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6hunyadi

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6 commentaires

Le 20/10/2020 à 21h 42

Oú est la couleur bleue dans le drapeau chinois ?! C’est “out of the Blue” - comme diraient les Ricains. Hors de question, quoi. Essayez plutôt l’algorithme Vert, basé sur la langue hongroise, vous aurez plus de succès…

Le 20/10/2020 à 21h 39


(quote:1831997:mouton_enragé)
Qu’ils parviennent déjà à traduire, en anglais, une simple phrase comme : je suis dépaysé par mon voyage… Phrase Strictement impossible à traduire par une IA (ni même par un humain, d’ailleurs…).


“Kiderült hogy beborult” essaie de traduire cela :-) Cela devrait donner en français: “il s’est éclairci qu’il s’est déclairci”. Mais c’est plus fin que cela…

Le 20/10/2020 à 21h 37

On a essayé de traduire la langue hongroise par TM - traduction mécanique. Impossible: il y a trop de synonymes et celles-ci comportent des différences de sens vraiment affinés.
Mais pour quelqu’un qui veut débuter l’apprentissage d’une langue c’est la meilleure base á utiliser. Je me rappelle encore qu’au Maroc en CP en apprenant le passé simple je lus “je fus, tu fus, il-elle fut” - lu en hongrois : “moi herbe, toi herbe, il-elle herbe”… Chaque langue a de tel jeux de mots et cela un ordinateur aura grande peine á comprendre, si du tout.
Quant á la langue la plus difficile du monde c’est l’oubikh, une langue transcaucasienne avec 83 consonnes.
Étant un des 3 personnes au monde á connaître le kamas - j’aimerais bien faire connaissance avec les 2 français qui en sont spécialistes.

Le 20/10/2020 à 21h 36

On a essayé de traduire la langue hongroise par TM - traduction mécanique. Impossible: il y a trop de synonymes et celles-ci comportent des différences de sens vraiment affinés.
Mais pour quelqu’un qui veut débuter l’apprentissage d’une langue c’est la meilleure base á utiliser. Je me rappelle encore qu’au Maroc en CP en apprenant le passé simple je lus “je fus, tu fus, il-elle fut” - lu en hongrois : “moi herbe, toi herbe, il-elle herbe”… Chaque langue a de tel jeux de mots et cela un ordinateur aura grande peine á comprendre, si du tout.
Quant á la langue la plus difficile du monde c’est l’oubikh, une langue transcaucasienne avec 83 consonnes.
Étant un des 3 personnes au monde á connaître le kamas - j’aimerais bien faire avec les 2 français qui en sont spécialistes.

Le 20/10/2020 à 21h 22

J’ai une licence spéciale: “Traducteur et interprète judiciaire permanent á vie agréé par toutes les ambassades du monde pour toutes langues, depuis 1991”. Ce n’est pas une blague. Mais j’ai pu apprendre qu’á partir de la langue hongroise on pouvait apprendre toutes les langues du monde, et beaucoup mieux que basé sur les “grandes langues de l’Occident”: l’anglais, le français, le russe, l’allemand, l’espagnol, l’italien et le portugais.
On dit, je ne sais pas pourquoi que la langue hongroise est la plus difficile des langues du monde á apprendre… Comment ? La langue française a 32 temps, le hongrois 4, il n’y a pas de nasales, dans 98% des cas au lieu du pluriel on utilise le singulier, pour chaque mot sur 1.2 million on a 15.000 variantes, on peut dire “tu” en forme de pluriel sans utiliser “vous”. OK, il y a 40 cas verbaux au lieu des 7 utilisés dans les langues indo-européennes, mais sauf lors d’un examen aucun besoin de savoir ni leur leur nom ni qu’il y en a 32 généraux et 8 complexes. Enfin cerise sur le gâteau on peut utiliser des termes de physique nucléaire allant jusqu’à 5-6 fois au-dessous et au-dessus du niveau de l’atome qu’un pâtre analphabète ayant vécu il y a 1600 ans pourrait comprendre.
Bien sur chaque langue a eu ses essais de modernisation au cours du dix-neuvième siècle, la langue hongroise aussi. Pour exemple: “(animal) coûté/au grand cou” au lieu de “girafe”, “coureur des vallées” au lieu de “cerf”, “chanteur des mares” au lieu de “grenouille”. Cette modernisation en fin de compte ne s’est établie qu’en médecine et en pharmacologie…

Le 05/10/2020 à 12h 59

En tant que bibliothécaire-chef des 3 bibliothèques du Lycée de Génie Électrique “Mihajlo Pupin” de Novi Sad, surtout en cette période pandémique je serais plutôt pour le numérique que le papier. C’est vrai le format papier nous procure la magie de tenir l’œuvre en question dans nos mains, c’est vrai aussi la pierre et l’argile ne brûlent pas, mais essayez d’imaginer la grandeur du camion ou plutôt du char de combat pacifié - pour pouvoir faire monter 1 livre de plusieurs tonnes au septième étage… et comment lire un tel livre ? Cela tient de la science-fiction pure et dure.
Il est vrai aussi que le format papier dès qu’imprimé est déjà devenu archaïque - ce qui n’est pas le cas de celui en format numérique.
Les écoles préféreraient sûrement une variante numérique qu’une variante papier: de loin plus chère , prenant continuellement de la poussière, etc. Sans parler du changement climatique causé par l’abatage surabondant des arbres.
L’idée est bonne - mais pas en format papier.