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Amazon enquête sur des employés qui auraient vendu des données et supprimé des commentaires

Amazon enquête sur des employés qui auraient vendu des données et supprimé des commentaires

Le 17 septembre 2018 à 09h38

Dimanche, le Wall Street Journal révélait que des employés Amazon avaient été payés pour supprimer des avis négatifs ou obtenir des informations confidentielles.

Selon nos confrères, les échanges passaient par des réseaux sociaux comme WeChat. Le montant serait de 300 dollars pour supprimer un avis, avec un minimum de cinq demandes par transaction (soit 1 500 dollars).

Des employés auraient aussi été payés pour fournir l'adresse email de certains clients mécontents, des informations sur les ventes de produits des concurrents ou encore restaurer des comptes bannis. Le phénomène serait particulièrement prononcé en Chine.

Le revendeur affirme à nos confrères avoir mis en place « des systèmes pour restreindre et auditer les informations auxquelles les employés peuvent accéder ». La même confirmation a été apportée à The Verge.

« Nous avons des politiques strictes et un code de conduite professionnel et éthique pour nos employés [...] quiconque enfreint notre Code fera face à des mesures disciplinaires, y compris des licenciements et de potentielles sanctions légales et pénales » ajoute Amazon.

Enfin, des sanctions seront également prises contre ses partenaires ayant eu recours à ce genre d'action, y compris en justice suivant les cas. Dans tous les cas, une enquête approfondie est en cours.

Le 17 septembre 2018 à 09h38

Commentaires (2)

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Fake new à mon avis. Ca m’étonnerait que des employés d’Amazon s’amusent à ça, alors qu’ils sont si choyés, si bien payés, et que c’est tellement fun de bosser là-bas <img data-src=" />

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BobQuiTue a écrit :



Fake new à mon avis. Ca m’étonnerait que des employés d’Amazon s’amusent à ça, alors qu’ils sont si choyés, si bien payés, et que c’est tellement fun de bosser là-bas <img data-src=" />





C’est peut être une justification (donc manipulation sous faux drapeaux) pour entamer une chasse aux sorcières qui produira de la pression pour dissuader les salariés de demander des augmentations.



Y’a comme un bruit ces derniers temps à propos d’Amazon qui inciterai plutôt à s’en détourner.



NB: excellent sujet de Capital sur comment les revendeurs s’espionnent les uns les autres pour se tacler sur les prix et comment il font des prix à la gueule suivant l’age d’un compte, etc…



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