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Winael

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14 commentaires

Le 06/11/2021 à 12h 05

D’ailleurs dans les nouveautés intéressantes de la plateforme il y a les “essais”. Pour l’instant 3 jeux éligibles, Control Ultimate Édition (30 minutes), Hello Engineer (30 minutes) et Riders Republic (2h).



Pas besoin de compte Stadia pour tester.



A titre personnel, ça fait plus d’un an que j’utilise Stadia quotidiennement, bien plus simple que GFN. L’une des fonctionnalités les plus intéressantes c’est le partage familiale. J’ai plus d’une 20aine de jeux accessibles aux enfants. Du coup chacun de mes enfants à son compte avec les jeux que j’ai spécialement activé pour eux, et ils peuvent y jouer sur n’importe quel écran de la maison.



Depuis peu, ayant repris en partie le travail sur site, il m’arrive le midi de brancher mon téléphone en mode DeX sur mon écran pro, et de lancer Stadia en 4G. Et Franchement ça le fait grave, même si je suis toujours aussi mauvais à Riders Republic.



Pour le moment j’ai assez peu pris en défaut Stadia, excepté peut être sur la plage à Barcelone en 4G, mais avouez que c’etait un peu extrême. Par contre depuis un bar de plage ça fonctionnait nickel ^^



Stadia intégre de nombreuses fonctionnalités sociales, (l’onglet explore qui permet de partager des capture et State Share est enfin disponible sur la version web), la possibilité de créer des parties publiques pour rencontrer de nouveaux joueurs, la possibilité maintenant de gérer l’aspect privé de qui peut nous rejoindre en jeux sans qu’on le n’y ai invité (personne, les amis, les amis et leurs amis, tout le monde), ce qui permet un environnement plus sécurisé (notamment pour les enfants).



On voit le sérieux qu’apporte Google à son service et lorsque l’on se retourne sérieusement sur l’année qui vient de passée, on s’aperçoit du très gros chemin parcouru en un an (mais le fait de livrer au fil de l’eau jeux et features, sans communiquer en amont, avec juste un récap a posteriori sur un billet de blog de Google, n’aide pas à promouvoir ces changements, mais en lisant les Stadia Savepoints de novembre 2020 à octobre 2021, on se rend compte du travail fournis).



Dernièrement les développeurs ont aussi communiqué sur l’utilisation de canaux de distribution pour les éditeurs, notamment pour les playtests, early Access et bêta, version presse, etc. Une grosse partie du travail est aussi effectué pour rendre plus efficace le développement des jeux sur Stadia.



Enfin des essais sont en cours pour utiliser Stadia au travers de l’offre cloud de Google, permettant à des éditeurs de créer des frontends tiers et leur propre “boutique” en s’interfacant avec Stadia (ce que propose AT&T en ce moment). A l’instar d’autres produits Google comme Maps qui propose une utilisation de leur service via des API, il semblerait que Google souhaite étendre également Stadia en proposant des API pour des services tiers. Il y a encore assez peu d’informations disponibles là-dessus.



Bref Stadia n’est pas prêt de s’arrêter, d’autant que de plus en plus d’offre d’emplois sont proposées par Google autour de Stadia, notamment sur toute la partie relation partenaires, stratégie, etc.



Du produit créer par une petite équipe, Google est en train d’en faire un business, ce qui n’est guère étonnant compte tenu des projections en terme de revenus pour le cloud gaming. Clairement le plublic visé n’est pas le même que GFN, ni que GPU, et on sent que la stratégie adoptée est basée sur les principes du slow growth, faire un bon produit en grossissant doucement et en convaincant au fur et à mesure que de communiquer à tour de bras, avoir de nombreux utilisateurs mais qui seront assez volatile dans le temps.



On verra d’ici quelques années où ils en seront mais il ne faut pas s’attendre à voir Stadia disparaître, et en attendant moi je profite de ma large bibliothèque dessus :)

Le 09/06/2021 à 12h 12

Non j’ai regardé les tests de plusieurs personnes qui ont voulu s’en servir, même avec une connection fibre le bousin rame.
Sans compté que même si ça c’est amélioré, au départ il fallait avoir du matos full google.



