votre avatar

tmtisfree

est avec nous depuis le 19 avril 2006 ❤️

7067 commentaires

Le 11/02/2014 à 18h 48







kinos a écrit :



A vrai dire, je n’ai absolument rien chercher du tout.



On avait remarqué.







kinos a écrit :



Simplement parce que l’anarchisme et le capitalisme sont antinomiques. Les courants anarchiques rejettent fondamentalement la notion de propriété individuelle (et de productions) alors que le capitalisme est basé dessus. Effectivement, les anarchistes sont absolument contre ce système et ne veulent absolument pas être associés à ce type de système.



Tes croyances sont fausses ou tes connaissances limitées. Fais-toi une raison : d’autres ont montré que des sociétés anarcho-capitalistes ont déjà existé (voir les liens données plus haut). Il y a aussi un Que-sais-je sur le sujet. A moins d’être un négationniste et un révisionniste pur jus, bien sûr. Voir aussi cette vidéo pour une présentation plus rapide.


Le 11/02/2014 à 18h 27







gavroche69 a écrit :



Sauf que je ne suis pas un “collectiviste” et je suis farouchement pour que l’individu puisse exister parmi la masse car j’estime que seul l’individu a de la valeur, la “masse” n’en a aucune…



La différence fondamentale avec les ultra-libéraux c’est que je suis pour que tous les individus puissent exister et pas seulement une pseudo-élite auto-proclamée.



Toujours la fameuse théorie du “y’a pas d’alternative, c’est nous ou la fin”, ça devient un peu éculé comme argumentaire…





1/ Je te conseille alors, libéral qui s’ignore, de substituer tes a priori calamiteux à un savoir un peu plus objectif et parfaire tes connaissances avant de réciter les fables collectivistes comme un mouton : ton discours en sera un peu plus cohérent et nous ne perdrons plus de temps à ferrailler puisque, fondamentalement, tu es aussi humaniste et individualiste que moi.

2/ Il est ironique que tu ne voies pas les “pseudo-élite(s) (politiques) auto-proclamée(s)” qui tente de régenter à Paris, à Bruxelles et à New-York et te focalises bizarrement sur les marionnettes données en pâture par ces dernières pour satisfaire le naïf quidam télévisuellement décérébré.

3/ Il y a toujours une alternative : tu as la liberté de faire ce que bon te semble (dans la limite du respect de celle des autres) parce que c’est ce que te garantissent tes droits.


Le 11/02/2014 à 17h 42







gavroche69 a écrit :



Monsieur Ludwig von Mises nous dit donc :Ce qui est curieux c’est que bien des artistes dans différents domaines sont morts dans la misère ou presque et que c’est ensuite seulement que des financiers qui eux n’ont rien créé du tout ont su exploiter l’oeuvre de ces gens jusqu’à en devenir très riches…



Ce faisant ils n’ont fait que perpétuer la tradition des gens de leur espèce, à savoir s’enrichir avec le travail et la créativité des autres ce qui est une des caractéristiques premières des ultra-libéraux… <img data-src=" />



Très mauvais exemple donc que ce Ludwig von Mises, un enfoiré d’ultra-libéral de plus… <img data-src=" />





1/ Il y a un junkie qui, le plus légalement du monde, dévalue qualitativement les œuvres de ces inconnus en les renchérissant de telle manière que seul lui-même, et éventuellement ses dealers financiers, puisse en profiter. Ses complices viennent essayer de le défendre par des arguties aussi pitoyables que non fondées.

2/ J’ai la même définition pour les collectivistes. As-tu révisé tes prémisses (les droits en particulier) ?

3/ No comment.


Le 11/02/2014 à 17h 26







XalG a écrit :



Bah donne moi un exemple histoire d’être plus efficace dans mes recherches.



Je vois très bien l’intérêt qu’apporte une politique libérale, mais pour certains domaines ça reste quelque chose de trop anarchique, qui va avoir tendance à laisser les plus faibles dans la merde en leur disant qu’ils ont qu’à se bouger le cul alors qu’ils sont cul-de-jatte…





1/ J’en ai cité à #135 mais il vaudrait mieux commencer par les bases (voir 2/).

2/ Si tu veux une introduction pas chère, qui déboulonne graphiquement et avec humour les mythes associés au libéralisme, il y a Pulp Libéralisme. Il y a aussi beaucoup de pages du livre qui ont été scannées et qui trainent sur … humm … Google Image.

3/ Ta définition d’anarchie est incorrecte : l’anarchie n’est pas le désordre. L’anarchie c’est une société sans gouvernement, pas sans gouvernance.

4/ Si l’histoire des ~300000 sociétés de charité et d’assurances personnelles américaines avant leur éradication par la politique d’État providence du gouvernement US t’intéresse (c’est un sujet que les américains eux-mêmes méconnaissent), David T. Beito est l’auteur d’un bouquin d’Histoire sur le sujet qu’il présente :

The shift from mutual aid and self-help to the welfare state has involved more than a simple bookkeeping transfer of service provision from one set of institutions to another. As many of the leaders of fraternal societies had feared, much was lost in an exchange that transcended monetary calculations. The old relationships of voluntary reciprocity and autonomy have slowly given way to paternalistic dependency. Instead of mutual aid, the dominant social welfare arrangements of Americans have increasingly become characterized by impersonal bureaucracies controlled by outsiders.




  • Pr David T. Beito


Le 11/02/2014 à 17h 02







mirandir a écrit :



Le vrai problème là-dedans est le “si” : en quoi l’“anarcho-capitalisme” garantie que ce sera le cas ? Comment tu fixes la limite entre la liberté des uns et des autres ? C’est facile de répondre pour les cas ‘simples’ (propriété d’un bien), mais il existe des cas plus complexes qui visiblement ne font pas l’unanimité (ce qu’on appelle pudiquement les ‘sujets de société’).



C’est très facile : la liberté s’arrête à celle des autres. C’est à dire que dans les cas où tes actions libres conduisent à réduire celles des autres, tu n’a plus de liberté de la faire. Il existe tout un tas d’objections et cas particuliers plus ou moins tordus, comme tu le mentionnes, qui ont été discuté en long en large et en travers dans la littérature spécialisée (par Friedman et Hasnas par ex.)







mirandir a écrit :



Ce qui fini fatalement par arriver, à partir du moment où tu ne vis pas en autarcie et n’est pas éternel. Les gardiens non plus ne le sont pas !



L’Islande médiévale anarchique a bien subsisté 300 ans. Nos États n’y sont pas encore, loin s’en faut. Il faut lire Atlas Shrugged pour avoir une description chirurgical de la manière dont on peut vivre dans une telle société. Mais je comprend que cela soit difficile à imaginer.







mirandir a écrit :



12 millions c’était effectivement légèrement exagéré <img data-src=" /> Je raisonnais en terme de communauté d’individus, dont les comportements peuvent (et sont) différents de celui des individus pris séparément. Un individu seul arrive (à peu près <img data-src=" />) à réfléchir et à agir de façon rationnelle, à plusieurs c’est tout de suite moins évident.



C’est vrai, mais quand les règles sont connues et ne sont pas à politique variable, il est plus facile de s’entendre. Tu touches aussi à un point important et négligé : on vit beaucoup mieux en petite communauté quand tout le monde connait et respecte tout le monde.







mirandir a écrit :



Rien ne dit que le cadre commun ne sera pas l’exploitation de la communauté voisine. Le fait d’avoir un cadre commun partagé par une même communauté ne signifie pas que celui-ci est juste ou moral ou intelligent. Une communauté plus forte (économiquement, militairement) peut très bien, en parfait accord avec la liberté de ses membres, décider d’envahir la communauté voisine. De son propre point de vue, elle ne serait pas ‘hors la loi’.



