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tmtisfree

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7067 commentaires

Le 25/05/2013 à 18h 34







roselan a écrit :



Tu me semble bien frustré président.



On a les politiques que l’ont mérite, et la nature des humains ne peut pas être changée, sauf avec une baguette magique. Mouliner des doigts ne fera pas avancer les choses.



Bref, avoir raison ne changera rien, bienvenue en idiocratie <img data-src=" />



mais je fais pas dans la provoque, nan nan <img data-src=" />





Pas frustré, juste ironique avec une pointe de dégoût pour les mécréants qui ruinent activement le monde et leur suiveurs qui en redemandent comme si le passé n’avait pas suffit. Les présidents c’est bon pour les moutons, et ils ont celui qu’ils ont choisi. Il n’y a pas de mérite à choisir un âne plutôt qu’un autre.



Je ne suis que résident sur une emprise géographique artificielle nommée France et en complet décalage par rapport à la pseudo-réalité qui est servie quotidiennement par les médias aux ordres des politiques. La hauteur ainsi gagnée (et une intense recherche) permet de voir à travers leurs actions fumeuses leur incompétence toute nue.



Le terme “idiocratie” est bien choisi.


Le 25/05/2013 à 17h 25







roselan a écrit :



dette = monnaie. croissance de la dette = inflation.



La situation actuelle n’a pas vraiment changé en 20 ans. Tout est question de confiance (ou d’ignorance diront les cyniques).



je vais pas tartiner, mais les problèmes de la France ne viennent pas de ses économistes…





Plutôt : croissance de la monnaie = inflation.



La situation n’a pas changé parce que la politique n’a pas changé : interventionnisme à gogo, subventionnement aveugle, ‘créationnisme’ monétaire outrancier, ‘régulationnisme’ généralisé, etc. Les milliards d’€ déversés dans l’économie sont impuissants quand les agents de la croissance, càd ceux qui pourraient créer la richesse et les emplois, sont les entrepreneurs que les politiques ont promis d’appauvrir pour se faire élire.



Les économistes en France font seulement illusion : des laquais du pouvoir politique. Ils ne vont quand même pas mordre la main qui les nourris (prestige, pouvoir, pognon : les 3 mamelles de l’économiste ‘mainstream’).


Le 25/05/2013 à 16h 58







cbdm23 a écrit :



Manifestement non, on est juste en récession, la dépression c’est en Grèce actuellement, mais c’est vrai que c’est ce qui nous attend.





Une récession est un ajustement conjoncturel normal et limité dans le temps. Quand cela dure (depuis 2008, 6 ans quand même), c’est que les problèmes sont structurels (distorsions économiques et monétaires permanentes), caractéristiques d’un début de dépression. On va dire alors que la récession (selon la définition officielle) est le début de la dépression actuelle (selon ma définition).







cbdm23 a écrit :



1/, 2/, 3/ et 4/ Tu confonds juste la cause et la conséquence du libéralisme économique, de sa dérégulation et des inégalités massives qui en découle, donnant toujours plus de pouvoir à une minorité (ploutocratique) qui par la suite peut contrôler l’État, directement ou par corruption.

Et donc, la création monétaire aberrante n’est qu’une conséquence de politiques qui essaye de se rattraper aux branches dans un système ou dérégulation et libre-échange ont totalement déséquilibré l’économique. Notamment en empêchant toutes “hausses de salaires” qui auraient pu absorber la production, qui contrairement à ce que tu sous-entends, ne manque pas dans nos sociétés hyper-productiviste.





Où ça du libéralisme économique ? Où cela un système dérégulé ? Quand les prix, les salaires, les taux d’intérêt sont régulés et manipulés, quand les outils de productions sont pilotés à distance par les subventions publiques, quand les gagnants sont choisis par le politique au lieu d’être choisis par le consommateur, quand la valeur de la monnaie est volée par les politiques et leur bras armé bancaire, et quand tous les autres sont écrasés par les normes, les régulations, les réglementations et les législations plus envahissantes les unes que les autres, cela s’appelle et est l’apanage distinct de l’économie centralisée, ce qu’on nomme très justement par le vocable “collectivisme”, càd l’anti-thèse d’un système libre. Tu iras réviser les classiques avant de t’essayer au révisionnisme.



La seule entité clairement dérégulée dans l’économie, c’est l’État.







cbdm23 a écrit :



Manifestement, d’une part, t’as mal lu, j’ai écrit:



D’autre part, tu te contredis, si on était déjà dans la situation de la Grèce, cela voudrait dire que l’illusion se serait envoler. Mais il est vrai que tu penses que “nous y sommes déjà, en dépression”…



La situation de la Grèce à laquelle je faisais référence est sa situation en début de crise, quand le bon peuple était encore socialement drogué aux aides publiques et vivait à crédit sur le dos de ceux qui travaillent, comme nous actuellement en fait. La dure réalité des chiffres est en train de rattraper la clique politique française électoralement dépensière. Pas de contradiction là dedans.







cbdm23 a écrit :



Ne pas vouloir voir les conséquences des politiques mises en place par des thuriféraire de Friedman ou d’Hayek depuis plus de 30 ans et continuer en accusant “un collectivisme de banques centrales” comme si les banquiers étaient devenu des communistes en puissance, je ne sais pas si c’est de la “mauvaise foie” ou plutôt un aveuglement quasi religieux dans le divin marché, mais ça implique que la discussion est impossible entre nous.





Cites-moi donc un économiste influent se réclamant d’Hayek qui a vu ses prescriptions économiques mises en œuvre ou même seulement un politique soutenant publiquement les travaux d’Hayek et qui a conduit une politique en ce sens. … Oui … J’attends … Pas de réponse ? Effectivement cela ne sert à rien de perdre son temps avec des individus malhonnêtes dont les faussaires intellectuels sont la pire espèce.


Le 25/05/2013 à 15h 29







Reznor26 a écrit :



Avoir forcément raison sur tout, quel que soit le sujet, c’est en effet la première qualité d’un présidentiable… ça doit pouvoir le faire.







J’écris les choses comme je les vois. Que j’ai raison ou pas n’a vraiment aucune importance parce que j’estime que les gens doivent se faire une opinion par eux-mêmes à partir de sources diverses, et certainement toujours vérifier ce qui est affirmé.


Le 25/05/2013 à 15h 24







linkin623 a écrit :



Les banques centrales s’appuient sur la théorie quantitative de la monnaie, qui n’est pas trop d’inspiration keynésiennes / néo-keynésienne.



Deuxièmement, c’est facile de tirer sur celui qui injecte de l’argent, au lieu de pointer du doigt ceux qui investissent! Il me semble que les ZIR sont là pour investir dans l’économie réelle, pas pour spéculer sur du flan.