Et ce n’est pas une sympathique communauté autour de stadia, ce sont des fanboy prêt à défendre stadia bec et ongle.



Et en plus il faut repayer ses jeux, bref aucun intérêt, shadow était bien plus interessant.

Il faut savoir dans quelles conditions (et quand) ces vidéos ont été faites. Au départ effectivement, il y a eu pas mal de déconvenue, il fallait un téléphone Pixel de Google, ou une Chromecast Ultra. Mais courant 2020 (avril ou mai, je ne sais plus), ça s’est ouvert à d’autres appareils Android et j’ai pu y jouer sur mon S8 et ma Tab S6.



C’est aussi là qu’on a découvert la nécessité d’avoir un WiFi résilient (celui des box est une horreur).



Depuis juin 2020 on peut également y jouer en 4G. C’est d’ailleurs par ce mode que joue un photographe virtuel qui fait des clichés magnifiques sur les Assassin’s Creed.



Le jeu d’action Destiny 2 est en Free-to-Play et permet de tester sa configuration, sachant de l’abonnement de base est gratuit.



Pour Shadow, malheureusement, leur déboires étaient prévisible d’avance. Quand on m’en a parlé, j’ai tout de suite compris que leur modèle ne pouvait pas passer à l’échelle. Shadow est loin de respecter les standards du Cloud (genre à la demande, c’est pas 18 mois plus tard). Pour le prix, Shadow est donc une offre de niche, qui marche peut-être très bien pour ceux qui ont la chance d’avoir déjà un compte, mais qui n’est destinée qu’au gamers PC exigeants. Pas pour le marché des Casual



Quand à l’argument de racheter ces jeux…



Ben non. Y’a pas à faire de choix.



Si quelqu’un à le jeux Assassin’s Creed Odyssey par ex sur sa plateforme de jeux, pourquoi il devrait le racheter ? Qu’il y joue sur sa plateforme. Mais pour un jeu qui vient de sortir et qu’il n’a pas il a un choix supplémentaires. Le prendre sur sa plateforme ou sur Stadia. Quant aux Casuals comme moi, la plupart des jeux du catalogue ils ne les ont pas, ça peut être une bonne occasion.



Mais soyons clairs, Stadia ne s’adresse pas en priorité aux gens déjà équipés. C’est une offre plutôt pour les autres

Le 09/06/2021 à 07h 12

Y’a actuellement 19 jeux Ubisoft+, et 9 autres qui sont prévus très prochainement. Stadia nécessite un portage, car Google n’utilise pas de VM Windows comme c’est le cas chez GFN



Tous les jeux Stadia marchent sur l’ensemble des appareils compatibles. Si un smartphone est compatible Stadia, tous les jeux Ubisoft sur Stadia tourneront sans problème. Après au niveau des contrôles tactiles sur un Assassin’s Creed Valhalla, c’est vrai que c’est pas top, mais avec un Razer Kishi ou un Shaks S3i, on transforme rapidement sont smartphone en petite console portable.



Beaucoup de plaintes sont fait par des gens n’utilisant pas le service.
Pour l’utiliser quotidiennement n’ayant ni un PC Gamer, ni de console puissante (je n’ai que la Nintendo Switch), ça marche du feu de Dieu, j’ai vraiment l’impression de jouer en local. Par contre j’ai découvert les limitations du WiFi.



En effet je vis dans un appartement construit dans les années 50, avec une architecture en arrête de poissons. Quasiment tous les murs sont porteurs et donc en béton armé. J’ai donc une atténuation du signal WiFi très conséquente, avec une grande perte de fiabilité du signal. (Et ça le cloud gaming ça n’aime pas, peu importe l’opérateur). Je me suis donc fais une installation WiFi meshé (1 routeur + 3 points d’accès). Y’en a de différentes marques. Et depuis j’ai nettement amélioré ma connectivité WiFi. Mon fils a enfin internet dans sa chambre (et peut jouer à Fortnite Switch en Wifi dans de bonne conditions), finie la purée de pixel sur le projo de ma chambre et cerise sur le gâteau, Stadia marche enfin dans toutes les pièces de l’appartement.



