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byte_order

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12 commentaires

Le 10/07/2013 à 15h 52







Drepanocytose a écrit :



Edit : un bon wattmètre quand même, assez précis pour totaliser proprement et sans dérive, c’est un peu son but..







Sans dérive négative pour le fournisseur.

Pour l’abonné, c’est pas un problème, hein.


Le 10/07/2013 à 15h 27







wanou2 a écrit :



J’en avais acheté un… mais il merdait sec (electro depot n’était peut être pas le meilleur endroit pour en acheter un). Tu aurai un modèle correct à me proposer ?







J’ai un OWL USB CM160, environ 60 euros, qui marche très bien, conserve l’historique pendant 3 mois, affiche la conso instantané, son coût, la conso et le coût cumulée, dispose d’une alerte de dépassement, gère plusieurs tarifs horaires et permet de collecter en USB ces mesures dans un soft livré pour comparer de mois en mois, d’années voir d’exploiter les données au format CSV par une application domotique tièrce. Et cela communique par radio 433Mhz, accessoirement.



Ah, évidement, EDF n’arrive pas à l’exploiter à mon insu. Comme c’est dommage… pour eux. Moi, payer une option mensuelle pour avoir le droit de lire une information connu de Linky et que je peux parfaitement obtenir légalement moi-même : JAMAIS.





Le 19/12/2012 à 13h 42

“Pour un disque multimédia (avec entrée et sortie vidéo) c’est l’audiovisuel qui se taille la part du lion”



Comme 100% des sources audiovisuel numériques licites sont protégées par DRM, qu’il est interdit de contourner y compris pour bénéficier de l’exception pour copie privée, cette part du lion est du recel.


Le 29/10/2012 à 10h 37







Aphelion a écrit :



L’écosystème. C’est encore le principal atout de l’iPad, avec ses applications, et ses nombreux accessoires.







Euh, non, vu que l’iPad mini a le connecteur Lightning, les nombreux accessoires ne sont accessibles que s’il l’on débourse les 30 euros de plus pour l’adapteur Lightning vers ancien connecteur.



Ce qui fait un iPad mini à 369 euros…



Certains accessoires dépendent de la taille d’un iPad standard et donc incompatibles avec la version mini.



Reste donc les applications.

En effet.


Le 26/10/2012 à 17h 04







ff9098 a écrit :



Sauf que quelque chose à 50000€ j’achète pas ça tous les jours (ni même tous les ans d’ailleurs), alors que je peut être amené à acheter plusieurs apps par jours/semaines.







Marrant, on entend l’exact contraire qu’il s’agit d’augmenter les impôts de plus riches ou la TVA sociale : les riches vont fuir car trop douloureux tandis qu’une augmentation de 1-2% est indolore même chez les plus pauvres.



Foutaises.



12 à 20% c’est 12 à 20%, point barre. C’est pas moins ou plus indolore selon le montant, c’est une douleur rigoureusement, mathématiquement proportionnelle.



En terme économique, toute progression à deux chiffres est systématiquement considéré comme énorme.

Désolé, celle-ci n’est donc pas “petite”.

Tant mieux pour vous si cela vous profite à vous, mais ne venez pas vous étonnez que parmi vos clients beaucoup, eux, n’ont pas un pouvoir d’achat qui augmente à un taux à deux chiffres, et donc baisse par rapport à votre offre.



Toute la crise économique actuelle en occident se résume à cette situation : tout augmente pour le bénéfice de moins en moins de monde tandis que le pouvoir d’achat de plus en plus de monde baisse. Cela ne peut que se terminer mal.



Le 26/10/2012 à 16h 52







pecos a écrit :



Apple décide pour nous une toute petite augmentation de 12 à 20%.

Et que vous, quand vous voulez une augmentation, j’espère quand même que vous ne vous privez pas d’aller voir le DRH ou le boss et de lui faire comprendre que, bon, ça urge.







Oui, bien sûr, quand un salarié demande une “toute petite augmentation de 12 à 20%” à son boss, y’a aucun problème, cela passe comme une lettre à la poste.

Y’a des millions de français qui vivent cela chaque jour, d’ailleurs.





Vous allez voir qu’on change radicalement de point de vue quand on est de l’autre côté du manche… <img data-src=" />





Merci de nous apprendre une seconde chose : qu’on ne voit pas la valeur de l’argent de la même façon selon qu’on en gagne ou qu’on en perd.



Ouf, nous voilà moins idiots.


Le 19/09/2012 à 14h 26







olive140 a écrit :



Fini webdav sur Hubic







Ah, mince.

Mais comme c’est pour Switch à la place, finalement via rsync cela peut être plus facile d’intégrer Hubic à son NAS. A voir.



Merci de l’info, en tout cas.


Le 19/09/2012 à 13h 42







olive140 a écrit :



le même service avec Hubic et mon nas Netgear ça serais TOP





Certains modèles de NAS Netgear peuvent être migrés sur un firmware open source , et là monter le service Hubic comme un volume webdavfs est l’affaire d’un rapide script…



Le 19/09/2012 à 13h 35

L’équivalent sur QNAP s’appelle MyCloudNAS.

