridiques ou pas (ce n’est réellement que ton problème à ce niveau) a zéro importance pour ma démonstration : prouver par le calcul qu’on peut payer une résidence secondaire avec l’économie d’impôts réalisée. Ce que j’ai fais. Si tu préfères maintenant d’autres hypothèses (vérifiée ou non par TES soin – je ne suis pas là pour faire TON travail de vérification à TA place), libre à toi.
MadLluks a écrit :
Je te remercierais également de ne pas m’attribuer des faits … “Ne pas voter c’est bien, ne pas soutenir implicitement et financièrement les pilleurs c’est mieux.”
Il n’y a pas de « fait » autre que celui que tu as affirmé plus haut dans lequel tu puisses te reconnaitre : tu ne votes pas. Le reste de ce que j’ai écris découle logiquement de ce fait. Après, que tu te l’attribue ou non n’était pas dans mes intentions : mon propos est plus général.
MadLluks a écrit :
Tu ne sais absolument rien de moi, et je ne pense pas que tu sois assez ouvert d’esprit pour comprendre.
C’est ton droit de le penser. Cela n’en fait qu’une position fatalement erronée puisque comme tu le dis si bien toi-même « Tu ne sais absolument rien de moi » non plus. Je te propose d’arrêter là les enfantillages.
Le
01/12/2015 à
09h
57
MadLluks a écrit :
Ah non mais ok, je comprend mieux tu bases que tes “théories” sur des ouïe-dire … “(dixit toi plus haut)”
Parce que tu vois c’est trop compliqué d’étudier un texte de lois alors je me base que sur ce que j’entend … le “dixit moi” c’est dixit les textes de lois. Apprend à lire et à chercher des informations au lieu de suivre de manière moutonneuse les utopies que tu entends à droite à gauche ;)
Si je paye 10 k€ d’impôts par an France, en vivant 40 ans à Monaco je pourrais économiser le prix d’une résidence secondaire (un appartement par ex.). C’est quoi le rapport de ton charabia avec mon calcul, exactement, à part une défausse à peu de frais qui ne trompe personne ?
Ne pas voter c’est bien, ne pas soutenir implicitement et financièrement les pilleurs c’est mieux.
Le
01/12/2015 à
09h
48
carbier a écrit :
Tu y crois sérieusement à toutes les inepties que tu écris ?
Pas d’argument autre que tes sophismes habituels. " />
carbier a écrit :
Pour en revenir à ton exemple de Monaco, il est sous protectorat français: c’est à dire que c’est le pays “pilleur de première” qui en assure la défense.
Si les résidents de Monaco devaient entretenir une véritable armée capable de les protéger, il serait amusant de voir les taxes locales décoller… " />
Quand on voit les conséquences terroristes de l’utilisation qui est faite de l’armée par le pédalomane (ou son nabot de prédécesseur), les monégasques sont rassurés (eux qui n’ont jamais vu l’ombre d’un militaire). Ce qui ne change rien à l’affaire de toute manière : Monaco n’a ni barrière ni abattoir, ce qui était le point de départ (cf plus haut). Le reste de vos subterfuges pour y échapper est aussi grossier qu’habituel.
Il faut cependant apprécier à sa juste mesure la façon butée dont le collectiviste a de s’attacher au détail hors sujet pour ne pas voir l’éléphant dans le couloir (densité de population) : pensez à changer les filtres (roses/rouges/bruns/verts/bleu marine – rayer la mention inutile, le cas échéant) de vos œillères, les étatistes, votre perception de la réalité est déformée par le prisme de vos « idées ».
Le
30/11/2015 à
21h
45
Faith a écrit :
Oui, oui, on connait cette technique…
Certainement beaucoup moins que celle du vol avec préméditation et redistribution clientéliste et personnelle qui est l’apanage des pilleurs et de leurs seconds couteaux nourris à l’auge commune. " />
Le
30/11/2015 à
19h
09
Faith a écrit :
Partager ton pays avec des pauvres, ça t’embête, hein ? Du coup, tu as envie d’être le pauvre des autres, pour te faire entretenir… ça se comprend…
Je partage à ma façon : librement.
Sinon, je vois bien ta mentalité de pilleur qui projette : ne suppose pas que les autres sont comme toi, tu pourrais être déçu. Mais tu as raison sur un point, tu fais mieux de rester ici : plus vite le Ponzi français s’écroulera, moins les autres souffriront.
