(quote:1828312:skankhunt42 ) Rendez vous dans 5 ans et on verra bien. Mais à mon avis il y aura rien de neuf à ce mettre sous la dent. Mais si je regarde le passé j’ai du mal à noter les points bénéfique de l’avancée technologique.
Avec cette logique, tu aurais dû me répondre en écrivant sur un parchemin, voire une tablette en pierre… . .
Moi je me souviens quand j’avais 12 ans… Le matin je prenais le bus avec un pote et ont discutais puis école et au retour ont discutais. Et puis ont s’invitait pour jouer à la console.
Maintenant à 12 ans les gamins ne discutent plus, chacun les yeux rivés sur son tel. Puis chacun rentre chez sois pour jouer en ligne. Bon d’un autre côté ils pourront aussi rester dehors à jouer ensemble en ligne chacun sur leur tel.
A mon avis béquille car personne n’a voulu ce bouger le fion sur le tarifs des lan.
Les gamins discutent en ligne au lieu de discuter face à face : et alors ? C’est ce qu’on fait ici même. Les temps changent (doucement), la technologie progresse (incrémentalement), les mentalités évoluent (par saut), les individus s’adaptent (plus ou moins) et leurs habitudes se modifient aussi. Rien de nouveau et rien ne sert de ressasser le passé : ce n’était pas mieux avant. Au pire dis-toi qu’il est préférable de les voir s’insulter à distance plutôt que de se battre physiquement.
Le
05/10/2020 à
08h
47
C’est plutôt pragmatique. Factuel même.
Pourquoi alors écrire juste après en #57 :
Donc la vidéo 4K sur mobile … ne correspond pas à ces critères. »
Comme ces critères sont définis selon les valeurs/besoins de chacun individuellement, il t’est impossible de tous les connaître : ton jugement ci-dessus est donc infondé. . .
Pas vraiment dans ce cas. Car cette nouvelle mouture reprend les mêmes usages des précédentes. Avec un aspect fonctionnalité pour opérateur bien entendu. L’argument principal est encore et toujours le débit.
Le futur est inconnu, les usages et besoins aussi. De manière général, ils ne se décident pas à l’avance, ils se modifient, s’adaptent, et émergent (ou pas) selon diverses contraintes ou facilitations. Mais pour le savoir il faut essayer (mettre sur le marché). . .
Plus de débit ne va pas faire “poper” les inventions comme les bulles d’une limonade.
Celle-là est facile à réfuter : l’effet limitant ou seuil du débit disponible est bien connu pour contraindre la visualisation vidéo selon sa qualité (SD/HD/FHD/UHD). Et oui, le développement des standards de qualité sont des « inventions ». Note le // avec la 2G/3G/4/5G. . .
Les premiers test…
Mon point était qu’on ne refuse/interdit pas une technologie à cause d’a priori personnels. Comme dit ailleurs : le marché, c’est à dire les individus, est l’arbitre final, pas toi.
Le
04/10/2020 à
09h
41
TexMex a dit:
La technologie est bonne là ou elle est utile et quand on peut en profiter.
Jugement de valeur personnel défini en position de principe qui néglige/oublie que 1/ les notions d’utilité et de profit (au sens où tu l’entends) ne dépendent que de valeurs individuelles subjectives inconnaissables et aussi variées qu’il existe d’individus ; 2/ leur trajectoire future est inconnue ; 3/ le marché est un processus dynamique de découverte dans la durée.
Le
02/10/2020 à
14h
49
(quote:1828002:skankhunt42 ) Sauf qu’ont ne peut pas avoir une croissance infinie sans avoir un inpact non négligeable sur l’environnement. Et jusqu’à preuve du contraire nous dépendons de ces environnement pour vivre.
Vision simpliste. En réalité : 1/ la croissance n’est pas « infinie » mais de quelques % / an 2/ son « impact » est inversement proportionnel au niveau de vie 3/ elle dépend de moins en moins de la Nature (notion de découplage) 4/ les matières premières, bien que finies, sont en quantité considérable (sur Terre et ailleurs) 5/ la seule limite est l’imagination (ou l’ignorance selon le point de vue) . .
Et si tu part du principe que ce niveau de vie la planète entière devrait l’avoir c’est juste pas possible.
Et la avec la 5g il est justement possible de lutter contre ce principe pour ne pas “évoluer” et même tenter de revenir en arrière.
Ce(ux) qui n’évolue(nt) disparaî(ssen)t. La Loi de l’évolution est dure, mais c’est la Loi.
Le
02/10/2020 à
13h
17
L’auteur du blog étant celui à qui tu réponds, tu sais pourquoi maintenant.
Le
02/10/2020 à
13h
16
Une distinction sans différence. . .
(reply:1828024:Stéphane Bortzmeyer)
L’explication est que la question est mal posée : il n’y a pas de « base objective » car c’est justement cela qui déchaîne les passions. Les individus devraient faire l’effort de mettre de côté leurs émotions (ça s’apprend), ça simplifierait les débats en revenant à l’essentiel.
Le
02/10/2020 à
11h
18
Si je devais m’attaquer à tous les cranks qui profèrent des inepties, j’y passerais ma journée. Alors autant rester focalisée sur ce(ux) que je connais bien.
Je renvoie d’ailleurs dos à dos les anti-XXX et pro-XXX qui perdent leur temps à essayer de (se) convaincre de la supériorité de leur position : le plus simple, le plus rapide, le moins cher, le plus démocratique, c’est de laisser les gens choisir eux-mêmes.
Si la technologie n’est pas satisfaisante, elle disparaîtra. Sinon elle se développera. C’est à ça que sert le marché : c’est l’arbitre final.
Le
02/10/2020 à
08h
54
Ce n’est pourtant pas bien difficile : le sujet a été choisi puis dressé comme cheval de bataille par les anti-progrès/anti-marché (certains les appellent escrolos, socialauds, etc.) comme d’autres le sont dans d’autres domaines de l’activité marchande capitaliste (glyphosate en agriculture par ex.) pour faire avancer leur idéologie rétrograde perverse obsolète mortifère que l’Histoire a jeté dans ses poubelles.
Après il est facile de faire polémiquer les idiots utiles sur des bases sapées par ces ignares et ce n’est pas comme si l’ultracrépidarianisme datait d’hier.
Tout à fait, je me suis contentée de montrer que la linéarité « quasi nulle » de ton modèle n’avait aucune réalité, ce qui n’était pas bien difficile. Si j’avais été charitable, ou plutôt si tu avais été un peu plus malin, on aurait pu interpréter ton #33 comme le dernier point à 15 ans, ce qui aurait été presque correct (il manque l’inflation)…
Le
04/10/2020 à
09h
03
(reply:1828286:Idiogène)
17 € est précisément la valeur du forfait moyen ; un racket mafieux de 100 % donc. . .
les gains ou pertes sont bien dépendantes de la démographie courbe de distribution non-linéaire des pigeons
Maintenant c’est correct.
Le
03/10/2020 à
07h
37
(reply:1828159:Idiogène)
Envoyez vous des SMS plutôt qu’un dialogue qui tourne en rond et qui se répète dans les commentaires, merci
On ne tourne pas en rond, on argumente (et on n’est pas HS (pour une fois)). . .
