une partie du commentaire initial ayant été tronqué et la fonctionnalité “éditer” n’enregistrant pas les modifications (?), ci-dessous la partie qui complète est remplace la dernière partie du commentaire…
“Une politique dont l’application est exercée par différents acteurs : CAF départementale (financement et contrôle) ; le Département (protection maternelle et infantile qui attribue les agréments des assistantes maternelles et qui certifie les structures collectives) ; les collectivités (commune ou intercommunalité qui développe des services pour informer sur les mode de garde tel un relais assistant maternel et/ou pour accueillir les enfants), des associations (qui peuvent avoir des rôles similaires aux collectivités) et des assistantes maternelles.
Chaque acteur a ses prérogatives et centres d’intérêt, ce qui donne un fonctionnement plus en silo que coopératif, malgré les multiples réunions de coordination…
Si l’on fait un focus sur un angle “data”, les acteurs institutionnels ont chacun des infos sur les assistantes maternelles (certaines sont peut être contradictoires). Peut-être est-il temps que monenfant.fr devienne une plate forme référence où les acteurs institutionnels partagent une stratégie de gouvernance des données profitable à tous : familles, assistantes maternelles, collectivités, CNAF… (tout en étant conforme avec le RGPD).
Le
08/12/2019 à
09h
40
A priori, car je n’ai pas lu le projet et me base que sur cet article, la philosophie du projet de loi semble plutôt logique : favoriser l’adéquation entre recherche et disponibilité de place de garde pour l’accueil du jeune enfant.
Pour l’accueil individuel, remontent des assistantes maternelles (ou de leur représentants) seulement des craintes, dont certaines peuvent être légitimes.
Rien de positif alors ?
Si je comprends bien l’une finalité de ce projet loi est : “avez-vous encore des disponibilités d’accueil ?” Un aspect pourtant souvent abordé par les assistantes maternelles.
Une assistante maternelle n’ayant plus de place (par rapport à son agrément ou à ses souhaits du moment) et qui reçoit chaque semaine des sollicitations pourrait apprécier la diffusion de cette info sur monenfant.fr.
Idem pour une assistante maternelle qui à l’inverse a des disponibilités.
Resterait encore à se pencher sur la définition et l’affichage de la disponibilité (immédiate et/ou à moyen terme ?)
Je ne sais si le projet de loi aborde le sujet de fonds de l’accueil du jeune enfant (mode individuel ou collectif) ou s’il s’agit d’une “mesurette”. Le sujet de fonds est la gouvernance :
Une politique établie par la caisse nationale d’allocations familiales (CNAF) dont l’application est soumise à des interprétations variables selon les caisses départementales.
Une politique dont l’application est exercée par différents acteurs : CAF départementale (financement et contrôle) ; le Département (protection maternelle & infantile qui attribue les agréments des assistantes maternelles et qui certifie les structures collectives
Chaque acteur ayant ses prérogatives et centres d’intérêt, la tendance est plutôt au fonctionnement en silo qu’à la coopération, malgré de nombreuses rencontres annuels entre acteurs…
Si l’on fait un focus sur un angle “data”, les acteurs institutionnels ont chacun des infos sur les assistantes maternelles, certaines étant peut être contradictoires.
Peut-être est-il temps que monenfant.fr devienne une plate forme référence où les acteurs partagent une stratégie de gouvernance des données profitable à tous : familles, assistantes maternelles, collectivités, CNAF… (tout en étant conforme avec le RGPD).
2 commentaires
« Flicage » des nounous : la réforme définitivement adoptée
05/12/2019
Le 08/12/2019 à 10h 01
une partie du commentaire initial ayant été tronqué et la fonctionnalité “éditer” n’enregistrant pas les modifications (?), ci-dessous la partie qui complète est remplace la dernière partie du commentaire…
Chaque acteur a ses prérogatives et centres d’intérêt, ce qui donne un fonctionnement plus en silo que coopératif, malgré les multiples réunions de coordination…
Si l’on fait un focus sur un angle “data”, les acteurs institutionnels ont chacun des infos sur les assistantes maternelles (certaines sont peut être contradictoires). Peut-être est-il temps que monenfant.fr devienne une plate forme référence où les acteurs institutionnels partagent une stratégie de gouvernance des données profitable à tous : familles, assistantes maternelles, collectivités, CNAF… (tout en étant conforme avec le RGPD).
Le 08/12/2019 à 09h 40
A priori, car je n’ai pas lu le projet et me base que sur cet article, la philosophie du projet de loi semble plutôt logique : favoriser l’adéquation entre recherche et disponibilité de place de garde pour l’accueil du jeune enfant.
Pour l’accueil individuel, remontent des assistantes maternelles (ou de leur représentants) seulement des craintes, dont certaines peuvent être légitimes.
Rien de positif alors ?
Si je comprends bien l’une finalité de ce projet loi est : “avez-vous encore des disponibilités d’accueil ?” Un aspect pourtant souvent abordé par les assistantes maternelles.
Resterait encore à se pencher sur la définition et l’affichage de la disponibilité (immédiate et/ou à moyen terme ?)
Je ne sais si le projet de loi aborde le sujet de fonds de l’accueil du jeune enfant (mode individuel ou collectif) ou s’il s’agit d’une “mesurette”. Le sujet de fonds est la gouvernance :
Chaque acteur ayant ses prérogatives et centres d’intérêt, la tendance est plutôt au fonctionnement en silo qu’à la coopération, malgré de nombreuses rencontres annuels entre acteurs…
Si l’on fait un focus sur un angle “data”, les acteurs institutionnels ont chacun des infos sur les assistantes maternelles, certaines étant peut être contradictoires.
Peut-être est-il temps que monenfant.fr devienne une plate forme référence où les acteurs partagent une stratégie de gouvernance des données profitable à tous : familles, assistantes maternelles, collectivités, CNAF… (tout en étant conforme avec le RGPD).