Les Nazis l’ont tenté, ils ont perdus. Les Bolcheviks ont aussi perdu. Les Polpots de tous bords ont été vaincus (ils en reste si peu qu’ils nous font rire). Ce qui veut quand même dire que la communauté dans son ensemble est régie par des règles écrites et non écrites qui ont passé le filtre de l’Histoire et sont là pour rester.







mirandir a écrit :



Dans une communauté, le respect du cadre commun est en permanence mis à l’épreuve : contacts avec une autre communauté qui possède un cadre commun différent, individus ‘déviants’, etc. Comment gérer ces cas dans le cadre de l’“anarcho-capitalisme” ?



Tu n’espère pas que je réponde à cette question en 3 lignes dans un forum, quand même ? Voir les auteurs déjà cités, et en particulier Freidman (The Machinery of Freedom).


Le 11/02/2014 à 16h 35







gavroche69 a écrit :



Et comme d’habitude, les ultra-libéraux citent en exemple d’autres ultra-libéraux farouches partisans de la dérégulation de la finance pour tenter de crédibiliser leurs dires…

Ça en serait presque comique si ce n’était pas si pathétique… <img data-src=" />



Oserais-je te dire à quel point j’emmerde ces guignols (et le crédit Suisse dans la foulée) que tu sembles tant aimer ?

Ben du coup je l’ai dit… <img data-src=" />



Tu devrais essayer de moins citer les autres et de te servir un peu plus de ton cerveau à toi, là on dirait Fabrice Luchini, l’homme qui ne fait que dire les pensées des autres ce qui fait que personne ne sait ce qu’il pense LUI… <img data-src=" />



Tu poses une question à ce mec et quand il a fini de te répondre, tu sais ce que pensent Céline, Baudelaire, Rimbaud, Nietzsche, etc…

Mais tu ne sais toujours pas ce que pense Luchini…

Du vulgaire étalage de “culture” donc… <img data-src=" />





A part vomir ta bile, tu n’aurais pas quelque argument non factice à proposer ? Non apparemment.



Tiens, une pour la route qui t’aidera à réfléchir (ou pas) :





Les libéraux ne dédaignent pas les aspirations intellectuelles et spirituelles de l’homme. Au contraire. … Mais ils ne partagent pas l’opinion naïve de ceux qui croient qu’un quelconque système d’organisation sociale puisse, de soi, réussir à encourager la pensée philosophique ou scientifique, à produire des chefs-d’œuvre d’art et de littérature, ni à rendre les multitudes plus éclairées. Ils comprennent que tout ce que la société peut effectuer dans ces domaines est de fournir un milieu qui ne dresse pas des obstacles insurmontables sur les voies du génie, et qui libère suffisamment l’homme ordinaire des soucis matériels pour qu’il porte intérêt à autre chose qu’à gagner son pain quotidien.




  • Ludwig von Mises


Le 11/02/2014 à 16h 31







Khalev a écrit :



Ça reste à voir, si effectivement les bureaux français faisaient plus de travail que ceux déclarés, ça serait de la fraude. Mais présomption d’innocence oblige, pour l’instant tu as raison :)





Il est toujours possible que certains aient voulu faire du zèle, seul le rapport final des inspecteurs le montera éventuellement. Mais comme dit, la refacturation est légale, commune et généralisée.


Le 11/02/2014 à 16h 28







Khalev a écrit :



fr.wikipedia.org WikipediaCet article cite les mêmes noms que toi. Wikipedia n’est pas le mal absolu, il faut juste savoir s’en servir. (En l’occurence ça donne des noms pour commencer une recherche plus profonde).

Ça montre surtout qu’il ne sait pas chercher et s’est focalisé sur le côté “anarcho” alors que justement l’anarcho-capitalisme n’est pas considéré comme de l’anarchisme par les anarchistes… (et je ne pense pas que ceux relevant du courant anarcho-capitaliste aimerait être associés aux anarchistes fondamentaux).





1/ Cela se comprend : il n’y a pas 50000 auteurs qui ont traité la question. Mes sources sont ici, ici et ici.

2/ Non, effectivement.


Le 11/02/2014 à 16h 24







XalG a écrit :



Tu parles d’une utopie libérale là. Ce qui n’arrivera pas.



Et sinon comment ils font les enfants dont les parents ne cotisent pas ?

Pareil pour l’éducation ? Ils vont à l’usine ?



Je ne sais pas dans quel monde tu vis, mais ça a vraiment l’air bien, les gens s’entraident (les médecins) et tout va pour le mieux.





En cherchant un peu puis en lisant le travail des économistes et historiens de l’économie qui se sont penché sur la question, tu saurais que non seulement ce n’a pas été une utopie, mais que c’est la réalité quotidienne pour beaucoup. Et d’ailleurs, cela ne peut être que le cas, n’est-ce pas, puisque les collectivistes sont les premiers à le regretter. Enfin, et pour parler personnellement et souligner ce que j’avance, mon interaction avec la sphère étatique/bureaucratique est inexistante. Je travaille et paie des gens pour le faire, ce qui me laisse un peu de temps de libre pour saboter, à mon échelle, ladite sphère.


Le 11/02/2014 à 16h 08







gavroche69 a écrit :



Il eut été paradoxal que tu puisses voir autre chose que du bla-bla mythique dans mon discours. <img data-src=" />



Au niveau mondial, 1% de la population détient 50 % des richesses et 10% en détient 82 %, ton graphe rigolo et coloré n’y change absolument rien. <img data-src=" />





46% exactement selon la dernière analyse du Crédit Suisse. Le rapport avec le sujet est ? Comme l’a si bien dit l’économiste Thomas Sowell :



Le problème n’est pas que Johnny ne sait pas lire.

Le problème n’est même pas que Johnny ne sait pas penser.

Le problème, c’est que Johnny ne sait pas ce que penser signifie ; il confond avec ressentir.


Le 11/02/2014 à 15h 56







kinos a écrit :



Euh, c’est justement la dérégulation du système bancaire qui a crée la crise actuelle. Pour eux, il ne fallait plus de règles. Résultat: pour l’état français: 600 milliards de dettes supplémentaires. je ne vois pas ce que tu ne comprends pas.





Une petite citation pour l’explication un peu plus poussée que la désinformation du journal de 20h00 :





“I believe that the sine qua non of the financial crisis was U.S. government housing policy, which led to the creation of 27 million subprime and other risky loans — half of all mortgages in the United States — which were ready to default as soon as the massive 1997-2007 housing bubble began to deflate. If the U.S. government had not chosen this policy path — fostering the growth of a bubble of unprecedented size and an equally unprecedented number of weak and high-risk residential mortgages — the great financial crisis of 2008 would never have occurred.

….the financial crisis of 2008 was caused by government housing policies…. If we don’t learn that important lesson, we will make the same mistake again, and then we really will have another financial crisis.”




  • Peter Wallison, 2011. Member of the Financial Crisis Inquiry Commission, a 10-member body appointed by Congress to investigate the causes of the financial crisis of 2008.







    kinos a écrit :



    je veux bien des sources sérieuses parce que les toutes les différentes formes d’anarchies sont totalement anti-capitalistes.