Son modèle suppose que la distribution des clients totaux dans le temps est uniforme : c’est évidemment incorrect. Mon estimation ne suppose rien de tel puisque ce n’est qu’un seul point à t+12 mois. Il est certes possible que le montant final ne soit pas 3 milliard ou que le nombre de clients initiaux soit moindre (0,5 million ?) ou supérieur (2 millions ?), cela ne modifie pas l’ordre de grandeur [500-125 €].
De même si on tient compte de l’étalement du payement, on reste quand même à 2 ordres de grandeur au-dessus de son modèle soit 17 € versus ~0,30 €, ce qui est loin d’être « quasi-nul ».
Le
02/10/2020 à
18h
46
(reply:1828159:Idiogène) Règle d’or suivie par 1%. D’où ce nécessaire rappel de l’AMF. C’est bien.
% sorti du chapeau. Tu prends cela à la légère, mais tente l’expérience avec ton banquier. . .
Part de l’État
HS.
Dernier commentaire : tu es tombé amoureux de ton modèle simpliste sans vouloir en démordre. Prends le problème par l’autre bout en te mettant à la place des opérateurs : leur but est-il : 1/ d’essayer de lisser sur 15 ans la charge du racket pour l’affecter le plus uniformément possible sur tous leurs clients (ton modèle irréaliste) ; 2/ ou bien de rentabiliser leur investissement le plus rapidement pour maximiser les profits futurs (mon estimation futur proche)
Ton penchant collectiviste anticapitaliste devrait répondre réflexivement 2/.
De rien. . .
On peut, cela étant dit, estimer le coût d’un autre modèle dans lequel toutes les fréquences seraient libres de droits d’usage.
Ce qui n’est jamais fait, alors qu’on parle d’un supposé « bien commun ». Comme quoi ce concept fumeux sert juste de prétexte collectiviste commode mais tragique.
Le
02/10/2020 à
17h
00
(quote:1828142:Idiogène) C’est faux, sur 15 ans futurs ou passés, la moyenne des seuils de rentabilité peut justifier l’octroi d’un prêt et le taux annuel… même un financier comprend qu’une courbe ne sert parfois à rien…
Vas voir un banquier en lui présentant ta moyenne pour tenter d’obtenir un prêt : il te réclamera poliment mais fermement tes dernier bilan et compte de résultats pour apprécier ton passif et l’état de tes dettes. La règle d’or en finance est que les résultats passés (même moyennés) ne préjugent pas de ceux futurs. . .
Ton observation précédente ne tenait pas compte ni de l’histoire de l’approximation de la variable ni de son intérêt à être appliquée dans un cas où c’est avant tout le delta entre prédiction théorique et observation qui pose question, pas la simple réfutation d’un calcul théorique dont la seule validité engendre et c’est le cas, d’autres variables cachées, d’autres formules et modèles que tu as omis avec constance. Point.
Ce n’est pas moi qui ai proposé un modèle simpliste de moyenne pour tenter de masquer que le racket de l’État sera in fine payé par les clients, fussent-ils les premiers.
Le
02/10/2020 à
16h
48
Mon estimation est bonne entre maintenant et le futur proche (1 an) comme indiqué parce que ce qui m’intéresse est d’estimer la fraction du racket qui sera nécessairement répercutée aux clients. Certes l’amortissement comptable est sur 15 ans, mais la dépense est en une seule fois. De plus le nombre de clients futurs est variable et inconnu (pourquoi 60 millions et pas 100 ?). Sa modélisation simpliste est fausse avant le point mort dont la date de survenue est inconnue.
Le
02/10/2020 à
16h
08
(reply:1828125:Idiogène)
Par la définition d’une moyenne, ta droite est positive // à 0 ‘et n’a pas de direction, le terme « sens » n’ayant pas de… sens ici) sur 15 ans, ce qui implique que rien ne changera sur 15 ans, ce qui est juste débile.
Comme ta politique à débattre consiste seulement à Carthago delenda est, je vais te laisser discuter avec toi-même de la différence entre une moyenne, un mode et une médiane et de la validité statistique de moyenner quand le dénominateur est une variable… vois cela comme un exercice encore plus simple que la leçon sur la non équivalence entre la moyenne d’une racine n et la racine n d’une moyenne.
Le
02/10/2020 à
15h
35
(reply:1828109:Idiogène)
Il n’est pas question de la rentabilité (l’unique point mort surviendra seulement quand la dépense/charge sera exactement annulée par les produits à un temps t inconnu dans le futur) mais de ton erreur de calcul : on ne peut pas moyenner comme tu le fais. Je t’ai expliqué pourquoi mais si tu veux persister dans l’erreur, c’est ton affaire.
Si un coût 5 fois supérieur à un forfait HdG actuel n’est pas « Byzance », tu devrais faire réviser tes mécanismes de comparaison internes (si tu en as) ou assimiler l’ouvrage sus-lié.
Le
02/10/2020 à
14h
11
(reply:1828081:Idiogène)
Seulement au bout de 15 ans, mais dans la réalité présente et le futur proche :
3 milliards / 1 million pers. / 1 an / 12 mois = 250 €
Le
02/10/2020 à
14h
04
(reply:1828077:Idiogène)
Calcul simpliste, en particulier :
coût du positionnement absent
nombre initial de clients concernés bien plus faible
nombre final de clients concernés bien plus élevé
En clair : la charge sera incluse dans les forfaits existants qui vont augmenter de prix pour compenser, cf Bouygues par ex., ou de nouveaux forfaits spécifiques seront proposés (plus chers). Dans tous les cas ce sont les premiers clients qui vont la supporter (ie au lieu d’une droite horizontale — ton calcul ridicule – on a une courbe concave décroissante).
Le
02/10/2020 à
13h
32
(reply:1828057:Idiogène)
Tu n’es pas dans les petits papiers des opérateurs pour justifier ta « proportion quasi-nulle » digne de la comptabilité hollywoodienne. Si elle l’était vraiment, l’État aurait demandé un prix cent, mille ou 1 million de fois supérieur, et la proportion serait encore restée « quasi-nulle » selon toi.
Ce qui explique que seul un idiot intégral peut débiter et croire pareille stupidité.
Le
02/10/2020 à
12h
58
(reply:1827886:Idiogène)
Tu as un gros problème pour assimiler la simple observation qu’une dépense (ici l’extorsion au « bien commun » mais c’est valable pour les taxes, impôts, etc.) est une charge pour une entreprise qui est fatalement, irrémédiablement, irréfutablement, indubitablement, etc. toujours répercutée sur le consommateur final (ses clients) si l’entreprise veut survivre et faire du profit.
Ce sont des notions triviales difficiles à intégrer chez les étatistes/planistes qui sniffent à longueur de temps leur coke dystopique collectiviste, mais fais un effort ou apprend à lire un bilan/compte de résultats.
Le
02/10/2020 à
06h
40
(reply:1827845:Idiogène)
Comme tu es assez bouché et/ou pas très futé et/ou que tu en touches, je te précise que je vise ici le racket de ces enchères. Que l’obèse ait légalisé d’autres formes de racket ne fait aucun doute : c’est une organisation criminelle. Qu’il y ait des idiots utiles pour les justifier et la supporter encore moins.
