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nilusk

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8 commentaires

Le 16/09/2021 à 10h 20

Allez!

Le 19/01/2018 à 11h 24

Il y a une erreur dans la news, l’ « Ensemble de personnalisation » contient juste des stickers et de la bande autocollante permettant de customiser les accessoires des 2 autres kits.



La bestiole qui est sur la boîte fait partie du kit #1 (celui vendu à 64,99-69,99€)



Source :https://switchfan.org/wp/wp-content/uploads/nintendo-labo-kit-personnalisation-8…

Le 12/04/2016 à 09h 57







freechelmi a écrit :



Je suis d’accord et je le soulignais. Une solution sera de créer un deb qui contient Wine + office et le mettre a dispo sur un dépot annexe , apt-get install office2010 :-)





Ou alors Canonical rend l’installation de logiciels propriétaires sous Ubuntu aussi simple que celle des pilotes propriétaires de cartes graphiques. Mais dans ce cas-là la taille de l’iso et du système installé explose!


Le 12/04/2016 à 09h 47







Omegatreize a écrit :



C’est une erreur un GUI simpliste existe pour cela, voir mon précédent post :)



Ouaip ça existe mais ça rajoute pas mal d’étapes à l’utilisateur novice par rapport à juste cliquer sur un setup.exe. Tant que ce ne sera pas aussi simple et officiellement supporté comme sous Windows ou OS X, ça restera un frein pour la plupart des utilisateurs.


Le 12/04/2016 à 09h 29







freechelmi a écrit :



Office est un faux problème maintenant sur linux car Office 2010 fonctionne à la perfection. Mais ça demande un peu de determination pour l’installer correctement ( pas de support multiutilisateur par exemple)



 

Il ne s’agit pas juste de pouvoir faire tourner toutes les applis sous Linux, il faut qu’elles soient facilement accessibles. Or, installer et configurer Wine pour pouvoir lancer Office 2010 me semble un peu lourd pour l’utilisateur lambda.


Le 12/04/2016 à 09h 25







brazomyna a écrit :



Je vois une autre évolution à moyen/long terme: plus les choses avancent plus les applicatifs sont déportés dans le cloud ; pour moi (et même si on en est encore bien loin), la notion d’application qu’on installe localement sur une machine et qui (accessoirement) dépend de l’OS est en train de doucement péricliter.

 

Les exemples sont encore plus ou moins balbutiants, mais l’idée générale semble là quand on voit l’essor des webmails, Office (un porte étendard à lui tout seul) qui propose une solution dans le cloud, ou encore le bouilonnement du côté des technos web pour faire avancer les choses (google et sa sandbox qu’est chromeOS compris).



Alors évidemment, ce principe n’est pas adapté à TOUTES les applications, mais je pense que plus les choses avancent, moins le choix de l’OS deviendra un choix contraignant pour les applications et les usages qu’on voudra faire de sa station.  Et moins les applicatifs dépendront de l’OS, moins le poids de l’existant sous windows jouera en défaveur de linux

 

 





Je suis d’accord avec ce constat. Même si dans le monde (et même ne serait-ce qu’en France) tout le le monde n’a pas les débits nécessaires pour tout faire migrer vers le cloud, de plus en plus de logiciels vont sauter le pas.



Mais on en arrive au même problème qu’apporterait un portage massif d’applications proprio sous Linux, à savoir : un OS libre qui ne sert que de base à des logiciels propriétaires, puisque les applications qu’on utilise dans le cloud sont très rarement libres.


Le 12/04/2016 à 09h 21







Lafisk a écrit :



D’accord et pas d’accord, Déja, niveau interface générale, les efforts coté linux sont relativement récents … y’a 10 ans c’était pas forcément tres folichon les interfaces sur du linux.