    C’est ce qui arrive quand on limite sa recherche à une publication non fiable ouverte à l’activisme plutôt que d’aller consulter les sources originales. <img data-src=" /> Cherche David Friedman, Roderick Long, Murray N. Rothbard, etc.







    kinos a écrit :



    Qui a payé la formation des médecins, si ce n’est l’état ?



    Évidemment, l’État s’est approprié le marché de leur formation. Tu tentes de justifier le fait de payer des impôts à l’État parce que l’État interdit leur formation autrement qu’en passant par lui-même ? <img data-src=" />







    kinos a écrit :



    La liberté d’aider son prochain, chacun l’a, à son niveau, État ou non. Et c’est en fraudant le fisc que les boites comme google aident leur prochains? où c’est juste pour se gaver encore plus de milliards ? Bizarrement, ils ne payent pas d’impôts (ou presque) et n’aident personne….





    Tes informations sont fausses :

    1/ Google ne fraude pas.

    2/ Il se trouve aussi que Brin est dans le top 10 des plus grand donneurs US. Zuckerberg, Gates et sa fondation, etc. donnent aussi beaucoup. Donc avant d’essayer de donner des leçons de morale aux autres, il vaudrait mieux balayer devant sa porte.


Le 11/02/2014 à 15h 31







gavroche69 a écrit :



du blabla mythique





Les données crucifient tes non-arguments.


Le 11/02/2014 à 15h 24







RaoulC a écrit :



C’est ballot, la plèbe est quand même capable de comprendre ce message <img data-src=" />

De toute façon, quand on parle d’insecticide idéologique , cela prouve bien la manière dont tu considère les gens qui ne sont pas favorisés par ton système miracle sans défauts, et plus généralement ceux qui ne sont pas d’accord avec toi : des insectes que l’on peu écraser.



En d’autres termes, tes détracteurs sont un cancer et toi le remède?



Ce qui est magnifique avec le langage c’est que même en employant des termes châtiés, et en construisant de belles phrases, la haine de l’autre (salauds de parasites) et le sentiment de supériorité ressort quand même.



Et j’ai dit parasites à dessein, puisque cela fait partit d’un champ lexical qui t’es cher <img data-src=" />



C’est dommage, tu ne dis pas QUE des énormités mais ce discours extrême emplit de condescendance est contreproductif….il faut arrêter.



Au moins elpetio prend la majorité les INpactiens pour des idiots, mais lui le dit ouvertement <img data-src=" />





Tsk tsk.

Ses idées rétrogrades et illogiques seulement.



A moins que “camarade” soit une offense de nos jours ?


Le 11/02/2014 à 15h 19







XalG a écrit :



1/ Je répondais à ton point de vue que j’ai pu lire dans les commentaires de ce sujet, mais je n’ai pas commenté tes précédents message.



2/ Donc si des parents ne cotisent pas, l’enfant doit subir (et même s’ils cotisent, pas dit qu’ils gagnent assez)



3/ Tu parles de pistolets étatiques, mais c’est le même que le pistolet libéral qui se préoccupe des gens qui ont les moyens.

Je n’ai pas envie que la vie de quelqu’un dépende de la bonne volonté d’un médecin. Et encore il faut un moment ou a un autre payer le traitement, alors je veux bien qu’un médecin fasse une consultation gratos, mais fournir un traitement lourd et tout ce qu’il faut, c’est plus qu’un petit acte.





1/ Cela ne t’empêche pas d’aller consulter mon historique pour avoir les réponses à des questions auxquelles j’ai déjà répondu un nombre élevé de fois, ce que tu peux comprendre , non ?

2/ Si tu en venais au fait plutôt que de tourner autour du morceau de mythologie que tu prépares.

3/ Pourquoi supposer que la situation actuelle, structurellement mais volontairement entretenue depuis des décades en nous disant faussement que ce-n’est-que-passager-élisez-moi-et-vous-verrez, serait transposée dans un monde où les gens auraient la liberté de travailler, cotiser, mettre de côté (càd prévoir et se responsabiliser), et plus généralement vaquer à leurs occupations pour leur intérêt et l’intérêt de ceux qu’ils auraient librement choisi d’aider, comme cela se faisait naturellement avant que l’État se pose coercitivement en donneur de leçon immoral et transforme la solidarité vrai des individus entre eux en pseudo-solidarité publique dont le résultat est économiquement et socialement catastrophique ?


Le 11/02/2014 à 15h 07







A-snowboard a écrit :





  1. C’est sur que comparer la situation de la france à la corée du nord est très pertinent… Par contre quand il s’agit des USA ça à l’air de poser problème.





    1. Merci d’être condescendant envers moi même et confrères français.

      Encore une fois : Prend l’exemple des USA qui font exactement ce que tu dit : travailler et capitaliser. Ils sont mieux lotis que nous en terme de dette ?



    2. Merci de nous faire passer pour des feignants alors qu’on est l’un des pays les plus productifs du monde. Donc bon, ça me fait doucement rigoler.





      1/ Tu as donc vraiment mal lu. Les USA sont économiquement plus libres qu’ailleurs, mais ressemble politiquement à l’EURSS.

      2/ cf 1/

      3/ Tu n’étais pas visé particulièrement : je pensais plutôt au système tel qu’il ne fonctionne pas.









      A-snowboard a écrit :



      Je passe un peut tout ton blabla car j’ai vraiment l’impression que tu est à coté des pompes.



      Tu veux pas de cotisation ? Pas de souci mais assume jusqu’au bout :

      0 écoles, sauf les privées coutant un bras : comment avoir des plombiers formés pour réparer ta baignoire ? Avoir la secrétaire qui va gérer la partie administrative de l’entreprise ? etc…

      C’est bien ,mais si plus personne n’est formé, les entreprises elle mêmes ne pouront plus fonctionner… Sauf si elles finances elles-même les formations de chaque ouvrier. Et je suis a peut près sur que ça couteras plus cher.



      0 routes : Pas de fric, pas de routes financés par l’etat. Chaque entreprise va devoir payer la construction route pour faire fonctionner son entreprise pour livrer le WC au client.

      M’est avis que le WC risque de coûter plus d’une centaine d’euros…





      Tu en veut d’autres ou tu as compris l’absurdité de ton raisonnement ultralibéral.





      (et j’ai pas pris le temps de répondre au reste tellement que c’est dénué de sens…)





      Je ne vais pas reprendre point par point, bien que cela serait amusant pour constater à quel point tu diverges de la réalité économique (les routes privées existent déjà depuis longtemps un peu partout dans le monde par ex.), simplement pour te faire remarquer que tout ce que tu avances a déjà été réfléchi, produit et vendu par des individus ou groupes d’individus privés au cours du temps. Quand cela n’a pas pu être fait, c’est que l’État l’a empêché (monopole) pour des motifs qui n’ont rien à voir avec l’économie. QED.



Le 11/02/2014 à 14h 52







mirandir a écrit :



Disons que j’ai peur qu’ils partagent une grande partie de leurs défauts, et qu’au final ils conduisent à des situations similaires.



On ne peut pas du tout affirmer cela : si le respect de la liberté et de la propriété d’autrui est la base morale, alors seul leur non-respect pourrait conduire “à des situations similaires” simplement parce que, tout simplement leur non-respect est la base de l’idéologie collectiviste.







mirandir a écrit :



Personne ne devrait, mais en pratique ça s’est toujours fait depuis que l’homme est homme (au moins pour des fonctions régaliennes).