Le
01/10/2020 à
17h
26
On aurait bien pu écrire tout aussi (voire plus) correctement : Un racket sur le dos des futurs clients qui ira dans les caisses de l’État mafieux.
Le « bien commun » a bon dos : découpé en tranches et positions pour maximiser la ponction sous couvert de concurrence par une administration « indépendante » larbin de l’obèse, il vous fera apprécier la vaseline collectiviste. Parce que vous l’avez bien mérité.
Parce qu’elle permet d’évaluer et qualifier relativement les idéologies, ce qui est important pour « quantifier » leur nocivité (surtout quand l’une se prétend compassionnelle). Il y a une excellente discussion de ce point dans le Livre noir du communisme ou par l’historien Martin Malia. On remarque d’ailleurs que cette comparaison numérique est d’une évidente nécessité à notre époque face à la résurgence rouge, comme si on avait oublié (ou pas appris de) ses crimes passés.
Pour quoi faire cette comparaison ? Parce qu’elle permet d’évaluer et qualifier relativement les idéologies, ce qui est important pour « quantifier » leur nocivité (surtout quand l’une se prétend compassionnelle). Il y a une excellente discussion de ce point dans le Livre noir du communisme ou par l’historien Martin Malia. On remarque d’ailleurs que cette comparaison numérique est d’une évidente nécessité à notre époque face à la résurgence rouge, comme si on avait oublié (ou pas appris de) ses crimes passés. . . Tu ne réponds pas à cette question
Elle est sans intérêt : on vit dans le présent avec nos valeurs. . .
c’est toujours enseigné la rotondité de la terre
Mon erreur : je voulais évidemment écrire « La non “rotondité de la terre [sic]” ». . .
ton antireligion dans l’histoire
Je ne suis pas anti-religieux : le prétexte de consensus (qui est faux d’ailleurs vu le nombre de sceptiques) n’a aucune valeur en Science et qu’il est le pendant sociologique et/ou politique de l’infaillibilité religieuse, un équivalent à la méthode sectaire, ce qui est par définition non-scientifique.
Le
04/10/2020 à
09h
10
(reply:1828290:Idiogène)
1/ C’est le prétexte principalement avancé – se draper dans l’autorité de la Science fonctionne encore un peu –, même si c’est effectivement un mensonge dont on a actuellement un bon exemple avec le virus chinois.
2/ Les chiens/chats (morts) ne parlent pas.
3/ Pipotage.
Le
04/10/2020 à
08h
56
Il y a bien « les totalitarismes » au programme, avec une comparaison de l’Allemagne nazie et de l’URSS. On n’étudie pas l’état de l’environnement dans les années 1930, c’est un non-sujet à l’époque.
Le réchauffement climatique, qui comme la rotondité de la terre ou l’existence de la planète Saturne est admis par le consensus scientifique est enseigné. Concernant le recyclage, le bio et autres délires, ce sont bien souvent des initiatives individuelles et de « l’état d’esprit commun » que vraiment des directives ministérielles. À toi de voir les profs et de leur expliquer.
comparaison de l’Allemagne nazie et de l’URSS
Relis ce que j’ai écrit au lieu de déformer mes propos : il y a comparaison avec « coupable bienveillance » mais nulle comparaison du nombre de morts entre communismes et nazisme, nulle mention que les nazis n’ont fait que copier les méthodes d’extermination inventées par les bolcheviques, nulle comparaison avec l’étendue du démocide maoïste, etc. . .
“Nous constatons que séparer l’humanité de la nature, de la globalité de la vie, conduit à la destruction du genre humain et à la mort des nations. Ce n’est que par une réintégration de l’humanité dans la nature toute entière que notre peuple pourra être rendu plus fort. C’est le point fondamental des tâches biologiques de notre époque. Le centre des réflexions n’est plus l’humanité isolée, mais la vie dans son ensemble… Cet effort de connexion avec la totalité de la vie, avec la nature elle-même, une nature dans laquelle nous sommes nés, c’est le sens le plus profond et la véritable essence de la pensée nationale-socialiste.”
— Ernst Lehmann, Biologischer Wille. Wege und Ziele biologischer Arbeit im neuen Reich, 1934
. .
Le réchauffement climatique, qui comme la rotondité de la terre … est admis par le consensus scientifique est enseigné.
La « rotondité de la terre [sic] » fût aussi un consensus enseigné pendant très longtemps ce qui illustre la débilité épistémologique du concept. Son seul « avantage » est d’éviter à avoir à se poser des questions, comme dans tout bon culte. . .
Concernant le recyclage, le bio et autres délires, ce sont bien souvent des initiatives individuelles et de « l’état d’esprit commun » que vraiment des directives ministérielles.
Amen.
Le
03/10/2020 à
09h
26
Rien que ça, c’est totalement faux.
Je l’ai pourtant constaté dans les manuels d’Histoire de mes gamins : il était infecte de constater que l’idéologie rouge était traitée avec une ignoble et coupable bienveillance par rapport au régime nazi. Ne parlons même pas de la totale absence de mention de l’état abject de l’environnement dans les pays collectivistes. . .
Quant au “réchauffement” global, c’est une certitude absolue que chacun peut constater. Ce sont ses causes (exclusivement) anthropiques qui sont contestées par certains, et je ne me lancerai pas dans le débat.
1/ Il n’y a pas de « certitude absolue » en Science, seulement en religion. 2/ Il est impossible de se trouver en tout point de la planète au même moment pour le « constater ». 3/ Le « “réchauffement” global » n’a pas de validité physique – la température est une variable intensive non indépendante. 4/ Pas de débat : c’est préférable (et HS).
Le
03/10/2020 à
08h
12
C’est la différence entre la précision et l’imprécision. . .
Quantifie « plus souvent ».
La propagande est bien dans les manuels ; le recyclage présenté comme l’alpha et l’oméga alors que pas rentable (sauf rare exception), le bio présenté comme supportant la biodiversité alors qu’il détruit les habitats (rendement moindre donc surfaces > à l’agriculture conventionnelle/raisonnée), le réchauffroidissement climastrologique présenté comme une certitude alors que ce n’est qu’une conjecture non physique basée sur des modèles circulaires, les millions de morts des régimes communistes jamais mentionnés, le nazisme présenté comme une idéologie de « droite » alors que ce n’est qu’un socialisme de plus comme l’indique son nom, la pollution présentée comme la faute du capitalisme sans mettre en face la pauvreté en recul et le niveau de vie en hausse sans comparaison avec les ravages pires dans les pays anti-capitalistes restés pauvres, etc.
C’est sans fin. La diffusion insidieuse de cette idéologie néomarxiste sous des prétextes universalistes est odieusement sous-estimée. . .
Avec cette « logique », on devait supprimer le prix Nobel.
Le
02/10/2020 à
17h
10
(reply:1828137:Idiogène)
Il n’y a pas de rapport entre jachère et Monsanto, arrête de picoler. Monsanto a plus fait pour l’humanité que tous les escrolos réunis. En fait on pourrait même affirmer, si on était croyant, que Monsanto finira à la droite du Père quand les escrolos finiront rôtir en enfer comme il sied à ces meurtriers génocidaires antihumains.
Pratique agricole versus récupération escrolo.
4/ non, les molécules n’ont pas cette couleur.
