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Konrad

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4337 commentaires

Le 20/01/2016 à 09h 09







ErGo_404 a écrit :



Il s’agit de Microsoft Research. Leur but n’est certainement pas de commercialiser quoi que ce soit, mais plutôt de faire de la recherche (ici en interaction hommes-machines). A ce titre ils auront sûrement une publication dans une revue, une belle vidéo à présenter, mais aucun produit concret et ce système sera presque oublié d’ici un an.







Mouais, un peu comme le projet Hololens qui avait provoqué un « effet wow » lors de la sortie de Windows 10 (probablement pour que les gens associent « Windows 10 » et « trop cool »), pour ensuite licencier 60 personnes travaillant sur Hololens 3 mois plus tard… Et maintenant c’est silence radio, on n’en sait pas plus sur l’état du projet.



Bref, comme tu dis c’est de la R&D, il peut y avoir des concepts cools mais de là à la commercialisation…


Le 20/01/2016 à 08h 56







legurt a écrit :



désolé,c’était de  l’humour,

je viens de m’apercevoir qu’apple était une base linux.

 

vous saviez qu’ils faisaient des telephones??

 

c’est peut être pour ça que c’est instable? attaquable?











sirchamallow a écrit :



Pas fan de la pomme, mais il me semble qu’Apple est un dérivé de UNIX (un fork quoi) tout comme Linux







Non, les systèmes d’Apple (Mac OS X et iOS) n’utilisent pas Linux, ils ne sont donc pas concernés par cette faille.



Mac OS X utilise un noyau Mach, une distribution FreeBSD (qui est l’une des variantes d’UNIX), un serveur graphique Xorg, et des logiciels propriétaires par-dessus (interface graphique, navigateur Safari…).


Le 19/01/2016 à 17h 33

Idem, patché également aujourd’hui.



Espérons que le patch pourra se répandre rapidement ! Sur les PC ça devrait pouvoir se faire rapidement, par contre sur Android ça risque d’être plus lent, voire ne pas arriver du tout sur certains terminaux…

Le 19/01/2016 à 17h 28







Rozgann a écrit :



Le concept même d’obsolescence programmée est flou. Il y a toujours une justification possible, technique ou économique. L’exemple classique de l’obsolescence programmée, c’est les ampoules à incandescence dont les fabricants se sont mis d’accord pour en limiter la durée de vie à 10000 heures. Mais tu peux très bien justifier ça par la consommation électrique : pour durer plus longtemps, il faut un filament plus épais, ce qui augmente la consommation électrique. Dans les faits, on a des preuves que c’était un accord commercial entre différents fabricants basé uniquement sur une considération économique. Idem pour le compteur chez Epson, ils ont dit que c’était pour éviter les accidents, parce qu’ils avaient calculé qu’une pièce d’usure se cassait au-delà d’un certain nombre de pages imprimées. Et quand une entreprise arrête de vendre des pièces de rechange, des consommables ou des accessoires, c’est pareil, c’est justifiable par une question de coût.







Exactement : l’obsolescence programmée est illégale et condamnable, d’ailleurs les entreprises incriminées dans les histoires que tu cites n’ont pas pu s’en sortir en invoquant de faux prétextes techniques : elles ont été condamnées.



Phoebus cartel



Dans ces condamnations on retrouve le même argument : une entreprise (ou plusieurs) a volontairement limité la durée de vie du produit, de sorte que le produit soit inutilisable après un temps t prédéfini. Les filaments des ampoules pétaient, les imprimantes n’imprimaient plus, etc.



Avec Android l’appareil n’arrête pas de fonctionner. C’est une différence majeure : on ne peut donc pas parler d’obsolescence programmée.


Le 19/01/2016 à 16h 27







Rozgann a écrit :



Alors non, je pense pas qu’on puisse qualifier ça d’obsolescence programmée, mais c’est clairement une pratique qui ne va pas dans le sens d’une consommation durable.







Voilà, on peut critiquer la durabilité des produits et leur impact écologique. C’est effectivement un problème et on peut en discuter.



Mais ça n’a rien à voir avec l’obsolescence programmée, qui est quelque chose de bien différent. Mélanger tous les problèmes et expressions, ça n’aide pas à discuter sereinement…


Le 19/01/2016 à 15h 52







wagaf a écrit :



C’est de l’obsolescence programmée, car sans mises à jours, au bout de quelques années les apps ne sont plus compatibles.







Oui c’est un fait : si une application est modifiée par son éditeur, il est possible qu’elle réclame une version d’Android de plus en plus élevée. Ça dépend de l’éditeur, de l’application, des API utilisées… Mais encore une fois une très large partie de la logithèque Android est rétro-compatible jusqu’à Android 2.3, ou au moins jusqu’à Android 4. Du coup la fragmentation ne pose pas trop de problème, tout le monde ou presque a bien accès aux mêmes applis.



