Les téléchargements, légaux ou illégaux, ne nuisent en rien à l’industrie cinématographique. Au contraire, puisque depuis trois ou quatre ans, la fréquentation des cinémas est en augmentation constante.
Les ayants droit sont de plus en plus gourmands. Ils touchent déjà leur dime sur toutes les surfaces enregistrables (clefs USB, disque, bande, etc.), ces gens veulent le beurre et l’argent du beurre. Si encore cette manne profitait aux auteurs des oeuvres au lieu d’enrichir des sociétés multinationales lesquelles n’ont pas - le plus souvent - leur domicile fiscal en France. Et dire que c’est l’État (donc les contribuables) qui finance cette Haute Autorité, dont le rôle n’est d’autre que drainer l’argent vers des intérêts privés.
2 commentaires
Et si la copie privée était prélevée sur le titre plutôt que sur le support ?
21/02/2013
Le 22/02/2013 à 10h 07
Je suis surpris que dans le pays qui a inventé la TVA, personne n’ait trouvé encore le moyen pour faire payer l’air que nous respirons.
Hadopi, marche ou DREV
27/11/2012
Le 28/11/2012 à 11h 51
Les téléchargements, légaux ou illégaux, ne nuisent en rien à l’industrie cinématographique. Au contraire, puisque depuis trois ou quatre ans, la fréquentation des cinémas est en augmentation constante.
Les ayants droit sont de plus en plus gourmands. Ils touchent déjà leur dime sur toutes les surfaces enregistrables (clefs USB, disque, bande, etc.), ces gens veulent le beurre et l’argent du beurre. Si encore cette manne profitait aux auteurs des oeuvres au lieu d’enrichir des sociétés multinationales lesquelles n’ont pas - le plus souvent - leur domicile fiscal en France. Et dire que c’est l’État (donc les contribuables) qui finance cette Haute Autorité, dont le rôle n’est d’autre que drainer l’argent vers des intérêts privés.