Le
02/10/2020 à
16h
19
(reply:1828127:Idiogène)
1/ Pourquoi « indûment » alors ? 2/ Cf ton 1/ pour un exemple : la jachère est pratiquée depuis longtemps. L’ineptie ici est d’en faire une notion autre qu’agricole (récupération imméritée) 4/ il n’a jamais été « orange »
Le
02/10/2020 à
15h
52
(reply:1828071:Idiogène)
Il y a trop d’erreurs : 1/ la jachère n’est pas « enseignée » mais pratiquée 2/ il y a seulement des manuels scolaires truffés d’inepties escrologiques 3/ Monsanto n’existe plus 4/ aucun herbicide n’est coloré (AMHA)
Peut-être devrais-tu arrêter de « délirer » et réfléchir à un checkup avec un professionnel ? J’espère que tu n’es pas employé dans une activité où des vies humaines sont en jeu.
Le
02/10/2020 à
15h
43
Meuh non, il y a des trucs qui apprennent l’esprit critique à l’école.
Par exemple les délégués de classe, qui t’apprennent que la démocratie c’est du chiqué Le harcèlement scolaire qui t’apprend à ne jamais faire confiance aux autorités La triche à la carte scolaire qui t’apprend que les gauchistes sont des gros hypocrites
Pour un anarcap/libertarien comme toi ça devrait être des leçons en or, non ?
Je ne vois pas trop le lien de ces « trucs » avec les manuels scolaires cependant…
Le
02/10/2020 à
13h
06
Tiens, j’avais oublié de te filtrer toi.
Sinon, encore un site qui ne va servir que comme d’une façade démocratique.
Je t’en prie : répondre aux commentaires tout en étant sûre que son auteur ne puisse pas y répondre lui-même représente un gain de temps et un levier formidables dans un débat public.
Le
02/10/2020 à
13h
03
il faut ajouter l’écologie dans les programmes scolaires (au passage, elle y est déjà)… il faut ajouter la nutrition dans les programmes scolaires… il faut ajouter le droit dans les programmes scolaires… il faut ajouter le code de la route dans les programmes scolaires… il faut ajouter l’égalité hommes-femmes dans les programmes scolaires… il faut ajouter l’hygiène dans les programmes scolaires… il faut ajouter l’analyse des médias dans les programmes scolaires… il faut ajouter la cuisine dans les programmes scolaires… il faut ajouter [Texte de la pétition] dans les programmes scolaires…. Il y en a eu, des propositions… Et pendant ce temps, le niveau en lecture et en calcul baisse inexorablement…
La seule chose qu’on est sûr de ne jamais trouver dans les programmes scolaires, c’est l’art de la pensée critique et du raisonnement. Il est vrai qu’un individu qui réfléchit par lui-même n’est pas un bon citoyen mais une menace potentielle pour la Nomenklatura au pouvoir qui les rédige. D’où le niveau qui baisse…
Le
02/10/2020 à
08h
59
Bonne initiative : prochaine étape la législation directe par les individus.
une autre veut ajouter l’écologie dans les matières enseignées
Comme si les manuels scolaires actuels n’étaient déjà pas assez faisandés d’inepties escrolo/PC à la mode avec zéro contenu informatif/éducatif.
Mon propos ne concerne pas seulement “ces personnes mal orientées”, très minoritaires effectivement, mais une fraction notable des adolescents des lycées généraux et des collèges, qui n’ont rien à faire -à tort- de l’enseignement général et des “subtilités” distillées en littérature, maths, informatique, histoire-géographie, etc. Après, je n’ai pas d’avis général sur le système : trop compliqué pour moi ! Je me contente de faire partager mon expérience de praticien (35 ans de lycée général avec un épuisement total depuis la récente réforme, et je ne suis pas le seul : c’est une catastrophe).
J’aurais pu m’éviter ma réponse précédente : en effet des observations même pertinentes ne modifient pas la réalité. C’est à dire qu’un système éducatif où ces ados seraient bien orientés n’est qu’un scénario.
Dans le monde réel, les écarts entre les 2 systèmes existent parce qu’ils dérivent d’une politique voulue (mais aux conséquences non-attendues).
Le
01/10/2020 à
18h
08
Mon propos ne concerne pas seulement “ces personnes mal orientées”, très minoritaires effectivement, mais une fraction notable des adolescents des lycées généraux et des collèges, qui n’ont rien à faire -à tort- de l’enseignement général et des “subtilités” distillées en littérature, maths, informatique, histoire-géographie, etc. Après, je n’ai pas d’avis général sur le système : trop compliqué pour moi ! Je me contente de faire partager mon expérience de praticien (35 ans de lycée général avec un épuisement total depuis la récente réforme, et je ne suis pas le seul : c’est une catastrophe).
Je suis aussi d’accord sur les dégâts de la politique « élitiste » et, il faut le dire, démagogique, qui consiste à envoyer tout le monde ou presque en « Général » (il y a des raisons idéologiques à cette politique mais c’est là aussi HS – et politiquement incorrect ;).
Est-ce que le coût global de ces ados aurait été significativement moindre s’ils avaient été bien orientés ? C’est possible quand on considère le % élevé de redoublements. Mais il faudrait savoir s’ils concernent en majorité le public pour pouvoir nuancer l’écart entre les 2 modèles.
Le
01/10/2020 à
13h
54
(reply:1827754:Idiogène)
Non, par métriques j’entends des mesures quantitatives de la performance/efficacité/etc. Ton exemple représente tout l’opposé d’une telle métrique.
Le
01/10/2020 à
13h
49
J’ai lu ce rapport en diagonale. Il semble ne pas tenir compte de l’obsession française de l’orientation en enseignement général (même si près de la moitié des bacs sont “pro” ou techno), et surtout du manque de places dans certaines filières pro ou techno. Ce qui fait que certains élèves trop faibles pour suivre un enseignement pro se retrouvent en 2de générale, où ils décrochent dès le 1er jour et “plombent” lesdites 2des. Comme le doublement n’est plus de mise en France (et que dans ce cas précis, il serait inutile), ils passent parfois en 1ère générale ou techno (car ils ne sont plus prioritaires face aux 3èmes pour le pro), où “au mieux” ils s’ennuient, au pire ils perturbent ou désertent. On est loin de la Finlande et de l’Estonie, citées dans le rapport, avec des populations “homogènes”, et même de l’Allemagne ou de la Suisse, avec une grande partie des jeunes qui sont en apprentissage dès 15 ans (en fait, alternance).
Ce sont de bonnes remarques, mais ces personnes mal orientées ne représentent qu’une infime fraction du total (12 millions) et cela ne justifie pas les considérables écarts de financement moyen par tête constatés entre les 2 institutions.
Le
01/10/2020 à
13h
12
Certes, mais cela ne contredit en rien mon point initial, et ce ne sont pas des métriques pour pouvoir comparer. De plus le privé ne peut pas refuser « tous les “cas” » (qui ne représentent d’ailleurs qu’une minorité négligeable en nombre) : le motif de non inscription doit être légalement solide car attaquable en justice.
