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vermi

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33 commentaires

Le 16/09/2021 à 07h 38

On ne peut jamais dire non à une carte graphique, surtout en ce moment :D

Le 18/11/2019 à 13h 54

Sur la freebox il suffit d’activer le “firewall IPv6”, qui fera exactement ce que tu veux. Il bloque toutes les connexions entrantes vers le réseau.

Le 18/11/2019 à 13h 53







Tandhruil a écrit :



Je ne suis pas un spécialiste mais il n’est pas possible de faire une infra en IPV6 qui convertit les adresse V4 en V6 ?





Ca ne me semble pas possible. Le problème c’est que la personne recevant un paquet IPv4 (venant d’une personne qui ne connait que IPv6) doit avoir une IPv4 Source. Comme il y a beaucoup plus d’IPv6 que d’IPv4, il me semble impossible de faire un paquet IPv4 à partir d’un paquet IPv6.



L’inverse est possible :&nbspfr.wikipedia.org WikipediaMais ici, on donne juste 1 un range IPv6 à un client IPv4 qui en fait la demande. Et ça demande déjà pas mal de logistique au niveau du réseau, avec la présence de passerelles qui vont faire le lien entre les 2 protocols.



Je ne sais pas trop si je suis clair dans mes explications, n’hésite pas à me dire si je suis trop confus.


Le 29/05/2019 à 16h 02







Minikea a écrit :



je suis assez d’accord. et pour le domestique, le plus écologique c’est encore la roue à aube, mais faut avoir un cours d’eau près de chez soi. le photovoltaïque n’est pas écologique (utilise du pétrole pour sa création) et l’éolien non plus : consomme plus d’électricité pour sa production que ce qu’il est capable de générer dans sa vie et recyclage aux fraises, tout comme pour l’autre d’ailleurs.

du coup, à moyen et court terme le nucléaire est la solution de génération d’électricité qui peut nous empêcher de faire encore grimper le taux de CO2, ce qui est pour le moment notre problème majeur. pour le long terme par contre, pas de solution miracle. aucune n’est exempte de défaut. la fusion froide si on y arrive un jour?





Source pour le retour énergétique des éoliennes ? Le réveilleur (qui est bien renseigné) indique au contraire que le taux de retour énergétique est très bon pour les éoliennes :&nbspyoutube.com YouTube


Le 21/11/2018 à 10h 54

Merci pour les précisions :)



J’ai vu pas mal d’infos passer sur le support du KVM à travers DASH. Si ça n’est que pour Ryzen Pro, c’est un peu dommage…

Le 21/11/2018 à 10h 15

Il me semble qu’il est plutôt logique qu’aucune carte Ryzen ne supporte IPMI, puisqu’AMD utilise un autre standard : DASH.



Les fonctionnalités semblent comparables à celles d’IPMI., et on peut trouver des cartes mère en mini ITX pas trop chères :&nbsphttps://www.asrock.com/MB/AMD/AB350M Pro4DASH/index.asp



Je ne sais pas si ça change tout niveau tarif, vous avez regardé de ce côté ?

Le 11/04/2018 à 15h 00







TheGuit a écrit :



C’est d’autant plus gag/grave que personne ne me fera croire que c’était TELLEMENT plus simple d’écrire 1.1.1.1 que d’écrire 10.0.0.0 qui lui est disponible en utilisation privée. 





C’est clair, ou même utiliser une IP “Link Local” :&nbspen.wikipedia.org Wikipedia


Le 24/12/2016 à 16h 33

A priori, d’après ce que je lis, l’effet piézoélectrique se fait à la déformation de l’objet, ce qui correspond à ce que je décrivais. Le mouvement peut-être très réduit, mais ça reste un mouvement. (L’illustration sur le côté de l’article semble montrer aussi qu’il faut une déformation du matériaux pour avoir un courant électrique).

