#Le brief du 24 mars 2022

Instagram propose à nouveau l’ordre chronologique, mais…

Instagram propose à nouveau l’ordre chronologique, mais…

Le 24 mars 2022 à 09h36

Le réseau social s’attire régulièrement la colère de ses utilisateurs en refusant de redonner la possibilité d’organiser le flux par ordre chronologique, sans changement ni algorithme quelconque.

La société a annoncé hier soir que deux nouvelles capacités étaient en cours de déploiement. Following remet l’ordre chronologique en place, sans artifice. Favoris permet de marquer jusqu'à 50 contacts comme préférés, le flux classique étant alors mis à jour pour afficher en priorité et plus souvent ces publications. La liste des favoris est privée. Personne ne peut le voir ni n’est averti de l’ajout ou du retrait du statut.

Deux ajouts sympathiques donc. Mais – car il y a un « mais » – le mode chronologique ne peut pas être utilisé par défaut. Chaque fois que l’application sera redémarrée ou après un certain temps d’utilisation, elle reviendra sur le flux habituel.

Cela reste un pas dans la bonne direction pour toutes celles et ceux qui préfèrent l’ordre chronologique et ne veulent plus de recommandations dans leurs flux.

Cette arrivée n’est ni un hasard ni un acte de « gentillesse ». Elle découle directement d’une pression exercée par certains pays. C’est ainsi que le Congrès américain avait auditionné plusieurs représentants d’entreprise dans le cadre d’un vaste débat sur la protection des jeunes utilisateurs, et plus généralement sur le danger que les algorithmes font peser sur le développement des chambres d’écho et autres bulles de filtres.

Le 24 mars 2022 à 09h36

Instagram propose à nouveau l’ordre chronologique, mais…

Présidentielles et enjeux du numérique : sept candidats répondent aux propositions d’InfraNum

Présidentielles et enjeux du numérique : sept candidats répondent aux propositions d’InfraNum

Le 24 mars 2022 à 09h36

Comme prévu, la fédération organisait hier une réunion avec des représentants des candidats à l’élection présidentielle. Sept ont répondu présents. Voici les grandes lignes de cette conférence, selon InfraNum.

« Cet événement a d’abord eu l’intérêt de mesurer l’enjeu accordé par chacun au numérique. Et le constat est unanime : il constitue un enjeu majeur, non seulement économique (attractivité des territoires notamment), mais aussi sociétal et environnemental », explique la fédération dans son communiqué. 

Ils sont également tous d’accord sur la « nécessité d’aboutir à une couverture du territoire en THD complète, sans zone blanche – en fixe comme en mobile […] Cela dit, chacun est conscient des difficultés à venir à commencer par la question des raccordements complexes, de leur financement et de certains freins opérationnels à lever, mais sur lesquels beaucoup semblent confiants ». 

Autre constat partagé par l’ensemble des participants : « l’universalité de ce service ne fait aucun doute », Jean-Luc Mélenchon veut même « l’inscrire dans la Constitution ». Les questions de sécurité et de souveraineté étaient évidemment présentes.

Beaucoup de candidats considèrent « qu’il faut renforcer l’attractivité de nos territoires, nos savoir-faire vu comme le "premier rempart de la souveraineté" pour Éric Bothorel et notre arsenal législatif avec "une loi souveraineté et responsabilité numérique avec un cloud souverain et un Parquet national de la cyber-sécurité" pour Valérie Pécresse ».

Ils ne sont néanmoins pas sur la même longueur d’ondes sur d’autres sujets avec, par exemple, « Nicolas Dupont Aignan qui souhaite "un réseau national unique, que les opérateurs louent" ou Jean-Luc Mélenchon qui demande "une réforme du zonage AMEL – AMII et de la réglementation" ».

InfraNum regrette que certaines de ses propositions n’aient été que « effleurées », notamment « l’accompagnement à la digitalisation des TPE-PME, la création d’un véritable ministère du Numérique (ou plutôt d’un « ministère de l’aménagement du territoire » souhaité par Nicolas Dupont-Aignan), la 5G qui est surtout plébiscitée pour son enjeu industriel, l’export du savoir-faire de la filière, et enfin l’ambition d’une France composée de territoires connectés ».