Le
30/11/2015 à
17h
52
MadLluks a écrit :
Si tu as du temps à perdre, sur un an, cumules toutes les taxes que tu as payé sur l’année. Et là tu rigoleras en voyant ce que tu payes sur ton revenu ><
Le compte est vite fait : en échappant au vol sur le revenu, et comme le reste des taxes est ~identique (dixit toi plus haut), au bout de 40 ans de travail j’ai de quoi rembourser facile 1 résidence secondaire sur place en plus de ma villa principale. Tu penses bien qu’au prix de la revente locale, la seule conclusion à tirer est que l’État français est un pilleur de première.
Le
30/11/2015 à
16h
37
MadLluks a écrit :
Y’a un moment il faudrait que tu sortes de ton Utopie et que tu étudies un peu le droit Français/Monegasque … La plus part des taxes sont les mêmes … 80% de ses taxes sont identiques.
Pas d’impôts sur le revenu, ce qui fait toute la différence quand on vient des enfers socialistes des alentours : on finance tous les autres avantages avec le sourire.
Le
30/11/2015 à
16h
24
MadLluks a écrit :
Fuis autant que tu veux je préfère rester et me battre pour mes idées.
J’ai lu, en diagonale, les commentaires et j’ai pu comprendre que tu prônais Monaco comme lieu. Contrairement à toi, je ne cherche pas un endroit où je serais bien je souhaite que l’endroit où je suis corresponde à ce qu’il est censé être et pour cela je suis prêt à défendre mes dût.
1/ Et les défendre avec quoi exactement, quand les moyens opérationnels pour y parvenir t’ont été petit à petit confisqués (pour ton bien naturellement) ?
2/ Tu as mal lu ou trop vite : je ne prône rien du tout en quelque matière que ce soit (les individus sont responsables de leur vie). J’ai simplement donné un exemple d’un lieu (sans barrière et sans abattoir) où le respect des vrais droits veut encore dire quelque chose. Il en existe bien d’autres.
Le
30/11/2015 à
16h
09
OlivierJ a écrit :
Au lieu de raconter des inepties (dans le commentaire d’avant sur la Suisse), il faut lire l’article en entier, ça parle d’une situation fictive où la France a explosé en régions autonomes :
Ce qui était tout à fait mon point (fuir la tiers-mondisation française pendant qu’il en est encore temps), merci de le souligner à nouveau.
Les manœuvres de 2015 ont le même objectif d’ailleurs, tout comme celles des années précédentes.
Pour les mettre en raid.. en cas de reconstruction on va dépasser les seuils d’erreur de lecture lors de la reconstruction en cas de panne d’un seul de ce genre de disque… en effet, une seule erreur de lecture d’un des disques sain restant sur un raid en reconstruction vous fait perdre le volume raid en entier… Je me demande quel système de stockage utiliser avec les nas desormais parce-que pour sauvegarder 20 To de données faut y aller quand meme..
C’est ce que la théorie prédit, avec ses limites, ses suppositions plus ou moins fondées et un peu de statistiques pour enrober le tout d’une aura de certitude à la mesure de l’infaillibilité papale.
J’avais lu les premiers articles sur les risques du RAID5 en 2007 IIRC : en 2015 on en fait toujours autant. Il est à peu près aussi risqué de faire du RAID5 avec les disques actuels que de prendre la route avec une voiture. La différence est qu’entre la théorie et la pratique (les données empiriques), il y a un monde qu’on appelle la réalité.
L’État français qui foire encore quelque chose au frais du contribuable, ça étonne qui de nos jours.
Enfin, à la place d’un « cloud souverain » dont les objectifs n’ont jamais été ni cohérents ni pertinents, il nous reste notre bonne vieille « dette souveraine » qui elle voit sa valeur augmenter régulièrement : le seul « business » que l’État français n’a jamais raté.
Sauf qu’ils y sont un peu obligé quand même vu les tarifs des opérateurs concurrents.
Tous les tarifs DOM-TOM sont exorbitants, le seul moyens d’avoir une ligne mobile là-bas reste toujours de raquer ce que les opérateur veulent bien te taxer.
La faute à qui ? Quand l’État établit un oligopole de fait, il faut pas s’étonner que l’oligopole pratique des tarifs oligopolistique.
