Le service de stockage et de partage de fichiers en ligne vient d'annoncer sa volonté de réduire ses effectifs mondiaux de 16 %, selon Reuters. Son directeur général, Drew Houston, explique cette décision par le ralentissement de la croissance de l'activité Cloud de l'entreprise.
L'agence de presse précise qu'à la fin 2022, 3 118 personnes étaient salariées à temps plein de l'entreprise à travers le monde, dont plus de 2 500 aux États-Unis.
Dropbox explique avoir transféré des salariés de son activité cloud vers celle, très à la mode, de l'intelligence artificielle, mais qu'elle a besoin d'embaucher des experts du domaine.
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Commentaires (5)
#1
Les entreprises américaines retombent les pieds sur terre.
Il faut qu’elles soient rentables si elles veulent survivre maintenant que l’argent n’est plus gratuit et donc qu’elles ne peuvent plus lever des fonds facilement.
#2
Ah ça quand on base son business model sur le partage illégal de fichiers, comme la grande majorité des services du même genre qui ont fleuri à “la belle époque”,forcément on se casse la figure quand les plateformes légales rendent “l’activité” moins intéressante
Bon avec la fragmentation croissante de l’offre qui rend le légal de moins en moins intéressant ça va revenir, courage à eux
#3
Après le “c’est la faute du COVID”, voici venu le temps du “c’est la faute de l’IA”.
#4
Ha bah tu m’apprends quelque chose. je bosse avec pas mal de petites boites qui utilisent le service comme “serveur de fichiers”.
Je pensais que c’était bien trop cher pour de la mise à dispo de gros fichiers comparé à 1fichier et autres Uptobox.
#5
Comme Google Cloud, OneDrive et les autres ?