Bon après le seul soucis que je n’ai pas réussi à résoudre, c’est le manque de temps pour jouer… Et plus de 120 jeux dans ma librairie Stadia (Stadia Founder + Stadia Pro depuis le lancement)



Pour le moment il sera possible d’installer l’appli sur les Android Box des opérateurs, en support expérimental (c’est à dire sans garantie contractuelle de fiabilité). J’ai joué pendant des mois sur mon téléphone et ma tablette avant leur pleine prise en charge contractuelle, et je n’ai jamais eu de soucis. J’imagine que pour les Android box ce doit être pareil. L’avantage qu’il peut y avoir à installer Stadia (qui sera dans le store), c’est de pouvoir jouer directement à certains nouveaux jeux juste en achetant le jeux (pour rappel, l’abonnement de base à Stadia est gratuit et permet de diffuser le jeu à une résolution allant jusqu’à 1080p). Donc pour ceux qui veulent jouer aux derniers Resident Evil, Assassin’s Creed, Far Cry sans payer un bras une console, c’est l’idéal (y’a pas mal de promos chaque semaine dans la boutique)



Enfin je terminerai par dire qu’il y a une sympathique communauté autour de Stadia, très dynamique pour ceux qui voudraient trouver des camarades de jeux : https://stadiafr.com/. On y trouve pas mal guildes pour faire du multi, des soirées multi thématique sont souvent organisées, des tournois etc, avec une seule règle, le bon esprit. Ça peut être utile de rappeler l’existence de cette communauté pour ceux qui auraient peur de ne pas trouver d’autres joueurs

Le 03/07/2020 à 06h 16

Pour Stadia, il faut bien comprendre que son business model n’est pas tourné vers le joueur, et surtout pas le joueur de console, mais que Stadia fait partie d’un programme plus large, Google for Games qui vise avant tout le marché professionnel. Google s’adresse aux studios pour vendre son expertise SRE (gestion d’infrastructures : Kubernetes entre autre et certaines extensions comme Agones qu’ils ont développé s), et ses ressources (son cloud GCP) pour faire du game server.

L’idée avec Stadia eat d’aller plus loin et d’offrir un marché potentiel auquel n’avait pas accès les studios jusque là. Les joueurs occasionnels qui ne veulent pas acheter de console dernier cri, ou mettre énormément d’argent dans un PC Gaming. Bref la plèbe pour les gamers hardcore…

Ces gens là veulent aussi pouvoir s’amuser aux derniers jeux AAA (donc ça intéresse les studios qui veulent vendre leurs jeux), mais dans l’immédiateté et sur plusieurs supports et pouvoir switcher (idée qu’on retrouve avec la Switch de Nintendo).

Et ces gens là pour beaucoup utilisent des terminaux Google (appareils Android, Chromecast, navigateur internet basé sur Webkit). On parle d’un marché potentiel de presque 1 milliards d’utilisateurs dans le monde.



D’autre part, le côté click and play permet aussi de transformer Ad Sense en support de vente et avoir rapidement du feedback sur ce que veulent les joueurs en fonction de la transformation (pubs sur les sites et YouTube). Tout cela intéresse bien évidemment les studios également et sont prêts à payer pour ces services.



Je précise que tout cela est mis en avant dans les conférences Google for Games Dev Summit



Stadia n’est donc qu’une partie émergée de l’iceberg et continue peu à peu d’attirer des utilisateurs convaincu par le service

Le 13/10/2016 à 04h 55

@yvan, en fait ce n’est pas tant au niveau des progiciels mais du packaging le problème. 

Question progiciel, en mode serveur, on s’en sort plutôt pas trop mal.

