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tmtisfree

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7067 commentaires

Le 02/09/2019 à 16h 31







wagaf a écrit :



De plus une augmentation de la température implique bien plus d’épisodes caniculaires en moyenne, et c’est bien ce qu’on observe.





Il n’y a aucun lien de cause à effet démontré entre les 2 (à part répéter la position avancée ce qui ne la rend pas plus audible/crédible). Le graphique illustre juste une augmentation de température, rien d’autre (et donc pas de canicules).







wagaf a écrit :



Ils font de l’attribution statistique plutôt classique et basée sur des données, je pense qu’elle est bien plus fondée que ton analyse au doigt mouillé et ta réfutation fondée sur tes attentes et ta conviction d’une grande arnaque scientifique mondiale.





C’est ça “l’escroquerie réchauffiste” : attribuer à l’aide de méthode statistique ou de modèles (ce qui est le cas ici) sans prouver le(s) mécanisme(s) sous-jacent(s). C’est non scientifique. De plus l’utilisation de modèles fait que la tentative d’attribution est circulaire puisque les modèles utilisés intègrent nécessairement l’hypothèse “réchauffiste” de départ. <img data-src=" />


Le 02/09/2019 à 16h 04

Je n’ai pas écris cela.

Le 02/09/2019 à 15h 14







misterB a écrit :



Explique







Il veut dire que le CNRS soutient implicitement qu’il n’y jamais eu de canicule aussi forte avant (1950, l’année retenue par le GIEC pour ce qui concerne les supposés effets du CO2), ce qui est en soi juste ridicule, et que la probabilité de survenue a augmenté, ce qui est non seulement impossible à déterminer mais va à l’opposé des conséquences (scientifiquement) attendues d’un réchauffement (quelles que soient les causes), c’est à dire la relative homogénéisation des températures (plus chaud où et quand il fait plus plus froid, en gros aux pôles en hiver de nuit), d’où diminution des différentiels (spatiaux et temporels) de température et donc des intensités et probabilité de survenue des évènements météo qui en dépendent.



De manière peu étonnante, c’est ce qu’on observe globalement (stabilité ou légère diminution selon les cas).



Bref ce ne sont que des élucubrations de personnes surfant sur l’escroquerie réchauffiste pour gagner en image, visibilité, prestige et donc finances, et non des résultats de recherche.



Prochainement, 3 jours de pluie de suite seront attribués aux effets dévastateurs du CO2 sur la météo, pour le climat c’est trop tard de toute façon. <img data-src=" />



Des foutaises donc.


Le 29/08/2019 à 11h 27

“Bien connu” mais faux si on compare avec la situation précédente (public) ou avec l’exemple français. Il faudrait se mettre à jour. La pseudo “renationalisation” sous forme d’entreprises privées dont les actionnaire sont des États fait suite à l’impressionnante amélioration du rail en UK par le privé, un des plus plébiscités par les clients du train en UE selon les enquêtes d’opinion d’Eurostat.



En nombre de passagers, il est clair que la privatisation a inversé la tendance de perte du public.



Et en nombre d’accidents/morts, les trains en UK sont bien plus sûrs que partout ailleurs en UE Accidents et morts



L’article de Wikipedia sur le sujet est relativement bien fait et correct.

Le 29/08/2019 à 11h 10







Patch a écrit :



Et je ne vois pas le rapport avec le fait qu’EDF doit revendre à perte (et augmenter ses tarifs pour compenser) pour créer une concurrence artificielle. Surtout que comme dit plus haut, les autres achètent déjà à des tarifs plus élevés ailleurs en Europe.





Le “rapport” est pourtant facile à établir, il n’existe pas de “marchés” dans un système monopolistique :



1/ pas de marché du travail dans ce secteur qui aurait lissé les coûts salariaux en évitant de se retrouver avec une caste de privilégiés qui bloque (ou menace de la faire) les infrastructures du pays dès qu’on fait semblant d’y toucher (cf rapport de la Cour des Compte de février 2019 : « [EDF] continue d’offrir des rémunérations élevées et une série d’avantages, sans équivalent, dont bénéficient salariés et anciens salariés, largement déconnectées des performances de l’entreprise. ».

2/ pas de marché de la production avec un opérateur unique qui sert de variable d’ajustement des “politiques” taxatrice (près de 40% du prix payé) et idéologique (EnR) débile française sans aucune relation avec le service vendu.



On a donc ici un pseudo marché avec une pseudo concurrence, pure produit Potemkine de l’intelligentsia technocratique française pour satisfaire à ses obligations UE.


Le 28/08/2019 à 18h 58

Ça s’appelle une expérience. Tu sais bien, le paradigme qui consiste à (accepter d’) explorer, de découvrir, d’inventer voire même de copier et d’améliorer de nouvelles façons de faire. En un mot de progresser.

