Google publie des principes pour réguler le numérique en 2019
Le 09 janvier 2019 à 09h26
1 min
Internet
Internet
Le géant de Mountain View, en pleine bataille sur la future directive droit d’auteur européenne, pose ses « principes pour faire évoluer la régulation des technologies en 2019 » dans un billet de blog. En 2018, les critiques se sont intensifiées sur le pouvoir économique et politique des géants du Net, Facebook et Google en tête.
Les principes sont très vagues : concevoir des lois spécifiques pour éviter les effets secondaires involontaires, et faire évoluer les textes pour suivre les changements technologiques rapides. Surtout, la société rappelle ses efforts (largement médiatisés) pour lutter contre les contenus illégaux et dangereux, induisant que légiférer n’est pas toujours nécessaire. L’intelligence artificielle y tient toujours une place de choix.
Google devient coutumier de ces conseils aux législateurs. En octobre, il définissait ce qu’était une bonne loi sur la vie privée, demandant d’éviter un contrôle total des données par les internautes, de laisser une place pour « l’innovation » et une définition flexible des données personnelles. Il demandait aussi des lois à l’application limitée à leur territoire, contrairement au RGPD européen.
Le 09 janvier 2019 à 09h26
Commentaires (5)
Vous devez être abonné pour pouvoir commenter.
Déjà abonné ? Se connecter
Abonnez-vousLe 09/01/2019 à 09h58
On regule le numerique mais pas la finance et les impots hein :) :) ahh le double discours de ces gens la, capitalisme mondialisme et liberalisme c’est bien :)
Le 09/01/2019 à 11h34
+10
Le 09/01/2019 à 14h50
une définition flexible…
des impôts? Seuls les plus riches ayant le droit de les voler? " />
Le 09/01/2019 à 17h25
Ha… Une petite confusion entre numérique et Internet dans le titre. On va mettre cette grossière erreur sur le compte du retour de vacances. " />
Le 10/01/2019 à 07h29
Donc l’entreprise qui prône des lois sur la vie privée qu’au niveau national et si simpliste qu’une simple clause d’extradition des données sur des serveurs d’autres pays pourrait les invalider, se permet d’en rajouter dans les conseils vaseaux.
D’accord.
Google : il y a des moments où il faut savoir se taire…