Quoi, c’est pas la fautes aux banques privée et aux financiers? Ils sont pas responsables des prêts qu’ils reçoivent?





Si c’était le cas (“que les banques s’appuient sur la théorie quantitative de la monnaie”), les politiciens et leurs banques centrales aux ordres n’auraient jamais utilisé des QE1/QE2/QE3 ad infinitum (US) ou des LTRO et des OMT là aussi ad infinitum vu les conséquences. En effet, comme l’a indiqué Ludwig von Mises,

changes in purchasing power of money cause prices of different commodities and services to change neither simultaneously nor evenly, and that it is incorrect to maintain that changes in the quantity of money, yield simultaneous and proportional changes in the ‘level’ of prices.



Et Hayek a enfoncé le clou :

Lord Keynes has always appeared to me a kind of new John Law. Law, like Keynes, had been a financial genius who made some real contributions to the theory of money. (Apart from an interesting and original discussion of the factors determining the value of money, Law gave the first satisfactory account of the cumulative growth of acceptability once a commodity was widely used as a medium of exchange.) And, like Law, Keynes could never free himself from the false popular belief that, as Law expressed it, ‘as the additional money will give work to people who were idle and enabled those already working to earn more, the output will increase and industry will prosper’.

It was against the sort of view represented by Law that Richard Cantillon and David Hume began the development of modern monetary theory.



La politique des banques centrales occidentales (à part peut-être l’allemande) est de faire ce que les politiciens leur commandent. Ils ont depuis longtemps renoncé à toute tentative de comprendre quoi que ce soit à l’économie (à juste titre d’ailleurs, l’économie n’a pas besoin d’eux).



Leur seule possibilité est de faire tourner la planche à billets à la demande (c’est à dire à l’infini présentement) en espérant que l’économie réponde dans le sens voulu par les politiques (ce qui n’est jamais arrivé, et on en est là). Les politiques de relance (stimulus) sont typiques des économistes néo-keynésiens (op. cit.) et sont évidemment accueillies à bras ouvert par les politiques, ces derniers ayant comme unique but de caresser l’électorat dans le sens du poil, c’est à dire dépenser, dépenser et encore dépenser (après moi le déluge).



Mais comme vivre à crédit ne dure qu’un temps, le résultat au bout du compte est des dettes souveraines abyssales. Ajouté à cela, les nationalisations déguisées de secteurs économiques entiers ou les politiques de soutien à des industries obsolètes et immatures par la subvention, une économie réelle étouffée par les législations, régulations et autres règlements, et maintenant tout bonnement achevée par l’imposition et la taxation répressives, etc, bienvenue au bord du gouffre collectiviste.



Lire Atlas Shrugged s’impose.



Banques privées ? Où cela ? Les seules banques privées encore dignes de ce qualificatif existent seulement dans les paradis fiscaux. Les banques occidentales ne sont que des banques d’États déguisées en comptoirs commerciaux.


Le 25/05/2013 à 14h 15







cbdm23 a écrit :



Sauf que dans ton magnifique système ultra-libéral à la Hayek, sans les “manipulations” des banques centrales, la pression à la baisse sur les revenus du travail aurait déjà provoqué l’effondrement par une dépression pire qu’en 29.

Et seul l’endettement massif de tous les acteurs du système et la spéculation que permet la dérégulation, donne l’illusion d’un système qui tient debout.

En réalité, nous devrions être dans la situation de la Grèce et ce grâce à ton système économique appliqué depuis plus de trente ans maintenant, où les inégalités et donc la concentration de richesse ne fait que progresser.







Au cas où tu ne l’aurais pas remarqué, nous y sommes déjà, en dépression, et c’est la conséquence prévisible du système actuel centralisé, hyper-régulé et collectiviste où :

1/ les États peuvent dépenser à loisir parce que les règles de bonnes gestion ont été et sont bafouées par ceux qui les ont mis en place (dettes souveraines qui seront remboursées par les générations futures) ;

2/ le monde de la finance, dont l’existence est consubstantielle à celle des banques centrales, peut prospérer et s’engraisser en toute impunité en profitant le premier des largesses monétaires avant ses répercussions réelles mais tardives en bout de chaine (baisse du pouvoir d’achat = vol légal des individus) ;

3/ l’économie réelle est disloquée et les fondamentaux économiques sont parasités par le politique (augmentation drastique du coût de l’énergie en Europe suite à l’hystérie climatique), ce qui entraine la disparition et/ou la fuite des entrepreneurs (baisse de la production, dépression, chômage) ;

4/ les cycles bulles/crahes sont exacerbés parce que les businesses non rentables trouvent facilement des financements quand l’argent ne vaut rien. Sous la pression de l’endettement, les taux seront forcés de remonter, même marginalement, et ces businesses seront les premiers laminés.



De plus l’érosion du pouvoir d’achat par la dépréciation monétaire n’est même pas compensée par les hausses de salaires.



Le réalité est que nous sommes déjà en “endettement massif”, nous sommes déjà “dans le cas de la Grèce” et nous sommes encore “dans l’illusion d’un système qui tient debout” parce que manipulé au gré des fanfarons qui créent de la monnaie sans valeur.



La vrai richesse est crée uniquement par la production de biens et de services, et quand les entreprises disparaissent, tout le monde s’appauvrit. Ce qui fait que ce n’est pas en relançant la consommation de biens qui n’existent pas avec de la monnaie qui perd de sa valeur que l’on s’enrichit.



Alors venir accuser un système ultra-libéral qui n’a jamais existé, que dans les affabulations des collectivistes ou autres keynésiens ineptes, des maux mêmes du système actuel collectivistes de banques centrales et de liquidité permanente et infinie, c’est vraiment de la mauvaise foie caractérisée (ou de l’ignorance crasse).


Le 25/05/2013 à 08h 18



il n’y a en fait que des coups stratégiques plus ou moins risqués.





Techniquement, on appelle cela des investissements. Ces achats ne sont que des paris d’un profit futur.











cyrilleberger a écrit :



J’aime votre optimisme, mais vous avez la mémoire courte. En 2001 aussi, les startups avaient l’air solide, et la croissance internet semblait éternelle. Mais, même cause, même conscéquence, pas de business modèle, pas de revenue, ça finit par péter. Pour l’instant ça tient, principalement parceque les banques centrales injectent des quantités massives de liquidité, qui en retour sont investit dans ces startups, mais quand les banques centrales vànt couper le robinet, les startups qui gagnent pas assez vont commencer à disparaitre, tout comme en 2001.





C’est tout le problème des manipulations monétaires de banques centrales : elles créent des bulles (IT, immobiliers) en injectant des liquidités à ZIR (taux nuls), et quand la manne se tarit, tout le business biberonné (qui n’aurait pas dû exister en premier lieu parce pas rentable avec des taux normaux) est ruiné et la bulle éclate.



