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Valeryan_24

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Oups.
On dirait que quelqu'un ici aime garder ses petits secrets, comme si de par hasard il y avait quelque chose à cacher...
Désolé, ô lectrice de passage, cher lecteur égaré, pas de révélation sensationnelle pour le moment sur ce profil.
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413 commentaires

Offre légale, le PUR témoignage d’un consommateur en colère

Le 08/09/2012 à 15h 03






Zyami a écrit :

Tu aimes cela ?
http://www.youtube.com/watch?v=-bTovETTcpk



Renaud ? Oui, ce n’est pas mon artiste préféré, mais j’aime bien. Globalement je suis assez fan de variété française, de manière assez éclectique (dédicace aux Inconnus) - j’apprécie de comprendre les paroles - et aussi de dance / électro, musique classique…



Le 08/09/2012 à 14h 28

J’ai prévenu dans l’intro du document pour la qualité de mes goûts musicaux <img data-src=" />


Le 08/09/2012 à 13h 46

Et encore, pour les livres ou la vidéo, j’aurais pu mentionner le faible choix de titres accessibles à l’heure actuelle.






Deep_INpact a écrit :

Tel que l’on connait les majors et les “SACEM”, la solution sera peut être de créer un “service payant” ou une taxe pour qu’ils puissent s’autoriser à accepter tes brousoufs… <img data-src=" />



+1 Effectivement, là où ils sont très forts, c’est pour supplier l’état de leur accorder toujours plus d’aides, de taxer tout et n’importe quoi - CD, DVD, clés USB, disques durs, smartphones, tablettes, GPS (on délire, là !), le cloud est la prochaine victime… et ceci sans même rembourser les professionnels achetant ces supports pour leur travail.

On va finir (voire on y est déjà) par payer x fois pour la même chose, et ils gagneront plus qu’en vendant la musique, sauf que sur les taxes, l’artiste lui, il touche quoi ?

Je reprends donc mon idée, tant qu’à foncer dans le mur : on devrait créer une nouvelle redevance sur la douche également. C’est vrai après tout, chaque famille en a une et on peut chanter dessous des morceaux copyrightés. <img data-src=" />

Le marché du disque est-il réellement en crise et les ventes en baisse, ou tout cela n’est qu’un écran de fumée ? J’ai bien mon idée…

Car pour répondre à leurs con-sommateurs (ceux qui se font injurier depuis 15 ans : “pirates”, “voleurs”) assez masos pour essayer de faire des propositions constructives (il y en a eu un paquet), alors là plus personne, ils s’en moquent éperdument… Hypocri$ie ! <img data-src=" />



Le 08/09/2012 à 13h 01

En musique, ça n’existe pas en France (et dans d’autres pays de l’UE) sur Ubuntu One notamment, sinon dans l’ensemble - hormis ces restrictions géographiques ubuesques - je reconnais que l’offre globale, de manière plus ou moins forcée (ils ont tenté durant des années de nous imposer les DRM) a progressé.

Mais pour la vidéo (films, séries TV, VOD) et le livre électronique (e-books), on est encore en général à l’âge de pierre avec des plate-formes légales ridicules en terme de prix, chronologie (délais de disponibilité), verrous numériques etc…


Le 08/09/2012 à 12h 17

@chambolle : non, c’est avant tout une critique sans concession des majors qui refusent à Ubuntu (enfin, indirectement en leur imposant des conditions tellement drastiques qu’ils vendraient à perte) la possibilité de commercialiser leur musique sur leur store en France - en Angleterre, Allemagne, USA, ça fonctionne nickel, l’achat, le stockage, la synchro !

@yvan78 : Oui, je ne suis pas complètement stupide non plus ;) <img data-src=" />

Le VPN je le paye pour me connecter en Wifi sans risque lors de mes déplacements (aéroports, hôtels…), là je l’ai utilisé à titre d’exemple, afin de montrer l’absurdité du système.

Il est bien évident que je ne dépenserai PAS 1 seul cent via le VPN pour acheter de la musique légale : soit l’offre est disponible en France sur Ubuntu One et je paierai les artistes que j’apprécie, soit les majors n’auront pas mon argent.

Musique, vidéo, livres, journaux : des dinosaures et rapaces qui tous s’arc-boutent sur un modèle dépassé et refusent d’accéder en parallèle (les deux peuvent pourtant coexister) aux demandes légitimes de leurs clients, qui sont d’accord pour rémunérer les auteurs / producteurs, mais veulent en contrepartie du choix, de la simplicité d’usage, de la liberté.

