Qonto : la fintech française lève 104 millions d’euros, Tencent de nouveau dans la place

Qonto : la fintech française lève 104 millions d’euros, Tencent de nouveau dans la place

Qonto : la fintech française lève 104 millions d’euros, Tencent de nouveau dans la place

Après Lydia, c’est la deuxième fois que le géant chinois investit dans une fintech française en l’espace de quelques jours. Ce tour de table a également attiré le fonds DST Global, en plus des investisseurs historiques Valar Ventures et Alven.

« Tencent, tout comme DST, s'intéresse beaucoup aux néobanques et connaît bien ce modèle. Quand il a su qu'on levait des fonds, il nous a rapidement contactés », affirme Alexandre Prot, le patron de la néobanque pensée pour les professionnels, au Journal du Net.

Cette manne financière servira évidemment à assurer la croissance de l’entreprise, mais aussi à obtenir le dossier d'agrément d'établissement de crédit. « Reconnue comme établissement de paiement depuis 2018, la start-up, qui a mis sur pied l'an dernier son propre système d'information, deviendra ainsi une véritable banque, capable de prêter de l'argent à ses clients », explique Les Echos.

Depuis son lancement en 2016, la jeune pousse a levé 136 millions d’euros. 

Commentaires (5)


Et ensuite pouvoir ouvrir des comptes courants j’imagine.



Quand je vois comment la Nef galère à pouvoir faire ça de façon éthique, ça fait peur.




dylem29 a écrit :

Quand je vois comment la Nef galère à pouvoir faire ça de façon éthique, ça fait peur.



Tu peux préciser ?


Tencent est la maison mère de WeChat, qui permet du … Chat ! Mais c’est aussi devenu l’un des principaux moyen de payement électronique, par smartphone en Chine.

Tencent met aussi pas mal de fric dans le cinéma hollywoodien. Ce serait d’ailleurs la cause de la disparition de quelques patchs sur le blouson de Maverick dans Tup Gun 2. Histoire de ne pas fâcher la Chine …

Voilà voilà, quelques anecdotes pas chères …


Des retours sur quonto ? Le millieu de la banque pour les pro (entreprises) manque cruellement de néobanques.


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