 

Déjà, question IoT, en règle général tu mets à jour l’image pour ton objet et non une app, ce qui est particulièrement relou de toujours rebuilder des images intégralement et de faire en sorte que tes clients upgrade leur objet, du coup tu te retrouve avec un tas d’objets totalement non sécurisé. Alors dans le cadre d’un thermostat, d’une télé toussa c’est chiant question vie privée, m’enfin c’est pas la mort non plus, par contre dans le cas d’une voiture, ça devient tout de suite plus compliqué. Avec les snaps, tu as un OS de base, des frameworks, et des apps, le tout étant indépendant. On peut imaginer que le constructeur de voiture sera vigilant sur tout les composants critiques avec des maj régulières OTA, et permettent des applications tiers non critiques sur son store



Oui parce que c’est aussi un truc sympa avec les snaps, c’est que tout constructeur peut ajouter (c’est tout l’intérêt du truc) un magasin d’application, qu’il gère à sa sauce (un simple serveur web suffit). Du coup, si je propose un jouet type BB-8 de sphero, ben au lieu d’être bridé par les comportement du bidule que moi, constructeur, j’ai ajouté, je peux proposer un store pour des développeurs tiers, ce qui veut dire que j’ai la possibilité de monétisé du contenu (comme apple store, Google play, ou la logitheque ubuntu). Les devs peuvent y vendre (ou pas) leur applis sous licences FLOSS ou non libre.



Enfin, dernier atout, c’est la facilité de construire des paquets depuis n’importe quelle source. C’est pas du scripting, mais un fichier déclaratif Yaml, dans lequel on précise la source, le type d’appli (maven, python, c, java, etc) et les paramètres de build.



Du coup, beaucoup d’applis de github qui n’ont pas été packagée peuvent l’être, même si on essaie de travailler avec les projets upstream pour qu’ils crachent du snap en automatique (en écrivant pour eux la recette).



La où je te rejoins question progiciel, c’est que l’application étant packagée avec tout ce dont elle a besoin, et pouvant exposer des interfaces, tu vas non seulement pouvoir avoir des applis en stable et en bêta cohabitant ensemble, mais du coup tes plugins se connecteront automatiquement au deux, sans se poser de question. Du coup, tu peux vraiment tester que la partie du progiciel qui t’intéresse et les plugins peuvent être plus facilement mutualisables.



Alors clairement il a fallu s’affranchir de la philosophie KISS d’Unix (en plus ça repose beaucoup sur systemd pas franchement KISS), mais qui est totalement inadaptée à l’informatique ubiquitaire d’aujourd’hui. C’est fini les années 80, plus personne ne porte la coupe mulet, François s’appelle Hollande et Sophie Marceau ou Drew Barrymore sont devenues des Milf. Faut vivre avec son temps les mecs, 30 ans en terme d’informatique c’est comme parler paléolithique en Histoire. Même en politique ils sont plus évolués, les dinosaures viennent des années 90, c’est dire.



Bref, j’espère que les snaps perceront, y’a des gens vraiment brillants derrière, y’a une grande curiosité de la part de nombreux industriels, un certain engouement de leaders de communautés FLOSS, et peut-être même qu’après Bash on Windows, les snaps puissent aussi débarqués sur l’OS de Redmond ce qui en ferait une ADM

Le 12/10/2016 à 05h 19

@yelin



De nos jours, on utilise le plus souvent des builds automatisé comme le permet Jenkins par exemple. D’ailleurs il me semble qu’il existe un plugins Jenkins pour Snapcraft, ou alors c’est en cours.



Quoiqu’il en soit, puisque la recette Snapcraft ne change pas, il te suffit de créer un script que tu place sur la cron en daily qui build ton app et te prévienne au cas où une des parties du build a changé histoire que tu fasse des tests. Ainsi, si la lib OpenSSL est mise à jour, toutes tes apps qui l’utilisent se construiront en automatique, et tu recevra un mail te disant de tester les nouveaux snaps. C’est prévu pour être totalement industrialisable.



Pour rappel, le coeur de métier de Canonical c’est le Cloud donc les outils qu’ils créent sont quand même vachement orientés DevOps (donc automatisation à outrance)

Le 11/10/2016 à 08h 45

Pour répondre à la problématique des maj de sécurité type openSSL, la méthode recommandée pour créer des snaps est l’utilisation de Snapcraft. Il permet de crée une recette en définissant des parties d’applications, où trouver les sources et comment les construire.



