Conquête spatiale : des records sont tombés en 2021, SpaceX enchaine les succès
Le 04 janvier 2022 à 09h35
1 min
Sciences et espace
Sciences
2021 était l’année de plusieurs records dans le domaine des lanceurs spatiaux. « Un total de 144 lancements orbitaux ont été tentés en 2021, dont 133 ont été couronnés de succès », explique Ars Technica. Le véhicule iranien Simorgh n’est pas pris en compte dans ce calcul.
Selon nos confrères, ces chiffres « dépassent le nombre total de tentatives de lancement orbital en 1967 (122 succès sur 139 tentatives de lancement) et un précédent record de succès en 1976 (125 succès sur 131 tentatives) ».
L’année dernière était aussi importante pour SpaceX, qui a réalisé sa 100e récupération d’un premier étage. Alors que certains n‘y croyaient pas il y a encore quelques années, la société multiplie les succès à ce sujet. En décembre, SpaceX a même réalisé deux lancements d‘une fusée Falcon 9 à seulement 15 heures d’écart environ.
Cette année 2022 promet d’être tout aussi passionnante avec de multiples projets à l’ESA, les essais sur Starship, etc.
Le 04 janvier 2022 à 09h35
Commentaires (2)
Vous devez être abonné pour pouvoir commenter.
Déjà abonné ? Se connecter
Abonnez-vousLe 04/01/2022 à 10h20
Ca a beau être un succès, ça n’empêche pas Musk de demander (exiger ?) aux employés de pas prendre de congés de noël car sinon la boite risque de ne pas survivre à 2022.
Donc soit c’est pas si rose que ça, soit Musk est juste un sacré c*d.
Pour le reste, entre les 10aine de millier de microsatellite et les tirs de missile anti-sat, on aura bien de la chance si on a toujours accès à l’espace à la fin de l’année :s
Le 04/01/2022 à 14h04
A mon avis, un peu des deux en fait. Il joue juste au poker avec sa boite en ne gardant rien en réserve pour un éventuel rouage qui gripperait dans son plan.
Il s’évertue à dire que tout va bien, ce qui est certainement relativement le cas actuellement, mais il a investis tellement lourd que tout pourrait basculer du “très bien” vers le “très mal” pour un rien, et j’imagine que c’est très pratique de raconter une version de l’histoire à la presse / au grand publique histoire d’avoir une belle image, et l’autre à ses salariés pour les
faire flippermotiver.