Groupe AB continue de miser sur l’eSport, entre série, documentaire et évènements
Le 20 juin 2018 à 09h41
2 min
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Après les partenariats avec les éditeurs et autres émissions, la filiale de Mediawan annonce deux nouveaux projets.
La première concerne la série Dragonslayer666 dont elle a acquis les droits de diffusion (3 saisons) pour les territoires francophones. « Énorme succès d’audience en Finlande, son pays d’origine, elle nous plonge dans l’univers des fans d’esport » promet le groupe, qui ne détaille pas où et comment elle sera diffusée.
« La série montre l’ascension des sports électroniques et le parcours du combattant que doivent affronter les passionnés qui veulent devenir des pro gamers, dans un univers où la compétition est très exigeante à tous les niveaux » précise le communiqué. Des invités sont aussi prévus, comme le commentateur de la chaîne, Kevin « Broken » Georges qui apparaîtra dans un épisode de la saison 2.
Il est aussi question d'un documentaire de 52 minutes, « Inside Vitality », cette fois produit par AB Productions. Il est présenté comme « une immersion totale, pour le meilleur et pour le pire ». On suit cette fois le quotidien d'une équipe pendant la Call of Duty World League (CWL). Pour rappel, Groupe AB est l'un des partenaires d'Activision Blizzard et de la CWL.
La société indique également travailler « à développer des synergies en termes de promotion et de marketing afin notamment d’organiser des événements et des compétitions d'esport en France ».
Le 20 juin 2018 à 09h41
Commentaires (3)
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Abonnez-vousLe 20/06/2018 à 09h14
Merci, Nolife, pour avoir été les premiers à diffuser une émission dédiée à l’eSport à la télévision française, sans quoi il ne serait jamais sorti de la confidentialité, hors Corée du Sud…
Le 20/06/2018 à 11h07
Merci Twitch surtout, quant il s’est fait racheter par Amazon, même les dinosaures de TF1 ont du comprendre l’intérêt " />
Le 20/06/2018 à 23h15
Twitch est arrivé pas loin de… deux ans après ? Ça n’invalide pas ton commentaire, mais ils n’ont pas été les premiers à parler de ça dans (ce qui reste de) notre pays.