COSMO-SkyMed : SpaceX publie une vidéo de la séparation du premier étage et du largage de la coiffe
Le 07 février 2022 à 09h19
1 min
Sciences et espace
Sciences
Il y a quelques jours, une fusée Falcon 9 mettait en orbite un satellite d’observation italien : le COSMO-SkyMed Second Generation FM2.
L’entreprise a publié une vidéo d’un peu moins de cinq minutes dans laquelle on peut voir la séparation du premier étage, l’allumage du moteur du second et la libération de la coiffe ; le tout filmé à grande distance.
Le 07 février 2022 à 09h19
Commentaires (6)
Vous devez être abonné pour pouvoir commenter.
Déjà abonné ? Se connecter
Abonnez-vousLe 07/02/2022 à 09h59
C’est impressionnant de voir tant de détails sur un objet si lointain et si rapide !…
Le 07/02/2022 à 12h30
Quelques infos de Techniques Spatiales sur le sujet (avec une vue sur le matériel utilisé) : Twitter
À noter également que la vidéo est à priori ralentie en plus d’être stabilisée (la vidéo sans stabilisation est ici : https://twitter.com/SpaceX/status/1488290682364063747)
Mais voir ce genre de vidéo, c’est sublime. Séparation, ouverture de la coiffe…
Le 11/02/2022 à 13h34
Merci pour les liens
Le 07/02/2022 à 14h04
Satellite militaire italien lancé par une fusée américaine, alors que l’italie participe activement à Ariane et encore plus à Vega. Y a qu’en Europe qu’on est des bisounours comme ça.
Le 11/02/2022 à 13h23
Pfff mais n’importe quoi ce commentaire…
La satellite lancé fait du civil et du militaire : https://earth.esa.int/eogateway/missions/cosmo-skymed-second-generation .
Quant au dernier télescope spatial de la Nasa il a été lancé par Ariane, et peu importe qui lance quoi. On utilise aussi des fusées russes pour les astronautes non-russes qui vont sur l’ISS.
Le 11/02/2022 à 15h49
Complément faux cher ami. Le lancement du JWST par Ariane était la principale contribution de l’ESA dans le programme (pour avoir eu temps d’observation), autrement dit, la NASA n’a rien payé à Arianespace pour le lancement.
Ici, l’Italie a payé le lancement de Cosmo Skymed à SpaceX. Pour les astronautes, les américains payaient la place aux Russes parce qu’ils n’avaient plus aucun moyen d’y aller par eux même. Maintenant que SpaceX peut remplir cetre tâche (et peut être Boeing à l’avenir) cela va s’arrêter. Plus généralement, les américains pratiquent la préférence nationale pour les lancements institutionnels, ce que l’Europe ne fait pas en retour.