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1 commentaires

Manuel Valls : le futur de la politique pénale contre la cybercriminalité

Le 31/01/2013 à 10h 53






josagama a écrit :

Manuel Valls <img data-src=" />ne regrette pas qu’« on ne dispose pas encore en France d’une vision précise des infractions liées a la malversation financière, aux emplois fictifs,à la corruption,aux pots de vin,à la corruption,aux comptes planqués à l’étranger de nos politiciens». <img data-src=" /><img data-src=" />



Il fut un temps ou l’idée d’auto-régulation d’internet existait, via la nétiquette par exemple. Ou est passé la nétiquette ? Que sont devenu les cyber-vigilants ? Des principes simples qui aurait pu permettre de tenir le Web sur une ligne moralement défendable. Oui, moralement, comme technologie sans morale sonne avec science sans conscience. Les défenseurs de la nétiquette et donc promoteurs de l’auto-régulation se sont vite retrouvés limités et accusés d’abus de pouvoir face au déferlement des utilisateurs. Remplaçant un anarchisme dirigé par un anarchisme populiste. La cyber-vigilance du net a été détournée en cyber-défiance des états, laissant passer à la trappe l’auto-régulation. L’idée première des fondateurs d’Internet comme outil de connaissance à failli, elle a été rattrapé par les spécialistes de la désinformation et les recruteurs d’idéologies en tout genre lorsque ils ont mis la main dedans sous couvert d’une pseudo-liberté d’expression. Non, tout n’est pas possible !
Internet ne fut pas à l’origine une “hate machine”, même des cyber-vigilants comme Anonymmous sont traversés de nombreux courants pseudo-moralisateurs gangrénés par des idéologies stupides et je pense aux cyber-sectes new-age avec leurs adeptes qui claque l’idéalisation de leurs doctrine sur le réseau des réseaux comme étant le paradigme d’une conscience cosmique - mettre ici le fond d’écran Matrix (1999) et le syndrome du messie Néo sauveur de l’hunamité-technologique (homo-technicus).
Le web malgré son apparence de système ouvert, recèle de niches fermés plus étanches et opaques que n’importe quelle “société secrète”. Ici n’est pas la question de l’anonymat individuel sur l’Internet, mais la non-transparence des groupes qui s’y crée. L’erreur de l’angélisme pend au nez de ceux qui restent dans le déni des réalités sur l’état dans lequel se trouve aujourd’hui le web et restent bloqués sur une idéalisation. Lorsque Valls évoque « la mise en place de chartes de bonne conduite basées sur le volontarisme des intermédiaires techniques » il en revient aux principes d’auto-régulation et de la nétiquette — et donc à l’esprit initial du net. la :http://fr.wikipedia.org/wiki/Nétiquette date de 1994, juste après l’apparition du premier navigateur Web (1993) et avant les premiers frémissements de la bulle internet (1995).
Le web 2.0 a créé un univers cloisonné, avant lui j’étais de ceux qui raillait la nétiquette dans ce quelle avait de « fascisant ». Mais ça c’était « avant » de ne faire une analyse aussi lucide que possible. On ne peut pas se prétendre « acteur » d’Internet et n’avoir que l’attitude du laisser-faire (anarcho-capitalisme libéral).
La seule alerte qui devrait vous réveillez lorsque l’état désire en venir à une gestion du net, et le faire à votre place, c’est de se dire qu’un retour à l’auto-gestion est nécessaire pour garder pour le peuple un outil de connaissance intègre. Mettre en accusation les gouvernements est vain, c’est une paille dans l’œil du voisin. Vive l’auto-régulation ! Il y a beaucoup à faire.