Le 24 mars 2022 à 09h36

Présidentielles et enjeux du numérique : sept candidats répondent aux propositions d’InfraNum

Voiture électrique : la Commission européenne accepte deux aides d’État pour des usines de batteries

Voiture électrique : la Commission européenne accepte deux aides d’État pour des usines de batteries

Le 24 mars 2022 à 09h36

Le 18 mars, la Commission a d’abord accepté une aide polonais de 95 millions d’euros destinée à agrandir une usine LG Chem située en Basse-Silésie.

« Notre enquête approfondie a confirmé que l'aide publique de 95 millions d'euros accordée par la Pologne pour accroître la capacité de production d'une usine de batteries pour véhicules électriques de LG Chem est conforme à nos règles en matière d'aides d’État », a déclaré Margrethe Vestager, commissaire en charge de la politique de la concurrence.

La Commission avait été notifiée en juillet 2019 de cette aide prévue, ouvrant une enquête approfondie un an plus tard pour déterminer si la mesure était compatible avec les lignes directrices concernant les aides d'État à finalité régionale.

Le 22 mars, la Commission a fait de même avec une aide hongroise de 209 millions d’euros, cette fois pour la construction d’une usine neuve de SK On Hungary, elle aussi destinée à la production de batteries pour véhicules électriques.

La procédure a cette fois été nettement plus rapide, puisque la Commission avait été notifiée en décembre dernier. L’usine sera située à Iváncsa et aura une capacité annuelle de 30 GWh. Elle devrait créer au moins 1 900 emplois directs. L'investissement total de SK On Hungary dans le projet, lancé début 2021, sera de 1,623 milliard d'euros.

À noter que LG va investir 1,4 milliard de dollars aux États-Unis pour y augmenter sa capacité de production, toujours dans le même domaine. LG fournit des batteries à Tesla, Lucid Motors, General Motors et Proterra. Une nouvelle usine ouvrira notamment en Arizona, et elle sera la première aux États-Unis à produire des batteries cylindriques.

Le 24 mars 2022 à 09h36

Voiture électrique : la Commission européenne accepte deux aides d’État pour des usines de batteries

Microsoft lance une campagne mondiale de formation aux métiers de la cybersécurité

Microsoft lance une campagne mondiale de formation aux métiers de la cybersécurité

Le 24 mars 2022 à 09h36

L'an passé, Microsoft lançait aux États-Unis une campagne pour former 250 000 étudiants aux métiers de la cybersécurité d'ici 2025, soit « la moitié de la pénurie de main-d'oeuvre du pays ». Elle vient d'étendre sa campagne à 23 autres pays, dont la France.

« C'est un problème mondial. D'ici 2025, il y aura 3,5 millions d'emplois en cybersécurité ouverts dans le monde, ce qui représente une augmentation de 350 % sur une période de huit ans », explique Kate Behncken, vice-présidente et responsable de Microsoft Philanthropies.

L'entreprise estime à 62 000 le nombre de professionnels de la cybersécurité en France (dont 18 % de femmes seulement), mais qu'il en manquerait 14 000 autres.

Elle dit s'être associée à de nombreux organismes dans le monde, dont l'École 42, afin de lancer « un programme mondial de formation en informatique gratuit dont la mission est de former la prochaine génération d'ingénieurs en logiciel, de mettre le contenu de cybersécurité Microsoft à la disposition de ses 15 000 apprenants dans le monde, en utilisant l'apprentissage entre pairs et la gamification ».

Le 24 mars 2022 à 09h36

Microsoft lance une campagne mondiale de formation aux métiers de la cybersécurité

L’informatique en deuil : décès de Stephen Wilhite (créateur du GIF) et de John Roach (visionnaire du PC)

L’informatique en deuil : décès de Stephen Wilhite (créateur du GIF) et de John Roach (visionnaire du PC)

Le 24 mars 2022 à 09h36

Stephen E. Wilhite s’est éteint le 14 mars des suites de la Covid-19, explique The Verge. Il était chez CompuServe dans les années 80 quand il travaillait sur le GIF, ou Graphics Interchange Format – que l'on prononce « jif ».

Ce format est aujourd’hui largement utilisé pour les mèmes sur Internet, avec les fameux GIF animés. Mais ce n’était pas le but initial. « Ce "Graphics Interchange Format" permet à des images haute résolution et haute qualité de s’afficher sur une variété de matériel graphique et est pensé comme un mécanisme d'échange et d'affichage pour les images graphiques », peut-on lire sur la « spec » de 1987.