Pas toujours justement. Le modèle étatique de monopole de telle ou telle fonction n’a pas été historiquement général, loin s’en faut, même si c’est le modèle dominant actuellement. C’est une invention récente.







mirandir a écrit :



Les individus qui se mettent d’accord pour un cadre commun se rassemblent souvent en communauté (ce qui permet d’ajouter l’anthropologie et la sociologie à nos thèmes de discussions favoris <img data-src=" />).

L’émergence de ce cadre est effectivement spontanée, mais à un moment t, dans une communauté donnée, le cadre commun existant est de fait imposé.

À ce moment-là, le seul choix possible pour l’individu est de ne pas faire partie de la communauté, mais c’est juste un arbitrage avantages / inconvénients (choix alternatif possible : faire évoluer le cadre commun, ce qui peut être coûteux en temps et en effort. Encore une fois, arbitrage).





D’accord avec tout cela. Les problèmes arrivent quand le système et les pouvoirs qui vont avec sont mis dans les mains d’autres que soi-même : la tentation est alors trop forte pour ne pas en profiter (quis custodiet ipsos custodes ?).









mirandir a écrit :



Et c’est là que je voulais en venir : chaque communauté fini par avoir sa propre définition du cadre commun, qui tend a devenir celle du “bien commun” (à tort ou à raison, laissons de coté le jugement moral). Du coup, tu as douze millions de “bien commun” différents, avec beaucoup de communauté qui aimeraient l’imposer aux autres.



D’où mon idée que, “anarcho-capitalisme” ou “énarco-collectivisme”, ça ne fera pas grande différence, à moins de vivre de façon individuelle dans sa grotte et éviter le contact avec les autres. Là, l’individu serait vraiment non-aliéné dans ses choix.

Mais l’homme est un animal social, il préfère aller jouer avec ses semblables. Le débat est sans fin <img data-src=" />





1/ Autant de “biens communs” que d’individus, cela s’appelle une propriété personnelle. <img data-src=" />

2/ Imposer nécessite de ne pas respecter les règles de base du cadre commun (les droits) : cette communauté se mettrait donc hors la ‘loi’. Quelle serait son avantage (économique et sociale) ?

3/ La différence est classiquement le respect des règles établies (càd les droits). Pour les uns ils tombent sous le sens, et pour les autres ils ne servent que de support à leurs idées ‘noires’. J’aime bien le résumé que fait Kant de la situation :





“La liberté en tant qu’homme, j’en exprime le principe pour la constitution d’une communauté dans la formule : ‘personne ne peut me contraindre à être heureux d’une certaine manière (celle dont il conçoit le bien-être des autres hommes), mais il est permis à chacun de chercher le bonheur dans la voie qui lui semble, à lui, être la bonne, pourvu qu’il ne nuise pas à la liberté qui peut coexister avec la liberté de chacun selon une loi universelle possible (autrement dit, à ce droit d’autrui)‘.



Un gouvernement qui serait fondé sur le principe de la bienveillance envers le peuple, tel celui du père envers ses enfants, c’est-à-dire un gouvernement paternel, où par conséquent les sujets, tels des enfants mineurs incapables de décider de ce qui leur est vraiment utile ou nuisible, sont obligés de se comporter de manière uniquement passive, afin d’attendre uniquement du jugement du chef de l’État la façon dont ils doivent être heureux, et uniquement de sa bonté qu’il le veuille également, - un tel gouvernement, dis-je, est le plus grand despotisme que l’on puisse concevoir.”




  • Emmanuel Kant


Le 11/02/2014 à 14h 24







XalG a écrit :



Donc les gens qui ont assez pour se payer des soins vont juste prendre une assurance privée.

Les gens qui n’ont pas assez vont se cotiser.

Sauf que dans ce cas là, la répartition de l’argent disponible pour les soins par tête ne sera pas la même entre les deux groupes.



Du coup, pourquoi soigner quelqu’un qui rapporte moins ?





1/ Si tu te donnais la peine de consulter mon historique, tu aurais mes réponses. Je préfère passer mon temps à discuter qu’à répéter.

2/ Dans les 2 cas ce sont des cotisations. Dans le premier cas elles sont volontaires et correspondent aux besoins de la personne (à moins de considérer que les individus sont des irresponsables chroniques incapables de se connaître eux-mêmes et d’évaluer leurs besoins), dans le 2nd, elles sont obligatoires, ne correspondent pas nécessairement (lire rarement) aux besoins parce décidées d’en haut à la machette (déficit d’information) et extorquées au gourdin et entrainent du gaspillage parce que l’allocation des ressources en hommes et en moyens n’est fatalement pas optimale quand on manipule l’argent des autres et que la seul motivation des intéressés est de toucher son chèque en fin de mois.

3/ Pour ta dernière question, pourquoi la plupart des professionnels de santé (ceux que je côtoie en tout cas) font-ils des actes de soin gratuits ? Plus généralement, pourquoi en serait-il autrement si on avait la liberté d’aider son prochain sans avoir le pistolet étatique sur la tempe parce que certains pensent le contraire sans jamais l’avoir démontré ?


Le 11/02/2014 à 13h 55







kinos a écrit :



Ben t’as pas dû aller bien loin dans ton analyse historique…je te conseille vivement de t’en référer aux historiens comme Henri Guillemin ou Annie Lacroix-Riz (ou autre) depuis Louis XIV à nos jours. Tu comprendras que ton discours, peut être beau a tes yeux, n’est pas du tout ce qui se passe dans la réalité: c’est l’état qui a toujours été là pour les grosses infrastructures ou les catastrophes, jamais les boites privées. Qui était là pour sauver les banques en 2008? Qui a sauvé les réseaux ferrés en 1937 ? Ben tiens, bizarrement, la dette de l’état à explosée lors de ce genre d’épisodes…Et grâce à qui? Aux boites privées.

“on socialise les pertes et on privatises les profits”



Ps: l’anarcho-capitalisme ne PEUT pas exister. C’est totalement incompatible et antinomique . Mais comme tu aimes bien changer la définition des termes pour avoir raison…



PPS: ce n’est pas nécéssaire d’être condescendante ou insultante, si tu veux dialoguer avec d’autres, hein?





1/ Je m’intéresse à toutes les périodes de l’Histoire, mais merci pour les auteurs.

2/ L’État français a toujours été là parce que l’État français s’en est attribué les monopoles. D’autres ont suivi une autre voie (!) et ne s’en porte pas plus mal.

3/ “on socialise les pertes et on privatises les profits” : c’est tellement vrai pour le système bancaire actuel que tout le monde redemande de la régulation sans se poser de question. Bonjour la cohérence.

4/ Je t’invite à creuser un peu plus du côté des économistes qui étudient l’Histoire et qui connaissent leur sujet pour savoir si l’anarcho-capitalisme a déjà existé (c’est oui).



PS : un peu de decorum pour éloigner l’ignare de l’ère numérique ne fait pas de mal.


Le 11/02/2014 à 13h 45







fred42 a écrit :



Il faut se renseigner un peu plus :

Il y a aussi les cotisations des entreprises (cotisations patronales).

L’impôt contribue en partie au financement de la sécurité sociale : CMU et autres qui permettent par exemple de mieux luter contre les épidémies en soignant ceux qui ne seraient pas protégés car ne cotisant pas. Cette partie me semble plutôt une bonne politique de santé.