Du coup dans le cadre d’un daily-build automatisé, si on précise que la source d’OpenSSL c’est le GitHub du projet, on récupère toujours la dernière version proposée par la Team et non la version distribution. Reste plus qu’à faire un coup de QA, puis de pousser la nouvelle version de son appli sur le store, et tous les appareils ayant votre applications se mettront automatiquement à jour, pratique notamment dans l’IoT, pas besoin de rebuilder une image entière. On peut se permettre de mettre à jour automatiquement les appareils, puisque les librairies étant isolées, une maj d’application ne va pas casser les autres applications.



 Les snaps ne sont pas des conteneurs, mais des FS squashFS en lecture seule, doublée d’une protection d’accès AppArmor et de l’utilisation des filtres de processus SecComp. Pas d’utilisation des namespaces du noyau.



Pour réduire la taille des snaps, on peut créer des snaps “framework” (ex: KDE). Le framework KDE va exposer des fonctionnalités via différents bus ou interfaces. Ainsi une application peut dépendre d’un ou plusieurs snaps sur laquelle elle va s’accrocher, donc pas de problème de compatibilté.



On peut aisément faire des rollback, gérer les versions présentes, à peu à l’image de ce que l’on fait lors de livraisons applicatives quand on est ingé support applicatif (middlewares/couches hautes)



Les snaps sont aussi compatibles Gentoo, ArchLinux, Fedora, Debian en y installant snapd, et puisque c’est une construction par ensembles, on peut donc construire avec :



 - Des robots




  • Des objets “intelligents” ou IoT (Mycroft, des smartswitch)

  • Des drones

  • Des services destinés au Cloud (Les snaps fonctionnent sur OpenStack, Azure, AWS…)

  • Des serveurs

  • Des postes de travail

  • Des téléphones ou tablettes

     

    Pour ceux que ça intéresse, il me semble de Didier Roche de chez Canonical sera là pour en parler à l’Open Source Summit Paris. Sinon j’en parlerai plus profondement lors de l’Ubuntu Party Paris les 1213 novembre 2016

Le 22/02/2016 à 10h 35

Bof, ça fait presque un an que j’utilise Dekko, un client mail natif sur mes Ubuntuphone. Le tel évolue très, très vite, a tel point que toutes les 6 semaines on a l’impression que c’est Noël.



Nous avons fait une démonstration de la convergence lors de la dernière Ubuntu Party Paris, ça marche plutôt bien. Et chez Canonical, certains ont remplacé leur UC par leur Nexus 4. Une chaine de TV anglaise est passée récemment dans les locaux de Canonical, et visiblement ils n’en sont pas revenus de voir ça.



Maintenant j’attends de tester la tablette pour voir ce qu’elle donne :)

 

Le 22/02/2016 à 10h 29

A flasher soit même. Les images ne sont pas encore publiées par contre, c’est des exclus MWC2016. Il devrait y avoir aussi un Fairphone 2 il me semble

Le 22/02/2016 à 08h 17

Pour info, Sony et OnePlus ont “collaboré” à l’élaboration de ces images, Sony en ouvrant certaines parties de son code, OnePlus en fournissant des appareils aux développeurs pour assurer le portage.



Au niveau du support de uTouch on a une grosse MAJ OTA toute les 6 semaines environs, apportant bug et security fix + nouvelles fonctionnalités. Il me semble aussi que ces téléphones peuvent accepter une sortie hdmi sur le port micro USB ce qui les rend éligible à la convergence selon Ubuntu

Le 08/02/2016 à 11h 47

-_-”



 Dites, si quelqu’un a les coordonnées de Vincent qui ne réponds pas qu’on on le sollicite, pourriez-vous lui dire de me contacter avant d’écrire des c…. dans ses papiers ?



