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Kickstarter : plan de départs volontaires puis des licenciements, pour 45 % des effectifs selon un syndicat

Kickstarter : plan de départs volontaires puis des licenciements, pour 45 % des effectifs selon un syndicat

Le 05 mai 2020 à 09h07

Le directeur général de la société, Aziz Hasan, avait expliqué que depuis la crise sanitaire il devait faire face à une baisse de 35 % des nouveaux projets de financement participatif, sans « aucun signe clair de rebond ».

L’entreprise a trouvé un accord avec son principal syndicat, Kickstarter United, pour un plan de départ volontaire, comme le rapporte The Verge. Il inclut notamment des indemnités de quatre mois de salaire.

Selon le syndicat, Kickstarter souhaiterait se séparer de 45 % de ses effectifs, mais le porte-parole de la société explique que « l'ampleur potentielle des licenciements » n’est pas encore connue. Elle dépendra notamment du nombre de personnes acceptant le plan de départ volontaire.

Le 05 mai 2020 à 09h07

Commentaires (5)

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Rien de bien étonnant, pas mal d’auteurs Français sont partis sur d’autres plateformes (ulule, kisskissbank, …).



Et les échecs multiples et produits ne correspondant pas aux attentes ont fait que le grand public ne font plus confiance aux financement participatif sur certains domaines.



Et il y a aussi les projets qui selon moins n’ont rien à faire là, par exemple les marques de chaussures qui produisent un nouveau kickstarter tous les trois mois et polluent d’autres vrais projets.

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XMalek a écrit :



Rien de bien étonnant, pas mal d’auteurs Français sont partis sur d’autres plateformes (ulule, kisskissbank, …).



Et les échecs multiples et produits ne correspondant pas aux attentes ont fait que le grand public ne font plus confiance aux financement participatif sur certains domaines.



Et il y a aussi les projets qui selon moins n’ont rien à faire là, par exemple les marques de chaussures qui produisent un nouveau kickstarter tous les trois mois et polluent d’autres vrais projets.





Tout pareil :)



Ce qui me fait rire, c’est que des boites en informatique font tout le contraire et embauchent à tour de bras des gens qualifiés.

J’ai l’impression qu’un déplacement des compétences se fait, et une fois la crise passée (et la relance là, car elle arrivera, on fera tout pour), les boites qui ont licencié devront chercher à réembaucher en urgence, et vont en souffrir comme pas possible.


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grsbdl a écrit :



Tout pareil :)



Ce qui me fait rire, c’est que des boites en informatique font tout le contraire et embauchent à tour de bras des gens qualifiés.

J’ai l’impression qu’un déplacement des compétences se fait, et une fois la crise passée (et la relance là, car elle arrivera, on fera tout pour), les boites qui ont licencié devront chercher à réembaucher en urgence, et vont en souffrir comme pas possible.





Je rajouterai que le plan de licenciement présenté ici implique le paiement de 4 mois de salaires en indemnités. Donc ils (les dirigeants) partent du principe que rien ne s’améliorera d’ici 4 mois ? Si la croissance revient d’ici là pour leur boîte ça aura été un très mauvais calcul.


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yope7 a écrit :



Je rajouterai que le plan de licenciement présenté ici implique le paiement de 4 mois de salaires en indemnités. Donc ils (les dirigeants) partent du principe que rien ne s’améliorera d’ici 4 mois ? Si la croissance revient d’ici là pour leur boîte ça aura été un très mauvais calcul.






  Pour les licenciements, je ne pense pas que ça coûte tant que ça. Licencier qqun en CDI, ça ne coûte vraiment bcp d'argent que si la personne a pas mal d'ancienneté. On dit souvent que les salariés sont invirables, que ça coûte top cher, mais c'est pas vrai. Un jeune embauché tu peux t'en séparer à moindre coût, c'est peanuts.        

On maintient cette croyance peut être pour justifier de ne pas embaucher, sous prétexte que si les perspectives d'avenirs ne sont pas top, licencier le nouveau ferait couler la boite. En tout cas c'est un discours qu'on entend parfois pour justifier (à tord) le manque d'embauche en CDI, et inciter à accepter des intérimaires ou des prestas, bien précaires (donc dociles) et virables pour pas un euro.

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XMalek a écrit :



Rien de bien étonnant, pas mal d’auteurs Français sont partis sur d’autres plateformes (ulule, kisskissbank, …).



Et les échecs multiples et produits ne correspondant pas aux attentes ont fait que le grand public ne font plus confiance aux financement participatif sur certains domaines.



Et il y a aussi les projets qui selon moins n’ont rien à faire là, par exemple les marques de chaussures qui produisent un nouveau kickstarter tous les trois mois et polluent d’autres vrais projets.





Cela dépend des secteurs. Le jeu de société est plutôt sur une tendance toujours à la hausse. D’ailleurs, actuellement, Frosthaven viens de lever quasi 13 millions.



La crise n’a pas semblé faire du mal à ce secteur sur KS. Et les entreprises Française sont majoritaires sur le JDS.



Par contre, je pense que cette fameuse baisse de 35% doit venir de secteurs qui doivent avoir un taux d’échec suffisant pour faire autant fuir les porteurs de projets que les utilisateurs.



De la même manière, est-ce que le grand public connait cette plateforme ou l’utilise ? Je pense qu’il s’agit quand même d’initiés.


Kickstarter : plan de départs volontaires puis des licenciements, pour 45 % des effectifs selon un syndicat

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