Le 24/12/2016 à 15h 41

Je parle du principe de la route à pression (je pensais avoir cité le commentaire, désolé). La technique utilisée pour la réalisation n’est pas en cause ici, c’est surtout le principe.

Pour que la route produise de l’électricité, elle doit recevoir de l’énergie. Et dans le cas d’une route à pression, l’énergie vient des véhicules, et donc de leur moteur. Un véhicule stationné sur une route à pression ne produira aucune énergie.



Désolé si je n’arrive pas à être clair, je ne suis pas toujours bon pédagogue :/

Le 24/12/2016 à 15h 28

L’idée des routes a pression peut semble alléchante, mais il faut détailler le principe. L’idée est d’utiliser une route capable de s’affaisser localement, et utiliser l’énergie d’affaissement local pour produire de l’électricité.



Mais si la route est toujours affaissée localement sous les roues, alors quand une voiture avance, même sur le plat, elle se retrouve à “monter” la pente engendrée par l’affaissement. Ce qui augmente la consommation de la voiture.



Au final, une route avec des capteurs des pression ne fait que transformer l’énergie produite par les voitures (donc venant du pétrole) en électricité. Une partie est forcément perdue dans la conversion, donc au final, on augmente la pollution due aux émissions des voitures.

Le 24/12/2016 à 15h 24







boogieplayer a écrit :



Tout est dit. “Si on essaye pas, on ne saura pas”. C’est une bonne nouvelle ce km de tests, cela va donner de vraies données empiriques que l’ensemble de la communauté scientifique pourra analyser. 



Toujours critiquer, être négatif dès le début c’est usant. 1 km de route en test ça va tuer personne, et après cela si c’est positif, le genie industriel fera le reste.





Je suis bien d’accord, on ne peut critiquer sans chiffre. Sans tenter l’expérience, c’est autre chose. Je pense qu’on est tous d’accord pour dire que sauter du haut d’un pont est une mauvaise idée, même sans tenter l’expérience.



Si on cherche un peu, on peut trouver des informations. Autant il est pardonnable pour un particulier de ne pas être expert en panneau solaire, autant quand on est ministre et qu’on engage plusieurs millions d’euros, on ne le fait pas comme ça. Quand le résultat est disponible sur youtube et qu’une simple recherche de quelques minutes peut économiser 5 000 000 d’€ de perte, dont-on parler de négligence ? d’incompétence ? ou de copinage ?



Regardeyoutu.be YouTubeLe plus intéressant, c’est de voir qu’il n’existe PAS de moyen technique permettant au final d’avoir un meilleur rendement sur les routes que sur des panneaux “classiques”. Le problème n’est pas technique, il n’y a pas “d’astuce” qui ne puisse s’appliquer QUE pour les panneaux des routes. Toute baisse du coût de production de ces panneaux routiers, se fera également sur les panneaux “classiques”. Les problèmes viennent de la structure même du projet :

 - Les routes ne sont pas orientées correctement face au soleil (contrairement au solaire “classique”)

 - Les routes sont masquées par des véhicules qui font de l’ombre régulièrement (là aussi, contrairement au autres panneaux)

 - Enfin, les routes subissent une usure beaucoup plus forte que les panneaux aériens. Les casses sont donc moins fréquentes (ce qui compte beaucoup dans la rentabilité d’un système).



J’espère que ces explications montrent pourquoi le projet est fondamentalement foireux, et pas juste une expérience qu’il faut tenter.


Le 31/07/2014 à 09h 39







aureus a écrit :



Si tu pouvais être plus explicite pour les néophites ca m’interesse aussi <img data-src=" />



Par ce que si je me trompe pas c’est le gros problème actuelle des logiciels P2P, c’est qu’il nécessite tout de même un serveur, la donnée est en P2P, mais les métadonnées sont centralisés.







Bittorrent utilise DTH pour trouver les informations et communiquer. DHT = Distributed Hast Table. En gros, c’est une base de données publique et distribuée sur le réseau. Tout le monde peut écrire et lire dedans.