Les quelques emplois perdus ici ou là par le jeu des restructuration des entreprises dans un environnement capitaliste normal font pâle figure à côté des destructions massives de capital et d’emplois causées par le contrôle monétaire des banques centrales sur l’économie : les (néo-)keynésiens (Krugman, Stiglitz and co.) et leurs parangons centraux sont les seuls à blâmer.


Le 13/05/2013 à 20h 43







js2082 a écrit :



Beaucoup d’affirmations mais aucun lien.



J’utilise mon cerveau pour bâtir un raisonnement, et à la différence des bénis-oui-oui déficients neuronaux, je n’ai pas besoin d’un support technique externe permanent pour ce faire.







js2082 a écrit :



Le coup de l’environnement plus diversifié qu’avant me fait bien rire. Les nations-unies ne font pas le même constat que toi bizarrement. (ici aussi sur la biodiversité)



Je suis convaincu maintenant : un lien sur “la dégradation des terres et des zones sèches à préserver” et un article de presse d’un sous-canard gauchiste. Vraiment impressionnée, merci.

La biodiversité est le nouveau mème des éco-lunatiques, vu que le précédent est en délabrement avancé et que l’enterrement est imminent. Ce qui est amusant, c’est qu’avec des croyants pareils, le nouveau culte alarmiste ne risque pas de vraiment beaucoup prospérer.







js2082 a écrit :



oulaaa, faut pas tout mélanger hein.

Environnement n’est pas égal à espérance de vie. C’en est l’un des facteurs, mais pas le seul. Faut pas vouloir tout simplifier à l’extrême.



Rien à dire à part détourner mon propos. Tu m’étonnes.







js2082 a écrit :



Prétendre que des études de plusieurs années et des rapports de centaines de pages ne sont qu’une suite de jacassements fallacieux… <img data-src=" />



… on a un WINNEEEEEERR <img data-src=" /><img data-src=" />



Tes jacassements, loser. <img data-src=" />

Concernant le rapport (AR4), la prosternation n’a pas lieu d’être. Il a été cliniquement audité et le résultat n’est pas joli :

The IPCC was established by politicians, its experts are selected by politicians, and its conclusions are negotiated by politicians. A predetermined political agenda has been part of the landscape for the past 20 years. … Of the 18,531 references in the 2007 Climate Bible we found 5,587 - a full 30% - to be non peer-reviewed.









js2082 a écrit :



Donne donc ces fameux liens, je n’attends que ça…

et PAR PITIÉ, pas de liens sur des sites conspirationnistes en tout genre, et des liens sur des études SÉRIEUSES (càd, pas financées par un quelconque lobby ou entreprise)



Sérieuses comme tes liens ci-dessus ? <img data-src=" />



Je t’ai mis un peu plus de 30 papiers, pour faire bonne lecture, avec en queue la moyenne ou la médiane suivant le cas :



Spencer R.W. and Braswell W.D., 2010. On the diagnosis of radiative feedback in the presence of unknown radiative forcing. J. Geophys. Res. [~1 K]

Lindzen R.S. and Choi Y.-S., 2009. On the determination of climate feedbacks from ERBE data. Geophys. Res. Lett., 36. [~1 K]

Lindzen R.S. and Choi Y.-S., 2011. On the observational determination of climate sensitivity and its implications. Asia Pacific J. Atmos. Sci., 47, 377-390. [~1 K]

Spencer R.W. and Braswell W.D. On the misdiagnosis of surface temperature feedbacks from variations in earth’s radiant energy balance. Remote Sens. 2011, 3, 1603-1613. [~1 K]

Schwartz S.E., 2007. Heat capacity, time constant, and sensitivity of Earth’s climate system. Geophys Res. Lett. [1.1-2 K]

Shaviv N., 2008. On climate response to changes in the cosmic-ray flux and radiative budget. J. Geophys. Res. [1-1.7 K]

Paltridge G. et al., 2009. Trends in middle- and upper-level tropospheric humidity from NCEP reanalysis data. Theor. Appl. Climatol. [1 K]

Chylek, P. et al., 2007. Limits on climate sensitivity derived from recent satellite and surface observations. J. Geophys. Res., 112. [1-1.8 K]

Kiehl J.T. and Trenberth K.E., 1997. The Earth’s Radiation Budget. Bull. Am. Meteorol. Soc., 78, 197-208. [0.8-1.2 K]

Wentz F.J. et al., 2007. How much more rain will global warming bring? SciencExpress. 31 May, 1-5. [~1 K]

Lindzen R.S., 2011. Climate v. Climate Alarm. Lecture to the American Chemical Society. Aug. 28. [0.8 K]

Santer B.D. et al., 2003. Contributions of anthropogenic and natural forcing to recent tropopause height changes. Science, 301, 479–483. [~1 K]

Douglass D.H. and Christy J.R., 2009, Limits on CO2 climate forcing from recent temperature data of Earth. Energy & Environment 20:1-2, 177-189. [1.1 K]

Loehle C. and Scafetta N., 2011. Climate change attribution using empirical decomposition of climatic data. Open Atmos. Sci. J. 5, 74-86. [1-1.5 K]

Blasing T.J., 2011. Recent greenhouse-gas concentrations. 2011. [1-1.5 K]

Hansen J. et al., 1984. Climate sensitivity: analysis of feedback mechanisms. Meteorological Monographs, 29, 130-163. [1.4 K]

Douglass D.H. and Knox R.S., 2005. Climate forcing by the volcanic eruption of Mount Pinatubo. Geophys. Res. Lett. 32. [0.67 K]

Forster P.M.F. and Gregory J.M., 2005. The Climate Sensitivity and Its Components Diagnosed from Earth Radiation Budget Data. Journal of Climate, 19, 39-52. [1.3 K]

Soden B.J. et al., 2002. Global Cooling After the Eruption of Mount Pinatubo: A Test of Climate Feedback by Water Vapor. Science, 296, 727-730. [1.5 K calc.]

Chylek P. and Lohman U., 2008. Aerosol radiative forcing and climate sensitivity deduced from the last glacial maximum to Holocene transition. Geophys. Res. Lett. 35. [1.8 K]

Monckton of Brenchley C., 2008. Climate Sensitivity Reconsidered. Physics and Society, 37:3, 6-19. [&lt;1 K]

Gregory J.M et al., 2002. An observationally-based estimate of the climate sensitivity. J. Clim. 15, 3117-3121. [1.5 K calc.]

Ring M.J. et al., 2012. Causes of the Global Warming Observed since the 19th Century. Atmospheric and Climate Sciences, vol. 2 No. 4, 2012, pp. 401-415. [1.6 K].