Et puis, si une appli devient incompatible avec Android 2.3, en quoi est-ce la faute de Google ou du constructeur ? Ont-ils sciemment prévu dès le départ que le smartphone finirait par devenir incompatible avec certaines applis ? Dans ce cas-là, Windows c’est de l’obsolescence programmée aussi, puisqu’il finit par être incompatible avec certaines applis ? Genre certains jeux récents qui ne fonctionnent pas avec Windows 98, c’est de l’obsolescence programmée selon vous ?



Moi je dis que non. Vous n’avez toujours rien donné de concret qui montre que Google, ou les constructeurs, conçoivent des appareils en faisant en sorte qu’ils deviennent obsolètes au bout d’un certain temps.



Faut-il rappeler la définition de l’obsolescence programmée encore une fois ? Pour qu’il y ait obsolescence programmée il faut que la durée de vie de l’appareil soit volontairement bridée, que d’un coup l’appareil ne fonctionne plus du tout ou soit privé d’une large partie de ses fonctions. Ce n’est pas le cas avec les smartphones bon sang !


Le 19/01/2016 à 15h 18







Obidoub a écrit :



L’absence de mise à jour entraîne l’impossibilité d’utiliser certaines applications, qui nécessitent une version récente du système. Cela entraîne aussi des failles de sécurité qui peuvent mener à la destruction de l’appareil.







Déjà ça c’est discutable… « destruction de l’appareil » <img data-src=" />



Mais bon, admettons (encore une fois). Tu estimes que Google (ou le constructeur) a prévu tout ça dès le départ, pour forcer l’utilisateur à changer son appareil ? Qu’ils ont sciemment prévu l’infection et la destruction des appareils ?



Non parce que c’est ça le sens de l’expression hein : « les pratiques dites d’obsolescence programmée, dont la finalité consiste pour rappel à prévoir à l’avance la durée de vie du bien ».



Alors devenons un peu plus précis : sur quels faits te bases-tu pour affirmer que Google (ou un constructeur quelconque) a sciemment et volontairement prévu et limité à l’avance la durée de vie des appareils ?


Le 19/01/2016 à 14h 48







Obidoub a écrit :



Pour reprendre l’exemple de l’imprimante, c’est comme si au bout de 6 mois le fabriquant cessait de produire des cartouches pour t’inciter à acheter un nouveau modèle.







Là oui, clairement l’utilisateur ne pourrait plus du tout se servir de son imprimante. Ça rentre dans le cadre de l’« obsolescence indirecte » définie plus haut : ce n’est pas l’imprimante en elle-même qui est défaillante, mais un accessoire (impossible de trouver des cartouches d’encre).



Cela dit, je ne vois toujours pas en quoi cet exemple est comparable à Android : certes, Google cesse de fournir les patches, mais les téléphones fonctionnent toujours, ils ne dépendent pas des patches pour fonctionner. L’analogie est donc très foireuse.


Le 19/01/2016 à 13h 46







Gemini_Power a écrit :



L’obsolescence programmée vue par une organisation de consommateurs



Ce n’est pas une définition par l’ADEME, mais sur une définition déduite d’un mémoire universitaire.

Mais cela illustre ma façon de voir obsolescence, qui ne n’arrête pas qu’à la phase de conception d’un produit, mais plus sur son cycle de vie en entier.



Je maintiens donc mon argument (mais cela reste donc mon opinion, sur ma vision des choses ;) )







Admettons, dans ce cas la fragmentation, ou l’absence de mises à jour sur Android, serait quel type d’obsolescence programmée ?







  • L’obsolescence par défaut fonctionnel ? Non puisque l’absence de mises à jour ne concerne pas le matériel.

  • L’obsolescence par incompatibilité ? Non puisque Google ne fait pas en sorte que Android devienne incompatible, au contraire il y a une assez bonne compatibilité entre les versions d’Android et la plupart des applis du Store sont compatibles de Android 2.3 à 6.

  • L’obsolescence indirecte ? Non puisque Google ne fait pas en sorte que des accessoires tombent en panne volontairement.

  • L’obsolescence par notification ? Non puisque Google ne programme pas ses produits pour qu’ils demandent à l’utilisateur de les changer. (au passage, cette façon de faire rappelle plutôt Windows qui affiche un message poussant les utilisateurs à mettre à jour vers Windows 10).







    Non vraiment, éclaire ma lanterne car même avec ce point de vue là, je ne vois pas comment tu peux classer l’absence de mises à jour d’Android dans une case « obsolescence programmée »… <img data-src=" />



    L’article que tu cites le dit bien : « les pratiques dites d’obsolescence programmée, dont la finalité consiste pour rappel à prévoir à l’avance la durée de vie du bien ». Ce n’est pas le cas pour Android.



    Pour rappel personne n’est obligé de changer son téléphone Android quand il n’est plus supporté… Mes parents ont encore des smartphones sous Android 2.3 qui fonctionnent parfaitement, ils ne sont pas obsolètes ni infectés, et ils sont encore fonctionnels sur 100% de leurs fonctions initiales.