Pour se connecter la première fois, un client bittorrent utilise les noeuds router.bittorrent.com et router.utorrent.com, qui lui donnent les adresses d’autres clients. Par la suite, le client se connecte aux nouvelles adresses IP qu’il a enregistré :)


Le 16/05/2014 à 14h 56

“1,99 million d’euros pour le Nouvel Observateur et QuotidienObs, « premier quotidien digital pour un News magazine ».” –&gt; Digital = Doigt . Je ne vois pas le rapport avec le numérique. Ca commence mal quand on ne fait même pas l’effort de chercher la signification des mots pour 2 milions d’€.

Le 25/04/2014 à 11h 01







tmtisfree a écrit :



Merci pour la réponse. Il semble donc qu’il n’existe pas de solution technique pour faire passer en priorité un flux donné par Internet. Ce qui est le nœud du problème, vraiment.



Quelque chose me dit qu’on est à l’âge de pierre de la communication .





Il existe des solutions techniques, mais proprement inaccessibles côté client. C’est le principe même de la QoS : gérer la prioriété des flux. C’est très restreint au sein même de TCP/IP, mais les routeurs savent bien faire ça :)


Le 24/04/2014 à 14h 51







tmtisfree a écrit :



Comment les intermédiaires techniques font-ils pour connaître et accepter de prioriser ces IP plutôt que d’autres ? Qu’est-ce qui empêche toute autre logiciel d’utiliser ces mêmes bits de QoS ? En clair qu’est-ce qui différencie techniquement ces flux et qu’est-ce qui les protège ? (La question m’intéresse parce que j’ai un projet dans ce domaine.)







Je ne sais pas si quelqu’un a déjà répondu, (il y a 5 pages de commentaires que je n’ai pas lues), mais les bits de QoS sont remis à 0 par les FAI pour tous les client dès que les paquets arrivent sur le 1er routeur du FAI. Après, pour le reste, il existe des offres spécifiques pour les accès médicaux, mais là ma compétence commence à s’effriter. Je suppose que dans la plupart des cas, les connexions passent par renater, et c’est eux qui se débrouillent.


Le 24/04/2014 à 12h 32







tmtisfree a écrit :



Comment sont différenciés ces flux pour les prioriser sur Internet ?







Plusieurs solutions : des IP spécifiques sont utilisées. Des bits de QoS sont aussi mis en place dans les entêtes TCP/IP des paquets.







maestro321 a écrit :



Bha en même temps ça n’a rien de choquant, il s’agit de services “prioritaires”.

Pour faire une analogie bagnolesque, c’est comme les véhicules prioritaires, c’est une question de bon sens.



Mais sur le route, les camions d’UPS ne sont pas prioritaires sur ceux de la poste..





C’est exactement ce que je pense :)


Le 24/04/2014 à 11h 35

Je pense qu’il est important de noter que les flux prioritaires sont déjà une réalité, dans un cas qui fait relativement concensus : La télémédecine.

Autant, pour des applications spécifiques il semble évident que les flux soient prioritaires, autant que ça devienne une place de marché est autre chose.

Comme toujours, seule l’absence complète de commerce de la priorité des flux est contrôlable, toute entorse, même minime, mènera immanquablement à un désastre. Sur ce point, de nombreux romans d’anticipation apporteront nettement plus d’arguments que je ne pourrais en donner. C’est bien dommage qu’aucun décideur ne se donne la peine de les lires <img data-src=" />

Le 24/04/2014 à 12h 30







cyrano2 a écrit :



Abandon ? Ou ça ? Dans le web peut être.







Dans les webservice sur le web oui. C’est plus léger, plus lisible, beaucoup d’avantages. Après, comme je l’ai indiqué, le XML a l’avantage de pouvoir être transporté avec sa DTD, ce que le json ne sait pas faire (du moins directement).