Niveau appli, si on prend aujourd’hui pour office, clairement l’interface est trop différente de l’équivalent Linux, mais avant le passage au ruban, l’interface était casi identique et pourtant cela n’a pas fait ens orte que les gens switchent a cette époque non plus mais a cette époque, justement l’ergonomie était franchement médiocre car tu ne pouvais pas te passer de ligne de commande malgré le fait que l’usage par UI était bien amélioré mais loin d’etre ne serait-ce qu’au niveau d’un windows 98 alors qu’on était déja a l’époque vista sur windows …



Et par contre, en effet, meme si du cote linux les format ouverts fonctionnaient tres bien, leurs incompatibilité avec office et surtout vice versa, n’ont pas aide la plateforme alors qu’aujourd’hui la tendance est plutot inverse





Pas vraiment d’accord sur l’état du desktop il y a 10 ans. Je suis justement passé à Linux à cette époque, et on avait de très bon bureaux prêts à l’emploi et dans les standards de l’époque fournis dans les distributions grand public :




  • un KDE 3.5 très complet avec des applis extrêmement bien intégrées entre elles

  • un Gnome 2 plus ergonomique qu’XP mais sans le côté kitsch - souviens-toi de la barre des tâches bleu plastique ;)

  • Compiz qui permettait déjà les effets visuels de Vista un an avant sa sortie



    Et concernant Office il y avait plusieurs problèmes qui ne facilitaient pas la migration à OpenOffice. Le support des formats Microsoft classiques n’était pas parfait (la mise en page sautait assez souvent), et le format OOXML commençait à pointer le bout de son nez.


Le 12/04/2016 à 08h 42

Honnêtement, je ne pense pas que les interfaces graphiques disponibles sous Linux aient grand chose à voir avec sa non-adoption. On peut être confus par le nombre de celles-ci, mais de toute façon dans 90% des cas un débutant sous Linux sera très vite orienté vers Ubuntu et son interface Unity, qui est aussi simple à appréhender que Windows ou Mac OS.

 

Ce qui retient les utilisateurs sur les OS propriétaires, c’est tout simplement les applis. Pour beaucoup d’usages (internet, films, jeux indés, …) Ubuntu fonctionne très bien et est très simple d’accès. Je dirais même que c’est l’OS le plus adapté. D’autant que la plupart des logiciels utilisés pour ces usages sont multi-plateforme, ce qui facilite la migration.



Par contre, dès qu’on touche aux outils de travail (Microsoft Office, les logiciels audio professionnels, les produits Adobe, Autodesk, etc…), il est beaucoup plus difficile de convaincre l’utilisateur d’aller sur une plateforme où il ne retrouve pas ses outils du quotidien, et ce pour trois raisons :




  • le manque de temps pour apprendre à utiliser de nouveaux outils quand on est familier depuis plusieurs années avec des outils propriétaires

  • l’absence de certaines fonctionnalités dans les solutions libres (le support du CMJN à peu près absent dans GIMP, par exemple, gênant pour les graphistes)

  • les problèmes de compatibilité (formats de fichiers non ouverts donc pas ou mal supportés, et qui sont parfois des standards incontournables dans certains corps de métiers)



    Donc si on veut une adoption plus large de Linux sur le desktop, il y a deux solutions :

  • Porter les logiciels propriétaires sous Linux. Mais est-ce qu’on gagne réellement à avoir Linux partout si ça ne devient qu’une base libre pour lancer des logiciels propriétaires, à la Android?

  • Développer des logiciels libres qui vont plus loin que proposer une alternative libre aux logiciels proprio. Si on ne fait pas ça, le libre est condamné à mimer les logiciels propriétaires avec du retard. En gros, il faut proposer des killer apps qui redéfinissent la façon de travailler des gens. Ce qui est un gros, gros, gros challenge et nécessite une organisation pas facile à mettre en place dans l’écosystème du libre. Comme exemple de réussite on peut citer Firefox qui dans son âge d’or a tué Internet Explorer en se concentrant sur les nouveaux usages et standards du Web.