Le look général des ventilateurs ne change pas en profondeur, mais on remarque une différence de taille : alors que le Silent Wing 3 disposait de sept pales, son petit frère en a désormais neuf. 

Le fabricant indique que les pales sont « optimisées pour des performances maximales sur les radiateurs et les dissipateurs thermiques ». De plus,  il y a un « espace réduit entre le cadre et les pâles » avec une « sortie d'air en forme d’entonnoir pour une pression d'air extrêmement élevée ». Le constructeur annonce toujours un fonctionnement silencieux.

Six versions du Silent Wing 4 sont proposées : trois en 120 mm et trois autres en 140 mm, avec à chaque fois des déclinaisons classique, PWM et Highspeed (2 500 rpm au lieu de 1 600 rpm en 120 mm et 1 900 rpm au lieu de 1 100 rpm en 140 mm)..

Il y a également le Silent Wing Pro 4 en 120 et 140 mm PWM dans les deux cas. Ce modèle dispose d’un « sélecteur de vitesse [qui] permet aux utilisateurs de basculer entre 3 options de vitesse différentes à tout moment, via un seul bouton ». Il y a également un « système de fixation anti-vibration avec push pins ainsi qu'un jeu de fixation classique par vis ». Dernier changement et pas des moindres : la vitesse de rotation est de 3 000 rpm sur le 120 mm et de 2 400 rpm sur le 140 mm.

Toutes les caractéristiques des Silent Wing 4 sont disponibles sur cette page. Les tarifs sont de 23,90 euros pour le Silent Wing 4 de 120 mm, 24,90 euros pour la version de 140 mm, 31,90 euros pour le Silent Wing Pro 4 de 120 mm et enfin 32,90 euros pour celui de 140 mm.

Cette collaboration entre deux entreprises françaises, qui avait déjà été annoncée, « vise à déployer des solutions de stockage de nouvelle génération [les Flashbox, ndlr] à partir du processeur DPU de Kalray au sein du nouveau datacenter parisien de Clever Cloud », explique Quentin Adam, CEO de Clever Cloud.

La Flashbox est une baie « de stockage pouvant accueillir jusqu’à 24 SSD PCI Express (NVMe) ». Elle est « dépourvue de processeur central (CPU), elle exploite les cartes accélératrices K200-LP dotées du DPU (Data Processing Unit) Coolidge qui bénéficie de l’architecture MPPA (Massively Parallel Processor Array) unique et brevetée développée par Kalray ». Elle prend la forme d’une carte low profil avec 2x 100 Gb/s (QFSP28).

« La solution de Kalray répond à l’ensemble de nos besoins et aux critères qui nous importent, que ce soit en matière de souveraineté, d’ouverture, de résilience, d’efficacité énergétique ou de performances », affirme Quentin Adam.

Ces deux sociétés françaises sont présentées en détail dans notre magazine #3.

Les rumeurs étaient fortes, elles sont confirmées : le nouveau MacBook Air M2, présenté lors de la dernière WWDC, sera en précommande dès demain (8 juillet), pour une disponibilité le 15. Cette date marquera son apparition dans les boutiques et les premières livraisons.

Rappelons que ce MacBook bénéficie d’un nouveau design et intègre la puce M2, plus puissante que la M1 (forcément). Les bords fins de l’écran permettent à la diagonale de 13,3 pouces de passer à 13,6, la webcam au 1080p, le port MagSafe fait son grand retour (il n’aurait jamais dû disparaître) et deux coloris viennent s’ajouter aux classiques argent et gris sidéral, lumière stellaire et minuit.

Malheureusement, le ticket d’entrée est élevé : 1 499 euros pour la configuration de base, qui n’intègre que 8 Go de mémoire et 256 Go de SSD. Les options sont toujours aussi onéreuses, avec 230 euros par exemple pour passer à 16 Go de mémoire ou 512 Go de stockage.

Sachez également que comme avec le modèle M1, la configuration de base sacrifie des cœurs GPU, 8 au lieu de 10. Problème résolu sur l’autre configuration avancée, vendue 1 849 euros et intégrant 512 Go de stockage.