 ça en devient pénible



Quelques petites rectifications :



“Cependant, BQ est un partenaire régulier de Canonical et a déjà produit par exemple un smartphone sous Ubuntu, là encore adapté d’un appareil Android existant.”_ ==> Faux c’est deux : Aquaris E 4.5 et Aquaris E 5 HD



“Ce qui n’empêche pas la tablette de proposer un Ubuntu classique et donc de pouvoir faire tourner les logiciels habituels. Canonical ne le précise pas dans son annonce, mais la tablette, qui n’arrivera pas avant le deuxième trimestre, est très probablement prévue pour être accompagnée d’Ubuntu 16.04. Il s’agit d’une mouture LTS (Long Term Support), avec un support de cinq ans au lieu des neuf mois habituels.”



 Euh non pas vraiment c’est la version “mobile” qui est proposée en version 15.10 à partir de mars. Il sera cependant normalement possible d’installer des paquets traditionnels via la ligne de commande au début. Ils seront confinés ensemble dans une sorte de sandbox. La version “mobile” n’est pas du tout dans la lignée du support standard mais avec des MAJ OTA délivrées toutes les 6 semaines, apportant bugfix et nouvelles fonctionnalités



“Si l’on n’a donc pas encore de date précise de disponibilité, on ne connait pas non plus le prix. Si l’on se base sur la variante classique de l’Aquaris M10 sous Android, le tarif devrait être autour des 279 euros, à moins évidemment que Canonical ne demande un prix plus élevé pour alimenter ses caisses. Les intéressés peuvent se rendre sur le site officiel pour s’inscrire et être avertis de la disponibilité de l’appareil.”



Nan mais WTF ??? Ubuntu n’est et ne sera pas vendu par Canonical sous quelques formes que ce soit. C’est quoi cette histoire d’alimenter ses caisses ?



 “On notera enfin que le communiqué de presse comporte une information intéressante. Nous avions souligné en fin d’année dernière que Canonical était mal parti pour atteindre son objectif de 200 millions d’appareils sous Ubuntu d’ici la fin 2015. La société a indiqué hier soir que son système était en fait installé sur plus de 30 millions de PC.



 Le chiffre ne tient pas compte des appareils mobiles ni des serveurs, mais il est probable que le score soit encore assez éloigné de ce qui était envisagé. Il n’est cependant pas trop tard pour remplir cet objectif, à charge aux smartphones et tablettes Ubuntu de toucher leur public.”



 Combien de fois il faut le dire ? 200 millions c’était toutes plateformes confondu y compris les VMs et/ou containers. Or dans le cloud open, Ubuntu raffle la mise. D’ailleurs ça tombe bien car c’est dans le cloud qui alimente les caisses de Canonical (expertise, intégration, support…)

Le 15/04/2015 à 10h 38

Ce qui me plait dans tout ça, c’est que c’est tellement n’importe quoi que la baffe du Conseil Constitutionnel va être monstrueuse



Beaucoup de temps et d’énergie perdue pour rien

Le 22/12/2014 à 11h 17

@Rozgann,



Quand je parle de même code, c’est toute la couche basse qui est la même (les appels systèmes), donc l’intégration est la même. Le reste au niveau rendu n’est que du ‘responsive’ et là encore avec Unity8/Mir un gros travail est fait en amont pour facilité la création d’applis responsives, au delà même de l’aspect Qt/QML.

Ubuntu mise sur la mise ne place d’un écosystème complet, en essayant de faciliter la vie des développeur avec Ubuntu Make. Certes du jour au lendemain ils ne vont pas devenir THE alternative, mais j’ai confiance dans le moyen et long terme pour que l’OS devienne une alternative crédible pour professionnels et particuliers.



En tout cas c’est mon prochain téléphone ^^

Le 22/12/2014 à 09h 40

@sebtx,



UbuntuPhoneOS est déjà dispo pour de nombreux modeles Android :&nbsphttps://wiki.ubuntu.com/Touch/Devices



@inextenza,



L’avantage d’UbuntuPhoneOS, c’est que c’est le même code de l’OS pour le téléphone, la tablette ou le poste de travail. Ainsi une application développée pour Ubuntu marchera sur le tel, la tablette et le poste de travail, et le portage d’un deb vers clickpackage devrait être simplifié (les deux utilisent dpkg, clickpackage ayant un manifeste et une décalration AppArmor au lieu d’un script de post-install)



Vivement février