Le 28/08/2019 à 18h 57

Et ?

Le 28/08/2019 à 14h 34

Il y a 2 rapports indépendants en fait (j’ai oublié un “s” à “rapport” plus haut). Les 2 disent la même chose.



Tes positions sont celles qui sont sempiternellement avancées sans aucun fondement pour affirmer que le pov’ public est la cinquième roue du beau carrosse privé : aucune n’a jamais été justifiée sur le terrain, ce sont juste des objections ad hoc ex post facto et donc irrecevables (ce que les rapports ignorent bien justement). Les implantations du privé sont figées depuis des lustres et seul le public en ouvre de nouvelles. Les directeurs (du public ou privé) ont la possibilité de refuser l’admission de tout élève s’ils le jugent nécessaire, et usent aussi de leur droit à les mettre dehors le cas échéant. Par contre les enseignants du privé sont bien sélectionnés, eux, et ne font pas (ou très peu) grève, eux. Il y a d’autres distinctions comme l’implication plus élevées des parents, l’autonomie, la motivation et les initiatives plus importante des établissements et la proposition de plus d’activités dans le privé par rapport au public qui expliquent leur réelle différence.

Bref l’école public “gratuite” est vraiment un mythe, surtout pour les résultats obtenus.



Observer que le privé ne s’occupe que de la partie “rentable” est l’équivalent analogique (et ridicule) de l’alcoolique qui cherche ses clés sous le lampadaire (parce que c’est le seul endroit éclairé). Pourquoi ne pas faire l’expérience en libéralisant d’abord tout le secteur, et on verra ensuite si les clients sont mieux ou moins bien servis que par le passé (ie le public).



L’exemple de la SNCF est là aussi éclairant : totalement public en France, l’état du réseau ferré et de la satisfaction client sont lamentablement faibles comparés à ceux en UK où le rail est privé (cf rapport Eurostat) : à t’écouter il faudrait nationaliser la SNCF en France parce que la méchant rail privé lui taille des croupières, oh wait… <img data-src=" />



En France on te prive non seulement de tes gains MAIS on te refourgue en plus les pertes sociales (d’où le vocable ponctionnaire).

Le 28/08/2019 à 10h 41







alex.d. a écrit :



Ce ne sont en effet ni des ponctionnaires, ni même des fonctionnaires. Ce sont des salariés du privé sur financement public, ce qui au final coûte plus cher à la collectivité (le privé fait en plus des bénéfices qu’il faut bien financer).





Si on prend l’éducation en France qui correspond à ce cas de figure, ce n’est pas vrai : le privé coûte 30-40% moins cher que le public avec de meilleurs résultats (cf rapport de la Cour des Comptes et de l’iFRAP).







Après, ça dépend de quel côté tu es. Si tu es un contribuable, mieux vaut des fonctionnaires. Si tu bosses dans une société délégatrice de service public ou si tu as des intérêts financiers dedans, mieux vaut le privé. Chacun voit son propre intérêt.



Je suis de mon côté : que je sois contribuable, salarié, retraité, à mon compte, ou non etc., dans tous les cas il vaut mieux 0 fonctionnaire.


Le 28/08/2019 à 10h 31







plopl a écrit :



C’est bien là le problème, dans certains pays les agents n’ont pas le statut de fonctionnaire, mais n’en sont pas moins sur des postes qui correspondent à des postes de fonctionnaires.





C’est pour cette raison que j’ai restreint mon commentaire à la notion de fonctionnaire sous la forme de ponctionnaire pour bien faire la différence avec les autres, et non des assimilés ou des “qui correspondent” qui permettent de passer le problème discrètement sous le tapis.







à moins de considérer religieusement que notre avenir réside dans un monde concurrentiel où des entreprises bien sûr vertueuses se chargent de tout pour notre plus grand bien….



C’est déjà le cas dans la réalité.


Le 27/08/2019 à 16h 57

En fait j’en ai trop cité, la seule phrase a retenir est :



“L’Allemagne compte 1,7 million de fonctionnaires (Etat fédéral, Länder, communes, assurance sociale) pour 82 millions d’habitants, contre 3,8 millions en France pour 66 millions d’habitants.”



Tous les autres chiffres cités après ne sont pas des ponctionnaires. QED.

Le 27/08/2019 à 15h 33

Les chiffres du journal disent exactement ce que je note plus haut :



“Pour justifier la cure d’amaigrissement de la fonction publique française, [le sénateur Bruno Retailleau] regarde de l’autre côté du Rhin : il y a « un million de fonctionnaires de différence avec l’Allemagne, toute proportion gardée, par rapport à la population », a-t-il expliqué.