Knorr G. et al., 2011. A Warm Miocene Climate at Low Atmospheric CO2 levels. Geophys. Res. Lett. [1.15 K]

Lewis N., 2013. Improved methodology for applying optimal ?ngerprint techniques to estimate climate sensitivity, Journal of Climate. [1.6 K]

Asten M.W., 2012. Estimate of climate sensitivity from carbonate microfossils dated near the Eocene-Oligocene global cooling. Clim. Past Discuss., 8, 4923–4939. [0.8-1.5 K]

Gillett N.P., et al., 2012. Improved constraints on 21st-century warming derived using 160 years of temperature observations. Geophysical Research Letters, 39. [1.3-1.8 K]

Aldrin M. et al., 2012. Bayesian estimation of climate sensitivity based on a simple climate model fitted to observations oh hemispheric temperature and global ocean heat content. Environmetrics. [1.6 K]

Padilla L.E. et al., 2011. Probabilistic estimates of transient climate sensitivity subject to uncertainty in forcing and natural variability. Journal of Climate, 24, 5521-5537. [1.6 K]

Troy Masters, 2013. Observational estimate of climate sensitivity from changes in the rate of ocean heat uptake and comparison to CMIP5 models. [1.98 K]

Michaels P.J. et al., 2002. Revised 21st century temperature projections. Climate Research, Vol. 23: 1–9. [1.8 K]

Annan J.D. and Hargreaves J.C., 2009. Reliability of the CMIP3 ensemble, Geophys. Res. Lett., 37, L02703. [1.9 K]

van Hateren, J.H., 2012. A fractal climate response function can simulate global average temperature trends of the modern era and the past millennium. Climate Dynamics. [1.9 K]

Berntsen Terje, 2013. Submitted [1.9 K]



NB : certains papiers notés calc. ne donnent pas explicitement la sensibilité ; elle a donc été calculée à partir des données fournies dans le papier.



Pour te résumer :

1/ des modèles informatiques paramétrés de manière ad hoc par la clique de numérologues du GIEC pour obtenir une sensibilité climatique entre 2 et 4.5 K pour AR4/AR5 avec une médiane de 3.2 K ;

2/ une sensibilité climatique entre 0.8 et 1.9 K avec une médiane de 1.6 K pour les données du monde réel.



J’aurais aussi du mentionner :

Idso, S.B., 1998. CO2-induced global warming: a skeptic’s view of potential climate change. Clim. Res. 10, 69-82. [0.4 K]

qui détermine de 8 manières empiriques différentes une sensibilité climatique de 0.4 K.



Tu concluras toi-même (si tu en es capable (j’en doute)) mais n’attend pas d’autres réponses de ma part : les données physiques parlent d’elles-mêmes.







js2082 a écrit :



Tu confirmes ce que je disais, beaucoup d’affirmations mais aucune argumentation. Je te retourne donc tes propres mots:



Répéter bêtement est le propre des cerveaux d’enfants. Les clowns hydrocéphales dans ton genre n’ont pas de profondeur en plus d’être congénitalement affectés par la malhonnêteté intellectuelle. Mais que valent l’intégrité, la culture, la décence et la raison quand la norme post-moderne du bien est le compassionnel éthique médiatiquement étalé, la sensiblerie lacrymale de la fourberie, l’émotionnel débridé, le consensuel apocalyptique et l’hygiénisme dogmatique de la pensée unique.


Le 13/05/2013 à 18h 45







Obelixator a écrit :



Mais quand tu as d’un coté le gouvernement chinois qui subventionne son industrie de panneaux solaires pour qu’ils inondent le reste du globe de par le biais de concurrence induit, et la dévalorisation artificielle du produit qui en découle, qu’y a-t-il de mal à rétablir tout ou partie de leur valeur (réelle, intrinsèque) par une taxe ? <img data-src=" />





Qui cela dérange, à part les chinois que te subventionnent en se ruinant donc à petit feu, de payer moins cher quelque chose ?



Le marché était de toute manière déjà localement faussé par le fait que les coûts de production des industriels locaux (UE ou US) étaient artificiellement abaissés d’un côté par des subventions et des lignes de crédits à ZIR, et de l’autre par des crédits d’impôts, des tarifs de rachat dément ou autres cadeaux à ceux qui les achetaient. Les chinois n’ont fait qu’imiter à grande échelle. Le résultat, prévisible, est que maintenant que la manne financière est tarie, la bulle artificiellement sous perfusion publique s’écroule (voir toutes boîtes US, allemandes et chinoises qui ont déjà disparu et qui disparaissent tous les mois).



Ce n’est pas moi qui vais me plaindre de l’arrêt de la gabegie.


Le 13/05/2013 à 16h 34







js2082 a écrit :



Je suis curieux de voir ça. Un petit lien peut-être?



L’environnement est beaucoup plus propre et moins pollué qu’avant (voir n’importe quelle photo de l’état des villes, des campagnes ou des quartiers industriels du début du siècle dernier), merci au goudron, au béton et à l’innovation technique. L’environnement est beaucoup plus sain qu’avant, merci aux vaccins et à l’éradication de la plupart des maladies infectieuses endémiques. L’environnement est beaucoup plus diversifié qu’avant, merci aux étangs, lacs, retenues d’eau, plantations et cultures, etc créés et entretenus par l’homme.

Ce qui fait que l’environnement ayant été essentiellement dompté par l’homme moderne pour améliorer son sort (cf espérance de vie ou IDH), celui-ci a pu en retour s’occuper de son lieu de vie. Il n’y a aucune raison pour les pays en voie de développement n’y parviennent pas aussi à terme.







js2082 a écrit :



Les climatosceptiques ont souvent le même discours: face à des faits concrets, mesurables et vérifiables, ils étalent toujours le “c’est une opinion”, sans jamais apporter un quelconque argument concret ni vérifiable. Ils jouent souvent avec les études dont ils ne comprennent pas le sens ni la portée, et se croient toujours supérieur aux centaines ou milliers de scientifiques qui étudient ces problématiques depuis des lustres.



Les chantres de la pensée unique à l’eau bénite du consensus sont de sortie et comme à l’accoutumée, l’attaque sophistique est de rigueur : eh bouffon, une suite de jacassements fallacieux n’a jamais fait une argumentation.







js2082 a écrit :



Après tout, une affirmation péremptoire a plus de valeur qu’une étude d’une centaine de page, n’est-ce pas? Cette pratique me rappelle fortement les adeptes du créationnisme… <img data-src=" />



Toute conjecture, hypothèse, théorie et tous les rapports du monde ne valent que par leur pertinence vis à vis de la réalité physique. Dans le cas présent, la réalité physique et les données empiriques démontrent l’exagération patente de l’éco-catastrophisme de la tartufferie climatique. Je pourrais te lister une trentaine de papiers qui donnent une sensibilité climatique entre 0.8 et 1.9 K soit bien inférieur aux conclusions ad hoc des numérologues du GIEC, mais tu sembles déjà trop atteint pour penser rationnellement.







js2082 a écrit :



P.S: Contrairement à ce que l’on affirme, actuellement la Chine se pose de plus en plus de question quant aux problèmes environnementaux, à tel point qu’elle va investir plus de 12 milliards d’euros sur 3 ans juste pour lutter contre la pollution de sa capitale.

