Deutsche Telekom déploie ses premières antennes 5G à Berlin : jusqu’à 2 Gb/s
Le 13 octobre 2017 à 09h39
1 min
Société numérique
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La guerre de la communication continue sur la 5G, alors que les premiers réseaux commerciaux ne sont pas attendus avant 2020 et que la norme définitive n’a toujours pas été ratifiée.
Après Ericsson, Intel et Telia qui annonçaient début octobre « la première concrétisation de la 5G en Europe », voici que Deutsche Telekom explique « tester les premières antennes 5G ultra-rapides d'Europe dans un contexte réel », en exploitant un pré-standard de la 5G.
L’opérateur précise qu’il a mis en place une connexion à plus de 2 Gb/s vers le terminal d’un utilisateur, tandis qu’il propose une latence de 3 ms sur des sites commerciaux. Pour rappel, Telia ne donnait pas de vitesse, tandis que la latence était inférieure à 5 ms, sans plus de précisions.
Comme nous l’avons déjà expliqué dans une précédente analyse, la 5G permet des usages différents selon les besoins : débits élevés, latence faible, très grand nombre de connexions pour des objets connectés, etc.
Le 13 octobre 2017 à 09h39
Commentaires (4)
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Abonnez-vousLe 13/10/2017 à 09h41
Honnêtement quel sera l’intérêt d’avoir la 5G sur les téléphones ? Autant de la 3G à la 4G il y a une grande différence en terme de vitese de navigation, lecture de vidéo. Mais la 4G a un debit tel que je ne voie pas l’intérêt d’avoir plus (pour la population, il y a sûrement des applications professionnel qui en auront besoin).
Le 13/10/2017 à 10h11
un grand intérêt on a déjà la saturation des antenne 4g
qui joue au yoyo
4h00 du matin 200 mb/s
8h 20 mb /s
et 20 h 0.5 mb/s
et a 0.5 mb/s on peut pas pas travail
et a 4h00 je dort
Le 13/10/2017 à 13h34
A l’heure du minitel 5.0 qui veut tout cloudifier de partout et de l’ultra connecté, elle a un intérêt.
En 2014, Cisco estimait une augmentation des besoins de bande passante sur le mobile multipliée par 11.
Plus les usages du type accès Internet mobile sédentaire pour zones mal desservies en infra terrestres, etc.
Le réseau mobile, c’est pas que les smartphones.
Le 14/10/2017 à 19h20