En substance, le sénateur de Vendée a raison. L’Allemagne compte 1,7 million de fonctionnaires (Etat fédéral, Länder, communes, assurance sociale) pour 82 millions d’habitants, contre 3,8 millions en France pour 66 millions d’habitants. Si l’on inclut les agents de la fonction publique n’ayant pas le statut de fonctionnaire, les chiffres se rapprochent : 4,6 millions en Allemagne contre 5,4 en France. Rapportée à la population – comme le fait Bruno Retailleau – la différence est encore plus nette. “

Le 27/08/2019 à 15h 22

C’est un néologisme humoristique que n’importe qui avec un brin d’imagination peut comprendre…



Je n’ai avancé aucun chiffre, seulement des ordres de grandeur relatifs (justement pour éviter les pleureuses, c’est raté). <img data-src=" />



C’est parce que l’organisation est (volontairement et structurellement) mauvaise que nous avons trop de ponctionnaires. Les autres pays parviennent à faire mieux avec beaucoup moins.



Il n’y a qu’en France où on peut se targuer qu’il faut réintroduire l’humain (un peu comme on réintroduit un animal en voie de disparition) sous forme de n° de téléphone dans une structure déjà pléthorique. Mais qu’est-ce que font tous les autres ?



Ça en dit long sur l’efficacité de l’organisation à la française. Pas de quoi pavoiser et pérorer.

Le 27/08/2019 à 12h 57

Je ne mélange pas : le seul intérêt logique et rationnel de toute la pyramide administrative est bien entendu de préserver ses privilèges, du plus petit parasite au plus gros, pour perdurer le plus longtemps possible.



C’est tout ce qu’il y a de plus naturel même si c’est pervers, car le prétendu “intérêt du public” mis en avant pour justifier l’existence de l’administration n’est qu’une illusion, une façade, un écran de fumée bien commode mais qui ne trompe même plus au plus haut niveau, d’où le cri du cœur de M. O.



A population comparable, l’UK et l’Allemagne ont significativement moins de ponctionnaires. Où est la justification de cette large différence ?



La réponse est simple : tu m’embauches et je vote pour toi. Belle démocratie !

Le 26/08/2019 à 16h 16

Le but de l’administration n’est pas de répondre aux doléances du public (qui de toute manière est bien trop niais pour comprendre sa divine utilité et qui devrait faire - lire payer - comme on lui dit) mais de perdurer son existence au seul profit d’un maximum de ses membres.



C’est un État dans l’État qui ne dit pas son nom. Une loi votée en France n’a pas d’existence effective et opérationnelle si l’administration n’a pas publié un artifice quelconque (arrêté ou autre) pour la reconnaître. Ça en dit long sur l’état de la “démocratie” dans ce pays.



Alors comment d’étonner que l’administration n’utilise pas à son avantage tous les moyens de l’informatique moderne comme pare feu pour s’occuper de ce qu’elle veut vraiment, sa dotation budgétaire en lien direct avec les impôts/taxes, et non satisfaire les réclamations du public ?



M. O fera comme l’administration lui dira : embaucher du ponctionnaires pour sécuriser les services. Les autres planqués du système qui vont au bureau comme d’autres vont aux toilettes (et en sortent pour les mêmes raisons) vont bien rire : leur service vient juste de grossir un peu plus et est donc un peu plus indéboulonnable, comme la dette.

Le 22/08/2019 à 18h 23

Comme le disait un écrivain anglais (IIRC), l’imitation est la forme la plus sincère de la flatterie. <img data-src=" />

Le 19/08/2019 à 18h 00



Nous sommes l’un des seuls journaux en ligne INdépendants dans le secteur des nouvelles technologies



J’ai hésité à rétorquer dans le post précédent mais comme cette illusion est répétée ici…



Grosse foutaise ! Avec un seul actionnaire majoritaire, l’indépendance est inexistante. Vous êtes peut-être indépendant de ceci ou cela (aucune raison invoquée pour les justifier), mais certainement pas au niveau gouvernance et détermination de la ligne éditoriale.



Ouvrez donc votre capital et devenez un acteur qui compte réellement en faisant participer vos lecteurs (et d’autres) à votre capital. Transformez la direction en conseil de direction : 10+ cerveaux seront toujours plus efficaces qu’un seul (ou 2-3).



J’ajoute aussi que jouer les pleureuses tous les 2 ou 3 ans commence à m’agacer : les erreurs/fautes dues à “l’indépendance” sont récurrentes et laissent penser qu’il existe un sérieux problème au plus haut niveau. C’est dommage, il existe un formidable potentiel avec certains journalistes qui font un boulot admirable mais qui n’est pas mis en valeur/monétisé.