Quand il y a un problème quelque part, la seule manière rationnelle de le régler est de corriger la racine de la cause, pas d’agir à la marge en accusant les autres d’être responsables des conséquences de ses propres erreurs, et en plus de les pénaliser pour sauver la face (le chevalier blanc qui sauvent les pauvres idiots de consommateurs qui finiront par revoter pour eux : joli cercle vicieux).
Dans quel pays ou à quelle époque le planisme a-t-il déjà fonctionné ? La réponse est simple : nul part. Il n’y a qu’en France où les politiques et leurs crétins d’électeurs s’évertuent encore à recommencer débilement tout ce qui a toujours échoué partout et en tout temps. " />
Le
01/12/2015 à
11h
40
candriant a écrit :
“Méchant Drahi, méchant Kapital, méchant SFR. Puisque tu réussis mieux que les autres, on va te couper les ailes pour renflouer nos caisses vides.“ Pour répondre juste à ton commentaire non pertinent….
Mais bon , tu passes tellement de temps sur les news SFR qu’on se pose des questions….
1/ Tu ne me sembles pas savoir comment fonctionne la bourse. D’où ma réponse.
2/ Il y a une clique qui a un biais anti-SFR dont j’ai du mal à saisir les motivations (s’il y en a) : s’il ne sont pas heureux chez SFR ils en partent, nul besoin de baver systématiquement des commentaires inutiles sur tous les articles SFR.
3/ Note aussi que mon propos était plus sur les manœuvres taxatrices du régulateur que sur SFR.
Le
01/12/2015 à
11h
25
sun13300 a écrit :
Et bien… T’as des actions SFR?
Dans un tel secteur hyper-régulé, oligopolistique et sous dépendance opérationnelle des manipulations étatiques et d’une pléthore d’autres institutions proto-administratives para-étatiques pseudo-indépendantes ? Il faudrait être fou. " />
sun13300 a écrit :
La surfacturation c’est pas la première fois que ça arrive, pour rappel on a payé des sms à 15 centimes pendant 10 ans sans broncher…
Tu peux remercier la situation quasi-monopolistique voulue par les politiques (« il faut des champions nationaux » et autres conneries du même tonneau).
sun13300 a écrit :
C’est pas une question de méchant Drahi ou méchant Capital… C’est du business… Tu prends tes clients pour des cons c’est normal de payer quand tu te fais chopper… Ce qui est révoltant c’est que les clients ne récupèrent pas cet argent.
Leurs clients doivent être trop stupides pour avoir payés pendant si longtemps un service alors que rien ne les y obligeait (pas comme les impôts et taxes). Et comme l’amende ne va certainement pas revenir dans leurs poches compenser une soit-disant surfacturation dont on ne connait d’ailleurs ni l’ampleur ni le montant, on se demande vraiment qui les prend « pour des cons » ( comme les impôts et taxes).
sun13300 a écrit :
Quand tu apprends que Facebook n’a payé “que” 300 000e d’impôts en 2014 (ou 2013 je sais plus), je me dis que “malheureusement” les amendes du gouvernement sont peut-être le seul moyen de récupérer “un peu” de fric au regard de l’évasion fiscale massive dont SFR profite à fond au même titre que toutes les grandes entreprises internationales…
Cela te permet de l’utiliser gratuitement. Et puis, vu la façon dont est gaspillé l’argent public, il vaut mieux qu’il serve directement à alimenter l’économie : au moins tout le monde en profite.
Le
01/12/2015 à
11h
09
candriant a écrit :
En effet Il a tous réussi méchant kapitaliste:
“Le groupe est sanctionné en bourse et a été l’objet de réactions négatives de la part de Goldman Sachs et de Moody’s.
Certaines de ses filiales comme SFR Numericable en France expliquent dans le même temps devoir investir dans leurs réseaux et s’acquittent par exemple de leur licence dans la nouvelle bande de fréquence. Tout cela est-il tenable ? Les grands investisseurs et la bourse ont clairement lancé des avertissements à Patrick Drahi et à son équipe de direction. Depuis ses derniers achats, deux câblo-opérateurs américains en milieu …”
Et le rapport avec mon propos ou même l’article est ? Inexistant.
Le
01/12/2015 à
11h
03
Uther a écrit :
C’est beau de sortir le couple socialiste-déficit mais si on regardes réelement les chiffres de ces 20 dernières années, c’est principalement les gouvernements de droite qui creusé les déficit Sarkozy le premier.