Le 19/01/2016 à 12h 49







canti a écrit :



ici, le grand publique s’en fout d’avoir un téléphone en android 2.3 ( a tord tort ou à raison, j’aurais tendance à recommander de passer sur du plus moderne)











canti a écrit :



( rien qu’à voir le tableau, il y a encore des millions de gens qui ne se rendent pas compte qu’ils sont obligé de changer de téléphone  - à tord tort ou à raison)







TORT, rogntudjû <img data-src=" />


Le 19/01/2016 à 12h 47







boglob a écrit :



Ça s’appelle l’obsolescence programmée









Gemini_Power a écrit :



Bah un peu quand même !



Couche constructeur obligatoire, mais pas maintenue




  • Failles de sécurité découvertes et annoncées

    =&gt; oblige à changer de modèle pour disposer de la version plus sécurisée d’android.



    Ca reste donc bien de l’obsolescence programmée

    (ne pas corriger car ça coûte, mais aussi ça force à changer de modèle).



    Après tu aurais raison de dire que le péquin moyen ne s’occupe pas trop des failles de son téléphone









    Obidoub a écrit :



    Si, c’est tout à fait ça.

     

    L’OS ne recevant plus de mises à jour, tu es obligé de racheter un appareil neuf pour recevoir les correctifs de sécurité. Cela ne s’applique pas qu’au matériel.



    Et pour la majorité des constructeurs (à la louche 90%) on parle d’un abandon du support au bout de 6 mois voire moins…



    Les smartphones et tablettes sont la plus grosse industrie de l’obsolescence programmée du moment.







    Non, il faut arrêter avec cette histoire d’obsolescence programmée, on l’entend à tout bout de champ pour tout et n’importe quoi. <img data-src=" />



    Définition de l’ADEME (p.15) :

    « La notion d’« obsolescence programmée » dénonce un stratagème par lequel un bien verrait sa durée normative sciemment réduite dès sa conception. »



    Une imprimante qui est volontairement programmée, dès sa conception, pour arrêter de fonctionner après un certain nombre de pages imprimée, ça c’est de la vraie obsolescence programmée.



    Là avec Android c’est quand même très différent :



    (1) Le hardware n’est pas programmé pour s’arrêter de fonctionner.



    (2) Le software n’est pas programmé pour devenir défaillant non plus.



    (3) Même si une faille est découverte, l’appareil n’arrête pas de fonctionner, il continue de fonctionner comme avant, et avec les mêmes fonctionnalités. Bref l’appareil n’est pas rendu « obsolète » volontairement par Google.



    Ça n’enlève rien au fait que Google devrait patcher le plus d’appareils possible ; mais c’est mensonger de parler d’obsolescence programmée.


Le 19/01/2016 à 12h 25







Zulgrib a écrit :



Faudrait plus éclater le système :

Ils ont fait en sorte qu’on puisse mettre à jour webview indépendamment du système, faudrait en faire de même pour plus de choses, ainsi la version d’android serait moins important pour la continuité.







+1

Je pense que les solutions techniques existent, mais Google doit être tiraillé entre la base Open Source (AOSP), ses applis proprio qu’elle veut garder pour elle, les libertés accordées aux constructeurs… Difficile de satisfaire tout le monde tout en permettant des mises à jour à tous les étages… Bref ça doit davantage être un problème de licences et de droits, et non véritablement un problème technique.


Le 19/01/2016 à 11h 32







MacGuiPro a écrit :



On peut dire ce qu’on voudra sur l’OS mobile de Google, sa fragmentation doit être un vrai cauchemar à gérer.







Pas vraiment, la plupart des applis sont tout à fait compatibles de Android 2.3 à 6, et quasiment toutes de Android 4.0 à 6. Les API n’ont pas tant changé que ça. Bref la fragmentation n’est pas vraiment un problème si grave.



Je pense que la pléthore de tailles d’écrans différentes doit être bien plus compliquée à gérer pour un développeur.









MacGuiPro a écrit :



Le problème de devoir faire passer les mises à jour par les fournisseurs de hardware (bonne chance pour qu’un Chuwi ou autre constructeur chinois de base fasse le travail de mise à jour), puis par les opérateurs, ça rend vraiment la tâche complexe.







Ça par contre, c’est le vrai gros point faible d’Android. L’utilisateur devrait pouvoir installer les mises à jour système comme il le souhaite. Les mises à jour de sécurité en particulier, devraient être distribuées pour TOUS les smartphones Android, peu importe la version.



C’est vraiment lamentable que des failles soient connues, mais que des millions d’appareils soient laissés à poil sans patch…


Le 19/01/2016 à 15h 19







piwi82 a écrit :



Les dimensions de ce boitier sont ridicules (203x344x412 !), c’est tellement gros qu’on pourrait y faire rentrer une carte mère µATX (244x244) et un SLI de GTX980.







+1 ce boîtier n’a rien de « nano »…


Le 19/01/2016 à 15h 19







freechelmi a écrit :



Dans l’état actuel Office2010 est utile juste pour ouvrir/enregistrer/renvoyer du transitional, LO est la pour les documents pérennes.







C’est le foutoir. Quand tu génères un document (par exemple docx) avec LibreOffice il génère un fichier au format standard, OOXML Strict. Celui-là même qui est préconisé et mis en avant par Microsoft !!