Le 24/04/2014 à 11h 38







cactusbidon a écrit :



Il est question de l’AFDEL pour le coup dans l’article qui n’a rien à voir avec l’état à priori…









cactusbidon a écrit :



Il est question de l’AFDEL pour le coup dans l’article qui n’a rien à voir avec l’état à priori…







Effectivement, autant pour moi. C’est du coup encore plus problématique si c’est l’organisation qui doit représenter le secteur <img data-src=" />


Le 24/04/2014 à 11h 21







artragis a écrit :



RDF?http://www.w3.org/RDF/

Et puis sinon pourquoi XML? C’est lourd comme langage et le parseur DOM est bien moins performant qu’un parseur JSON ou yaml.



Autant c’est nécessaire de faire ce genre d’initiatives politique autant les solutions techniques proposées me font penser à “comme ça existe déjà on fera pas plus”.







A l’heure de l’abandon progressif du XML pour le passage au JSON, l’état décide de pousser le XML <img data-src=" /> Comme d’habitude, 2 trains de retard.

Après, l’XML a un avantage certain, c’est qu’il est simple d’écrire des DTD permettant de définir proprement (et de valider) le format d’échange. C’est un peu plus délicat en JSON.


Le 16/04/2014 à 19h 41







HarmattanBlow a écrit :



Non et la preuve : il y a des fichiers de milliards de CB en circulations et il n’y a pas des milliards de compte en banque vidés. Parce que le système bancaire fonctionne ! Avec bitcoin tous ces comptes seraient intégralement vidés sans que personne n’y puisse rien. Comme je l’ai dit la sécurité du système bancaire ne repose pas sur l’informatique ou la cryptographie mais sur un système institutionnel de confiance et une lourde et suspicieuse bureaucratie.





C’est du même niveau pour la NSA. La différence c’est qu’avec Bitcoin tout le monde aura ce niveau d’intrusion dans ta vie privée, pas seulement la NSA ou Visa mais aussi ta femme et ton patron.





Ce n’est galère qu’en apparence car en réalité les algos ont vite fait de recouper les adresses associées à un même individu tandis que le reniflage réseau permet aisément à de grandes agences d’obtenir les identités réelles associées à ces comptes. Sans parler de tous ceux à qui tu fileras volontairement ton identité réelle (sans parler du fait que ton identité virtuelle est aussi ton identité, même lorsqu’elle n’est pas rattachée à un nom).





Ce ne sont pas nos outils, c’est la nature humaine. L’individu n’accepte pas de voir le montant de son revenu diminuer.





Ça ne fonctionne pas et c’est pour ça qu’on ne fait pas reposer les choses importantes sur ça. C’est pour ça que les banques ne s’appuient pas que sur le chiffrement. Et c’est parce que ça ne fonctionne pas que la DGSE et les autres peuvent écouter l’essentiel de ce ce qu’ils veulent (et stockent le reste pour l’écouter dès qu’ils le pourront - bientôt).







Bon, je vais faire une réponse en block, parce qu’il est tard :p Oui des comptes sont vidés tous les jours, et oui ces compte sont remboursés par des assurances. Rien que le bitcoin, même dans sa forme actuelle ne puisse faire.



Et oui la sécurité informatique fonctionne, vraiment, ce n’est pas un myth, et la DGSE n’écoute pas tout ce qu’elle veut quand elle veut. Elle n’écoute que ceux qui lui en laisse la possibilité. Si tu le souhaites, tu peux vraiment crypter des données de manière indéchiffrable, il faut cependant accepter des contreparties. Les données ne sont pas facilement accessibles. Une clé privée bitcoin peut être bien mieux protégée que n’importe quel numéro de carte bleue qui peut-être éventuellement généré à partir d’un algorithme ! CB =&gt; Clé publique (on la donne à tout le monde) + code à 4 chiffres. Niveau sécurité, on sait faire mieux. Même si actuellement le bitcoin ne propose qu’un mot de passe, cette sécurité peut être amenée à évoluer par divers moyens, y compris un tier de confiance proposant une authentification par sms !