Et aussi il y a ces formidables inventions que sont la CSG et la CRDS.



En vertu de quoi mes biens mobiliers qui me rapportent (actions, livrets, assurances vie, …) ou les biens immobiliers d’autres personnes (loyers perçus) cotisent pour le financement de la sécurité sociale alors qu’ils ne profitent pas de ces cotisations, n’étant jamais malades ?



Je suis surpris qu’un libéral comme vous ne trouve pas cela scandaleux, peut-être parce qu’il n’est pas concerné ?





1/ Les cotisations patronales ne sont que des cotisations salariales déguisées. Au final ce ne sont pas des impôts parce que leur dénomination est justement “cotisations”.

2/ Ce tableau montre que la CMU a son budget assis sur les cotisations versées aux organismes d’assurance complémentaire par les salariés : pas un impôt donc.

3/ La CJCE considère que ces cotisations ne sont pas des impôts mais des cotisations sociales (ce qu’elles sont en fait puisque c’est leur nom). En droit français, elles sont considérées soit comme des impôts soit comme des cotisations suivant qui les émet. Pour la justice ce sont des cotisations sociales, mais pas (plus pour longtemps) pour l’administration. Quand la justice contraindra l’administration a les considérer comme ce qu’elles sont, alors le monopole illégal de la caisse d’assurance professionnelle des salariés qu’on appelle SS tombera définitivement.

4/ Donc non.

5/ Je paie mon médecin intégralement son dû, cela me et lui coûte toujours moins cher que de le voir ponctionner par la bureaucratie sociale.


Le 11/02/2014 à 13h 26







XalG a écrit :



Merci pour ta logorrhée, c’est toujours agréable à lire.



Donc, comment devrait se faire le paiement de l’hôpital pour des gens qui n’ont pas les moyens ? Une obligation de soin mais ceux qui payent passent avant ?





1/ Il aurait fallu être un peu plus spécifique.

2/ J’ai répondu 36 fois (au moins) à cette question. Se référer à mon historique et prendre son temps de lire.


Le 11/02/2014 à 12h 59







XalG a écrit :



Mais que penses tu de ce prélèvement, tu n’as toujours pas répondu ?





C’est un gouffre économique (pas besoin de dessin, je pense).

Il est illégitime et socialement injuste parce qu’il requiert la violence publique (la dictature de la majorité) pour l’obtenir en contrevenant aux droits qui lui sont supérieurs.

Il est donc sociétalement contre-productif et moralement abject.

Il explique (parmi d’autres choses) l’état de déliquescence moral du système pervers mis en place par ceux qui en tirent profits aux dépends de ceux qui travaillent.


Le 11/02/2014 à 12h 45







A-snowboard a écrit :



Khalev à répondu à ma place et je répondais à ton gros troll velu (regarde un peut plus haut et tu trouveras :) )



Sinon j’aime bien comment tu dévie du sujet. <img data-src=" />

Je te le rappelle ou t’es capable de faire la démarche tout seul ?





Merci :) (t’es plus rapide que mon ombre <img data-src=" /> )







Personne n’a parlé des mérites de l’Etat providence en reposant sur la dette.



C’est tmtisfree qui à commencer à nous bassiner avec la dette de la corée du nord et du venezuela. <img data-src=" />





Vous avez dû mal lire, ou trop vite :



Mieux : pourquoi ne pas comparer avec un l’Etat-providence d’un pays en développement. Du style Venezuela ou Corée du Nord ? Ce qui est surprenant, en fait, c’est d’être en faillite étatique, sociale, morale et idéologique, endetté jusqu’à 3 générations futures, et de s’en vanter.



1/ Ma demande de comparaison socio-économique a été faite pour justement qu’elle soit possible. A aucun moment il n’est question de dettes.

2/ La seconde partie du § qui parle de la dette réfère au parc à moutons qu’on appelle généralement France. J’aurais dû le préciser parce que certains ne savent encore pas que leurs rejetons et les rejetons de leurs rejetons (s’ils ont l’imprudence d’en faire) vont devoir trimer comme des mineurs pour 3 clopinettes et demi de future non-retraite jusqu’à la mort parce que leurs parents se sont goinfrés sur leur dos sans leur dire plutôt que de travailler et capitaliser.


Le 11/02/2014 à 12h 16







mirandir a écrit :



Avoue tmtisfree, tu es une anarchiste en mission commando ? <img data-src=" />



Plus sérieusement, je pense que la discussion actuelle entre système “collectiviste” et “individualiste” n’est pas très appropriée.

Au final, dans un cas comme dans l’autre, tu es obligé de définir un cadre commun qui oblige les individus à respecter des règles décidées collectivement. Ces règles sont sensées garantir la bonne marche de la société, et éviter autant que faire se peut les phénomènes de passagers clandestins.



À ce moment-là, tu as de fait une définition du “bien commun”, même si elle peut fortement varier d’une société à l’autre.







1/ Il n’y a pas grande découverte, quand on a fait une analyse historique, économique et sociale la plus exhaustive possible des avantages comparatifs, à préférer de nos jours l’anarcho-capitalisme à l’énarco-collectivisme.



2/ J’aurais pu accepter ce passage, mais il contient une tare congénitale : personne ne devrait “définir un cadre commun”. Ce cadre et les règles sociétales qui le composent et le définissent ont historiquement émergé spontanément du fait des interactions libres entre individus (code marchand, Common Law, etc). Imposer ce cadre, comme tu semble l’entendre, revient à mouler les individus dans une vision de société qui n’est pas forcément ce qu’ils demandent. Plus probablement, les restrictions pour entrer dans le moule sont telles que l’individu est immanquablement aliéné dans ses droits. Hayek et d’autres l’ont assez montré, mais certains préfèrent le status quo (aux bénéfices de ceux qui profitent d’eux sans qu’ils le sachent) et/ou refusent de voir un peu plus globalement les choses.



3/ Une définition qui varie, ce n’est pas une définition (par définition). Je te donne la mienne :

. bien commun : concept illogique qui admet que certaines choses puissent appartenir à tout le monde quand elles n’appartiennent à personne


Le 11/02/2014 à 11h 44







FunnyD a écrit :



<img data-src=" /> Libérale jusqu’au bout des ongles <img data-src=" />







Le qualificatif est assez réducteur, mais merci pour le bavardage courtois. <img data-src=" />


Le 11/02/2014 à 11h 40







XalG a écrit :



Dans l’idée ça reste un prélèvement qui repose sur la solidarité, et donc, quand penses tu ?





Est-ce que l’on peut décemment appeler “solidarité” le fait de recourir à la force publique pour l’obtenir ?


Le 11/02/2014 à 11h 38







mawachi a écrit :



Ce n’est pas parce que tu ne comprends pas mon point de vue qu’il est incohérent. Par contre je te le dis tout net, je trouve que le tiens il sent très mauvais.

Il me semblait important de relever les énormités individualistes que tu as pu énumérer au fil de ces commentaires, fléaux de notre époque. Maintenant que c’est fait, je constate simplement quel type de personne tu es. Tu es suffisant, tu ne pourras pas m’apporter grand chose j’en ai peur et, plutôt que de me convaincre, tu m’as conforté dans mes pensées. Alors restons bien enfermés chacun dans nos idées et à jamais.