Les mauvais élèves ne sont pas forcément ceux que l’on croit.



Tant mieux pour eux et cf mon 1er point. Faire l’amalgame entre la pollution réelle et le climat est typique des faussaires intellectuels adeptes du scientisme climatique.



PS : ce commentaire est entièrement constitué d’électrons recyclés du Big-Bang original et n’influe pas sur le climat.


Le 13/05/2013 à 12h 18







Cypus34 a écrit :



Cela signifie que les images de déforestation en Amazonie, de mer de plastique et d’assèchement des lacs ne sont pas dramatiques ?





1/ Si couper du bois peut améliorer le sort des paysans qui y vivent, pourquoi pas. Le mythe du poumon de la planète est un peu surfait et dépassé même si le faux problème de la biodiversité fait un come-back chez les éco-Morlocks.

2/ La mer de plastique a été quelque peu beaucoup exagéré (comme d’habitude).

3/ “assèchement des lacs” : déjà commenté plus haut.







Cypus34 a écrit :



Réchauffement climatique ou non, l’impact de l’homme sur son environnement est quand même extrèmement négatif !





C’est ton opinion : le contraire est aisément démontrable.



Cela dit, il existe des points noirs, mais rien qui ne soit irréversible. Quand des politiques (càd à l’opposé de celles conduites actuellement) amenant à la responsabilisation des gens qui vivent de leur environnement seront prises, les améliorations arriveront par la force de chose, mais certainement pas avant que les gens aient d’abord vu leur condition s’élever au dessus de leur misère actuelle.


Le 13/05/2013 à 10h 46







knos a écrit :



Sauf que certain pays suive les règles d’autre pas. La chine et les Etat unie font énormément de protectionnisme et je pense que les amendes de L’OMS ils s’en cognent. Mare que l’europe soit le bon consommateur du reste du monde.





Ce faisant, ces pays ne font que gaspiller leurs ressources : leurs consommateurs payent plus cher ce qu’ils auraient pu obtenir moins cher ailleurs : la richesse de ces pays diminue relativement à la nôtre.



De plus les projets de protectionnisme européen contre les importations de panneaux solaires chinois avec une taxe de 40 à 70 % ne me semble pas vraiment “suive les règles”.


Le 13/05/2013 à 10h 36

Nous avons une belle brochette d’alarmistes climatiques de passage. Toutes les justifications du scientisme en vogue vont être bonnes à éructer.

Le 13/05/2013 à 10h 31







knos a écrit :



Non mais peut être faire un minimum de protectionnisme au moins pour jouer à jeu égal.





Il y a 2 moyens de “faire un minimum de protectionnisme” :

1/ soit tu subventionnes, càd tu mutualises le coût de la “protection” sur les non-consommateurs au profit d’un nombre restreint de consommateurs, ce qui n’est pas vraiment équitable ; ce faisant, tu abaisses artificiellement les couts locaux mais tu augmentes relativement les couts des industries éloignées (dumping) avec toutes les conséquences économiques, sociales et évidemment écologiques que cela implique (voir par ex. l’enfer toxique autour des bassins miniers chinois exploitant les métaux rares pour produire la lubie de l’éolien occidental) ;



1/ soit tu places des barrières économiques sous formes de taxes à l’import qui sont généralement suivies de mesures de rétorsion, de plaintes à l’OMC et de pénalités (qui sont payées par tous), ce qui augmente artificiellement les prix des importations pour les consommateurs ; les conséquences sont exactement les mêmes que 1/.



Dans tous les cas, les problèmes ne sont aucunement réglés (seulement repoussés et aggravés) car tu n’as fait qu’une seule chose : distordre et supprimer le signal constitué par les prix et qui reflète la véritable situation de l’offre et de la demande. Ce n’est qu’avec son aide qu’il est possible de savoir comment des ressources limitées peuvent être utilisées de façon à assurer leur emploi optimal. Toutes les autres manières conduisent au gaspillage et à choisir certains gagnants pendant que tous les autres perdent.


Le 13/05/2013 à 10h 09







Deep_INpact a écrit :



L’avantage de ce service Google, c’est de faire ouvrir les yeux aux citoyens…





Dans le cas de la mer d’Aral, le résultat de la planification centralisée soviétique est effectivement assez confondant.


Le 13/05/2013 à 08h 56







knos a écrit :



Ah oui merci. C’est plus pratique <img data-src=" />





Cela fonctionne aussi avec les flèches gauche-droite.


Le 13/05/2013 à 08h 56

La retraite quasi-totale de ce glacier en Alaska est assez étonnante, parce que les plus petits glaciers tout autour n’ont pas beaucoup bougé. Il y a une explication là (PDF) :



Tidewater calving glaciers (TWGs)—mountain glaciers whose termini reach the sea and are generally grounded on the sea-floor—also fall into the category of non- representative glaciers because the regional-scale asynchronous behavior of these glaciers clouds their complex relationship with climate. TWGs span the globe; they can be found both fringing ice sheets and in high-latitude regions of each hemisphere. TWGs are known to exhibit cyclic behavior, characterized by slow advance and rapid, unstable retreat, largely independent of short-term climate forcing.

Le 13/05/2013 à 11h 51







Myaboki a écrit :



“Plus bizarre, juillet 97 : Louis Roncin, brillant ingénieur et Président du Syndicat National de la Télématique, reproche àLionel Jospin, Premier ministre, d’avoir incité France Telecom à engager la transition du Minitel vers l’Internet. Dans le Minitel, tout est parfait, sauf le terminal, un peu dépassé, disait en substance M. Roncin. Mais surtout, il ajoutait (je le répète , en 1997) : « Internet s’adresse à ceux qui aiment la lecture, les introvertis, alors que les extravertis, comme lessportifs qui aiment les contacts, ne passent pas dix heures devant un écran. » Fin de citation.”





Il n’était que le suiveur d’une lignée presciente :



Les limites d’internet démontrent ainsi qu’il ne saurait, dans le long terme, constituer à lui tout seul, le réseau d’autoroutes mondial. … L’ADSL n’offre pas de perspectives d’évolution.




  • Gérard Théry, père du Minitel, rapport 1994 sur les autoroutes de l’information


Le 10/05/2013 à 14h 34







donjeuw a écrit :



OCZ, à moins qu’il sorte une révolution autant en fiabilité qu’en perfs dans le secteur des SSD, c’est fini pour moi!