Sur le HS lui-même, il y a eu quelques études (en France, la Cour des comptes, l’IFrap 2011, 2016 – dans l’Europe, Molinari 2019) sur le sujet des coûts d’éducation qui indiquent que le secteur public est 30-40 % plus cher pour des résultats ~similaires au privé ou que l’efficacité du système français est médiocre. Tous ces résultats recoupent mon point.
Le
01/10/2020 à
12h
10
(reply:1827730:Idiogène)
« Raisonnement » bancal oublieux que la notion de valeur (et de préférence temporelle ajouteraient les économistes de l’école autrichienne) est strictement individuelle : ton temps perdu à jacter des insanités n’est pas mon temps à les constater.
L’observation que les services sont proposés en toujours plus grandes qualité et quantité (les XaaS en ce moment par ex. en IT) se suffit à elle-même pour montrer qu’ils fournissent de la valeur attendue aux yeux des intéressés (sinon ils disparaissent => principe de réalité). Dans un marché, par définition, le système est équilibré entre les agents (sinon il n’existerait pas). Bref fais-toi une piqûre contre les hallucinations et redescends.
Le
01/10/2020 à
11h
38
Service public en général parce que pour faire des comparaisons globales entre pays (ce qui motivait ma réflexion initiale), il n’y a pas le choix. Cependant on peut aussi faire des comparaisons plus fines entre sous-systèmes, par ex. privé versus public dans l’éducation (HS dans ce fil), mais bien sûr les métriques ne sont plus les mêmes.
Le
01/10/2020 à
10h
59
serpolet a dit:
Je ne me lancerai pas dans ce débat. La structure des services publics n’est pas la même. Et les Français sont les premiers à protester quand on supprime le moindre poste de fonctionnaire (tout en disant qu’il y en a trop).
Ce que tu fais quand même (mais passons).
Mon point reste qu’un système qui nécessite 2 fois plus de personnels à performance/qualité identique a un réel souci : toute entreprise avec un tel problème disparaît très rapidement parce que le gaspillage (temps, argent, personne, etc.) n’est pas une politique soutenable. Même l’agent gratuit des autres n’est pas infini.
Le
01/10/2020 à
10h
51
(reply:1827714:Idiogène) Car dans les deux cas le “client” a accès à la propriété exclusive de son corps et de son sommeil. Ce qui n’est pas le cas dans le modèle tertiaire d’un communisme déguisé…
Sans compter que … c’est bien le temps qui est vendu par l’emprunt
Pareil. Et avec les intérêts négatifs actuels, on rajeunit.
Le
01/10/2020 à
10h
41
Ce n’est pas un jugement de valeur : les Allemands à population ~similaire ont presque 2 fois moins de serviteurs publics [1] pour une qualité de service globale identique (cf [2] Graph 40 page 58).
Par « financement collectif », j’entendais les taxations/impositions pour financer des services publics ventripotents et non motivés à mieux faire (audiovisuel, éducation).
Dans les entreprises, ce problème bien qu’existant est moins pregnant parce cette taille leur permet souvent d’empêcher de nouveaux concurrents d’accéder à leurs marchés (surtout en France avec le crapitalisme de connivence). Mais si les « surcoûts » dépassent les produits, l’entreprise finit par disparaître, mais moins vite qu’une petite comme tu le soulignes.
Je ne suis pas d’accord avec la stance facile des « financiers et tertiaires parasites » : rapidement, la finance (banques de détails ou grandes banques) vend de l’argent sous des formes et des modalités variées tout comme les fabricants vendent des biens tout aussi variés. Les fournisseurs de services qui représentent le « tertiaire » marchand proposent aussi des services variés : comment un hôtelier ou un coiffeur peut-il être assimilé à un parasite alors qu’il créée lui-aussi de la valeur puisqu’il a des clients qui payent pour ses services ?
On devrait essayer d’appliquer une telle logique (en limitant l’effet usine à gaz comme ici) pour des choses sérieuses, par exemple le consentement à l’impôt. Nul doute que la protection des fruits du labeur de l’individu et la gestion des deniers publics seraient grandement améliorés…
7067 commentaires
Pourquoi la 5G passionne-t-elle autant ?
02/10/2020
Le 05/10/2020 à 08h 59
Avec cette logique, tu aurais dû me répondre en écrivant sur un parchemin, voire une tablette en pierre…
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Les gamins discutent en ligne au lieu de discuter face à face : et alors ? C’est ce qu’on fait ici même. Les temps changent (doucement), la technologie progresse (incrémentalement), les mentalités évoluent (par saut), les individus s’adaptent (plus ou moins) et leurs habitudes se modifient aussi. Rien de nouveau et rien ne sert de ressasser le passé : ce n’était pas mieux avant. Au pire dis-toi qu’il est préférable de les voir s’insulter à distance plutôt que de se battre physiquement.
Le 05/10/2020 à 08h 47
Pourquoi alors écrire juste après en #57 :
Comme ces critères sont définis selon les valeurs/besoins de chacun individuellement, il t’est impossible de tous les connaître : ton jugement ci-dessus est donc infondé.
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Le futur est inconnu, les usages et besoins aussi. De manière général, ils ne se décident pas à l’avance, ils se modifient, s’adaptent, et émergent (ou pas) selon diverses contraintes ou facilitations. Mais pour le savoir il faut essayer (mettre sur le marché).
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Celle-là est facile à réfuter : l’effet limitant ou seuil du débit disponible est bien connu pour contraindre la visualisation vidéo selon sa qualité (SD/HD/FHD/UHD). Et oui, le développement des standards de qualité sont des « inventions ». Note le // avec la 2G/3G/4/5G.
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Mon point était qu’on ne refuse/interdit pas une technologie à cause d’a priori personnels. Comme dit ailleurs : le marché, c’est à dire les individus, est l’arbitre final, pas toi.
Le 04/10/2020 à 09h 41
Jugement de valeur personnel défini en position de principe qui néglige/oublie que
1/ les notions d’utilité et de profit (au sens où tu l’entends) ne dépendent que de valeurs individuelles subjectives inconnaissables et aussi variées qu’il existe d’individus ;
2/ leur trajectoire future est inconnue ;
3/ le marché est un processus dynamique de découverte dans la durée.
Le 02/10/2020 à 14h 49
Vision simpliste. En réalité :
1/ la croissance n’est pas « infinie » mais de quelques % / an
2/ son « impact » est inversement proportionnel au niveau de vie
3/ elle dépend de moins en moins de la Nature (notion de découplage)
4/ les matières premières, bien que finies, sont en quantité considérable (sur Terre et ailleurs)
5/ la seule limite est l’imagination (ou l’ignorance selon le point de vue)
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Pourtant c’est ce qui est en train de se passer : pauvreté réduite de 80 % ces dernières décennies, l’Asie rattrapant notre niveau, espérance de vie en hausse ininterrompue depuis 100 ans, etc.
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Ce(ux) qui n’évolue(nt) disparaî(ssen)t. La Loi de l’évolution est dure, mais c’est la Loi.
Le 02/10/2020 à 13h 17
L’auteur du blog étant celui à qui tu réponds, tu sais pourquoi maintenant.
Le 02/10/2020 à 13h 16
Une distinction sans différence.
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L’explication est que la question est mal posée : il n’y a pas de « base objective » car c’est justement cela qui déchaîne les passions. Les individus devraient faire l’effort de mettre de côté leurs émotions (ça s’apprend), ça simplifierait les débats en revenant à l’essentiel.