Et sinon y’a OwnCloud dispo en QPKG beta…

Le 04/09/2012 à 14h 20







cesame a écrit :



Oui mais les maires utilisent Google pour repérer les propriétaires ayant construit une piscine sans l’avoir déclaré. Quand il s’agit de faire rentrer les impôts…







Et ?

En quoi c’est une violation de la vie privée que de découvrir via une photo prise en dehors de la propriété privée que vous avez une piscine ?!



Vous vouliez la cacher aux yeux de tous pour des raisons qui vous sont propres !? Et bien, il fallait la construire couverte.



Par ailleurs, le fait de découvrir que vous avez une piscine non déclarée n’est opposable au simple fait que éventuellement un juge farfellu pourrait considérer que la photo a été prise illégalement : les deux délits seraient alors instruis, le second n’annulant pas la réalité du premier…


Le 04/09/2012 à 13h 29







megabigbug a écrit :



Google maps utilise aussi des vues aériennes.







Je l’ignorais.



Dans ce cas, la prise de vue est faite dans la bulle juridique qui englobe l’aéronef, qui bénéficie au titre de l’exception pour navigation aérienne : cette bulle n’est pas dans la propriété privée, mais dans celle du propriétaire de l’aéronef.



Ce qui ne change donc pas grand chose.



Sauf en ce qui concerne les zones aériennes interdites de vol. Prendre (on parle même pas de la diffusion, juste la prise) une photo aérienne de la zone aérienne interdite de vol au dessus de la rade de Brest, base des sous-marins nucléaires français, est fatalement interdit car le vol lui même l’est. Principalement pour cette raison.



Mais depuis l’espace des satellites… la France ne pouvant imposer ses lois dans cet espace, cela reste possible. Après, il y a des accords avec les opérateurs de satellites et les ministères de la défense des pays pour flouter, etc. Mais je doute qu’un petit pays voulant interdire la diffusion de la photo satellite du quartier général du dictateur national soit autant entendus que d’autres… et ce n’est plus du ressort du droit, même international, même des rapports politiques internationaux.





L’espace commence à quelle altitude ?





Bonne question. Il n’y a pas vraiment de réponse établie.

Si l’on considère qu’il commence là où la vie sans assistance est impossible, environ 4-5 km. Si c’est là où le vol n’est plus possible car pas assez d’air pour cela, la règle aéronautique la définie à 100km.



Y’a donc un peu de marge.

Mais dans tous les cas, un satellite est par définition dans une zone qui échappe à celui de la propriété privée tel qu’actuellement défini. Au passage, il n’en va pas de même en ce qui concerne le sous-sol, objet de convoitise sous la banquise, dans les montages, etc. Mais la prise de photos souterraine, c’est plus rare ;-)


Le 04/09/2012 à 12h 58



Hmmm… il me semble qu’a partir du moment où la photo est prise de la rue (lieu public), au contraire il n’y a rien a demander.





Pour prendre la photo, en effet.

Mais avoir le droit de prendre une photo et le droit de la diffuser sont deux droits différents. Le premier ne peut pas violer la vie privée, ni porter un préjudice particulier, le second, si.









megabigbug a écrit :



Est-ce que le ciel est un lieu public ?

J’ai tendance à dire que oui: les contrôleurs aériens sont des employés d’un service public.







Le ciel au dessus d’un propriété privée fait partie de cette propriété, sauf dérogation particulière rendu nécessaire pour la navigation aérienne, la diffusion des ondes radios, etc.

Donc, en théorie, si vous amenez un drone au dessus d’une propriété privée et prenez des photos à 30m d’altitude, vous violez l’espace privée, en plus de violer éventuellement la vie privée, etc.



Sauf que Google Maps utilise des photos satellites.

Et les satellites ne sont pas dans le ciel, mais dans l’espace en orbite autour de la terre. Cet espace n’est la propriété de personne en particulier, et le droit à la propriété privée ne s’étend pas à l’espace pour des raisons évidentes.



Les satellites ne violent aucunement le droit de la propriété privée.

Reste donc leur diffusion et si cette diffusion viole la vie privée ou peuvent l’exposer à des risques particuliers, tel que le cambriolage. C’est possible en effet, mais il appartient aux juges de maintenir l’équilibre entre le droit de diffuser une photographie prise depuis l’espace (public en général, mais ici littéralement :-) ) et le droit à la vie privée, qui n’est pas un droit sans limite.



De la même manière qu’un propriétaire ne peut interdir ni de prendre son bien en photo depuis l’espace public ni de la diffuser s’il n’y a pas atteinte à sa vie privée ou mise en danger, il peut parfaitement s’en protéger en hérigeant une clôture limitant la possibilité de prendre son bien en photo au dela de la clôture elle-même.



Techniquement, rien ne l’empêche de couvrir également son bien pour empêcher les photos satellites de voir quoi que ce soit.



Désolé, mais le droit n’est pas là pour hériger une clôture juridique pour simplement les câcher systématiquement aux yeux des autres, ils leur appartient d’investir sur des mécanismes occultants la vue depuis tout l’espace public, et ceux à leur frais.