En France les LABM sont obligatoirement accrédités par l’AFNOR pour pouvoir exercer. Pour cela ils doivent appliquer l’ISO 15189 qui les oblige (entre autre) à faire tout ce qui est possible pour sécuriser le SIL, les communications et les éventuelles données externalisées. Ce qui implique que normalement ces LABM ont dus valider tous les progiciels qu’ils utilisent.
Les informations “qualitatives” indiquées dans les “commentaires” des dossiers patients sont généralement présentes afin de faciliter le travail du biologiste qui valide les dossiers médicaux, car on ne valide pas les résultats d’un patient “sain” de la même façon qu’un patient sous dialyse par exemple.
Cependant, toutes ces données y compris les champs de commentaires devraient normalement être cryptées.
Article L. 1111- 7 et L. 1142-28 du Code de la Santé Publique impose aux LABM de conserver les données pendant 10 ans.
1 commentaires
La méga-fuite de données de santé émanerait d’un logiciel racheté par… Dedalus
24/02/2021
Le 24/02/2021 à 16h 49
En France les LABM sont obligatoirement accrédités par l’AFNOR pour pouvoir exercer. Pour cela ils doivent appliquer l’ISO 15189 qui les oblige (entre autre) à faire tout ce qui est possible pour sécuriser le SIL, les communications et les éventuelles données externalisées.
Ce qui implique que normalement ces LABM ont dus valider tous les progiciels qu’ils utilisent.
Les informations “qualitatives” indiquées dans les “commentaires” des dossiers patients sont généralement présentes afin de faciliter le travail du biologiste qui valide les dossiers médicaux, car on ne valide pas les résultats d’un patient “sain” de la même façon qu’un patient sous dialyse par exemple.
Cependant, toutes ces données y compris les champs de commentaires devraient normalement être cryptées.
Article L. 1111- 7 et L. 1142-28 du Code de la Santé Publique impose aux LABM de conserver les données pendant 10 ans.