Le 02/10/2020 à 11h 18
Si je devais m’attaquer à tous les cranks qui profèrent des inepties, j’y passerais ma journée. Alors autant rester focalisée sur ce(ux) que je connais bien.
Je renvoie d’ailleurs dos à dos les anti-XXX et pro-XXX qui perdent leur temps à essayer de (se) convaincre de la supériorité de leur position : le plus simple, le plus rapide, le moins cher, le plus démocratique, c’est de laisser les gens choisir eux-mêmes.
Si la technologie n’est pas satisfaisante, elle disparaîtra. Sinon elle se développera. C’est à ça que sert le marché : c’est l’arbitre final.
Le 02/10/2020 à 08h 54
Ce n’est pourtant pas bien difficile : le sujet a été choisi puis dressé comme cheval de bataille par les anti-progrès/anti-marché (certains les appellent escrolos, socialauds, etc.) comme d’autres le sont dans d’autres domaines de l’activité marchande capitaliste (glyphosate en agriculture par ex.) pour faire avancer leur idéologie rétrograde perverse obsolète mortifère que l’Histoire a jeté dans ses poubelles.
Après il est facile de faire polémiquer les idiots utiles sur des bases sapées par ces ignares et ce n’est pas comme si l’ultracrépidarianisme datait d’hier.
Fin des enchères sur la 5G : 126 millions d’euros par bloc de 10 MHz, 40 MHz pour Orange
01/10/2020
Le 05/10/2020 à 08h 12
Tout à fait, je me suis contentée de montrer que la linéarité « quasi nulle » de ton modèle n’avait aucune réalité, ce qui n’était pas bien difficile. Si j’avais été charitable, ou plutôt si tu avais été un peu plus malin, on aurait pu interpréter ton #33 comme le dernier point à 15 ans, ce qui aurait été presque correct (il manque l’inflation)…
Le 04/10/2020 à 09h 03
17 € est précisément la valeur du forfait moyen ; un racket mafieux de 100 % donc.
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Maintenant c’est correct.
Le 03/10/2020 à 07h 37
On ne tourne pas en rond, on argumente (et on n’est pas HS (pour une fois)).
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Il est fort probable que non puisque que l’État a accepté d’étaler le payement sur 15 ans sans frais, ce que j’ignorais lors de mon estimation initiale.
Son modèle suppose que la distribution des clients totaux dans le temps est uniforme : c’est évidemment incorrect. Mon estimation ne suppose rien de tel puisque ce n’est qu’un seul point à t+12 mois. Il est certes possible que le montant final ne soit pas 3 milliard ou que le nombre de clients initiaux soit moindre (0,5 million ?) ou supérieur (2 millions ?), cela ne modifie pas l’ordre de grandeur [500-125 €].
De même si on tient compte de l’étalement du payement, on reste quand même à 2 ordres de grandeur au-dessus de son modèle soit 17 € versus ~0,30 €, ce qui est loin d’être « quasi-nul ».
Le 02/10/2020 à 18h 46
% sorti du chapeau. Tu prends cela à la légère, mais tente l’expérience avec ton banquier.
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HS.
Dernier commentaire :
tu es tombé amoureux de ton modèle simpliste sans vouloir en démordre. Prends le problème par l’autre bout en te mettant à la place des opérateurs : leur but est-il :
1/ d’essayer de lisser sur 15 ans la charge du racket pour l’affecter le plus uniformément possible sur tous leurs clients (ton modèle irréaliste) ;
2/ ou bien de rentabiliser leur investissement le plus rapidement pour maximiser les profits futurs (mon estimation futur proche)
Ton penchant collectiviste anticapitaliste devrait répondre réflexivement 2/.
De rien.
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Ce qui n’est jamais fait, alors qu’on parle d’un supposé « bien commun ». Comme quoi ce concept fumeux sert juste de prétexte collectiviste commode mais tragique.
Le 02/10/2020 à 17h 00
Vas voir un banquier en lui présentant ta moyenne pour tenter d’obtenir un prêt : il te réclamera poliment mais fermement tes dernier bilan et compte de résultats pour apprécier ton passif et l’état de tes dettes. La règle d’or en finance est que les résultats passés (même moyennés) ne préjugent pas de ceux futurs.
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Ce n’est pas moi qui ai proposé un modèle simpliste de moyenne pour tenter de masquer que le racket de l’État sera in fine payé par les clients, fussent-ils les premiers.
Le 02/10/2020 à 16h 48
Mon estimation est bonne entre maintenant et le futur proche (1 an) comme indiqué parce que ce qui m’intéresse est d’estimer la fraction du racket qui sera nécessairement répercutée aux clients. Certes l’amortissement comptable est sur 15 ans, mais la dépense est en une seule fois. De plus le nombre de clients futurs est variable et inconnu (pourquoi 60 millions et pas 100 ?). Sa modélisation simpliste est fausse avant le point mort dont la date de survenue est inconnue.
Le 02/10/2020 à 16h 08
Par la définition d’une moyenne, ta droite est positive // à 0 ‘et n’a pas de direction, le terme « sens » n’ayant pas de… sens ici) sur 15 ans, ce qui implique que rien ne changera sur 15 ans, ce qui est juste débile.
Comme ta politique à débattre consiste seulement à Carthago delenda est, je vais te laisser discuter avec toi-même de la différence entre une moyenne, un mode et une médiane et de la validité statistique de moyenner quand le dénominateur est une variable… vois cela comme un exercice encore plus simple que la leçon sur la non équivalence entre la moyenne d’une racine n et la racine n d’une moyenne.
Le 02/10/2020 à 15h 35
Il n’est pas question de la rentabilité (l’unique point mort surviendra seulement quand la dépense/charge sera exactement annulée par les produits à un temps t inconnu dans le futur) mais de ton erreur de calcul : on ne peut pas moyenner comme tu le fais. Je t’ai expliqué pourquoi mais si tu veux persister dans l’erreur, c’est ton affaire.
Le 02/10/2020 à 15h 02
Simple et faux car c’est une tromperie à la moyenne (un classique escrolo).
Si un coût 5 fois supérieur à un forfait HdG actuel n’est pas « Byzance », tu devrais faire réviser tes mécanismes de comparaison internes (si tu en as) ou assimiler l’ouvrage sus-lié.
Le 02/10/2020 à 14h 11
Seulement au bout de 15 ans, mais dans la réalité présente et le futur proche :
3 milliards / 1 million pers. / 1 an / 12 mois = 250 €
Le 02/10/2020 à 14h 04
Calcul simpliste, en particulier :
En clair : la charge sera incluse dans les forfaits existants qui vont augmenter de prix pour compenser, cf Bouygues par ex., ou de nouveaux forfaits spécifiques seront proposés (plus chers). Dans tous les cas ce sont les premiers clients qui vont la supporter (ie au lieu d’une droite horizontale — ton calcul ridicule – on a une courbe concave décroissante).
Le 02/10/2020 à 13h 32
Tu n’es pas dans les petits papiers des opérateurs pour justifier ta « proportion quasi-nulle » digne de la comptabilité hollywoodienne. Si elle l’était vraiment, l’État aurait demandé un prix cent, mille ou 1 million de fois supérieur, et la proportion serait encore restée « quasi-nulle » selon toi.
