Virgin Galactic prévoit de revoler à la fin du mois, puis d'enchainer avec son premier vol commercial en juin - Virgin Galactic, qui ne doit pas être confondue avec Virgin Orbit qui a récemment déposé le bilan, est une société proposant des vols suborbitaux à de riches touristes de l’espace. Son premier vol commercial – Unity 23 – était prévu pour 2021, avant d’être repoussé à 2022 puis cette année.

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La société vient d’annoncer un retour en vol avec « un lancement prévu fin mai pour VSS Unity afin de retourner dans l’espace avec des spécialistes de mission Virgin Galactic pour effectuer une évaluation finale de l’expérience client avant le début du service commercial ». 

Il est ensuite prévu de lancer le premier vol commercial – désormais baptisé Galactique 01 – fin juin… si tout se passe bien. 

Pour rappel, Richard Branson et trois autres employés de Virgin Galactic était à bord du dernier vol dans l’espace de Virgin Galactic. Si tous les membres d’équipages sont rentrés sains et sauf, des voyants jaunes et rouge se sont allumés dans le cockpit et la trajectoire n’était pas celle prévue. La FAA avait ouvert une enquête avant de redonner son feu vert.

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Elles succèdent donc aux Dark Power Pro 12 avec des puissances de 1300 et 1600 watts et une certification 80Plus Titanium avec une « efficacité allant jusqu'à 94,5 % ».

Le fabricant met en avant « un dispositif de ventilateur [avec un Silent Wings, ndlr] sans cadre couplé à une grille d’aération en mesh et une technologie entièrement numérique PFC, LLC, et SR avec une topologie full bridge. Une clé d'overclocking permet aux utilisateurs de combiner les 6 rails 12 V en un seul rail massif ». Les fiches techniques se trouvent par là.

Elle est évidemment modulaire, avec des câbles gainés. Les tarifs sont à la hauteur des prétentions : 409,90 euros pour 1300 watts et 449,90 euros pour 1600 watts, avec une garantie de 10 ans. Les Dark Power Pro 13 seront disponibles à partir du 23 mai. 

Spécialiste des réseaux de neurones artificiels (il a reçu le prix Turing en 2018 avec Yann LeCun et Yoshua Bengio pour ses contributions sur le sujet), Geoffrey Hinton, 75 ans, a quitté Google après une décennie de travail pour elle. Parmi les raisons de son départ, expliquées dans la Technology Review : la volonté de pouvoir s’exprimer librement sur les questions de sécurité de l’IA, même s’il se déclare satisfait des orientations prises par Google.

Auprès du New-York Times, il explique qu’une partie de lui « regrette l’œuvre de sa vie » : depuis peu, l’ingénieur a rejoint la foule des critiques de l’intelligence artificielle. Plus précisément, il s’inquiète ouvertement des risques que pose l’intelligence artificielle, domaine qu’il a participé à construire.

Depuis les années 1980, il déclare s’inquiéter de l’usage de l’intelligence artificielle dans l’industrie militaire, et redouter ce qu’il qualifie de « robots soldats ». Plus récemment, alors qu’une course à la sortie des fonctionnalités d’IA générative s’est engagée entre Microsoft, Google et le reste de l’industrie, il s’inquiète des effets de ces modèles sur l’information (pour lui, les « hallucinations » des machines sont une fonctionnalité, pas un bug, de la même manière que les humains « affabulent tout le temps »), le marché du travail et, plus loin, l’humanité entière.

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Comme le souligne la Technology Review, les débats autour des capacités de l’intelligence artificielle sont très clivants. Et les deux articles pré-cités n’ont pas manqué de provoquer des réactions comme celles de la chercheuse Timnit Gebru et du journaliste et critique de la tech Paris Marx.

Pour eux, les termes employés par Geoffrey Hinton ressemblent aux idées véhiculées dans d’autres discours très hypothétiques, notamment du côté du courant long-termiste, sur les potentiels de l’IA. Ce faisant, ils détournent l’attention de problématiques plus urgentes que posent ces modèles, c’est-à-dire des dommages qu’ils peuvent causer dès aujourd’hui.

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