Avec ce M1, Apple retourne à ses premiers amours…la recherche de “symbiose” entre le hard et le soft… Je suis persuadé avec le recul dorénavant, que l’abandon du PowerPC à l’époque en 2006 était une question de licences que Steve Jobs à l’époque ne voulait pas payer, et que le choix d’Intel n’était qu’une transition… En gros il fourbissait ses armes pour le futur ! Dont acte apparemment. Certes, c’est loin d’être gagné, mais pour les vieux PéCéiste que je suis, c’est un grand coup de la part d’Apple. Après avec une boite qui possède une capitalisation boursière de 2 Trillions de dollars…
Le sujet est loin d’être nouveau, libre versus non libre, sachant que ce dernier a un temps d’avance… Après tout, le succès de Microsoft ne vient-il pas du fait qu’il a été facilement copié à ses début (MS-DOS, Win 3.1) avec Word et Excel qui ne l’étaient pas moins ? Après les accords avec les fabricants de PC et le verrouillage progressif des logiciels (N° de série) ont tout de même laissé le champ libre notamment à la petite entreprise de Bill Gates. Le libre est venu bien plus tard, et les débuts étaient assez folkloriques en termes d’installation et de maintenance. Aujourd’hui installer une Debian est d’une simplicité presque enfantine, ce qui n’était pas du tout le cas auparavant, n’en déplaise à certains… Mais bon au niveau personnel, le libre est vraiment une alternative intéressante, d’autant plus que l’une des barrières à son utilisation (les jeux) est progressivement levée. Mais la condition est que tout le monde y vienne de plus en plus… Reste l’aspect professionnel ou encore trop de “progiciels” sont dépendants d’Office/Oracle (éditions, modèles de documents, champs de fusion, macros,…) ; et puis entre LibreOffice, OpenOffice, il y a déjà des différences…
2 commentaires
Apple M1 : 7 500 points sous Cinebench R23, l’équivalent d’un Zen 3 d’AMD à quatre cœurs
17/11/2020
Le 17/11/2020 à 08h 11
Avec ce M1, Apple retourne à ses premiers amours…la recherche de “symbiose” entre le hard et le soft… Je suis persuadé avec le recul dorénavant, que l’abandon du PowerPC à l’époque en 2006 était une question de licences que Steve Jobs à l’époque ne voulait pas payer, et que le choix d’Intel n’était qu’une transition… En gros il fourbissait ses armes pour le futur ! Dont acte apparemment. Certes, c’est loin d’être gagné, mais pour les vieux PéCéiste que je suis, c’est un grand coup de la part d’Apple. Après avec une boite qui possède une capitalisation boursière de 2 Trillions de dollars…
Le logiciel libre arrive au sein de la Centrale d’achat de l’informatique hospitalière
14/08/2020
Le 14/08/2020 à 17h 36
Le sujet est loin d’être nouveau, libre versus non libre, sachant que ce dernier a un temps d’avance… Après tout, le succès de Microsoft ne vient-il pas du fait qu’il a été facilement copié à ses début (MS-DOS, Win 3.1) avec Word et Excel qui ne l’étaient pas moins ? Après les accords avec les fabricants de PC et le verrouillage progressif des logiciels (N° de série) ont tout de même laissé le champ libre notamment à la petite entreprise de Bill Gates. Le libre est venu bien plus tard, et les débuts étaient assez folkloriques en termes d’installation et de maintenance. Aujourd’hui installer une Debian est d’une simplicité presque enfantine, ce qui n’était pas du tout le cas auparavant, n’en déplaise à certains… Mais bon au niveau personnel, le libre est vraiment une alternative intéressante, d’autant plus que l’une des barrières à son utilisation (les jeux) est progressivement levée. Mais la condition est que tout le monde y vienne de plus en plus…
Reste l’aspect professionnel ou encore trop de “progiciels” sont dépendants d’Office/Oracle (éditions, modèles de documents, champs de fusion, macros,…) ; et puis entre LibreOffice, OpenOffice, il y a déjà des différences…