Ce qui explique que seul un idiot intégral peut débiter et croire pareille stupidité.
Le 02/10/2020 à 12h 58
Tu as un gros problème pour assimiler la simple observation qu’une dépense (ici l’extorsion au « bien commun » mais c’est valable pour les taxes, impôts, etc.) est une charge pour une entreprise qui est fatalement, irrémédiablement, irréfutablement, indubitablement, etc. toujours répercutée sur le consommateur final (ses clients) si l’entreprise veut survivre et faire du profit.
Ce sont des notions triviales difficiles à intégrer chez les étatistes/planistes qui sniffent à longueur de temps leur coke dystopique collectiviste, mais fais un effort ou apprend à lire un bilan/compte de résultats.
Le 02/10/2020 à 06h 40
Comme tu es assez bouché et/ou pas très futé et/ou que tu en touches, je te précise que je vise ici le racket de ces enchères. Que l’obèse ait légalisé d’autres formes de racket ne fait aucun doute : c’est une organisation criminelle. Qu’il y ait des idiots utiles pour les justifier et la supporter encore moins.
Le 01/10/2020 à 17h 26
On aurait bien pu écrire tout aussi (voire plus) correctement : Un racket sur le dos des futurs clients qui ira dans les caisses de l’État mafieux.
Le « bien commun » a bon dos : découpé en tranches et positions pour maximiser la ponction sous couvert de concurrence par une administration « indépendante » larbin de l’obèse, il vous fera apprécier la vaseline collectiviste. Parce que vous l’avez bien mérité.
L’Assemblée Nationale lance sa plateforme de pétitions en ligne
02/10/2020
Le 05/10/2020 à 08h 05
Parce qu’elle permet d’évaluer et qualifier relativement les idéologies, ce qui est important pour « quantifier » leur nocivité (surtout quand l’une se prétend compassionnelle). Il y a une excellente discussion de ce point dans le Livre noir du communisme ou par l’historien Martin Malia. On remarque d’ailleurs que cette comparaison numérique est d’une évidente nécessité à notre époque face à la résurgence rouge, comme si on avait oublié (ou pas appris de) ses crimes passés.
Le 05/10/2020 à 08h 04
Le découplage qui a débuté dans les années 1970 est bien documenté : un ex. par l’écologiste J. Ausubel, bien connu aux USA.
Le 05/10/2020 à 07h 56
Elle est sans intérêt : on vit dans le présent avec nos valeurs.
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Mon erreur : je voulais évidemment écrire « La non “rotondité de la terre [sic]” ».
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Je ne suis pas anti-religieux : le prétexte de consensus (qui est faux d’ailleurs vu le nombre de sceptiques) n’a aucune valeur en Science et qu’il est le pendant sociologique et/ou politique de l’infaillibilité religieuse, un équivalent à la méthode sectaire, ce qui est par définition non-scientifique.
Le 04/10/2020 à 09h 10
1/ C’est le prétexte principalement avancé – se draper dans l’autorité de la Science fonctionne encore un peu –, même si c’est effectivement un mensonge dont on a actuellement un bon exemple avec le virus chinois.
2/ Les chiens/chats (morts) ne parlent pas.
3/ Pipotage.
Le 04/10/2020 à 08h 56
Relis ce que j’ai écrit au lieu de déformer mes propos : il y a comparaison avec « coupable bienveillance » mais nulle comparaison du nombre de morts entre communismes et nazisme, nulle mention que les nazis n’ont fait que copier les méthodes d’extermination inventées par les bolcheviques, nulle comparaison avec l’étendue du démocide maoïste, etc.
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L’argument comme quoi l’environnement n’était pas une préoccupation à l’époque pour éviter d’en parler maintenant est risible car faux/ignorant : il permet juste de mettre sous le tapis les ravages écologiques et de l’environnement des régimes rouges (comme actuellement le chinois) et que l’écologie/environnement étaient au cœur de la propagande/pensée nazie :
— Ernst Lehmann, Biologischer Wille. Wege und Ziele biologischer Arbeit im neuen Reich, 1934
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La « rotondité de la terre [sic] » fût aussi un consensus enseigné pendant très longtemps ce qui illustre la débilité épistémologique du concept. Son seul « avantage » est d’éviter à avoir à se poser des questions, comme dans tout bon culte.
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Amen.
Le 03/10/2020 à 09h 26
Je l’ai pourtant constaté dans les manuels d’Histoire de mes gamins : il était infecte de constater que l’idéologie rouge était traitée avec une ignoble et coupable bienveillance par rapport au régime nazi. Ne parlons même pas de la totale absence de mention de l’état abject de l’environnement dans les pays collectivistes.
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1/ Il n’y a pas de « certitude absolue » en Science, seulement en religion.
2/ Il est impossible de se trouver en tout point de la planète au même moment pour le « constater ».
3/ Le « “réchauffement” global » n’a pas de validité physique – la température est une variable intensive non indépendante.
4/ Pas de débat : c’est préférable (et HS).
Le 03/10/2020 à 08h 12
C’est la différence entre la précision et l’imprécision.
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Quantifie « plus souvent ».
La propagande est bien dans les manuels ; le recyclage présenté comme l’alpha et l’oméga alors que pas rentable (sauf rare exception), le bio présenté comme supportant la biodiversité alors qu’il détruit les habitats (rendement moindre donc surfaces > à l’agriculture conventionnelle/raisonnée), le réchauffroidissement climastrologique présenté comme une certitude alors que ce n’est qu’une conjecture non physique basée sur des modèles circulaires, les millions de morts des régimes communistes jamais mentionnés, le nazisme présenté comme une idéologie de « droite » alors que ce n’est qu’un socialisme de plus comme l’indique son nom, la pollution présentée comme la faute du capitalisme sans mettre en face la pauvreté en recul et le niveau de vie en hausse sans comparaison avec les ravages pires dans les pays anti-capitalistes restés pauvres, etc.
C’est sans fin. La diffusion insidieuse de cette idéologie néomarxiste sous des prétextes universalistes est odieusement sous-estimée.
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Avec cette « logique », on devait supprimer le prix Nobel.
Le 02/10/2020 à 17h 10
Il n’y a pas de rapport entre jachère et Monsanto, arrête de picoler. Monsanto a plus fait pour l’humanité que tous les escrolos réunis. En fait on pourrait même affirmer, si on était croyant, que Monsanto finira à la droite du Père quand les escrolos finiront rôtir en enfer comme il sied à ces meurtriers génocidaires antihumains.
Pratique agricole versus récupération escrolo.
4/ non, les molécules n’ont pas cette couleur.
Le 02/10/2020 à 16h 19
1/ Pourquoi « indûment » alors ?
2/ Cf ton 1/ pour un exemple : la jachère est pratiquée depuis longtemps. L’ineptie ici est d’en faire une notion autre qu’agricole (récupération imméritée)
4/ il n’a jamais été « orange »
Le 02/10/2020 à 15h 52
Il y a trop d’erreurs :
1/ la jachère n’est pas « enseignée » mais pratiquée
2/ il y a seulement des manuels scolaires truffés d’inepties escrologiques
3/ Monsanto n’existe plus
4/ aucun herbicide n’est coloré (AMHA)
Peut-être devrais-tu arrêter de « délirer » et réfléchir à un checkup avec un professionnel ? J’espère que tu n’es pas employé dans une activité où des vies humaines sont en jeu.