J’ai tout à fait compris ton point de vue (il est transparent). Ce qui est plus difficile à saisir, c’est le sens de la mise bout à bout de mots et expressions plus ou moins en rapport avec le sujet et qui sont censées, généralement, former un tout cohérent (ie un argument) pour essayer d’informer le lecteur sur tes pensées. Tu n’y es pas parvenu et bats donc en retraite. Qui est acceptée.


Le 11/02/2014 à 11h 30







mawachi a écrit :



Non, je ne plaisante pas. D’où me sors-tu que la poutre maîtresse de toute société ce sont les marchés ? Tu fais des belles phrases donc tu sembles instruit (à mon avis tu dois un peu trop t’en persuader vu tes remarques un peu grossières, rappelle-toi qu’on débat et que je ne suis pas ton ami), alors qu’est -ce qui t’a amené à penser qu’il n’y a pas d’alternative à ce modèle ? Et que le monde a toujours fonctionné ainsi ?



Tu m’as l’air d’être un fervent défenseur capitaliste, alors tu devrais comprendre le “prendre l’argent où il est” ? A défaut de cautionner ce genre de comportement, je pense que c’est ce que notre état cherche à faire avec Google en ce moment, sous couvert du fisc, raison que je trouve légitime pour le coup (je parle du fisc, pas du “prendre l’argent où il est”). Il semblerait que ton idéologie capitaliste se fasse prendre à son propre jeu cette fois-ci, tu parlais de pleureuses tout à l’heure il me semble…



Tu fais trop de suppositions en plus d’utiliser des expressions floues vaguement en rapport avec la réalité. Refocalise sur le sujet, cela permettra de te suivre.







mawachi a écrit :



Et maintenant on frise l’extrême droite… De mieux en mieux! Tu ne me connais pas, je ne vais pas te raconter ma vie mais sache que je pars de chez moi à 7h30 et que je n’y rentre qu’à 20h30, tout ça pour mon boulot, 5j/7. Je ne profite d’aucune aide et je crois pouvoir dire que je paye ma part pour aider à faire tourner le bouzin. Donc question “se servir à l’auge commune”…



Tu préfères te faire tondre pour le “bien commun” : c’est pire encore.


Le 11/02/2014 à 11h 23







FunnyD a écrit :



Elle a déja répondu sur de multiples post que la santé devait être entièrement privatisée<img data-src=" />







Plus exactement que la gestion de sa santé devrait être laissée au libre choix de l’individu. Si certains préfèrent cotiser librement en groupe, c’est un choix parfaitement acceptable que non seulement je respecte et mais défend.


Le 11/02/2014 à 11h 18







XalG a écrit :



Juste pour information, tu penses quoi des impôts qui servent à financer la santé en général ?





On a dû mal te renseigner : ce sont les cotisations des travailleurs “qui servent à financer la santé en général”.


Le 11/02/2014 à 11h 16







paradise a écrit :



Ben oui, l’État-Providence c’est le mal, les impôts, tout ça !



Rien ne vaut la belle initiative personnelle, doublée des dynasties grâce à l’héritage : qu’une partie de la population crève pendant que l’autre s’enrichit sans cesse, ce n’est pas une fiction puisque le modèle ultra-libéral et dérégulé existe déjà grâce à la mondialisation, donc tmtisfree peut être satisfait, ça roule, les banquiers et leurs traders, les fonds de pension, seront de cet avis ! <img data-src=" />



Et ce modèle est basé sur la barbarie, la jungle : tu es fort ou chanceux, tu vis, sinon malheur à toi tu crèves, le mot « social » est même à bannir dans ce cas, et également tous les Droits de l’Homme.







On me reproche de vaporiser de temps en temps des pensées positives et accessoirement de l’insecticide idéologique d’urgence sur certaines éructations verbales vermiformes. Le camarade cumule certainement les poncifs comme les allocations pour concentrer les sophismes avec autant d’aplomb dans une telle diarrhée idéologique. Je te conseille l’ivermectine.


Le 11/02/2014 à 11h 02







gavroche69 a écrit :



Ces 4 premières phrases d’une “banalité confondante” ne font qu’infirmer ton discours précédent qui sous entend que Google pourrait faire payer ses services s’il était trop taxé en France.



Ton discours précédent confirme bien que tu ne connais visiblement pas grand chose de la façon dont fonctionnent ces acteurs (trop) importants du monde internet.



Ou alors tu dis n’importe quoi et son contraire selon que ça t’arrange ou pas et là tu as un allié de poids en la personne de elpetio, le spécialiste du “tout et n’importe quoi” et son contraire !! <img data-src=" />





La réalité présente ne préjuge pas de ce que Google pourra faire dans le futur. Tu n’as pas de boule de cristal (moi non plus). Le simple bon sens économique dicte cependant que si Google (ou n’importe quelle autre firme, au hasard Yahoo) considère les impôts et taxes payés deviennent comme trop élevés, alors la possibilité de faire payer pour des services auparavant gratuits ne peut pas être exclue. Ou de déménager. Ou de supprimer des services pour compenser le manque à gagner. Ou d’intégrer les coûts. Les possibilités sont laissées à l’appréciation des décideurs.



Pour le reste, je laisse la bigoterie aux bigots.


Le 11/02/2014 à 10h 34







kinos a écrit :



Le réseau télécom, c’est peut être les entreprises privées qui l’ont construit? Non, c’est les P&T de l’époque, avec les impôts de nos parents/grands parents…



Mais puisque tu conchies les impôts, tu devrais rembourser l’argent que tu as coûté avec les écoles, les routes, les télécoms, les médecins/hôpitaux, etc. Et ne plus en profiter, car c’est le mal ! C’est bien beau de cracher dans la soupe, une fois tu en as profiter, hein?





1/ Un monopole d’État à l’origine, càd financé avec l’argent du privé. Pas de quoi pavaner.

2/ Chiche. Adresse-moi la facture, et en retour je te ferais parvenir le montant à régler sous 3 jours de tous les impôts/taxes/cotisations/redevances/contributions/prélèvements/etc. Je te laisse la possibilité de t’endetter un peu plus, mais pas en mon nom. Profites-en pour libérer les pans entier de l’économie qui sont encore sous joug étatique et parasite la société active.


Le 11/02/2014 à 10h 24







gavroche69 a écrit :



Les utilisateurs de Google ne paient pas car c’est eux qui sont vendus par Google, idem pour Facebook.

Si un jour Google fait payer l’utilisation de son moteur de recherche il est mort !!

Si un jour Facebook fait payer les inscriptions, il est mort !!



Et rassure toi, Google et Facebook (entre autres) vendent très très cher cette marchandise qu’est l’internaute.



Comment peut-on se présenter comme un expert de l’économie et afficher une telle méconnaissance de ce qu’est l’économie internet ? <img data-src=" />





Je suis tout à fait d’accord avec les 4 premières phrases (qui sont d’une banalité confondante), ce qui fait que ta conclusion ne tient pas.


Le 11/02/2014 à 10h 21







mawachi a écrit :



Sans la collectivité, tu ne saurais même pas te servir d’un ordinateur. Tu peux toujours croire que tu t’es fait tout seul, le fait est que les réussites individuelles reposent sur une structure commune que tout le monde doit financer via ses impôts, à la hauteur de ses revenus (et Google y compris). Sinon faut aller vivre de la chasse et de la pêche dans la Taïga.