Les acheteurs honnêtes seraient-ils en fait plus ennuyeux que les pirates, ces derniers étant l’excuse idéale pour faire voter de nouvelles lois sur-mesure ? <img data-src=" />

A ce jour en effet aucune offre dite légale n’arrive à la cheville de ce qu’il est possible de faire avec les outils numériques à notre disposition : disponibilité totale, interopérabilité, distribution pair à pair pour des contenus non soumis à copyright. Bref, les internautes innovent, le libre notamment (logiciels, musique, certains films) proposent cela, les éditeurs “commerciaux” toujours pas - cela ne fait que 15 ans après tout. L’espoir fait vivre. :oui2:


Le 08/09/2012 à 09h 50

@Commentaire_supprime : + 42 pour le rip des DVD.

Idem, je suis maintenant habitué à regarder les séries en anglais, pour certaines impossible de passer à la VF y compris en cas de diffusion précoce en France - à savoir sans attendre souvent 2 ans pour avoir les épisodes 3 par 3 à un horaire décalé, dans le désordre absolu et censurés, sans respect pour le travail des scénaristes ni du public, concernant l’évolution des personnages au fil des saisons. <img data-src=" />

Même au cinéma, pour des blockbusters, si parfois la salle le propose en VOST j’y vais de préférence.

Franchement, vu le temps passé à rédiger ce rapport, à chercher, comparer, charger avec / sans VPN, devoir en outre, si je veux acheter, faire plusieurs commandes selon que mon choix se trouve sur le store français / anglais, sans compter les frais que ma banque prendra sur le paiement en livres :

Croyez bien, MM. des majors du disque, de la SACEM / SACD, du Ministère de la Culture, de la Commission Lescure & Co, que sur les sites “illégaux”, j’aurais déjà facilement téléchargé tous les morceaux souhaités, en excellente qualité sonore, avec la discographie complète et la description détaillée (métadonnées, pochettes d’albums, paroles…), choix du format (MP3 / OGG / FLAC), interactivité avec les autres amateurs de musique (à défaut des artistes), acquisition de l’œuvre une fois pour toutes avec possibilité ensuite de la transférer sur l’appareil / support de mon choix, sans contraintes… <img data-src=" />

@jb : 1 million d’euros ? WtF ! Je comprends mieux la réponse d’Ubuntu… <img data-src=" />


Le 08/09/2012 à 09h 32

C’est bien là toute l’ironie de la situation, et on lit des articles similaires sur PC INpact ou Numérama chaque semaine : on complique la vie du client honnête, celui qui contourne la Loi n’est en rien gêné (à la fois pour la facilité technique et la qualité du produit final), ce n’est pas Hadopi avec leurs résultats ridicules (aussi bien sur le volet répression que sur celui de l’amélioration de l’offre légale existante) qui dira le contraire, eux qui coûtent 12 Millions d’€ / an aux contribuables. <img data-src=" />

Le B.A.BA du commerce n’est-il pas d’anticiper les demandes de ses clients, de s’adapter à l’évolution du marché, sociétale et technologique ? On en est très loin !

Précision, comme je le dis dans le texte sus-cité : je paie des abonnements à Canal + et Canal Sat (depuis 15 ans), Gaumont Cinéma carte Pass (2 ans), Spotify Unlimited (3 mois, grâce à l’Allemagne et mon VPN j’ai pu m’y inscrire sans passer par la connexion Facebook obligatoire) ET j’achète en plus des coffrets DVD (j’en possède des dizaines, saisons complètes de séries TV), ainsi que des albums en ligne (je préfère la possession à la location) en cas de VRAIE offre attractive.

Mais là, je commence à désespérer d’une évolution positive de la situation, ne parlons pas du droit d’auteur dont la durée est étendue sans cesse et du domaine public qui se réduit comme peau de chagrin… <img data-src=" />


Le 08/09/2012 à 09h 01

@Ricard : bah clairement, lorsque je constate avec quel mépris ou indifférence (qui ne m’étonnent plus, j’ai cessé depuis longtemps d’être idéaliste) les majors traitent le client qui souhaite acheter légalement les œuvres pour soutenir les créateurs, je n’ai plus qu’une envie : ré-enfourcher ma mule et lui faire franchir des torrents à toute vitesse, hors de France bien entendu ! <img data-src=" />


Le 08/09/2012 à 08h 35






POLO9999 a écrit :

@Valeryan_24, la Page 11 est en Bilingue (Anglais/Français), est-ce volontaire?