De son côté, John Roach a marqué l’informatique lors de son passage chez Tandy… un nom qui rappelle certainement des souvenirs aux moins jeunes d’entre nous.

« John Roach, un visionnaire du marketing, a contribué à rendre l’ordinateur domestique omniprésent à la fin des années 1970, en introduisant le Tandy TRS-80 entièrement assemblé pour 599,95 dollars dans les chaînes de magasins RadioShack », alors que les ordinateurs de l’époque étaient généralement vendus en kit, explique le New York Times.

Le 24 mars 2022 à 09h36

L’informatique en deuil : décès de Stephen Wilhite (créateur du GIF) et de John Roach (visionnaire du PC)

HP, Juniper, IBM, Ubuntu, Debian, SUSE : le CERT-FR avertit d’un déluge de failles

HP, Juniper, IBM, Ubuntu, Debian, SUSE : le CERT-FR avertit d’un déluge de failles

Le 24 mars 2022 à 09h36

Dans une série de tweets publiés hier soir, le Centre gouvernemental de veille, d'alerte et de réponse aux attaques informatiques a averti de nombreuses vulnérabilités dans plusieurs produits.

Sont concernés une ribambelle d’imprimantes chez HP, Juniper Networks Junos Space, IBM WebSphere Service Registry and Repository, ainsi que les noyaux d’Ubuntu, Debian et SUSE.

Dans la plupart des cas, presque toutes les versions sont concernées. Mais pas toujours, comme avec Debian dont seule la branche 9.X est vulnérable.

À noter également que les bulletins précisent tous que des mises à jour sont disponibles. Le nombre de failles colmatées est parfois si élevé – plusieurs dizaines pour Juniper par exemple – qu’il est chaudement recommandé d’installer les correctifs le plus vite possible.

Le 24 mars 2022 à 09h36

HP, Juniper, IBM, Ubuntu, Debian, SUSE : le CERT-FR avertit d’un déluge de failles

GNOME 42 est disponible, mais il faudra sans doute attendre un peu

GNOME 42 est disponible, mais il faudra sans doute attendre un peu

Le 24 mars 2022 à 09h36

La version finale de l’environnement est disponible depuis hier soir, sans retard.

Comme nous l’avons détaillé dans notre article dédié, il s'agit d'une mouture majeure. Elle contient un très grand nombre de nouveautés, dont plusieurs ont des impacts conséquents, comme la finalisation et la disponibilité de la bibliothèque libadwaita.

Parmi les nouveautés importantes, on peut citer un passage à GTK4 pour une majorité des applications intégrées, une modernisation visible de l’interface (y compris dans les détails), de nouvelles applications (capture d’écran et Text Editor) ou encore une prise en charge générale du thème sombre, avec bascule automatique pour les applications compatibles.

Comme toujours avec ces environnements, la plupart des distributions attendront leur version suivante pour intégrer ces nouveautés. Ce sera le cas le mois prochain pour Fedora 36 et Ubuntu 22.04, qui marqueront à elles seules le monde des distributions Linux.

Si vous êtes en revanche sur des systèmes en rolling release tels qu’openSUSE Tumbleweed, Arch Linux (ou Manjaro) ou autre, la mise à jour devrait être disponible rapidement, à moins qu’elle ne soit déjà. À noter que Clear Linux (Intel) est déjà à jour.

Si vous préférez tester d’abord l’environnement, le moyen le plus simple est de récupérer l’image ISO de GNOME OS pour le tester dans une machine virtuelle.

Le 24 mars 2022 à 09h36

GNOME 42 est disponible, mais il faudra sans doute attendre un peu

Le réseau informatique du ministère de la Justice était (encore) injoignable

Le réseau informatique du ministère de la Justice était (encore) injoignable

Le 24 mars 2022 à 09h36

« Comment magistrats et greffiers ont survécu à une nouvelle semaine noire de l’informatique de la justice », titre Dalloz Actualité.

De nombreux magistrats ou greffiers avaient en effet déploré sur les réseaux sociaux que le progiciel des services pénaux Cassiopée avait été indisponible plusieurs jours durant, empêchant les magistrats et greffiers de travailler normalement. 

Le ministère de la Justice explique de son côté que le logiciel n’était pas à l’origine des ratés, qui émaneraient d'une « saturation de l’accès au réseau informatique de l’État permettant un accès sécurisé à internet », entraînant en cascade des problèmes de connexion au centre de données ministériel de Nantes.