Ils l’ont déjà fait : en PCIe, j’en ai 2 (Revodrive X2 et Revodrive3 X2 de 240 Go) qui dépotent 24h/24 depuis 2 ans et demi.


Le 07/05/2013 à 11h 26







Lyon-St-Clair a écrit :



Lent ? <img data-src=" /> Il est plus rapide que l’ancien sur le Xperia X8 de mon père … Sur tous les devices qui sont chez moi en fait (Nexus 4 et Acer A510) !





Je ne l’ai testé qu’une fois au premier chargement (ceci expliquant peut-être cela ?).


Le 06/05/2013 à 18h 03







tAran a écrit :



Vu que je suis sur une rom AOSP, j’avais installé l’APK, et après test désinstallé la mise à jour (du coup regarde dans Applications –&gt; Google Play si tu peux désinstaller la mise à jour, sinon faut recharger l’APK <img data-src=" /> )





Merci pour la manipulation de désinstallation, le nouveau était vraiment moche et lent.


Le 06/05/2013 à 16h 31







Zorak Zoran a écrit :



Je ne suis pas un lecteur régulier, j’ai gentiment mis NSPP, mais bon ayant suivi quand même de prêt la situation au moment de la fermeture d’INV, je dois dire que sans vouloir être méchant, vous avez vraiment la vue basse. Vous vous êtes déjà pris une tarte copieuse en travers de la face, et à peine en situation de retour aux bénefs, et sans avoir sécurisé de quelque manière que ce soit vos revenus, vous avez embauché à tour de bras.



C’est un peu inconscient… Des intérims ou des CDD ce n’est pas sale, surtout quand les revenus peuvent fluctuer fortement du jour au lendemain. Enfin bref, bon courage quand même, mais honnêtement ça vous pendait au nez. Facile à dire a posteriori vous me rétorquerez, sauf que vous êtes déjà passés par là, et que la leçon n’a pas suffi…



Ceux qui ne retiennent pas l’histoire finissent immanquablement par en répéter les erreurs comme dirait l’autre.





C’est à peu près ce que j’ai écrit un peu plus haut.



Tout le monde n’est pas fait pour gérer, et dans ce cas il vaut mieux passer la barre plutôt que de naviguer à vue par gros temps.


Le 06/05/2013 à 16h 24







RaYz a écrit :



Même réponse.





Sur le critère de liberté pure, ma préférence va à Hong Kong. Mais tout bien considéré, l’Australie est bien plus accueillante (et vaste). J’aime bien aussi Lugano.


Le 06/05/2013 à 15h 31







RaYz a écrit :



Arrête ton char. J’ai tapé “quel pays est considéré comme plus “libre” par tmtisfree” mais ça m’a rien donné de concluant.





Même réponse. C’est l’ordre qui t’intéresse ?


Le 06/05/2013 à 15h 28







brazomyna a écrit :



sauf que la tu ne parles plus de l’analyse de l’existant mais de possibles réformes ; je ne parlais que de l’analyse de l’existant via des indicateurs qui ne sont pas un ‘tout’ en soi.



La bascule des exonérations de charges vers le budget SS est aussi une réforme (qui a été en partie réalisée avec le sabordage de TEPA et de la fiscalisation des HS. Curieusement les salariés ont perdu 10% de leur salaire et personne n’a bronché) : l’existant est donc bien l’indicateur de déficit que tout le monde utilise.


Le 06/05/2013 à 15h 12







RaYz a écrit :



Comme ?





Singapour, Hong Kong, la Suisse, le Chili, le Canada, l’Australie, la Nouvelle-Zélande, etc. Tu ne sais pas te servir de Google ?


Le 06/05/2013 à 14h 36







RaYz a écrit :



Bah tu critiques le système actuel, mais qui selon toi peut changer ça ? Qu’es qu’il faut faire en tant que citoyen ?

Et autre question pourquoi tu restes dans un Etat comme celui là ? Parce que y’a pas mieux ailleurs ?





Je ne fais pas que de le critiquer, je le sabote aussi de l’intérieur (en tant qu’individu libre, pas “citoyen” car on ne peut être le sujet de personne sur un artifice géographique).

Il y a plus libre ailleurs, c’est certain, mais les raisons qui font que je suis encore là sont peu nombreuses et (relativement) personnelles. Cela ne veut pas dire que certaines choses n’ont pas été anticipées.


Le 06/05/2013 à 14h 12







RaYz a écrit :



Non mais peut importe la citation si tu veux. Prend la question indépendamment dans ce cas.





La réponse n’a pas changé.


Le 06/05/2013 à 14h 10







brazomyna a écrit :



Bref, tout ça pour dire que ton affirmation du départ (“c’est déficitaire, cayUneEvidence”) a largement de quoi être pondérée.



On peut pondérer. On pourrait aussi affiner en retirant tous les impôts sociaux payés par tous alors que seuls les salariés, les CMU et autres RSA bénéficient des prestations SS. Et supprimer le racket des cotisations transférées entre branches professionnelles excédentaires et déficitaires. Au fond, la pondération idéale, cela serait que chacun soit responsable, pondère ses dépenses comme il le souhaite suivant ses besoins et que la solidarité redevienne un sentiment humain partagé plutôt qu’une coercition collective.







brazomyna a écrit :



C’te caricature: j’ai vécu en Alsace et j’habite actuellement en Moselle ; il y a une proportion d’idiots dans les villages passablement reculés (comme il y a sûrement une proportion de racistes anti noir en Lozère dans les hameaux de 50 habitants alors qu’ils n’en croisent pas un par an), mais dès que tu approches les villes un peu plus grande, la proportion est quasi négligeable.



Tu auras donc deviné où j’habitais …


Le 06/05/2013 à 13h 53







RaYz a écrit :



Hein ? Qu’es que t’as pas compris ? <img data-src=" />





J’ai bien compris la question. J’ai simplement dit qu’elle n’avait pas de sens. Relis le commentaire auquel tu as répondu et cogite un peu.


Le 06/05/2013 à 13h 37







RaYz a écrit :



Faut voter pour qui en fait ?





La question n’a pas de sens.


Le 06/05/2013 à 12h 39







raoudoudou a écrit :



Tu te fourvoies lourdement.



La gauche a commencé cette redistribution pour équilibrer des comptes.

La droite s’en est servi comme prétexte pour dire “pas rentable, faut sucrer des remboursements”



La finalité de l’un était bien la redistribution

La finalité de l’autre était bien de sucrer des remboursements, parce que hein, merde, les soins, c’est pas pour les pauvres. Les pauvres, ça crève la gueule ouverte!



