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Quand l’intelligence artificielle rend « visibles des phénomènes astrophysiques jusqu’ici inaccessibles »

Quand l’intelligence artificielle rend « visibles des phénomènes astrophysiques jusqu’ici inaccessibles »

Le 20 novembre 2020 à 09h17

Le CNRS explique que « les nuages de gaz où naissent et grandissent les étoiles sont de vastes régions de l’Univers très riches en matière, et donc en processus physiques ». Le problème étant qu’il n’est pas facile de les étudier.

« Entremêlés à différentes échelles, de temps et de tailles, tous ces processus rendent presque impossible la compréhension complète des pouponnières d’étoiles. Mais les scientifiques du programme ORION-B viennent de prouver que les statistiques et l’intelligence artificielle peuvent lever les barrières se dressant encore devant les astrophysiciens et astrophysiciennes ».

Les scientifiques se sont associés à des spécialistes du traitement massif des données pour développer de nouvelles méthodes basées sur l’IA et le machine learning : « ces outils permettent de découvrir de nouvelles informations dans une grande masse de données comme celle du projet ORION-B. Ils ont ainsi permis de dévoiler certaines « lois » régissant le nuage d’Orion ».

Les chercheurs veulent maintenant confronter leurs travaux théoriques à la pratique, « en mettant en application les estimations et préconisations établies pour les vérifier en conditions réelles ».

Le 20 novembre 2020 à 09h17

Commentaires (3)

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Pourquoi distinguer les “astrophysiciennes” des autres astrophysiciens ? Elles sont inférieures ? Supérieures ? Le langage exclusif parasite tout.

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TroudhuK a dit:


Pourquoi distinguer les “astrophysiciennes” des autres astrophysiciens ? Elles sont inférieures ? Supérieures ? Le langage exclusif parasite tout.




Ou pas. Ca englobe justement nettement plus que le pseudo-inclusif qui est plus exclusif qu’autre chose (massacre totalement gratuit de la langue + grandes difficultés de lecture pour les dys- et les personnes non-francophones).
Le reste, c’est du shitstorm à peine digne de Twitter.

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Patch a dit:


Ou pas. Ca englobe justement nettement plus que le pseudo-inclusif qui est plus exclusif qu’autre chose (massacre totalement gratuit de la langue + grandes difficultés de lecture pour les dys- et les personnes non-francophones). Le reste, c’est du shitstorm à peine digne de Twitter.




Un mot par sexe ça englobe plus qu’un mot pour tous sans aucun critère de distinction ? Que tu massacres un mot avec des signes ou que tu l’écrives en double en l’accordant au féminin, c’est la même idée derrière qu’il faut séparer l’humanité selon son sexe (au prétexte d’inclure, sauf que la réalité c’est qu’on tente de résoudre un problème inventé, on ne peut pas inclure ce qui n’était pas exclus, le masculin étant extensif).



Ça vaut le coup d’écouter cette émission qui revient entre autres sur la façon d’imposer ce langage et de créer ce problème : https://www.franceculture.fr/emissions/signes-des-temps/le-nudge-et-le-comportementalisme



Et pour revenir à l’article, très bien, vous avez aussi l’exemple de l’IHU de Marseille qui a utilisé avec succès l’IA sur des scanners pour détecter en un clic les lésions pulmonaires du flot de patients qu’ils soignent, au lieu d’y passer 10 minutes à chaque fois, et ce avec moins d’erreurs que les bons médecins : https://www.youtube.com/watch?v=_8d_WpJG5gA

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