Le 18/07/2019 à 21h 03

Il existe des LED en format néon : il suffit de retirer le starter et substituer le néon par le LED.

Le 18/07/2019 à 20h 58

Ad hominem sous forme de généralisation abusive non argumentée, même pas étayée d’un seul exemple, et qui laisse penser à de la jalousie face à l’érudition : du Drepanocytose tout craché !



Prends note et exemple que j’ai argumenté ma réponse point par point après le constat.

Le 17/07/2019 à 20h 16

Quel charabia dantesque. Je n’ose imaginer sous quelles influences interdites un foutoir cérébral a pu le concocter.





transition écologique

Buzzword non sensique hors des limites de la réalité et à racine/visée purement idéologique vert-rouge.





un mode de consommation moins énergivore

Moi aussi je suis contre la mort.





une économie des ressources naturelles

Il n’en existe aucune, il est donc impossible de les économiser. Il existe par contre des substrats naturels que l’Homme parvient à transformer en ressources économiques : c’est l’essence même du capitalisme de marché que de le faire de manière la plus optimale possible à tout instant.





une adéquation plus précise entre consommation et production électrique

Les professionnels du marché sont là pour cela : si seulement les incapables et incompétents (électeurs, politiciens et technocrates) les laissaient travailler…

Le 17/07/2019 à 19h 56



sans frais



L’escroquerie du politicien est évidemment dans ces 2 mots : l’individu qui consomme est toujours l’unique payeur final.

Le 15/07/2019 à 23h 01

Je ne vois pas le rapport : l’énergie a un prix dépendant de l’offre et de la demande, comme tout le reste. Les taxes représentent juste une spoliation légale illégitime (économiquement, écologiquement et socialement parlant) du consommateur, qu’il consomme ou non d’ailleurs, au profit exclusif de la parasitocratie. Le corps social mérite effectivement mieux que de se faire berner par des vendeurs d’illusions.

Le 15/07/2019 à 20h 10







Cumbalero a écrit :



Le remplacer par un neuf fabriqué à l’autre bout de l’Europe (dans le meilleur des cas) et transporté sur des milliers de kilomètres par camion, c’est ça la proposition pour moins polluer?





Selon les produits, la production seule utilise globalement entre 80 et 90% des ressources (énergie, substrats naturels, capital, temps, etc.) de toute la chaîne de production-distribution-consommation. Le transport représente peanut : c’est pour cette raison qu’un individu qui se dit préoccupé par la pollution qui n’est pas pour la globalisation des marchés est par conséquent contre l’optimisation de l’utilisation des ressources, la minimisation du gaspillage et pour la pollution. En un mot, c’est un escroc intellectuel.


Le 12/05/2019 à 11h 40







Radithor a écrit :



elle doit appartenir à l’État ou à une collectivité locale publique du simple fait qu’il s’agit de :

1- une rente (un investissement durable qui n’est pas là pour enrichir financièrement qui que ce soit, ni même l’autorité publique qui la contrôle)

2- un bien commun que toute la population est susceptible d’utiliser un jour ou l’autre.





Il n’y a aucun lien de causalité, de rapport économique voire même de simple logique entre ces propositions :

1/ les capitalistes sont les mieux placés pour gérer les rentes, ils sont même plutôt bons pour les améliorer (en tout cas meilleurs les autres) ;

2/ il n’y a pas de différence entre l’activité aéroportuaire et n’importe quelle autre activité économique (offre-demande) ;

3/ tous les investissements sont durables par définition, c’est à dire qu’ils produisent ou sont censés produire in fine des avantage sociétaux (sinon ils ne seraient pas réalisés) ;

4/ un « bien commun » est un oxymore culturel imaginaire (ou idéologique pour les plus dépravés) qui n’a pas d’existence physique dans le réel ;

5/ la population est susceptible d’utiliser tout ce qui est réel : cela n’en fait pas une raison pour tout nationaliser alors que la tendance historique, pour des raisons naturelles qu’il serait trop fastidieux d’expliquer ici, est au contraire à l’opposé.



Plus des dizaines d’autres raisons de bon sens économique qui font que toutes activités susceptibles de créer de la valeur doivent rester ou retourner chez les professionnels du business.


Le 12/05/2019 à 11h 14







carbier a écrit :



Pour ta gouverne, je ne parlais pas de sécurité policière mais de sécurité au sens large dans une entreprise.





Pour ta gouverne, la sécurité en entreprise est réglementée différentiellement selon les secteurs. Si l’État n’est pas foutu de faire son travail d’application et de vérification, c’est parce qu’il est bien trop occupé à d’autres choses sûrement plus essentielles pour les aigrefins intéressés qui prétendent le diriger.









carbier a écrit :



PS: je suppose que le procès de France Télécom est une hérésie pour toi.