Le 02/10/2020 à 15h 43
Comme ces délégués-là ?
Je ne vois pas trop le lien de ces « trucs » avec les manuels scolaires cependant…
Le 02/10/2020 à 13h 06
Je t’en prie : répondre aux commentaires tout en étant sûre que son auteur ne puisse pas y répondre lui-même représente un gain de temps et un levier formidables dans un débat public.
Le 02/10/2020 à 13h 03
La seule chose qu’on est sûr de ne jamais trouver dans les programmes scolaires, c’est l’art de la pensée critique et du raisonnement. Il est vrai qu’un individu qui réfléchit par lui-même n’est pas un bon citoyen mais une menace potentielle pour la Nomenklatura au pouvoir qui les rédige. D’où le niveau qui baisse…
Le 02/10/2020 à 08h 59
Bonne initiative : prochaine étape la législation directe par les individus.
Comme si les manuels scolaires actuels n’étaient déjà pas assez faisandés d’inepties escrolo/PC à la mode avec zéro contenu informatif/éducatif.
Projet de loi de finances : 138 euros de redevance TV en 2021
30/09/2020
Le 01/10/2020 à 18h 51
J’aurais pu m’éviter ma réponse précédente : en effet des observations même pertinentes ne modifient pas la réalité. C’est à dire qu’un système éducatif où ces ados seraient bien orientés n’est qu’un scénario.
Dans le monde réel, les écarts entre les 2 systèmes existent parce qu’ils dérivent d’une politique voulue (mais aux conséquences non-attendues).
Le 01/10/2020 à 18h 08
Je suis aussi d’accord sur les dégâts de la politique « élitiste » et, il faut le dire, démagogique, qui consiste à envoyer tout le monde ou presque en « Général » (il y a des raisons idéologiques à cette politique mais c’est là aussi HS – et politiquement incorrect ;).
Est-ce que le coût global de ces ados aurait été significativement moindre s’ils avaient été bien orientés ? C’est possible quand on considère le % élevé de redoublements. Mais il faudrait savoir s’ils concernent en majorité le public pour pouvoir nuancer l’écart entre les 2 modèles.
Le 01/10/2020 à 13h 54
Non, par métriques j’entends des mesures quantitatives de la performance/efficacité/etc. Ton exemple représente tout l’opposé d’une telle métrique.
Le 01/10/2020 à 13h 49
Ce sont de bonnes remarques, mais ces personnes mal orientées ne représentent qu’une infime fraction du total (12 millions) et cela ne justifie pas les considérables écarts de financement moyen par tête constatés entre les 2 institutions.
Le 01/10/2020 à 13h 12
Certes, mais cela ne contredit en rien mon point initial, et ce ne sont pas des métriques pour pouvoir comparer. De plus le privé ne peut pas refuser « tous les “cas” » (qui ne représentent d’ailleurs qu’une minorité négligeable en nombre) : le motif de non inscription doit être légalement solide car attaquable en justice.
Sur le HS lui-même, il y a eu quelques études (en France, la Cour des comptes, l’IFrap 2011, 2016 – dans l’Europe, Molinari 2019) sur le sujet des coûts d’éducation qui indiquent que le secteur public est 30-40 % plus cher pour des résultats ~similaires au privé ou que l’efficacité du système français est médiocre. Tous ces résultats recoupent mon point.
Le 01/10/2020 à 12h 10
« Raisonnement » bancal oublieux que la notion de valeur (et de préférence temporelle ajouteraient les économistes de l’école autrichienne) est strictement individuelle : ton temps perdu à jacter des insanités n’est pas mon temps à les constater.
L’observation que les services sont proposés en toujours plus grandes qualité et quantité (les XaaS en ce moment par ex. en IT) se suffit à elle-même pour montrer qu’ils fournissent de la valeur attendue aux yeux des intéressés (sinon ils disparaissent => principe de réalité). Dans un marché, par définition, le système est équilibré entre les agents (sinon il n’existerait pas). Bref fais-toi une piqûre contre les hallucinations et redescends.
Le 01/10/2020 à 11h 38
Service public en général parce que pour faire des comparaisons globales entre pays (ce qui motivait ma réflexion initiale), il n’y a pas le choix. Cependant on peut aussi faire des comparaisons plus fines entre sous-systèmes, par ex. privé versus public dans l’éducation (HS dans ce fil), mais bien sûr les métriques ne sont plus les mêmes.
Le 01/10/2020 à 10h 59
Ce que tu fais quand même (mais passons).
Mon point reste qu’un système qui nécessite 2 fois plus de personnels à performance/qualité identique a un réel souci : toute entreprise avec un tel problème disparaît très rapidement parce que le gaspillage (temps, argent, personne, etc.) n’est pas une politique soutenable. Même l’agent gratuit des autres n’est pas infini.
Le 01/10/2020 à 10h 51
Verbiage nonsensique habituel.
.
.
Pareil. Et avec les intérêts négatifs actuels, on rajeunit.
Le 01/10/2020 à 10h 41
Ce n’est pas un jugement de valeur : les Allemands à population ~similaire ont presque 2 fois moins de serviteurs publics [1] pour une qualité de service globale identique (cf [2] Graph 40 page 58).
En quoi tes exemples contredisent mon point ?
[1] Wikipedia[2] https://ec.europa.eu/social/BlobServlet?docId=19208&langId=sl
Le 30/09/2020 à 20h 05
Par « financement collectif », j’entendais les taxations/impositions pour financer des services publics ventripotents et non motivés à mieux faire (audiovisuel, éducation).
Dans les entreprises, ce problème bien qu’existant est moins pregnant parce cette taille leur permet souvent d’empêcher de nouveaux concurrents d’accéder à leurs marchés (surtout en France avec le crapitalisme de connivence). Mais si les « surcoûts » dépassent les produits, l’entreprise finit par disparaître, mais moins vite qu’une petite comme tu le soulignes.
Je ne suis pas d’accord avec la stance facile des « financiers et tertiaires parasites » : rapidement, la finance (banques de détails ou grandes banques) vend de l’argent sous des formes et des modalités variées tout comme les fabricants vendent des biens tout aussi variés. Les fournisseurs de services qui représentent le « tertiaire » marchand proposent aussi des services variés : comment un hôtelier ou un coiffeur peut-il être assimilé à un parasite alors qu’il créée lui-aussi de la valeur puisqu’il a des clients qui payent pour ses services ?
Cookies et autres traceurs : la nouvelle doctrine de la CNIL
01/10/2020
Le 01/10/2020 à 11h 29
On devrait essayer d’appliquer une telle logique (en limitant l’effet usine à gaz comme ici) pour des choses sérieuses, par exemple le consentement à l’impôt. Nul doute que la protection des fruits du labeur de l’individu et la gestion des deniers publics seraient grandement améliorés…
De nouvelles étiquettes énergétiques arrivent, à quoi faut-il s’attendre ?
28/09/2020
Le 30/09/2020 à 19h 00
Une simple application de l’équation de Stefan-Boltzmann, cf ci-dessus.