<img data-src=" />



<img data-src=" />





Les apprentis sorciers autoproclamés sauveurs de la nation passent donc leur temps à gauchement ruiner l’économie pour tenter de boucher les trous de la casserole sociale percée de toute part, puis ensuite de maladroitement rétablir les positions d’origine en bricolant les flux financiers par la création d’usines à gaz bureaucratiques que les soviets n’auraient pas reniés, tout cela parce qu’on pense stupidement que le décile statistique de pauvres qui, par définition existera toujours, n’est pas assez intelligent pour avoir des objectifs et satisfaire ses besoins et que ceux qui y parviennent sont des privilégiés qu’il faut donc sanctionner.



Il n’y a que des fous pour élire d’autres fous et s’en vanter.


Le 06/05/2013 à 11h 48







raoudoudou a écrit :



Ton commentaire est complètement hors-sujet.



Ce n’est pas la redistribution qui pose problème, c’est de s’en servir comme prétexte pour autre chose. Toi y en a comprendre? Redistribution, normal. Prétexte, pas bieeeeennnn….





Se servir d’une redistribution comme prétexte pour autre chose, c’est la finalité même de la redistribution, c’est une explication circulaire, une évidence, un truisme, une tautologie, etc.


Le 06/05/2013 à 11h 45







ActionFighter a écrit :



<img data-src=" />



Décidément, je laisse tomber, tu es irrattrapable….





C’est ta meilleure option.


Le 06/05/2013 à 11h 44







brazomyna a écrit :



Tout dépend ce que tu prends en compte.

Les exonérations de charge en 2010 représentaient 30 milliards de manque à gagner, à mettre en relation avec les 24 milliards de déficit de la sécu la même année.





La pratique des vases communiquant ne date pas d’hier et ton article dit que la Cours de Compte juge que la mesure est bénéfique en terme d’emploi et donc de rentrée financière sociale.







brazomyna a écrit :



A noter également que la sécu d’alsace moselle est excédentaire malgré un meilleur taux de remboursement.





C’est vrai, mais quand j’y habitais on n’oubliais quand même pas de me rappeler que je faisais partie des “gens de l’intérieur” !


Le 06/05/2013 à 11h 31







raoudoudou a écrit :



Je critique la redistribution ou la manipulation des comptes qui consiste à faire croire que les comptes sont dans le rouge pour dérembourser des médocs et faire de la casse sociale?



Mon commentaire est donc approprié :

Un collectiviste qui se plaint de la redistribution étatique, c’est rare.



Et ces politiciens si indispensables qu’ils sont réélu à chaque fois, créent donc des crises de toute pièce et les font perdurer dans quel(s) but(s) exactement ? Dis-nous-en plus sur cette conspiration électoraliste.


Le 06/05/2013 à 11h 26







ActionFighter a écrit :



Mon premier commentaire était une boutade sur le fait que parle de licenciement au vu de ton positionnement idéologique, mais n’avait rien de méchant.





Tu es le seul à faire un rapport entre une nécessité de la réalité économique (qui s’impose à tous), et mon soit-disant “positionnement idéologique” que Dieu (s’il existe) doit méconnaître parce je ne l’ai pas défini moi-même. C’est grotesquement ridicule.


Le 06/05/2013 à 11h 21







raoudoudou a écrit :



Bah le jour où ils arrêteront de dire “Je quitte la France” pour y rester parce qu’il y a trop d’avantages à y rester, on pourra arrêter d’en rigoler…



Le jour où tu arrêteras de prendre tes hallucinations pour la réalité, on pourra discuter.







raoudoudou a écrit :



Oser comparer la SS (qui est rentable, au passage) et Ponzi, fallait oser <img data-src=" />



Si elle est si rentable, ceux qui ont été élu et ses administrateurs sont donc tous des menteurs et des détourneurs de fonds : je n’ai jamais écris autre chose.



Mais le fait est qu’elle est en déficit chronique et que c’est un Ponzi.







raoudoudou a écrit :



C’est tellement rentable que les différents gouvernements chipent les bénéfices pour les mettre sur d’autres postes de dépenses, et mieux faire passer la pillule quand il s’agit de dérembourser un médoc, en disant que les comptes sont dans le rouge… <img data-src=" />





Un collectiviste qui se plaint de la redistribution étatique, c’est rare.



La Cours des Comptes (qui n’a que cela à faire) n’y a pourtant vu que du feu. Pour être un peu plus crédible, tu aurais pu ajouter que la SS est aussi financée par une redistribution forcée d’une partie des cotisations des propres caisses des non salariés (sans compter l’escroquerie des charges patronales/salariales).


Le 06/05/2013 à 10h 40







raoudoudou a écrit :



Ouais enfin les mecs qui disent ça, ils sont bien contents d’avoir les études gratuites et la sécu qui remboursent le traitement de leur cancer à 60 ans… <img data-src=" />





L’individu qui l’affirme a fait l’essentiel de ses études dans le privé et a travaillé gratuitement dans la recherche publique.

L’individu qui l’affirme a demandé à la Sécurité Sociale de ne plus faire partie de son système de Ponzi : la SS a refusé.



Te voir vomir tes salades moisies et rabâchées à chaque fois sur ce thème est assez comique.


Le 06/05/2013 à 09h 58







ActionFighter a écrit :



Je n’ai pas jugé de la qualité de ton commentaire, qui plus est, n’est pas inintéressant.



Pourquoi es-tu si méchant? <img data-src=" />





J’ai donné ma position à partir des propositions de PCI, licenciement inclus, parce que si les finances sont rapidement dans le rouge, la manière la plus rapide pour en sortir est de couper les branches, la mise en place d’un modèle économique étant moins rapide (vu que PCI cherche encore le sien).



Donc je donne mon avis (et en ajoutant en plus une idée personnelle pour augmenter les revenus) mais tout ce qui t’intéresse est de troller comme un amateur en te sentant obligé de commenter par une fausse ironie tout en feignant l’étonnement.



Je vais te la refaire en mode politiquement incorrect (non collectiviste) que tu pourras troller à ta guise : licencier est une possibilité d’ajustement économique tout à fait normale, raisonnable, souhaitable et même honorable parce que le personnel est un facteur des production, une charge économique ajustable parmi d’autres selon les décisions de celui qui gère son capital (entreprise) comme il l’entend.



Si le coût salarial était vraiment représentatif du travail effectué, c’est à dire s’il n’était pas surévalué par des seuils décidés administrativement, et si le coté assurance/solidarité était laissé au libre choix de chacun plutôt que d’être ponctionné au 13 par la force et la violence sur le salaire, alors peut-être le capital humain deviendrait autre chose qu’un curseur rapide sur le business plan de l’entrepreneur.