Et quand tu envoies ce document à un collègue, son MS-Office 2010 ne sait pas l’ouvrir… Un comble !!


Le 19/01/2016 à 12h 55







freechelmi a écrit :



Heureusement office2010 est encore bien crédible pour la compatibilité en entreprise et fonctionne vraiment a merveille sur Linux.







À condition d’accepter de continuer de créer des fichiers en OOXML Transitional dégueulasse, et de se priver du standard OOXML Strict…



(MS-Office 2010 a besoin d’un plugin pour pouvoir ouvrir les fichiers OOXML Strict, et dans tous les cas il ne sait enregistrer de fichiers qu’en OOXML Transitional).


Le 19/01/2016 à 13h 34







Pochi a écrit :



Mais bon c’est mon âme d’informaticien qui parle, j’aime corriger, améliorer, rationaliser. Et après y a le reste de la population qui préfère ne rien changer “parce que c’est historique” même si c’est inutile ou que ça rajoute de la complexité pour rien.







Alors ça tu ne crois pas si bien dire… En informatique aussi il y a pas mal d’exemples de programmes qui sont employés pour des raisons historiques, et non pas parce que ce sont « les meilleurs » ou « les mieux adaptés »… Je suis sûr que beaucoup de « professionnels » utilisent certains outils qui sont mal adaptés à leurs besoins, uniquement pour des « raisons historiques » : par exemple, les PME qui utilisent Excel pour tenir des comptes ou faire une base de données clients… Des exemples comme ça on peut en trouver à la pelle…



Bref, les informaticiens ont beau corriger, améliorer, rationaliser : la majorité de la population préfère autre chose, pour tout un tas de mauvaises raisons.


Le 19/01/2016 à 09h 34







KissFC a écrit :



Mais dites vous bien que dans tout les cas, une phrase commençant par un nom, ou autre est de toute manière mal formulée.







Églantine aime les sucettes à l’anis.



Sérieusement ? Dans tous les cas ? <img data-src=" />


Le 18/01/2016 à 19h 55







Drepanocytose a écrit :



Je pensais à un “bon bout de chemin parcouru”, j’ai modifié sans relire….



Sinon j’habite en Belgique, le francais c’est quelque chose de très relatif, pour moi….







Ah je suis pas loin, région lilloise en ce moment <img data-src=" />


Le 18/01/2016 à 19h 49







Drepanocytose a écrit :



LOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOLLLLLLLL



Commencez déjà par ne pas niveler le langage par le bas en faisant entrer au dictionnaire les barbarismes des incultes prépubères de 12 ans, ce sera déjà un bout bon début……







Dit-il en faisant une faute et en lâchant un « LOL », c’est l’hôpital qui tire sur les ambulances là <img data-src=" />


Le 18/01/2016 à 19h 47







catseye a écrit :



Sur un laptop Sony vendu au Canada, j’ai accès à tous les accents et caractères spéciaux français sous Windows, et surtout sans jouer avec caps-lock … ;)



Dommage que ce clavier soit introuvable chez Microsoft ou Logitech … :/







Oui, normal c’est un clavier français québécois.



Malheureusement ces touches n’existent pas sur les claviers AZERTY français…


Le 18/01/2016 à 16h 50







Winderly a écrit :



Quand ce que veut le ministère de la culture sera concrétisé, combien de touches y aura-t-il sur un clavier commercialisé en France ? <img data-src=" />







4096 touches.



Mais ce n’est pas grave, d’ici là on aura des doigts bioniques <img data-src=" />


Le 18/01/2016 à 16h 33







Pochi a écrit :



Homonyme m’a tuer



<img data-src=" />



(Quelle connerie les homonymes quand même…)







Ne te plains pas, ça pourrait être pire


Le 18/01/2016 à 16h 02







Pochi a écrit :



Les moines copistes ont imposé le changement “pome” -> “pomme” pour du pognon. Ca me parait largement pire qu’une volonté de simplification et pourtant personne ne se plein plaint d’écrire “pomme” aujourd’hui (mais peut-être qu’à l’époque ça bien couiné aussi).







<img data-src=" />


Le 18/01/2016 à 15h 10







Soltek a écrit :



Bah tu fais ce que tu veux de l’histoire de ta langue mais elle est comme ça que ça te plaise ou non <img data-src=" />



Il y a déjà eu pas mal de réforme en 1990 avec, entre autres, la disparition de pas mal d’accents circonflexes (huitre, paraitre, traitre, etc) qui sont devenus acceptable ou bien les mots composés (portefeuille, portemonnaie, etc…), j’en passe.







Oui enfin ça n’a pas toujours simplifié les choses, au contraire <img data-src=" />



Un exemple, avant 1990 :




  • une plate-forme, des plates-formes.



    Après la réforme, l’orthographe suivante est aussi devenue acceptable :

  • une plateforme, des plateformes.