C’est le procès des méthodes de « management » étatique, toute une époque en voie d’extinction pour le plus grand bien des salariés.


Le 11/05/2019 à 15h 29

Ignare comme d’habitude avec des raisonnements simplistes et des a priori bien ancrés.



Les aéroports ne gère pas la sécurité, elle est assurée par les forces de l’ordre (encore publiques il me semble) partout dans le monde, sauf en UE où elle est déléguée à des sociétés privées par les pouvoirs publics.



D’autre part que les aéroports dégraissent là où c’est possible, comme tout autre entreprise, est tout à fait normal et souhaitable : les entreprises ne sont pas des nounous mais des machines à faire du profit.

Le 10/05/2019 à 10h 08







Patch a écrit :



Donc tu ne vois absolument pas de pb à ce que ce soit des sociétés privées qui gèrent des monopoles de transport de dizaines millions de personnes. On part de loin, là…





Il n’est pas question de « transport », qui est déjà dans le privé — et donc sans monopole —, mais de gestion de lieux de transit.



Avec une formulation correcte, le supposé problème disparaît.


Le 10/05/2019 à 10h 02







wanou2 a écrit :



Le problème c’est que les aéroports font partis de stratégies politiques sans aucune considération économique et ce quelque soit les pays. Si c’est le groupe Hollandais qui prend la main sur ADP (c’est ce qui semble se dessiner) je te fais pas un dessin sur ce qui arrivera ;)





« stratégies politiques » qui font que la moitié des aéroports sont dans le rouge. La privatisation permettra au contraire de décharger le public qui ne voyage pas en avion des coûts qu’il supporte et de les répercuter aux utilisateur, puis au repreneur de bâtir une réelle stratégie économique d’optimisation. Comme dit ci-dessus, la tendance mondiale de fond est à la privatisation.



Si c’est de la sécurité dont tu parles en particulier, en Europe elle est déjà assurée par le privé.


Le 10/05/2019 à 09h 56







tpeg5stan a écrit :



En l’occurrence, j’ai beaucoup de mal à voir en quoi aéroports de Paris ne serait plus un monopole. Ça gère aussi bien Orly que Roissy, et je n’imagine pas un concurrent venir s’implanter.

Aéroport de Paris reste une rente de situation.





D’où mon point sur l’absence de rapport. Aussi, j’imagine mal dans l’ambiance anti-business pro-naturaliste qui règne au pays du fromage le développement des infrastructures (tous secteurs confondus). La rente de situation reste l’objectif de tout capitaliste qui se respecte, donc pourquoi ne pas faire au moins un heureux.



Ceci dit, c’est le genre de sujet tout à fait controversé qui agite les foules populaires pour pas grand chose alors que la tendance est à la privatisation partout dans le monde et en particulier en UE.


Le 10/05/2019 à 07h 21

Tout activité peut être concurrentielle si le marché est suffisamment ouvert/libre. Mais il est vrai qu’en République Fromagère, on a le don de fabriquer (et conserver) des monopoles artificiels là où le marché aurait pu fonctionner dès le départ (télécom, transport, média, etc.) comme il le fait ailleurs.



Je ne vois pas bien le lien entre « monopole » et « aucun intérêt à privatiser ». Il est indéniable que le privé gère mieux ses actifs que l’État quel que soit le type de marché — monopole (rarissime et transitoire dans le privé) ou non : l’expression « État-stratège » est d’ailleurs devenu un objet de dérision mérité.



De plus rien (à part peut-être l’UE) n’a jamais empêché l’État français de limiter/gonfler ou interdire/obliger artificiellement par la réglementation/législation telle ou telle variable économique pour telle ou telle raison politique fantaisiste.



Si au moins l’État s’occupait correctement de ses missions principales (régaliennes). Peut-être devrait-il là aussi les privatiser, histoire de voir qui est le plus compétent…

Le 09/05/2019 à 19h 19

Je pense que tu as répondu toi-même à ton problème de SPA dans la gorge : la concurrence fonctionne quand elle existe (Free).



Si le transport était un secteur où la concurrence était réelle plutôt que monopolistique/oligopolistique ou considéré comme la pompe à fric de l’État/collectivités locales (pour les aéroports régionaux), peut-être que les prix baisseraient.



J’ai acheté un billet AR pour traverser la France avec la SNCF du ciel (Air France) : la moitié du prix du billet est des taxes. Les contrôleurs seront probablement en grève et les pilotes n’ont pas déposé de préavis de travail pour le jour du départ : même sans cela il y a ~75% de chance que l’avion soit en panne, retardé ou annulé comme tous les ans. Comment peut-on espérer que les prix n’augmentent pas dans ces conditions qui ressemblent à la situation d’un PVD. Nous sommes la honte de la civilisation.



