Selon Les Échos, deux associations devront cohabiter pour gérer le label. D'un côté, Medinsoft, qui s'en occupe depuis la mi-2015 et a reçu un vote unanime lors de l'appel lancé par la métropole Aix-Marseille-Provence.
Face à lui, c'est le collectif Aix-Marseille 2.0 qui a été choisi par le maire de la cité phocéenne, Jean-Claude Gaudin. Dans un courrier consulté par le quotidien, l'élu justifie ce choix par la cohérence du collectif avec sa stratégie territoriale. Aix-Marseille 2.0 revendique plusieurs têtes d'affiche, comme le cofondateur de Priceminister (Olivier Mathiot), ainsi que la création de 39 entreprises et 2 170 emplois.
Le choix du collectif est conditionné à un rapprochement avec Medinsoft, qui assure avoir réveillé le secteur local, dans une nouvelle structure. Medinsoft compte pourtant continuer sa route avec un budget de 700 000 euros, sans forcément s'associer à son homologue.
Commentaires (9)
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… ou comment dilapider les ressources en frictions politiques!
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Rigolo, je suis tomber sur ça ce matin
https://www.frenchweb.fr/la-fable-de-la-french-tech-tout-vainqueur-insolent-a-sa-perte-travaille/320194
qui parlait justement d’un label international avec des problèmes politiques locaux
#3
Ahh les voleurs de fonds public :)
#4
On sait comment ils règlent ce genre de différends à Marseille " />
#5
Pagnolesque!
#6
#7
Je pensais plutôt à " />
#8