« Une journée de travail avec des dysfonctionnements informatiques, c’est déjà une catastrophe, alors imaginez trois jours d’arrêt du logiciel », explique la greffière principale Fadila Taieb, la représentante de l’Unsa-services judiciaires.

Dans un récent rapport, les magistrats de la Cour des comptes avaient relevé les attentes très fortes du personnel du ministère de la Justice sur la transformation numérique de leurs outils de travail, « tout en appréhendant » leur déploiement.

Ce qui s’explique aisément, conclut Dalloz : selon la dernière enquête de satisfaction consultée par les magistrats financiers, qui date de janvier 2020, seul un quart des agents du ministère se déclare « très satisfait » du système d’information.

Le 24 mars 2022 à 09h36

Le réseau informatique du ministère de la Justice était (encore) injoignable

Gigabyte passe son BRIX Extreme au Core de 12e génération, avec 2,5 GbE et Wi-Fi 6E

Gigabyte passe son BRIX Extreme au Core de 12e génération, avec 2,5 GbE et Wi-Fi 6E

Le 24 mars 2022 à 09h36

Le fabricant indique que le CPU peut avoir jusqu’à 12 cœurs : 4P pour les performances et 8E pour l'efficacité énergétique. La connectique est complète avec deux HDMI 2.1, du mini-DisplayPort de l’USB4 (jusqu’à 4 écrans 4K sont gérés). On retrouve également un port Ethernet à 2,5 Gb/s et du Wi-Fi 6E.

Le BRIX Extreme est disponible en version Tall avec un emplacement de 2,5" ou en version Slim. Pas de tarif pour le moment, la disponibilité est prévue pour le second trimestre de cette année. 

Le 24 mars 2022 à 09h36

Gigabyte passe son BRIX Extreme au Core de 12e génération, avec 2,5 GbE et Wi-Fi 6E

Wi-Fi mesh : Amazon annonce ses kits eero Pro 6E et eero 6 +

Wi-Fi mesh : Amazon annonce ses kits eero Pro 6E et eero 6+

Le 24 mars 2022 à 09h36

Comme son nom l’indique, le premier exploite la bande des 6 GHz, autorisée en France depuis quelques mois. Le débit peut ainsi atteindre jusqu’à 2,3 Gb/s… avec une connexion filaire à 1 Gb/s et du Wi-Fi à 1,3 Gb/s, précise le fabricant. La connectique comprend deux ports Ethernet, dont un à 2,5 Gb/s.

De son côté, l’eero 6 + prend en charge les blocs de 160 MHz, mais reste en Wi-Fi 6 « seulement ». La connectique est limitée à deux ports Ethernet Gigabit cette fois-ci. Amazon en profite enfin pour baisser le prix de son eero 6 de base.

Il est désormais vendu à partir de 89 dollars outre-Atlantique, contre 139 dollars pour l’eero 6 + et 299 dollars pour l’eero Pro 6E. Le prix est dégressif lorsque vous prenez des packs de deux ou trois. Rien n’est pour le moment précisé concernant la France.

Le 24 mars 2022 à 09h36

Wi-Fi mesh : Amazon annonce ses kits eero Pro 6E et eero 6 +

QNAP TS-233 : un NAS deux baies d’entrée de gamme avec NPU, à 209 euros

QNAP TS-233 : un NAS deux baies d’entrée de gamme avec NPU, à 209 euros

Le 24 mars 2022 à 09h36

Le fabricant explique qu’il est animé par un SoC avec quatre cœurs Cortex A55, 2 Go de mémoire et un NPU (Neural Processor Unit) pour accélérer « les performances de l'IA sur l'appareil ». Selon QNAP, « la reconnaissance d'images [est] 1,3 fois plus rapide ».

Pour le reste, on retrouve deux emplacements de 3,5", un unique port Ethernet Gigabit, deux ports USB 2.0 et un USB 3.2 Gen 1. Les débits peuvent atteindre 114 Mo/s. 

Le tarif n’est pas précisé, mais des revendeurs le proposent d’ores et déjà à la vente, à partir de 208,99 euros chez Top Achat (en stock).

Le 24 mars 2022 à 09h36

QNAP TS-233 : un NAS deux baies d’entrée de gamme avec NPU, à 209 euros

Fermer