    Pas mal de gens s’emmêlent les pinceaux sur le placement des S au pluriel… Ça m’est arrivé de croiser des aberrations comme « des platesformes » (sic) sur des grands journaux comme Le Monde…


Le 18/01/2016 à 14h 55







hollaamic a écrit :



Ok pour les majuscules, mais les ligatures ou les doubles chevrons, sur les claviers azerty classiques, y’a pas.







æ = AltGr + a

Æ = AltGr + Maj + A

œ = AltGr + o

Œ = AltGr + Maj + O

« = AltGr + w

« = AltGr + x

et ainsi de suite…

Liste complète



Sous GNU/Linux le clavier AZERTY peut être employé pour écrire correctement le français, et avec des combinaisons de touches qui ne sont pas débiles (assez facile de retenir que AltGr + o donne œ).



Ça n’empêche que par construction le clavier français reste assez mal adapté. Ces combinaisons de touches ne sont qu’une bidouille pour réussir à obtenir ce qu’on veut (mais une bidouille bien pratique à connaître dans ce pays où l’AZERTY se retrouve partout).


Le 18/01/2016 à 14h 51







MuadJC a écrit :



interprète comme tu veux, comme ça tu es sûr de ne pas changer d’avis <img data-src=" />







Nonon t’as raison, moi aussi je cherche juste à faire réfléchir les autres, c’est moins fatigant <img data-src=" />


Le 18/01/2016 à 12h 04







MuadJC a écrit :



tu prends le débat à l’envers: tu pars du principe que ces touches ont une fonction, la tienne. Or, elle n’ont à l’origine pas du tout ce but.

ta touche “Majuscules” a pour but d’afficher des chiffres, et autres °+%¨£µ?./§> …

Le fait qu’elle affiche aussi des majuscules est presque secondaire, on peut en effet présupposer que la majuscule est en fait la deuxième ligne des touches.







Heu, tu es au courant que sur un clavier QWERTY les chiffres sont accessibles sans appuyer sur Shift ?



La touche « Majuscule » a pour but d’afficher les lettres en majuscules, comme son nom l’indique. Ça a toujours été sa fonction première, y compris sur les machines à écrire, et ce dans toutes les langues du monde !



Ce n’est que par la suite que cette touche a aussi servi à afficher des chiffres et caractères divers (+, °, £, etc.), et ça, ça dépend de la langue et de la norme utilisée.



La logique voudrait que quand on fait Maj. + ç, ça devrait toujours sortir un Ç majuscule, et non un chiffre ! Ce n’est malheureusement pas le cas, sur aucun système, que ce soit Windows, Mac, Linux -là encore un héritage des machines à écrire. On peut donc déplorer que le clavier français est vraiment mal foutu, très mal adapté à l’écriture du français.



Bref c’est toi qui réfléchis à l’envers là…









MuadJC a écrit :



Je joue l’argumentation extrême







Bref, tu trolles.









MuadJC a écrit :



sous MS ça n’a pas bougé depuis MSDOS. Ce serait illogique de la part de MS de changer du jour au lendemain le comportement d’une version de clavier.







C’est beau de s’auto-congratuler de vouloir « faire réfléchir ». <img data-src=" />



Tu donnes plutôt l’impression de vouloir à tout prix défendre l’interprétation du clavier de Microsoft : ça a été fait comme ça sous MS-DOS, donc il ne faut surtout pas changer maintenant…



C’est exactement la même logique qui a poussé à la conception des claviers d’ordinateurs : « ça a été conçu comme ça sur les machines à écrire alors on va reprendre la même chose, ce serait illogique de changer du jour au lendemain ». Et c’est comme ça qu’on se retrouve avec des claviers pas pratiques du tout.


Le 18/01/2016 à 11h 31







MuadJC a écrit :



Je n’ai pas de “CAPS LOCK”, juste un verrou. Qui correspond au verrouillage de la touche Shift.

ce “caps lock” affiche + et non = je suppose?







C’est bon arrête avec ta mauvaise foi. Sur un clavier français la touche « Shift » est traduite par « Majuscule », «CapsLock » par « Verr. Maj. », et ainsi de suite (exemple). Ça n’apparaît peut-être pas sur ton clavier mais c’est le nom de ces touches.



Tu veux démontrer quoi là au juste avec tes arguments en carton ? Que c’est normal de ne pas avoir accès aux majuscules accentuées sous Windows ?


Le 18/01/2016 à 11h 06







bombo a écrit :



J’ai appris exactement la même chose, je suis étonné que le ministère de la culture mette en avant ce point, serait-ce plutôt une exagération du journaliste sur les demandes du ministère ou est-ce réellement une incapacité à écrire français correctement dans les hautes sphères de la société ?







Ça a déjà été dit plusieurs fois dans les commentaires : c’est faux.



Si on veut écrire correctement, il FAUT mettre les accents sur les majuscules en français.



http://www.academie-francaise.fr/la-langue-francaise/questions-de-langue#5_stron…


Le 18/01/2016 à 10h 58







fredragon a écrit :



on pourrait simplement rajouter une ligne aux claviers, contenant les caractères divers et variés. Passer à 6 rangées au lieu de 5, ça me semble pas insurmontable.







