La proposition de loi Avia, un « naufrage de méthodes » pour Sébastien Soriano
Le 27 novembre 2019 à 09h04
1 min
Droit
Droit
« La proposition de loi Avia, sur laquelle nous avons réagi, est signe de fragmentation ». Hier, lors de la conférence organisée par Tech In France à la Maison de la Chimie à Paris, Prabhat Agarwal, à la tête de l’unité e-commerce et plateforme à Commission européenne, a donné le ton.
Dans ses observations, dont le contenu a été révélé sur Next INpact lundi matin, l’institution bruxelloise a taillé en pièces la proposition de loi contre la haine en ligne, reprochant notamment à la France de faire cavalier seul, d’imposer un filtrage généralisé et de démultiplier les risques de surcensure.
Mais hier, les propos les plus virulents ont été prononcés par Sebastien Soriano. Selon le président de l’Arcep, la proposition de loi de la députée Laetitia Avia « est un naufrage de méthodes par rapport à ce que nous avions espéré des États généraux du numérique ».
La balle est aujourd’hui dans le camp du Sénat qui auscultera le texte en séance les 17 et 18 décembre 2019.
Le 27 novembre 2019 à 09h04
Commentaires (8)
Vous devez être abonné pour pouvoir commenter.
Déjà abonné ? Se connecter
Abonnez-vousLe 27/11/2019 à 09h56
Un naufrage aurait été mieux la nommer. " />
Le 27/11/2019 à 12h02
Marché sur l’eau n’a été réalisé que par une seule personne d’après une très vieille rumeurs." />
Le 27/11/2019 à 13h48
Le 27/11/2019 à 15h13
Un peu de bon sens en ce bas monde ça fait pas de mal de temps en temps :)
Le 27/11/2019 à 15h24
La catégorie fantaisie serait plus adéquate.
Le 27/11/2019 à 17h44
" /> « On a souvent fait remonter par erreur la naissance de la fantasy aux œuvres littéraires de l’Antiquité traitant de sujets mythologiques, tels que l’Épopée de Gilgamesh en Mésopotamie ancienne, l’Iliade et l’Odyssée en Grèce antique, ou le Mahâbhârata en Inde ancienne14, ou encore les sagas nordiques et islandaises comme les Eddas. On en recherche également les débuts dans les œuvres contenant du merveilleux élaborées pendant le Moyen Âge occidental (comme la matière de Bretagne consacrée à la légende arthurienne, le roman de chevalerie, la chanson de geste ou l’épopée anglo-saxonne Beowulf et le récit gallois Mabinogion), oriental (les contes persans des Mille et Une Nuits) ou asiatique (Le Dit du Genji japonais, et plus tard le roman chinois Le Voyage en Occident). Une autre grande source de merveilleux ancien se trouve dans les textes sacrés, en particulier la Bible, le Coran et le Tanakh, et le genre de l’hagiographie (notamment la Légende dorée de Jacques de Voragine au XIIIe siècle). Cependant, remonter si loin dans le temps pose problème, car, à ces époques, les notions de fiction et d’Histoire et les rapports qu’elles entretenaient n’étaient pas les mêmes qu’aux époques plus récentes : il est donc plus prudent de ne parler de fantasy qu’à partir du moment où le récit et la part de merveilleux qu’il contient forment clairement une fiction à but divertissant, et cela même si ces textes anciens eux-mêmes, lus par le lecteur contemporain peuvent provoquer le même genre d’impressions à la lecture que des fictions plus récentes15. On peut dire, en revanche, que les auteurs et artistes de fantasy aiment à voir dans ces auteurs anciens des précurseurs, et il est très fréquent qu’ils puisent leur inspiration dans de telles œuvres et se réclament de l’imaginaire qu’elles véhiculent. »
Wikipedia
Le 27/11/2019 à 18h09
un livre de sciences humaines avec des mythes, légendes, épopées, sagas et autres récits à l’intérieur.
Le 30/11/2019 à 18h05
Ce n’est pas un “naufrage de méthode” mais le simple triomphe de la bêtise. Et on paye grassement ces gens avec nos impôts. J’ai envie de vomir.