Tu plaisantes. Ta “structure commune”, la poutre maîtresse de toute société, càd les marchés, ce sont les individus qui l’ont façonné au cours du temps et la bâtissent encore sans l’aide de personne que de leur activité et échanges librement consentis. Les impôts et taxes ne servent qu’à remercier les parasites électeurs et à calmer les soubresauts sociaux de ceux qui vivent de leur rente que leur ont accordé les politicards pilleurs de tout bord au cours du temps. Il faut enlever les œillères.







mawachi a écrit :



Le spectre de la peur maintenant, en voilà un discours de propagande bien rôdé! Et même si c’est vrai : doit-on pour autant laisser faire ? Je ne vais pas plaindre les salariés de Google, s’ils résonnent comme toi, ça ne doit certainement pas leur traverser l’esprit le fait que leur boîte fraude le pays, c’est mal pour tout le monde. Evidemment, quand on pense perso, on s’en fout…

Et puis les services ne sont pas gratuits, on les paye déjà avec nos informations privées, c’est peut-être plus cher payé qu’une poignée d’euros d’ailleurs. L’avenir nous le dira surement.



Si une analyse économique triviale se résume à une telle misère d’interprétation, autant ne pas me répondre, cela fera gagner du temps à tout le monde. Les seuls qui parle de “fraude” sont les premiers intéressés à se servir à l’auge commune. Il est grand temps de leur couper les vivres, ce que fait Google et les autres, et ce qui arrivera inéluctablement à terme.







mawachi a écrit :



Justement, le minimum de culture économique et historique, tu ne vas pas le pondre tout seul. Et si t’es pas seul, c’est que tu es inscrit dans la société (dans laquelle tu sembles tant vouloir réussir par toi même). Une société qui coûte cher à tous les égards, donc faut passer à la caisse.





Tu enfiles les incohérences comme le poivrot les lampadaires. Va cuver et apprendre un peu.


Le 11/02/2014 à 09h 26







FunnyD a écrit :



Toutes les routes sont privées?





Si le problème c’est leur utilisation des routes, alors ils paient largement assez d’impôts pour cela.


Le 11/02/2014 à 09h 25







Khalev a écrit :



https://www.cia.gov/library/publications/the-world-factbook/rankorder/2186rank.h…

http://www.imf.org/external/pubs/ft/weo/2012/01/weodata/weorept.aspx



Ce qui est bien avec wikipedia c’est que souvent ils mettents leurs sources. Ça permet de vérifier leurs dires <img data-src=" />







Merci.

On constate que le % d’endettement sur le PIB des USA est passé de 103% (IMF) à 70% (CIA) entre 2011 et 2012. C’est difficile à croire.

Les français sont en 17ème position : là c’est crédible. <img data-src=" />


Le 11/02/2014 à 09h 08







kinos a écrit :



Ah ? Donc tu permets aussi que je ne paye pas quasiment aucun impôt, tout en profitant des infrastructures, parce que je te promets des nouveaux services et de des emplois ?





Le rapport entre des impôts étatiques et des infrastructures privées étant ?


Le 11/02/2014 à 09h 07







A-snowboard a écrit :



<img data-src=" />



Et tu en dit quoi de cette dette des USA ? C’est mieux peut être ?



Sinon merci pour la tranche de rigolade ! <img data-src=" />



En plus je viens de voir que le Venezuela a une dette publique bien moins importante que les USA, ou même la Japon ou l’Angleterre !



Renseigne toi un peut avant de sortir ta propagande anti-communiste. (Puis bon, parler de Corée du nord comme alternative, c’est pas très fin d’esprit… Et le Venezuela, c’est moins pire qu’on pense).





Tu devrais lire autre chose que le figaro de temps en temps. <img data-src=" />







Tu n’as pas d’autres sources un peu plus sérieuses que la boucherie du savoir (aka Wikijenesaispas) ?



Merci quand même de confirmer, en ricanant, que la politique monétaire du gouvernement US est la même que par ici : démagogiquement électoraliste avec pour seul effet visible une dette du même acabit. Ton intervention avait quel but ?


Le 11/02/2014 à 08h 55







linkin623 a écrit :



<img data-src=" /> Enorme ! Google fait au moins un milliard d’euros de CA en France, et déclare même pas 1 tiers, et en plus paye sa propre PI à une entité dans un paradis fiscal. Et on devrait dire merci?

Google travaille en France, il paye comme une entreprise française. On les retient pas! Mieux, ça permettra peut-être de payer les tuyaux qu’ils utilisent.





Tu n’as manifestement pas intégré le fait économique de base qu’une entreprise ne paie pas d’impôts : ce sont les individus qui sont imposés/taxés/rançonnés. De plus, Google utilise les lois pondues par les mêmes clowns élus par toi et les autres pleurnicheuses collectivistes qui viennent maintenant se plaindre de leurs erreurs passées : il ne faut vous en prendre qu’à vous-mêmes. Ce qui fait, en définitive, que même si Google est illégalement et illégitimement redressé pour avoir utilisé les lois en vigueur, les seuls qui paieront ne sont pas les dirigeants de Google, mais éventuellement les salariés qui ne seront pas embauchés et /ou augmentés mais plus certainement encore les utilisateurs qui seront amenés à payer des services actuellement gratuits. Les aveugles sont rois au pays des sourds.







linkin623 a écrit :



Et puis niveler par le bas, c’est pas un progrès social, mais juste un progrès financier. Si tu fais parti de cette caste, je me demande pourquoi tu traine sur PCI???

Pire, si tu n’en fais pas parti, c’est pire…





Même si PCI était un repaire de collectivistes passéistes, rassemblés en troupeau les individus n’en deviennent pas pour autant automatiquement plus intelligents : avec un minimum de culture économique et historique, tout être doué de raison peut découvrir le déterminant à la réussite sociétale : le progrès individuel. Tout le reste (dont la lutte des castes/classes) n’est que chimère idéologique rétrograde.


Le 10/02/2014 à 21h 24







linkin623 a écrit :



“Des impôts payés en France”. Et on devrait dire merci à Google de payer trois clopinettes d’IS ?





Plutôt 2 fois qu’une : cela leur permet de t’offrir des services gratuits, et d’utiliser l’argent en surplus en investissant dans des activités rentables pour créer des nouveaux produits/services/richesses (et accessoirement des emplois).







linkin623 a écrit :



Sérieusement, ce genre de discours mérite simplement que les gens fassent un tour dans un pays en développement, et voient ce que c’est qu’un état “non-providence”. Attention ça surprend…





Mieux : pourquoi ne pas comparer avec un l’Etat-providence d’un pays en développement. Du style Venezuela ou Corée du Nord ? Ce qui est surprenant, en fait, c’est d’être en faillite étatique, sociale, morale et idéologique, endetté jusqu’à 3 générations futures, et de s’en vanter.


Le 10/02/2014 à 20h 57







AntonyToku a écrit :



Non non. Un montage qui fait payer “moins” d’impôts est légal à partir du moment où il n’est pas fait dans ce but





C’est certes la doctrine fiscale, mais les possibilités ’d’échappement’ sont tellement nombreuses qu’en pratique, à moins d’être trop gourmand et/ou pas assez discret, le fisc aura toute les peines du monde à le prouver. Ce qui explique le temps long, très long, mis par les agents de Bercy pour conclure.