Je te rassure, les socialistes de droite sont largement inclus dans ma description plus haut (même si je ne détaille pas à chaque fois, ce serait trop répétitif). Il se trouve que le socialiste actuel est de gauche : ce n’est pas de « chance », mais cela ne change rien à la description.
Le
01/12/2015 à
10h
15
plus de 12 ans à La Réunion et plus de 3 ans à Mayotte
La célérité de l’administration n’est jamais prise en défaut quand il s’agit de défendre la veuve et l’orphelin. Heureusement que toutes ces simagrées d’un autre âge n’ont rien à voir avec les caisses vides de la Socialie…
elle indique que l’écart dont il était alors question n’était pas justifié
Aucune justification n’est donnée pour indiquer que l’écart n’était pas justifié économiquement alors que les premiers concernés (les utilisateurs) ont utilisé le service pendant des années : l’arbitraire dans les décisions administratives est un lieu commun. Mr Drahi a dû froisser quelque engeance politique en métropole.
d’évincer des concurrents
Là on touche le fond : tenter d’évincer les concurrents (qui « ont tout de même réussi à résister ») dans une situation de marché en compétition, ce n’est pas bisou-compatible avec le vivreensemble mou et pâteux de la république bananière, populaire et ruinée fraoncaise.
Méchant Drahi, méchant Kapital, méchant SFR. Puisque tu réussis mieux que les autres, on va te couper les ailes pour renflouer nos caisses vides.
non, le cursus scolaire n’est pas indiqué et ne le sera vraisemblablement jamais. En effet, dans le cas des parlementaires qui sont passés par des grandes écoles type HEC, c’est assez simple mais certains ont pu avoir une scolarité plus chaotique voire pas du tout. Il y a au moins un député notamment qui n’a même pas le baccalauréat.
Les études ne font pas la compétence sur une thématique de travail.
Néanmoins, la profession donne déjà un bon indicateur et généralement, les parlementaires actifs sur un sujet sont issus du domaine. Par exemple Isabelle Attard parle beaucoup de culture, domaine qu’elle connait bien de par sa profession.
Merci pour votre réponse.
Le
30/11/2015 à
19h
21
Sur les fiches, je ne vois pas le niveau d’étude mentionné, et c’est bien dommage.
On aurait légitimement aimé connaitre ce point important pour vérifier que « l’activité » de parlementaire est bien en accord avec un minimum d’instruction, sachant que le reste de la population doit présenter ce minimum devant leurs services pour pouvoir exercer n’importe quelle activité de nos jours.
Un axe de travail pour l’avenir peut-être ?
Le
30/11/2015 à
17h
02
vizir67 a écrit :
c’est, assez rare, pour être être souligné ! " />
Ce n’est pas « rare » : de nombreuses petites entreprises survivent les difficiles premières années simplement par le travail non rémunéré soit de la famille soit d’amis soit de soutiens extérieurs qui croient au projet.
C’est même tellement courant qu’on voit l’État et ses sbires débarquer avec leurs gros sabots pour s’enquérir de travail dissimulé.
7067 commentaires
Contenus sponsorisés en ligne : une loi claire, que personne ne fait respecter
04/12/2015
Le 05/12/2015 à 11h 48
Mais voilà, comment savoir pourquoi un article est publié, qui le sponsorise, qui est intervenu dans sa création, qui a décidé de son contenu, et si les personnes qui apparaissent dans une vidéo sont là pour nous informer en donnant leur avis, ou s’il s’agit d’acteurs à la solde d’une démarche commerciale ?
Je ne vois aucune utilité pratique ou théorique à cette question (tout comme le sujet entier d’ailleurs). La question et le sujet présupposent sans démonstration d’aucune sorte, et donc pose par principe paternaliste typiquement français, qu’il existe des « conflits d’intérêts » sous-jacents, systématiques et permanents à même de tromper le pauv’ consommateur pris pour un ignare et un irresponsable, et qu’au final une démarche commerciale serait plus à blâmer que tout autre type de démarche, idéologique, de propagande, politique, religieuse, sectaire, etc.
On reconnait bien là le biais anti-marché primaire véhiculé par la clique pro-étatique.