Je n’ai pas d’avis sur la privatisation d’ADP ne connaissant pas le dossier. Mais si cette privatisation est menée avec le brio habituel des zélites, mieux vaut en effet le statu quo (= ne rien faire).

Le 09/05/2019 à 17h 34

La question est plutôt de trouver quelle privatisation aurait été réalisée dans le passé pour une autre fin que ne pas libérer du cash (ou pour limiter les pertes) ? Je n’en vois pas. Inutile d’être triste : l’État ne sait pas gérer. Autant confier le business à des pros.

Le 09/05/2019 à 15h 29

« la privatisation du groupe Aéroports de Paris »



Incroyable, je vais soutenir le gouvernement en ne faisant rien.

Le 10/05/2019 à 15h 41

Un feu d’artifices (au sens non littéral) d’un niveau HS rarement atteint. Tu es aigri. Pourquoi tant de haine ? Cela perturbe ton sens commun et ta rationalité (en supposant que tu en ai jamais eu).



Il n’y a rien à ajouter face à la déraison.

Le 10/05/2019 à 10h 32







gavroche69 a écrit :



Au cas où cela t’aurais échappé on parle ici des abattoirs en France pays censé être “riche”…

Donc OUI, les abattoirs qui ne respectent aucune norme concernant cette souffrance le font clairement par souci d’économie et donc de gains supérieurs.





Je pense que tout le monde ici serait d’accord avec toi… si c’était vrai et général. Le soucis est que tu généralises abusivement à partir d’une anecdote, ou peut-être même de quelques cas en oubliant la grande majorité qui fait convenablement son travail. C’est une méthode fallacieuse qui n’inspire pas le respect dans une discussion.



Où sont les investigations des services sanitaires que ton État chéri est censé diriger et leurs résultats positifs qui ont conduit à des plaintes déposées et à des jugements ? Ils brillent par leur absence.


Le 10/05/2019 à 10h 24







gavroche69 a écrit :



beurk beurk



Vous êtes bien les mêmes tous les deux…





Arguments en béton, je suis convaincue maintenant…









gavroche69 a écrit :



Vous voulez vous faire passer pour des gens ultra-progressistes mais dans votre tête vous êtes des vieux réactionnaires conservateurs qui refusez absolument toute évolution qui pourrait nuire à votre petit confort et vos petites habitudes. Bref vous reprochez à ceux qui ne pensent pas comme vous d’être ce que vous êtes profondément, à savoir des esprits fermés dignes d’époques révolues.





Tu projettes, je n’ai pas prétendu être quoi que ce soit, seulement de laisser la liberté de choix.



J’ai même l’esprit assez ouvert pour avoir avancé plus haut l’idée que si un jour on trouve mieux et plus économique (viande synthétique par ex.), ce sera d’autant plus vite accepté que les dangereux extrémistes criminels et militants activistes tueurs de joie de vivre dans ton genre qui se pensent faussement « progressistes » mais ne sont en réalité que des terroristes qui s’ignorent sont mis sous camisole hors d’état de nuire à leurs semblables.









gavroche69 a écrit :



Le plus comique étant que vous passez votre temps à reprocher ça à tous ceux qui ne pensent pas comme vous, donc à tous ceux qui pensent en fait…





Cite un seul passage (que tu n’as pas interprété de travers).









gavroche69 a écrit :



Oser nier que c’est l’économie qui dirige tout





Bientôt : on est en passe de doubler l’ignorance, abolir la pauvreté et faire refluer à jamais l’étatisme mortifère. Une victoire sur l’ignominie et la barbarie collectiviste que tous les humanistes célèbrent dans la joie.









gavroche69 a écrit :



Bref, je vous laisse à vos certitudes.





Si seulement…


Le 09/05/2019 à 17h 27

Pas la peine de faire l’extrémiste et de mettre tous les autres dans le même panier que toi, ça ne prend pas.



Si la réglementation n’est pas appliquée, blâmes ceux qui sont censés la faire respecter, ceux qui la dévoient comme ton collègue derrière ses barreaux ou ceux qui la découvrent comme la maladie sanguine autosomique récessive, pas ceux qui la défendent.



Ta position fallacieuse revient considérer que tout le monde est coupable quand seulement une supposée minorité le serait.



Bref du bon vieux discours d’anti-spéciste, simpliste, primaire et de fausse compassion de façade qui cache mal leur haine de l’humain et d’eux même. Il y a aussi des traitements pour cela.