(Sans oublier, bien sûr, les régulières rodomontades des clowns médiatiques subventionnés par Bercy pour faire croire au bon peuple fraônçais que l’État est là pour veiller à son intérêt avec son argent, haha quelle blague <img data-src=" />)


Le 11/02/2014 à 18h 07







christophe_gossa a écrit :



Les administrations auront aussi le droit d’y être citée ?







Un tel manque de confiance dans le sévice public et si peu de foi dans l’infaillibilité quasi-papale de notre Administration bien-aimée est affligeant.

Tu aura droit à 4 Redressements Productifs Administratifs pour ta peine, et devra réciter 5 Je vous salue Chantal par jour jusqu’à la prochaine défaite élection pour t’éviter la circoncision financière d’office. Capiche?


Le 11/02/2014 à 13h 58







RaoulC a écrit :



On lynche déjà ceux qui laissent leur entreprise dans la M.. et partent avec des retraites chapeaux ou des parachutes dorés <img data-src=" />. Alors un peu plus un peu moins <img data-src=" />



(je te provoque exprès : je sais que la majorité des entrepreneurs sont patrons de PME et sont loin de ces dérives)



La mise à l’index c’est vraiment un truc à prendre avec des pincettes.



Question : si on lynche les politocards qui nous conduisent et/ou nous ont conduit à la ruine, il restera qui?<img data-src=" />





Il restera nous pour conduire nos affaires selon notre intérêt : n’est-ce pas l’essentiel ?


Le 11/02/2014 à 13h 22

C’est à la mode en ce moment de surexposer ce qui est déjà nécessairement public (une décision de justice).



A quand le lynchage en place publique de notre politocaille pour avoir nous avoir volontairement conduit à la ruine du fait de son incompétence et de sa négligence ?

Le 11/02/2014 à 10h 49







Alain EtCo a écrit :



Oui, oui…



Donc, tu va payer pour



Circuler (sur les routes payées par la collectivité, les troitoires payés par la collectivité, les TC payés par la collectivité)

Te soigner (ca va te faire bien mal aux fesses quand tu verra la facture)

T’alimenter (la plupart des produits agricoles restent subventionnés)

T’installer sur une plage en été (les plages sont publics, sauf à des trés rares exceptions)



Rembourser ta ligne de téléphone, les services qui passent par TDF (soit quasiement tout ce qui est radio et télévision)

Rembourser pour ta scolarité

Rembourser (ou payer) pour les services de la mairie, les services publics divers et varié….



Garde ton pognon bien au chaud… Et continue à te bercer de la douce illusion du libertarianisme triomphant… Pour le plus grand bien de toutes et tous…



Garde le bien ton pognon, et profite en un de ces 4’ de mettre un bon coup de latte au SDF que tu pourrais croiser. Ce salopart de pauvre qui n’a pas su le garder son pognon….

Ou bien au flic, payé par le pognon des autres, pour que tu puisse garder le tien bien au chaud….

Et puis surtout, n’appel pas les pompiers en cas de probleme, tu aurais à payer la facture….





1/ J’ai déjà discuté de tous ces points précédemment ad nauseam : l’avantage est largement en ma faveur. Mais je ne vois pas pourquoi je perdrai mon temps à répéter pendant que tu bavasses et est trop fainéant pour consulter l’historique.

2/ Concernant la dernière activité citée, elle représente l’apogée, le summum, le paroxysme, le zénith, l’épitome du mal collectiviste : payés la plupart du temps à attendre et aussi payés pour leur activité marginale. Un peu comme les éboueurs marseillais. Alors qu’il existe des modes d’organisation plus adéquats, moins chers et qualitativement supérieurs quant aux résultats. Une gabegie sans nom.


Le 11/02/2014 à 10h 03







cyrano2 a écrit :



On peut aussi parler de la dette privé dans ce cas ? La dépense public dans le PIB est normal ! L’argent tourne bien, et c’est ce que mesure le PIB.





Le PIB est censé mesuré la production, càd l’activité économique. La dépense public est une dépense à fonds perdus qui ne produit rien et n’engendre au mieux aucune activité, et plus vraisemblablement détruit le tissu économique en subventionnant les losers. Le seul argent qui tourne actuellement est celui de la planche à billets.


Le 11/02/2014 à 09h 17







cyrano2 a écrit :



Tu nous rappelles le taux d’endettement de l’Angleterre par rapport à son PIB ?





Je n’ai pas dit qu’on était les seuls à avoir une politique ruineuse d’hameçonnage social. Ceci dit, je n’essaierai pas de comparer des chiffres qui ne veulent rien dire : l’endettement ne tient généralement pas compte des dettes sociales (afin de ne pas effaroucher l’électeur craintif) alors que le PIB comprend la dépense publique (afin de faussement vernir le tableau économique).


Le 10/02/2014 à 12h 59







FunnyD a écrit :



+1, tous les services sur lesquels il ne peux pas y avoir de concurrence devraient être des services publics.







Tu ne vas pas jusqu’au bout de ton raisonnement : comme tout service proposé au public peut l’être mieux et pour moins cher par le privé parce que c’est justement le but même de la mise en concurrence, alors il ne reste plus qu’à laisser gérer tes “services publics” obligatoires exorbitants par des gens plus compétents et pour le plus grand avantage qualitatif et financier du public lui-même.


Le 10/02/2014 à 12h 42







Gilbert_Gosseyn a écrit :



Ou alors elle reviendra la queue basse car elle s’apercevra qu’il faut payer plus cher à l’étranger pour les servuces collectofs français (dont l’assurance maladie / retraite …).



La France est un des rares pays au monde à avoir une vraie assurance commune et peu onéreuse pour ses habitants cotisants. Va ne serait-ce qu’en Suisse ou Irlande pour rire, tu va très vite déchanter. La bas, si tu n’a pas un minimum (largement supérieur à la France) d’argent, tu peux crever la bouche ouverte, personne t’aidera !







Si je pars, ce n’est pas seulement parce que le calcul est vite fait, c’est aussi pour la liberté d’avoir le choix à cotiser pour financer mes besoins propres, et pas les systèmes de Ponzi sociaux dont l’endettement est financé sur le dos des générations à venir (ironiquement, c’est au nom de la “justice sociale” que nos collectivistes veulent conserver leur petits avantages électoralistes mal acquis).



Donc soit tu radotes pour le plaisir, soit la logique est un concept qui t’échappe (soit plus certainement le premier est la conséquence du dernier).


Le 10/02/2014 à 12h 28







Alain EtCo a écrit :



Il y a un truc assez drôle aussi… Ceux qui braillent le plus contre les taxes et les impôts sont assez souvent les même qui bénéficient le plus d’allègements, de subventions, d’abattements, etc….



Ils veulent bien le pognon de la collectivité, mais pas participer… Ca me rappel un truc ca, mais quoi …..







L’inversion des rôles est un peu trop transparente ou alors, plus probablement tu n’as pas saisi : je n’en veux pas de ton “pognon”, ni celui d’un autre, ni remisé. Je revendique qu’on me laisse le mien et la liberté de ne pas participer au concept fumeux de redistribution forcée que tu appelles “collectivité”, pour le dépenser comme je le souhaite.



Mais bizarrement, les cafards qui sont à l’auge commune font tout pour conserver leur pseudo-droits à disposer de la propriété d’autrui. Sous couvert de pseudo-solidarité forcée (résumée sous le vocable passe-partout et indéfini de “collectivité”), la marque de fabrique du collectiviste transparaît : parce que l’argent des autres me va bien.