Je voudrais mentionner le fait que dans un cadre commercial (déclaré ou non), ce qu’on appelle à tort « conflit d’intérêt » n’est qu’une « recherche d’intérêt », et que tant que l’information proposée n’a pas été prouvée comme fausse ou erronée, elle est supposée vraie qu’elle que soit son auteur, son format, etc.
Plus généralement, toute personne est à la recherche de son intérêt, ce qui implique que toute interaction entre personnes est un conflit d’intérêt potentiel. Il n’y a donc aucune raison valable à limiter l’expression « conflit d’intérêt » au seul cadre commercial. Enfin l’expression n’ayant aucune valeur discriminative, elle n’a donc aucun sens non plus.
La question à se poser serait plutôt : quelle est la valeur de l’information proposée ? Mais accepter cette question est reconnaitre implicitement que seuls les lecteurs/consommateurs sont à même de répondre.
Évidemment pour le législateur et ses sbires aux ordres, ce serait reconnaitre leur totale inutilité en la matière, ce qui est contraire à leur intérêt bien compris et donc totalement inacceptable. Autrement dit, dans le doute, légiférons, on aura au moins l’impression d’exister.
Voilà donc comment on se retrouve avec une loi inutile et non appliquée réglant un pseudo-problème inexistant. Comme l’a si bien dit Marx :
“La politique, c’est l’art de chercher les problèmes, de les trouver, de les sous-évaluer et ensuite d’appliquer de manière inadéquate les mauvais remèdes.”
La France prépare un nouveau tour de vis sécuritaire
03/12/2015
Le 05/12/2015 à 10h 59
Le 04/12/2015 à 16h 35
Le 04/12/2015 à 16h 29
Le 04/12/2015 à 16h 23
Le 04/12/2015 à 15h 52
Le 04/12/2015 à 15h 01
Le 04/12/2015 à 14h 10
Le 04/12/2015 à 14h 02
Le 04/12/2015 à 13h 53
Le 04/12/2015 à 13h 39
Le 04/12/2015 à 13h 34
Le 04/12/2015 à 12h 01
Je vois que tu n’a rien de sensé à répondre à cette citation qui, il faut bien le reconnaitre, touche là où ça fait mal. " />
Le 04/12/2015 à 10h 58
On peut faire la même dans l’autre sens et cela fonctionne aussi bien :
Le 04/12/2015 à 10h 56
Le 04/12/2015 à 08h 20
Le 04/12/2015 à 07h 59
Le 03/12/2015 à 22h 24
Le 03/12/2015 à 22h 05
Le 03/12/2015 à 21h 35
Le 03/12/2015 à 21h 34
Le 03/12/2015 à 21h 29
Le 03/12/2015 à 21h 20
Le 03/12/2015 à 21h 18
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04/12/2015
Le 04/12/2015 à 16h 41
Ah !!! les joies et l’enchantement toujours renouvelés du crapitalisme de connivence. On le pratique au grand jour maintenant que tous ces beaux ronds de cuir vivant aux frais du moutontribuable et sapés comme des PDGs ont subi leur hontectomie obligatoire lors de leur passage à l’ENA.
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30/11/2015
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plus de 12 ans à La Réunion et plus de 3 ans à Mayotte
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elle indique que l’écart dont il était alors question n’était pas justifié
Aucune justification n’est donnée pour indiquer que l’écart n’était pas justifié économiquement alors que les premiers concernés (les utilisateurs) ont utilisé le service pendant des années : l’arbitraire dans les décisions administratives est un lieu commun. Mr Drahi a dû froisser quelque engeance politique en métropole.
d’évincer des concurrents
Là on touche le fond : tenter d’évincer les concurrents (qui « ont tout de même réussi à résister ») dans une situation de marché en compétition, ce n’est pas bisou-compatible avec le vivreensemble mou et pâteux de la république bananière, populaire et ruinée fraoncaise.
Méchant Drahi, méchant Kapital, méchant SFR. Puisque tu réussis mieux que les autres, on va te couper les ailes pour renflouer nos caisses vides.
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Sur les fiches, je ne vois pas le niveau d’étude mentionné, et c’est bien dommage.
On aurait légitimement aimé connaitre ce point important pour vérifier que « l’activité » de parlementaire est bien en accord avec un minimum d’instruction, sachant que le reste de la population doit présenter ce minimum devant leurs services pour pouvoir exercer n’importe quelle activité de nos jours.
Un axe de travail pour l’avenir peut-être ?
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