Le 09/05/2019 à 15h 26

#Intox : il n’y a pas de souffrance à l’abattage puisque il est réglementé pour toutes les espèces afin de justement l’éviter. Donc encore une invention de plus. Quant à la supposée « souffrance » au cours de l’élevage, le terme est une exagération éhontée d’anthropomorphisation pathologique chez les escrolos anti-viande.

Le 09/05/2019 à 15h 18

Maintenant que tu admets tes erreurs au sujet de la législation comme la maladie sanguine au-dessus, tu inventes ce que les éleveurs feraient selon ton imaginaire débridé. La législation autorise l’éleveur à produire en batterie avec des normes à respecter, ce qu’ils font.



Le reste est une juxtaposition de mots dont l’orgie d’insanité est la plus idiote jamais écrite. Nulle part dans ce verbiage incohérent figure la moindre trace de ce qui pourrait être considéré comme dérivant d’une pensée rationnelle. Tous ceux qui l’ont lu sont maintenant plus stupides, et la valeur de l’action « raison » vient de progresser. Que ton psychiatre ou ton Créateur te vienne en aide.

Le 09/05/2019 à 15h 14

Seuls les étatistes donnent « plus de poids à l’argent » et le pensent comme « l’alpha et l’omega (sic) ». Les autres s’en servent comme outil.



En particulier « c’est bien qu’un long mouvement mené par les états d’Europe de l’ouest a mené à imposer ce système de société mondialement. » est faux : « l’existence de places de marché, de quotations, de théories économiques » ont été inventé ou ont émergé bien avant ou indépendamment du concept d’« État ». Les exemples ne manquent pas où ce sont les compagnies privées qui ont conquis et modernisé les pré-États, telles que les compagnies Hollandaises en Inde. Mais c’est valable aussi pour les Anglais et les Espagnols. Voir les chapitres 15 et 16 de Sapiens de Y. N. Harari.



« la modernité » n’est pas due à l’État mais à ceux qui utilisent la monnaie à des fins productives pour augmenter le niveau de vie. L’État n’a jamais rien produit que des guerres, des cadavres et de la misère (et des impôts, mais je me répète).

Le 09/05/2019 à 14h 11

Non, tu affabules et ce qui tu tentes maladroitement s’apparente à la quadrature du cercle. Le vétérinaire prescrit dans un cadre sanitaire après des examens, et non sous la pression de l’éleveur : il n’y a pas « forcément [de] trait[ement] aux antibiotiques ». Ton interprétation trompeuse est à l’opposé de ce qui est écrit dans le document de l’ANSES.

Le 09/05/2019 à 14h 05

Aucune logique dans cette affirmation : comme montré plus haut, le concept d’État est bien trop récent pour lui attribuer un quelconque rapport avec la place de la monnaie dans l’économie. Que les États profitent de la monnaie en extorquant les agents économiques légitimes, cela personne ne te le contredira.

Le 09/05/2019 à 09h 14

Quel rapport ? Son point erroné était que ce sont les États qui ont imposé l’argent alors qu’en réalité la monnaie s’est imposée d’elle-même bien avant toute notion « d’État » qui est relativement récente (par rapport à la monnaie). Par ailleurs les romains avaient un empire mais pas un État :

État vient du latin status, dérivé du verbe stare qui signifie au sens premier « se tenir debout », et au sens figuré « la position »6. Le mot « État » apparaît dans les langues européennes dans son acception moderne au tournant des XVe et XVIe siècles.



Les romains permettaient la création monétaire dans les pays conquis. La seule contribution de la politique monétaire relativement centralisée sur Rome/Italie a été d’en diminuer le pouvoir d’achat (le % de métal précieux), ce qui a conduit à la chute de l’empire : nos (néo-)keynésiens feraient bien de s’en inspirer pour évaluer les conséquences de leur prescription similaire.



L’idée de « cité-État » est encore plus récente que celle « d’État » :

Attesté à partir du XXe siècle seulement, le terme [de cité-État] dérive de l’allemand Stadtstaat, lui-même la traduction du terme bystat proposé en 1840 par l’érudit danois Johan N. Madvig pour décrire le processus par lequel Rome unifie l’Italie au Ier siècle av. J.-C. Il est ensuite appliqué aux États sumériens, à la polis grecque et à la città italienne, avant d’être étendu à différentes réalités au cours de l’Histoire.





Historiquement, aucune de ces villes ou empire ne se considérait comme un « État ».

Le 09/05/2019 à 08h 18

La notion « d’État » est une idée moderne, alors que la monnaie existe et s’est imposée d’elle-même du fait de son utilité depuis ~5000 ans. Ce que les États ont imposé (récemment) est leur emprise sur sa « gestion » par l’intermédiaire des banques centrales (qui n’existent que depuis quelques siècles tout au plus).