Le 06/05/2013 à 08h 35







ActionFighter a écrit :



Ben tient, le contraire m’aurait étonné <img data-src=" />



Que tu n’ai pas lu (ou compris) mon commentaire en entier ne l’est pas moins. <img data-src=" />


Le 06/05/2013 à 07h 22

J’ai toujours trouvé étrange la gestion du personnel chez PCI. Même s’il est difficile de se prononcer parce qu’on ne sait pas qui fait quoi et pour combien, la séquence dégradation-licenciement-amélioration-embauche est quand même assez récurrente chez vous.



Votre modèle économique n’ayant pas encore trouvé sa stabilité, j’ai toujours trouvé prématurées toutes les annonces d’embauches qui sont survenues après 2009 (si je me rappelle correctement). Quand les revenus dépendent en grande partie de facteurs maîtrisés par d’autres (pub., Google), augmenter les charges fixes (et a fortiori celle du personnel) n’est pas vraiment une bonne idée.



Donc, vu d’ici, une solution serait un mix entre licenciement (doublon, faible productivité, etc) pour assurer ses arrières et faire baisser instantanément ses charges (même si couteux), et un modèle économique un peu plus pérenne. Dans ce genre d’idée, pourquoi ne proposeriez-vous pas certains de vos articles à d’autres médias qui n’ont pas la même cible. Je pense par ex. au suivi des traitements juridiques (Hadopi, copie privée, etc) qui sont pointus et qui pourraient intéresser un autre type de lectorat et tout en existant dans la durée.

Le 06/05/2013 à 10h 28







gavroche69 a écrit :



Tu reconnais donc que je suis de bonne foi…





Tu as du mal à maitriser les tournures en français un peu élaborées (trop de négatif peut-être ?) en dépit de mes efforts didactiques, pourtant certains indices n’auraient pas dû t’échapper (quand on a toutes ses facultés s’entend).



Si ta mauvaise foi (que je démontre par ailleurs) ne t’étouffe pas, c’est que tu as appris à vivre avec, c’est une maintenant buit-in feature et une des portes de sortie faciles et facilement prévisibles de ceux qui n’ont plus d’arguments valables à émettre. Cela permet pour ses aficionados de casser le fil de discussion et de sauver les apparences, tout en évitant la détresse cérébrale apparemment insurmontable quand le dogme collectiviste est remis en cause au détour d’un raisonnement cartésien.



C’est transparent et minable.


Le 05/05/2013 à 16h 19







gavroche69 a écrit :



Et ben il t’en faut des mots pour finalement arriver à dire la même chose que moi, t’es pas une championne de la concision, c’est le moins que l’on puisse dire… <img data-src=" />



Ce n’est pas la mauvaise foi qui t’étouffe : quand je fais concis et que tu ne comprends pas ou de travers, il faut développer ; et quand je fais l’explication élémentaire, on reproche le manque de concision. <img data-src=" />



Je passe sur le restant du verbiage factuellement incorrect qui ne présente que l’intérêt relativement amusant d’enfoncer un peu plus son auteur dans son inaptitude à avoir une conversation rationnelle (sans parler de la façon minable et infantile d’essayer d’avoir le dernier mot en ne faisant pas référence à mon commentaire). <img data-src=" />


Le 05/05/2013 à 14h 53







Joto a écrit :



Et pour toi, elles l’ont été des vraies sciences, et maintenant elles prennent un virage qui les discriminent des sciences ?





On peut clairement différencier les sciences sociales des sciences plus ‘dures’. A la différence des dernières, les premières ont toujours eu des difficultés à l’expérimentation et à l’interprétation du fait qu’il est difficile de ‘désintriquer’ les systèmes complexes (cerveau, groupe, économie, etc).



La climatologie mainstream est en train de basculer vers ce type de ‘recherche’ où les ‘expérimentations’ ne sont plus que des runs issus de modèles informatiques (comme s’il existait plusieurs réalités physiques) regroupés en ensemble pour tenter de retrouver le saint graal de la Tmoy parce que, nous justifie-t-on candidement, le système climatique est complexe et que la seule mesure pertinente du système est la T globale.



Certes, la mathématique pour étudier les systèmes spatio-temporellement chaotiques est balbutiante, mais cela ne justifie pas d’approximer des PDE non-linéaires comme des gorets (sans possibilité de vérifier parce que les solutions ne sont pas connues) et par des subterfuges de paramétrage adhoc pour obtenir la ‘bonne réponse’.



Bref, tout cela pour dire que la climatologie actuelle n’est que l’ombre d’elle-même, politisée à outrance (par les éco-Morlocks) de la même manière que peuvent l’être la quasi-totalité des sciences humaines mainstream (socio-, psycho-, économie, etc). C’est à croire que ces disciplines ne sont plus qu’un levier d’ingénierie sociétale au service d’autoproclamés bien-pensants.



Salutairement, il existe encore des îlots de résistance où la Science n’est pas dévoyée.


Le 05/05/2013 à 13h 22







Joto a écrit :



Intéressant. En quoi les disciplines citées te dérangent, en particulier la climatologie ?





Elles ne me dérangent pas. Elles n’ont simplement qu’un intérêt marginal dans l’ordre des choses et, le temps passant, ressemblent de plus en plus à des pseudo-sciences, cartomancie et numérologie respectivement.


Le 05/05/2013 à 11h 32







Konrad a écrit :



En sémantique justement, dire qu’une théorie est morte cela s’appelle une personnification. Cette figure de style peut être utile pour vulgariser, pour faire passer une idée, mais quand on fait des sciences, dans une publication, dans un congrès, ou dans une discussion sérieuse, on ne l’utilise pas. J’imagine mal ce terme utilisé dans une publication ou un livre, ou un chercheur affirmant dans un congrès devant ses pairs : «la physique classique est morte».





Cela tombe bien, cet espace de conversation n’est rien de tout cela et je ne suis pas chercheur en Physique. <img data-src=" />

Tu l’aura bien compris : la “mort” n’est que métaphorique.


Le 05/05/2013 à 10h 18







Konrad a écrit :



Tu sais le pire ? C’est que sur le fond on est sans doute 100% d’accord, mais comme tu t’entêtes à utiliser le mot «mort» on ne trouvera jamais de terrain d’entente.





Bien sûr qu’on est d’accord sur tout. La sémantique n’est simplement pas une science exacte.


Le 05/05/2013 à 10h 02







Konrad a écrit :



Ben c’est simple : les théories unifiées ont pour vocation de supplanter la physique que, donc la physique quantique est morte. D’ailleurs le paradigme de la physique quantique n’a pas changé depuis le milieu du XXe siècle, c’est donc bien une théorie morte aujourd’hui… <img data-src=" />





Ah et bien voilà !


Le 05/05/2013 à 10h 00







Skeeder a écrit :



Si tu coupes mes phrases, oui, elles peuvent devenir complètement fausses.<img data-src=" />





Je pensais en avoir tiré la substantifique moelle mais le § complet est toujours faux. <img data-src=" />