Enfin, la nature humaine est ce qu’elle ait, tout le monde souhaite garder son revenu, mais les monaies restent des outils, l’humanité a bien su fonctionner sans ^^ C’est juste plus pratique comme ça, c’est tout.


Le 16/04/2014 à 17h 54

Tu reprends ce que j’ai dit, mais tu déformes légèrement mes propos.

Que les crypto-monaies s’imposent ne veut pas dire qu’elles remplaceront les autres monaies.



a) Ton argument est valable pour toute monaie, les banques actuellement sont pourries de failles, les crypto-monaies sont de loin plus sécurisées, même si comme pour toute sécurité, elle n’est pas parfaite. Ces algorithmes sont statistiquement viables !



b) Le paradis pour la NSA c’est quand ta carte bleue est gérée par une entreprise américaine genre VISA ou MasterCard. Bitcoin = galère. De plus, les adresses ne sont pas associées à un pseudonyme et peuvent changer très souvent. Bien plus galère qu’une CB échangée contre une carte d’identité en somme.



c) Comme je l’ai dit, le changement de paradigme économique est très grand, et nos outils actuels (crédit par exemple) s’adaptent mal à une monaie en quantité fixe. Mais là encore, il s’agit d’un changement, d’un boulversement. Le système des monaies fiduciaire montre certaines limites actuellement, il est loin d’être parfait. Mais aucun système ne l’est, le système n’est qu’un moyen :)



d) Rien n’est jamais acquis. JAMAIS. Et pourtant, actuellement ça fonctionne, pourquoi ça ne fonctionnerait pas dans le futur ? La j’ai envie de répondre : la réponse D <img data-src=" />



En tout cas, merci pour ton point de vue que je trouve nettement plus travaillé que 95 % de ce que je lis en général :) C’est fort rafraichissant !

Le 16/04/2014 à 15h 46

Je ne l’ai pas précisé, mais mon avis est clairement orienté, puisque je suis sur la lune avec mes dogecoins <img data-src=" />

Le 16/04/2014 à 15h 30

Avec toutes ces histoires de ponzi, on oublie le plus important avec les Crypto-monaies : Elles changent radicalement le paradigme financier en place. De plus, elles ne sont contrôlés par personne, chaque utilisateur effectuant son propre contrôle.

C’est un changement énorme, bien qu’il puisse sembler subtil. Il devient impossible de manipuler le cours de la monaie en décidant soudainement de produire plus de BitCoin. Il reste cependant possible de détruire des bitcoins (et cela arrive même de temps à autre lorsqu’un utilisateur perd son wallet). Bien que les bitcoins ne soient jamais réellement détruits, il est impossible de les récupérer.

Si les crypto-monaies arrivent à s’imposer, elles changeront durablement le monde, sûrement beaucoup plus que nous ne l’imaginons maintenant. Des transferts instantannés, jours et nuit, sans frais (ou presque), permettant d’envoyer de l’argent dans le monde entier ! Si une monaie arrive à se faire accepter dans un grand nombre de pays, il serait alors dur de facturer des frais de change.



Le risque est également que chaque grande entreprise décide de créer sa propre crypto-monaie, utilisable uniquement chez elle (par exemple des CarrefourCoin).



Mais tout ça n’est que rarement évoqué, pour l’instant tout le monde se contente de dire que ce sont des billes ou des jouets <img data-src=" />

Le 16/04/2014 à 12h 37







Queno a écrit :



Le régime nazi était une pyramide de pontzi, c’est l’écroulement de cette pyramide qui a écroulé le mur de Berlin par dommage collatérale. La momie de pontzi est sortit de la pyramide écroulée et c’est le mot français “momie” qui a donné naissance au mot anglais “mommy” en référence à la “mère” patrie de l’Allemagne de l’est.