Sur un clavier de PC de bureau peut-être (et encore), mais sur un ordi portable ou le clavier virtuel des smartphones, ajouter une ligne de touches est hors de question…


Le 18/01/2016 à 10h 52







FunnyD a écrit :



mais tu “l’entends” ou pas ? Logiquement un accent, ça accentue, et celuil là non.







Celui-là non plus <img data-src=" />


Le 18/01/2016 à 10h 48







MuadJC a écrit :



Je n’ai pas de touche intitulée “MAJ”… CQFD.







Par contre la touche CapsLock veut bien dire « verrouillage majuscule ».



C’est donc Windows qui a tort de ne pas générer les majuscules correspondant aux touches à, é, ç, etc.



CQFD.


Le 18/01/2016 à 10h 37







MuadJC a écrit :



Et sur un clavier sans pavé numérique? C’est pratique aussi le caps pour taper directement les chiffres. Où alors tu les enlèves complètement de cette ligne. A un moment il faut être logique.







Quand je suis en CapsLock, je peux toujours utiliser la touche Shift pour accéder aux chiffres.



Donc ça marche aussi sur les claviers d’ordis portables.


Le 18/01/2016 à 10h 36







tazvld a écrit :



De plus, Caps Lock permet de “verrouiller” le clavier pour accéder à la seconde ligne des touches, il permet de verrouiller le clavier en mode “shift” (maj.). Ainsi avoir un comportement différent de “shift” est encore une erreur.







Non ce qui est une erreur c’est que quand on fait Maj. + ç, ça ne fait pas un ç majuscule mais ça fait un 9.



Ce qui est une erreur c’est que quand on demande “Majuscule + é”, ça fait un 2.



Voilà ce qui n’est pas du tout logique ni intuitif sur le clavier français.



Alors je suis d’accord que ça rajoute une couche de non-logique d’accéder aux vraies majuscules en appuyant sur CapsLock. Mais au moins ça permet d’y accéder…


Le 18/01/2016 à 09h 28







tiret a écrit :



Ouais enfin ça concerne surtout Wind*ws. Sous Linux ça fait longtemps que c’est possible, il suffit d’activer le CAPS LOCK.







Gros +1, aucun problème que ce soit le C cédille, les accents (é, è, à…), ou les ligatures (œ, æ…).



Démonstration :



MON CŒUR BAT À 100 À L’HEURE.

LES CARACTÈRES SPÉCIAUX, ÇA SE FAIT TOUT SEUL DÈS QUE CAPSLOCK EST ENFONCÉ.



Aucun problème pour écrire français <img data-src=" />


Le 19/01/2016 à 08h 58







JR Ewing a écrit :



Donne des chiffres sur les ventes réelles des SP4 et SB au lieu de répéter bêtement ce que raconte MS à ce sujet qui noie les chiffres de ventes des SP4 et SB avec d’autres devices pour faire croire que ça se vend super bien!







Non mais si tu écoutes Laelen / merphémort / CrowTown, ça fait 4 ans qu’il nous raconte que les Lumia se vendent super bien partout dans le monde et que Windows Phone va bientôt dépasser Android et iOS. 4 ans qu’il vit dans le déni, et qu’il n’a pas changé de discours…



Là il nous refait la même avec les Surface Pro, qui sont bien sûr trop chères pour le grand public et ne se vendent autant que les tablettes iPads et Android.



En fait c’est simple : si en 2014 Microsoft vendait 10 tablettes et qu’en 2015 ils en vendaient 20, ça fait une augmentation de 100% !! Et là il devient tout fou : « omagad, on n’a jamais vu ça et les concurrents ne font pas mieux !! Microsoft FTW !! » Ben oui c’est facile d’avoir une augmentation de malade quand les chiffres sont tout petits… Mais ça reste petit par rapport aux appareils vendus par la concurrence… Mais ça il n’a pas l’air de le comprendre.



Et si tu espères qu’il va donner des chiffres… Mouahaha ! Depuis le temps que tout le monde lui demande des sources, il n’en a jamais fourni. Je ne vois que deux explications : soit il pipaute tous ses chiffres, soit il ne sait pas faire un lien sur NXI.


Le 18/01/2016 à 15h 59



Une autre option, facile à mettre en œuvre, consistait à simplement ralentir la vitesse de rotation des disques dans le lecteur. L’idée est cette fois-ci rejetée car « cela augmenterait les temps de chargement et nuirait donc à l’expérience de jeu ».





Ah, les sacro-saints temps de chargement… Ne touchons pas aux temps de chargement !!



Apparemment il vaut mieux rayer les DVD, c’est moins nuisible que de ralentir les transferts.



Deal with it <img data-src=" />

Le 18/01/2016 à 13h 34







John Shaft a écrit :



Argument débile. on peut me joindre par téléphone et non par le téléphone.