Au début oui - à la base ce document était juste quelques captures d’écran que j’envoyais par mail ou twitter aux labels et artistes concernés dans une tentative désespérée d’obtenir une réponse précise sur le pourquoi de ces disparités géographiques - là pour Warner c’est même encore plus étrange, eux ont donné leur accord pour être vendu sur l’Ubuntu Store dans toute l’Europe, mais selon qu’on se connecte avec une IP anglaise ou française, dans ce dernier cas on n’a pas accès à une partie des albums / singles les plus récents des chanteurs <img data-src=" />

Après c’est devenu au fil des jours un véritable texte illustré, et là comme ça sonnait bien (ça fait international), que la mise en page était cohérente et surtout que c’était 4H du mat’ je l’ai laissé <img data-src=" />

Merci d’avoir pris la peine de le signaler <img data-src=" />



Le 08/09/2012 à 08h 08

@EkASs : bien entendu, il ne s’agit pas de s’affranchir de l’accord avec l’ensemble des ayants-droit (je ne sais jamais où il faut mettre les “s” !), qui sont nombreux dans ce cas, d’où le grand boxon juridique en découlant - Canonical (la société qui “édite” Ubuntu), 7 Digital (qui fournit techniquement le Music Store), les majors (Universal, Sony, Warner, les indépendants), et les sociétés de gestion des droits (Sacem, Sabam, Socan, Gema…), j’en oublie peut-être.

Ce qui me dérange, c’est la disparité selon le pays concerné : en gros, pour de la musique, vendue sans DRM et pour laquelle la stratégie de “chronologie des médias” n’a aucun sens, les majors autorisent telle solution légale dans tel pays, et pas dans un autre : c’est surréaliste <img data-src=" />


Le 08/09/2012 à 07h 49

Tout d’abord, merci à Marc et PC INpact d’avoir si vite répondu - je lui ai envoyé un mail ce matin à 5H <img data-src=" />

Et pour cet article qui, s’il ne contribuera sans doute pas à solutionner le problème - je n’y crois plus guère aujourd’hui - a au moins le mérite de mettre en lumière l’hypocrisie de nos chères (au sens propre comme au figuré) majors….






chambolle a écrit :

J’espère qu’il n’y a pas autant de clichés dans le reste de l’article que dans cette phrase … Bonjour le parti pris de cet auteur <img data-src=" />



Je te rassure tout de suite : oui c’est une exception, dans un long texte très sérieux (quoique parfois monotone ou redondant), c’est l’une des quelques phrases décalées avec un peu d’humour pour faire réagir (et ça fonctionne).

Mais au-delà du second degré, l’analyse reste pertinente : Ubuntu se veut un système simple, facile à utiliser (et personnellement, avec la 12.04.1 je trouve qu’ils y sont arrivés, OK je suis un fan d’Unity). Son but est de nous offrir tous les outils pour travailler, échanger, avoir une expérience multimédia complète.

En ce sens, le Music Store en est l’un des éléments, au même titre que Itunes sur Mac et l’Iphone. Mais à cause de cette territorialité, quasiment aucun artiste connu n’est disponible sur le magasin numérique intégré à Rhythmbox avec synchro automatique, obligeant le consommateur à chercher ailleurs.

C’est ce que m’a répondu le groupe Tryo, que je remercie au passage car ils sont les seuls à avoir essayé de comprendre ma question et l’ont remontée à Sony : c’est dû aux économies d’échelle, la musique est un travail qui ne doit pas être bradé, et vous pouvez allez sur Amazon MP3.

Désolé mais non : je suis d’accord sur la juste rémunération que les chanteurs et producteurs doivent recevoir (la preuve je me démène pour payer), mais si vous ne souhaitez pas vendre sur le site légal existant de mon choix, pour lequel il n’existe aucun souci matériel ni technique, je n’envisage pas de dépenser mon argent ailleurs, question de principe.

Là c’est une barrière géographique aussi ridicule que celle ayant prétendument réussi à stopper un certain nuage radioactif <img data-src=" />



Édito : les éditeurs de livres ont-ils retenu les erreurs de l'industrie musicale ?

Le 01/09/2012 à 11h 25

L’offre légale de musique, si elle s’est améliorée, est encore loin d’être parfaite et complète : sur certains magasins existants, pas de souci technique mais encore des barrières géographiques (restriction par IP) surréalistes. Exemple Ubuntu One Music Store :http://ur1.ca/a2yw9 ! L’ensemble des majors et de nombreux indépendants sont inaccessibles aux internautes français, le catalogue n’est disponible entièrement qu’en Allemagne, Angleterre, USA. Super pour les artistes francophones et les utilisateurs d’Ubuntu qui veulent profiter de ce store intégré et de la synchronisation entre PC et smarthones… :-(


Twitter certifie désormais ses partenaires, qui peuvent arborer de beaux logos

Le 31/08/2012 à 14h 11

Euh… Au hasard Identi.ca / status.net ? <img data-src=" />

http://identi.ca/doc/about