Hitler lui même soutenait le Bitcoin et utilisait la main d’œuvre qu’il avait récupérer dans les camps de concentration pour en miner. L’endettement de la France en découle tout naturellement.



Source : WikipedepikiW







Tout s’explique ! On nous ment depuis le début !


Le 16/04/2014 à 12h 20







WereWindle a écrit :



N’empêche que ça marche, on est complètement dans le HS de l’infini là (un des objectifs du troll, rappelons le) <img data-src=" />



@Ellierys : on sait combien il y a de plateforme type Mt.gox (qui font le même taff, hein, pas qui sont dans le même état)?







Il y en a un bon paquet. Cryptspy a pas mal de volume, ils existe également de plus petites bourses d’échange comme Kraken, Bter, CoinMKT… Enfin, il existe 1 bourse d’échange bitcoin française : bitcoin-central.


Le 16/04/2014 à 11h 57







monpci a écrit :



ponzi est le point dogwin (woow) du bitcoin :)







Il faut créer un point ponzi <img data-src=" />


Le 16/04/2014 à 11h 40







WereWindle a écrit :



ça fait partie des passages obligés

BitCoin -&gt; Pontzi

Censure ou Liberté d’expression -&gt; Corée du Nord et/ou nazisme

Logiciels -&gt; comparaison bagnolesque



Tu peux voir cela comme des nécessités narratives <img data-src=" />







Il va falloir que je fasse attention, je risque de me faire troller si je continue comme ça <img data-src=" />


Le 16/04/2014 à 11h 28







Railblue a écrit :



Et voilà, la pyramide de Ponzi s’effondre…



En espérant que ceux qui ont mis des ronds dans l’aventure ne se retrouvent pas tous à la rue…







Aucun rapport avec une pyramide de Ponzi Ôo Si ta banque se fait voler, on ne considère pas qu’il s’agit d’un schéma de Ponzi !


Le 15/04/2014 à 16h 49







Chloroplaste a écrit :



Merci pour ces informations. <img data-src=" />



Sinon pour en revenir au bitcoin, ma plus grand crainte à terme est que toute la puissance de calcul allouée à la vérification de blocs ne soit entre les mains d’un trop faible nombre d’individus.

D’ailleurs comment se passerait la décision et qui la prendrai, s’il s’agissait de reévaluer le seuil des 21 millions de BC ?









Il est possible de modifier le réseau, mais une telle modification provoquerai un fork (comprendre : les personnes n’ayant pas mis à jour refuserait les nouveaux blocks). Un fork est toujours risqué, il peut permettre à 2 chaînes de co-exister.

Bitcoin et les autres crypto-monaies sont basées sur un consensus partagé, toutes les personnes ayant le même consensus fonctionnent ensemble sans problème. Si quelqu’un change le consensus pour lui tout seul, il s’isole du réseau.



EDITED : Mauvais reply <img data-src=" />


Le 15/04/2014 à 15h 22







Thald’ a écrit :



La rareté.







C’est la rareté par rapport à la demande. Si demain l’oxygène venait à manquer, quelque soit sa quantité, sa valeur serait vite énorme, puisque la demande serait énorme. Dans une économie de marché, la valeur est forgée en grande partie par l’offre et la demande.


Le 15/04/2014 à 08h 05

Cette mise à jour est un gros bras d’honneur à hadopi <img data-src=" /> Il est possible de redirriger le gestionnaire de téléchargement à travers un VPN \o/

Le 22/08/2013 à 08h 18

Le projet commence plutôt mal, je m’inscris à la mailing-list en entrant un mot de passe. Je reçois ensuite un mail :



“Meci pour votre inscription, votre mot de passe est : xxxxx”. Merci de m’envoyer mon mot de passe en clair par mail, bien joué !



Idée n°1 : Sécuriser la mailing-list du projet.