Le 09/05/2019 à 08h 10

Tu n’as pas lu les textes du lien de l’ANSES (donné plus haut) pour sortir une stupidité pareille.

Le 09/05/2019 à 08h 08

Tu vomis et passe de la rhétorique nazillonne à celle marxiste comme un chef, on reconnaît le pro de la dialectique idéologique rouge ! N’oublie pas qu’il y avait aussi des camps de travail dans les Soviets et pendant le Grand Bond en arrière chinois… ce qui indique que la réelle exploitation de l’humain pour elle-même est LA caractéristique du socialisme dans toutes ses variantes morbides.



Mais surtout au grand jamais, ne te mets pas à la place de ceux qui ont choisi de travailler pour survivre et nourrir dignement leur famille dans un pays en plein emploi quand il est plus facile de profiter d’un système social(iste) français à la dérive qui traîne du chômage (de bons électeurs) comme d’autres leur cancer.



Les cancres sont toujours les premiers à montrer du doigt ceux qui réussissent.

Le 09/05/2019 à 07h 47







gavroche69 a écrit :



J’ai parlé du fric car le fric est ce qui dirige le monde, tout simplement.

Le fric n’est ni de gauche ni de droite, tout comme la connerie il est universel.





À la différence prêt que c’est un système (de confiance) sur lequel on peut compter quand on ne connaît pas personnellement les tiers avec on commerce dans une large société (99,9% des cas), ceci expliquant pourquoi il a si bien réussi et est si central dans les sociétés modernes.



Lui reprocher son efficacité revient à rejeter 7000 ou 8000 ans d’expérimentations humaines continues pour voir émerger un système si satisfaisant. Si c’est la financiarisation qui te préoccupe, blâmes-en les États-providences qui ont coupé les ponts avec le support métallique (et leurs/nos dettes comme seul « résultat »).









gavroche69 a écrit :



La surconsommation de viande et sa surproduction sont une évidence pour plein de gens mais visiblement pas pour toi





…ni pour la majorité des individus en fait, ce qui relative immédiatement l’« évidence pour plein de gens » en affabulation personnelle, surtout quand on est obligé d’en importer autant pour satisfaire la demande aussi bien en France qu’en Europe et autant en viande blanche qu’en rouge quelle que soit l’espèce considérée…


Le 08/05/2019 à 15h 22







gavroche69 a écrit :



Ce qui se passe dans certains élevages et abattoirs n’a rien d’anecdotique, sauf à croire que l’humain peut tout se permettre et que les animaux ne sont que de la bidoche à notre disposition.





Révise ton histoire, c’est le cas depuis la nuit des temps. Mais pas « que », puisque l’Homme a dû créer de toute pièce une nouvelle espèce OGM (le chien et ses centaines de races) pour satisfaire à ses besoins de compagnie (la Nature, l’ingrate, ayant omis d’y pourvoir).







gavroche69 a écrit :



La demande et donc la production sont totalement démesurées et ne correspondent à aucun besoin réel, d’autant qu’il y a encore de par le monde des gens qui crèvent de faim, quel merveilleux paradoxe…





Quand le capitalisme transforme le luxe en produits de consommation courante, le socialisme fait le contraire. Les inégalités dans la production/distribution des biens/services/richesses sont donc dues aux inégalités dans la répartition du capitalisme. Il reste quelques poches de barbares réfractaires au progrès.







gavroche69 a écrit :



Tu fais juste partie de ces gens qui, pour rien au monde, ne voudraient changer leurs habitudes aussi nuisibles soient-elles.





La nuisance est dans l’œil de celui qui juge sans savoir (ou pire, qui fait semblant de ne pas savoir). Pour paraphraser nos escrolos favoris, la faim justifie les moyens (tant qu’il n’existe pas d’alternatives économiques supportables).


Le 08/05/2019 à 12h 23

Litanie des poncifs habituels.



On ne produit pas de viande pour le plaisir (ce serait même plutôt emm… au propre comme au figuré comme activité) : on le fait pour répondre à la demande, c’est à dire pour nourrir ceux qui en ont besoin. L’élevage est réalisé en groupe pour la même raison que la monoculture en rotation : ce n’est pas économique autrement (à moins de vouloir payer 2 à 3 fois le prix et étendre les surface pour conserver les volumes, et donc supprimer les habitats naturels d’autant).



Si certaines pratiques doivent évoluer (mais qui relèvent de l’anecdotique monté en épingle par les démagos poseurs escro-bio-végan-antiviande), les premiers servis sur la balance des décisions doivent rester les humains.

Le 09/05/2019 à 17h 30

Peu étonnant. Mais tout ce que j’ai écrit est correct.