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Deliveroo Editions : le premier site de cuisines ouvre en France, à Saint-Ouen

Deliveroo Editions : le premier site de cuisines ouvre en France, à Saint-Ouen

Le 04 juillet 2018 à 09h39

Ce concept a été lancé il y a déjà plusieurs mois au Royaume-Uni pour préparer et livrer des repas dans des zones mal ou non desservies. Il s'étend donc à la France. La cuisine partagée de Saint-Ouen accueille huit restaurants. Les plats sont préparés sur place, puis livrés par les services de Deliveroo exclusivement.

Le but de ce service est de « permettre aux restaurants de se développer et d'atteindre de nouveaux clients, sans nécessairement être installés dans une rue commerçante ou avoir pignon sur rue »… tout en s'assurant une bonne visibilité à Deliveroo.

Le montant de la location de l'espace de cuisine Deliveroo Editions et les éventuels frais supplémentaires pour le client ne sont pas précisés.

Le 04 juillet 2018 à 09h39

Commentaires (9)

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J’ai failli me faire écraser par un livreur deliveroo à moto l’autre jour…j’étais sur un passage piéton, alors que le feu était rouge, et il a accéléré ce con.



C’est malheureusement pas la première fois que je vois ce genre de comportement…



Pour moi, deliveroo, c’est&nbsp;<img data-src=" />

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J’ai d’abord cru à une livraison de meubles de cuisine. <img data-src=" />

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a vélo?

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J’ai cru à un éditeur de livres de recettes livrée.

J’ai déjà le slogan :

“Deliveroo Editions édite et livre des livres”

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y en a moto aussi ! (pas fréquent cependant)

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tu peux envoyer un mail à deliveroo avec l’heure et la situation, les livreurs sont tracée en temps réel , il y a une petite probabilité de trouver le psycopathe.

SInon , n’hésite pas a pourrir le mur/twiter de la société, c’est ce qui fonctionne le mieux.

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Qu’ils soient à moto où à vélo les livreurs de Deliveroo sont tous les dangers public : stop, cédez le passage, feux, sens interdit, etc … tout ça ils connaissent pas, ceux qui “opèrent” dans Paris je les appelle “les donneurs d’organes” moi.



Après j’image bien que ça n’est pas tous des abrutis congénitaux et que leur comportement est en grande partie dicté par leurs conditions de travail (les courses devant être payées une misère faut en faire plein pour gagner quelquechose) et la pression mise par l’employeur pour aller toujours plus vite (si tu ne fait pas assez de livraisons à l’heure on ne t’appelle plus)

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Guinnness a écrit :



la pression mise par l’employeur le donneur d’ordre pour aller toujours plus vite (si tu ne fait pas assez de livraisons à l’heure on ne t’appelle plus)





Ils ne sont pas des employés, c’est bien une partie du problème, sinon, ils seraient soumis au salaire minimum (SMIC), là, ils peuvent en toute légalité gagner moins que le SMIC.


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C’est vrai que Deliveroo fait partie de la même famille de parasites que les Uber et cie qui ont trouvés le bon filon pour exploiter à mort des pauvres couillons (rien de péjoratif dans le terme, je les plaint franchement les mecs qui subissent ça par obligation car il faut bien remplir le frigo) sous couvert de “services” sous traités à des “auto-entrepreneurs partenaires” à moindre frais et responsabilité quasi zéro.



Pour moi toutes ces plateformes ne sont ni plus ni moins que la version moderne de l’esclavage et il serait plus que temps qu’un peu d’ordre, juridiquement parlant , soit mis dans ces machins là.

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