Idem, On peut me joindre par Internet et non par l’Internet. Si j’étais joint par l’Internet, je pourrais dire que Ghost in the Shell était un manga prophétique <img data-src=" />







Et pourtant c’est possible d’appeler Internet <img data-src=" />


Le 18/01/2016 à 13h 32



Donner un nom propre (Internet ou l’Internet) ou les apparences d’un nom propre (“internet”) pouvait se justifier à sa création aux États-Unis à la fin des années 1960, lorsque le réseau était exclusivement dédié aux échanges entre des universités des deux côtes américaines et au maintien d’un réseau américain de télécommunications en cas de guerre nucléaire. Aujourd’hui cette technologie est devenue un réseau mondial public, comme “le téléphone” ou “la télévision”.





Ou alors, on peut considérer que Internet est un nom propre qui est entré dans le langage commun (antonomase), comme « le frigidaire », « le kleenex », « le scotch », ou « le post-it », et arrêter de se prendre la tête…

Le 16/01/2016 à 17h 24







charon.G a écrit :



au final on devrait se retrouver avec des avantages en terme de compatibilité applicative







Ça ce serait le rêve : que toutes les applis soient 100% cross-plateforme Windows, OS X, Linux… Mais ça aussi ça demandera beaucoup de temps et d’efforts de développement.


Le 16/01/2016 à 12h 58







arno53 a écrit :



La question est plutôt quel intérêt pour Microsoft de passer son écosystèmes à Linux ?











darth21 a écrit :



Mais quel serait le but ?







Peut-être pour rejoindre une base standard de l’informatique : POSIX ?



Windows est le seul OS qui n’est pas de la famille UNIX/Linux aujourd’hui : Mac OS X et iOS ont une base UNIX, Android c’est du Linux… Si Microsoft veut que ses « Universal Apps » soient compatibles avec d’autres OS, le plus simple est que tous les OS aient la même base et respectent les mêmes normes, plutôt que de rester une plate-forme isolée sur le marché. Dans l’informatique personnelle Windows s’est fait complètement dépasser par Android/Linux, au point qu’il se vend aujourd’hui 8 fois plus de terminaux Android que de terminaux Windows… Par ailleurs tous les scripts et programmes développés pour serveurs UNIX ont pu facilement être portés sous Linux, mais c’est beaucoup plus difficile de les porter sous Windows.



Bref, je vois ça comme une possibilité, qui n’est pas farfelue. Je ne prétends pas que ça va forcément arriver hein… Je dis juste que ce n’est pas impossible.



Et je dis aussi et surtout que pour l’instant, c’est impossible de savoir ce que l’avenir réserve sur ce sujet.


Le 16/01/2016 à 09h 32







darth21 a écrit :



Ce n’est pas parce que ce n’est pas incompatible que c’est ce qui va se faire ou que c’est ce qui est prévu.

Pouvoir != vouloir.







Et ce n’est pas parce que ça ne s’est jamais vu avant que c’est impossible. Je trouve ça tout aussi présomptueux de dire « ça n’arrivera jamais ».



Pour l’instant impossible de faire des prévisions, wait & see.


Le 15/01/2016 à 19h 55







arno53 a écrit :



Ca n’a juste aucun intérêt … Migré l’écosystème d’un noyau à un autre est un travail titanesque qui génèrera forcement des incompatibilité …







Et pourtant…



On sait que Microsoft veut se séparer de l’héritage win32.



On sait que Microsoft a ouvert .NET aux autres plates-formes, en ciblant notamment Linux.



On sait que Microsoft veut que les développeurs conçoivent des applications universelles, notamment autour de .NET…



Alors certes, de là à dire que Microsoft développera à l’avenir une distribution GNU/Linux il y a un gouffre, ça ne se ferait pas tout de suite, ça demanderait énormément d’efforts à la fois de la part de Microsoft et des développeurs de logiciels. Mais d’un autre côté, ce qu’ils font en ce moment n’est pas incompatible avec ce scénario dans un futur plus ou moins lointain…


Le 15/01/2016 à 11h 37







gogo77 a écrit :



Au moins autant que Linux







Ça me fait marrer les gens qui continuent de croire que Microsoft est tout-puissant et que Linux n’est qu’un petit grain de sable incapable d’ébranler la machine…



Faut vous réveiller les gens, même Microsoft réalise bien le potentiel de Linux et ne l’ignore plus. Au contraire, ils intègrent complètement Linux dans leur business plan :







  • Microsoft a contribué au noyau Linux, ça avait fait les gros titres en 2012.

  • Microsoft a développé une distribution GNU/Linux : Azure Cloud Switch.

  • Environ 30% des instances créées sur Azure sont des instances Linux.







    Sans compter que Android, système utilisant aussi Linux, fait de l’ombre à Microsoft non seulement en nombre de terminaux vendus (presque 2 milliards de smartphones vendus en 2015, contre 260 millions de PC desktop), mais aussi en parts de visites Web : les gens consultent davantage le Web depuis leur smartphone ou tablette, que depuis un PC de bureau.



    In case you don’t appreciate how fast the Windows monopoly is getting destroyed…



    Bref, difficile d’affirmer que Microsoft ignore Linux et n’en a rien à faire… Les responsables de chez Microsoft, Satya Nadella en tête, ont bien conscience qu’ils ne peuvent plus ignorer Linux !!









    Tolor a écrit :



    Parce que c’est bien connu, les autres entreprises font de l’open source par pure bonté d’âme et générosité.







    Bien sûr que non. L’image de l’Open Source avec des bénévoles qui développent des logiciels chez eux est révolue depuis bien longtemps.



    Ça fait longtemps que l’Open Source est avant tout fait par des entreprises, et par des développeurs professionnels : Intel, AMD, Oracle, Red Hat, Google, Samsung… Et aujourd’hui Microsoft fait aussi partie de ces entreprises. Ces entreprises font ça parce qu’elles y voient des avantages, et parce que c’est profitable pour leur business bien sûr.



    Mais le résultat est le même : ça veut dire qu’une nouvelle entreprise peut prendre ce code source et développer de nouvelles solutions dessus. Ça veut dire que les particuliers peuvent aussi bénéficier de tous ces développements, et ce gratuitement : noyau Linux, interfaces graphiques, logiciels entiers (LibreOffice, GIMP, Blender…).


Le 15/01/2016 à 10h 33







gogo77 a écrit :



Sinon pour cette action de Microsoft, pas sûr que ça change grand chose à part leur image. Ils restent maîtres à bord quant à l’avenir de ce moteur et j’ai du mal à croire qu’ils laisseront la communauté s’impliquer réellement. Enfin je suis peut être mauvaise langue, on verra bien.







L’Open Source ce n’est pas unilatéral. Ce n’est pas « je garde le contrôle du truc, je veux juste que d’autres gens fassent le dev gratuitement à ma place, mais je choisis quoi garder ». Une entreprise qui ouvre son code en pensant ça, va droit dans le mur.



Open Source, ça veut aussi dire que si la communauté aime l’outil (Chakra) mais pas les décisions prises par Microsoft, ils peuvent en faire un fork sur lequel Microsoft n’aura plus du tout la main. Éventuellement le fork peut devenir plus populaire que l’original…



Il suffit de regarder ce qui s’est passé avec Open Office, tombé dans les limbes : la communauté n’a pas aimé ce qu’a fait Oracle, elle a forké et aujourd’hui Libre Office suit son chemin…


Le 15/01/2016 à 09h 57

Microsoft commence enfin à voir les bénéfices de l’Open Source :





  • développement mutualisé avec d’autres entreprises (et pourquoi pas des associations, particuliers…) ;



  • un code qui est portable et multi-plateforme ;



  • des retours et corrections de bugs qui seront plus rapides ;



  • en conséquence, un développement qui coûtera moins cher (Microsoft n’aura pas à assurer 100% du développement de Chakra, ce sera partagé avec d’autres entités) ;



  • une image d’entreprise plus ouverte à la collaboration et au travail en équipe.



    Bref une très bonne décision, bravo Microsoft de prendre cette direction <img data-src=" />

Le 15/01/2016 à 15h 53







MuadJC a écrit :



Ma mère à toujours été à jour de son OS, ça n’a rien bloqué car le problème se situe entre le clavier et le pc.







Oui, je suis d’accord que l’OS le plus sûr du monde ne peut pas se prémunir contre un utilisateur malveillant (ou qui fait n’importe quoi).



Mais tu ne peux pas nier que laisser des failles ouvertes, ça ajoute forcément des sources de problèmes…


Le 15/01/2016 à 14h 36







MuadJC a écrit :



Les maj de sécurité touchent peu les particuliers, les failles viennent plus souvent (à part de l’utilisateur) du navigateur ou des plugins utilisés.







Voilà ce que j’ai l’impression de lire :



Mme Michu se plaint que le voyant “ceinture de sécurité” est tout le temps allumé sur son tableau de bord, donc tu lui recommandes de rouler sans ceinture. Et tu justifies ça en disant que de toute façon, la plupart des accidents sont causés par l’alcool ou la vitesse, ou alors Mme Michu va prendre l’autoroute en contre-sens, alors bon la ceinture on s’en fout finalement ce n’est pas ça qui va la sauver…



Les failles sur les OS sont autant de vecteurs d’attaque. Alors oui, ce n’est pas la seule manière de foutre en l’air un PC, mais le but est de boucher le plus de failles et de courir le moins de risques possible : il reste donc important de patcher les failles.



Quel risque supplémentaire court leur PC par rapport à leur usage classique ? Le risque qu’une faille non patchée serve à infecter leur PC, supprimer leurs données, installer un keylogger… Bof, une broutille quoi !



Affirmer sans complexe qu’il faut désactiver les mises à jour, c’est grotesque. Je ne comprends même pas que tu essayes de justifier ça…


Le 15/01/2016 à 13h 04







MuadJC a écrit :



Mince, j’arrive trop tard pour éviter l’incendie. J’allais simplement recommander à ceux qui connaissent des Michus (comme moi) de tout simplement désactiver les MaJ sur ces machines.

Ce n’est pas quelques patchs manqués qui changent radicalement la sécurité chez ce genre de personnes…







Heu, je suis le seul à trouver que désactiver les mises à jour de sécurité est toujours une mauvaise idée ? <img data-src=" />